Pommerol
Pommerol est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Pommerol | |||||
La Vallée de Pommerol en janvier 2013. On peut y voir le village et le Chastelas. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Morin 2020-2026 |
||||
Code postal | 26470 | ||||
Code commune | 26245 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pommerolais, Pommerolaises | ||||
Population municipale |
5 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 0,51 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 26′ 49″ nord, 5° 27′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 717 m Max. 1 563 ou 1 571 m |
||||
Superficie | 9,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierPommerol est situé à 21 km à l'est de Rémuzat.
C'est une commune composée de fermes et hameaux éparpillés dans un environnement montagneux[1] (Préalpes).
La Charce Cornillac |
La Charce Valdoule (Hautes-Alpes) |
Valdoule (Hautes-Alpes) | ||
Cornillac | N | Valdoule (Hautes-Alpes) Moydans (Hautes-Alpes) | ||
O Pommerol E | ||||
S | ||||
Rosans (Hautes-Alpes) | Rosans (Hautes-Alpes) | Rosans (Hautes-Alpes) |
Relief et géologie
modifier- Environnement montagneux, sites tourmentés[1].
Sites particuliers[2] :
- Col de Pommerol (ou de la Fromagère) (1070 m)
- Col du Faux
- Col du Prieur
- Combe de la Galone
- Combe de l'Homme
- Combe du Loup
- Dent du Passet (1182 m)
- le Fourchat (1571 m)
- Montagne de l'Archier
- Montagne de Raton (1473 m)
- Roche Rousse
- Rochers de la Serrière (1242 m)
- Rochers des Aiguilles (870 m)
- Serre Merville (1124 m)
- Serre Rochasson (1212 m)
Géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par les cours d'eau suivants[2] :
- Ravin du Bousquet ;
- Ruisseau de Pommerol ;
- Ruisseau des Moulières (source).
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[3] :
- (Non daté) : Le Torrent des Pommeroles (État-major).
- 1891 : La Pommerole, ruisseau qui a sa source au Pertus, traverse la commune de Pommerol et se jette dans l'Oulle (commune de la La Charce) après 5,75 kilomètres de cours. En 1891, sa largeur moyenne est de 5,50 m, sa pente de 92 m, son débit ordinaire de 0,70 m3, extraordinaire de 10 m3.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 993 mm, avec 8,1 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rosans », sur la commune de Rosans à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est traversée par la route départementale 338 reliant la Charce au col de Pommerol (ou de la Fromagère). Elle permet de passer de la Drôme aux Hautes-Alpes, en direction de Rosans.
Le chef-lieu du village est desservi par la RD 438 et le lieu-dit La Fromagère par la RD 603.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Pommerol est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierLa commune est composée de fermes et hameaux éparpillés. Le petit chef-lieu est perché[1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN)[2] :
- Forêt Domaniale de l'Eygues
- la Fromagère
- la Gineste
- la Sapie
- Laumas
- le Moulin
- le Pertus
- les Marsols
- les Molières
- les Plaines
- Passière de la Sapie
- Trescoussous
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 1183 : mention de la paroisse : ecclesia de Pomariolo (Masures de l'Isle-Barbe, 117).
- 1251 : Pomayrol, Pomerriolum et Pomeroz (cartulaire de l'Île-Barbe, 74, 78 et 84).
- 1272 : castrum de Pomeralio (inventaire des dauphins, 222).
- 1275 : Pomereuil (inventaire de la chambre des comptes).
- 1300 : mention du prieuré : prioratus Sancti Romani Pomayrolio (archives du Rhône, fonds de l'Île-Barbe).
- 1305 : Pomairollo (archives des Bouches-du-Rhône, B 12).
- 1516 : Pomeralium (pouillé de Gap).
- 1523 : Pomeyrous (archives de la Drôme, E 4666).
- 1606 : Pomeyral (rôle de décimes).
- XVIIIe siècle : Pomereul (inventaire de la chambre des comptes).
- 1891 : Pommerol, commune du canton de Rémuzat.
Étymologie
modifierHistoire
modifierPréhistoire
modifierDans un abri à 1350 m d'altitude : gravures pariétales d'oiseaux (art schématique)[1].
Protohistoire
modifierPommerol était situé sur le territoire de la tribu gauloise des Voconces[réf. nécessaire].
Antiquité : les Gallo-romains
modifier- Présence de monnaies romaines[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierLa seigneurie :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était du fief des barons de Mévouillon et arrière-fief des abbés de l'Île-Barbe[15].
- 1261 : elle est inféodée aux Isoard. Ces derniers la possède encore en 1305[15].
- Vers 1320 : elle passe aux Flotte[15].
- Vers 1320 : elle est vendue aux Rivière[15].
- Vers 1329 : elle appartient aux comtes de Provence qui l'intègrent dans leur claverie de la Val-d'Oule (voir plus bas)[15].
- Jourdain Salle la tiendra jusqu'en 1332[réf. nécessaire] (ou Jordans Sarlle, de 1329 à 1332)[réf. nécessaire])
- Début XVe siècle : elle passe aux Beauvoir[15].
- Passe aux Baratier[15].
- 1586 : passe (par mariage) aux Raymond-Modène[15].
- Passe aux Grandis[15].
La commune fait partie de la Claverie du Val d'Oule de 1261[20] à 1641[réf. nécessaire].
Avant 1790, Pommerol était une communauté du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix, viguerie et recette de Sisteron.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap dont l'église, dédiée à saint Pierre, dépendait d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoit (filiation de l'Île-Barbe) qui fut uni à la cure au début du XVIIe siècle (voir Saint-Roman)[15].
Saint-Roman
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[21] :
- 1183 : ecclesia Sancti Romani de Pomariolo (Masures de l'Isle-Barbe, 117).
- XIIIe siècle : prioratus de Pomerriolo, Prioratus de Pomeroz et Prioratus Sancti Romani de Pomayrol (cartulaire de l'Île-Barbe, 74, 78 et 84).
- 1516 : prioratus de Pomeriolo (pouillé de Gap).
- 1606 : le prieuré de Pomeyrol (pouillé de Gap).
- 1891 : Saint-Roman, ruine de chapelle de la commune de Pommerol. Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît et de la dépendance de l'abbaye de l'Île-Barbe, qui fut uni à la cure au début du XVIIe siècle et dont le titulaire avait la collation et les dîmes de la paroisse de Pommerol.
La Val-d'Oule
modifierCe paragraphe concerne la commune de Pommerol mais aussi celles de Cornillon, la Charce, Cornillac, Lemps, Rémuzat et Saint-May.
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[20] :
- 1262 : Vallis Olle vel Bodonesii (cartulaire de l'Île-Barbe, 62).
- 1272 : Vallis Olle (cartulaire des dauphins).
- 1331 : mention de la claverie : clararia Vallis Olle (archives des Bouches-du-Rhône, B 2067).
- 1891 : La Val-d'Oule, partie de la vallée de l'Oule et du canton de Rémuzat, appelée aussi vallée de Cornillon, et comprenant, avec la commune de ce dernier nom, celles de la Charce, Cornillac, Lemps, Pommerol, Rémuzat et Saint-May.
La seigneurie[20] :
- Au point de vue féodal, la Val-d'Oule est une terre (ou seigneurie) des barons de Mévouillon, feudataires des abbés de l'Île-Barbe.
- 1261 : elle est acquise par les comtes de Provence qui en font une de leurs claveries.
- La terre est inféodée aux (d')Agoult.
- Elle est recouvrée par les comtes de Provence.
- 1465 : elle est cédée aux dauphins en échange de la ville de Gap.
- Après avoir donné lieu à de grands démêlés, ce traité d'échange resta sans effet, et la Val-d'Oule, comprise alors parmi les Terres adjacentes de Provence, fut réunie à la viguerie de Sisteron, dans les premières années du XVIIe siècle.
1524 (démographie) : il y a trente feux dans la Val-d'Oule[20].
Avant 1790, les sept communes formaient une enclave de la Provence en Dauphiné[20].
De la Révolution à nos jours
modifierCette commune fait partie du canton de Rémuzat depuis 1790[15].
Autour de 1910, le village est déserté et tombe en ruine[réf. nécessaire].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, des maquisards s'y établissent et des gens venus de villages voisins s'y cachent[réf. nécessaire].
Entre 1973 et 2000, le terrain sur lequel se trouvaient les ruines du vieux village a été acheté par le docteur Paul Vuillard et reconstruit sous sa direction avec ses amis. La propriété a été revendue en 2000 à une société civile coopérative[22][source insuffisante]. Les maisons, qui étaient des gîtes, sont redevenues des maisons d'habitation. Une partie du village est privatisée et interdite à la circulation[réf. nécessaire].
Politique et administration
modifierTendance politique et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].
En 2021, la commune comptait 5 habitants[Note 1], en évolution de −75 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierSanté
modifierManifestations culturelles et festivités
modifierLoisirs
modifier- Randonnées[1].
Sports
modifierMédias
modifierCultes
modifierLe dernier prêtre de Pommerol décéda en 1898. Pommerol fut ensuite desservie par les prêtres de Cornillac, la commune voisine, jusqu'en 1928. Dans les années 1970-1980, ce fut le chanoine Vandamme de Rémuzat qui venait dire la messe[réf. nécessaire].
Économie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : bois, pâturages (ovins, caprins), lavande[1].
Tourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Chapelle ruinée de Saint-Roman (ancien prieuré)[1].
- Église du XIXe siècle[1] (Saint-Pierre[réf. nécessaire]).
- Le Châtelas : tentative privée de reconstruction d'un château de 1973 à 2000 sur le site du castrum perché[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Pomairol, troubadour du XIIIe siècle en est originaire[réf. nécessaire][29].
- Famille Dessales, avant l'abandon du village au début du XXe siècle[réf. nécessaire].
- Éric Vuillard, Prix Goncourt 2017 pour L'Ordre du jour. Fils du docteur Paul Vuillard, il a habité Pommerol pendant son enfance et son adolescence lorsque son père a entrepris la reconstruction du village[30].
- Gos et son fils sont les auteurs de la série de bandes dessinée: Le Scrameustache. La majeure partie de l'action de l'album no 28 intitulé « Les Petits Gris » se passe dans le village de Pommerol. En préface, Gos rend hommage au docteur Vuillard.
Héraldique, logotype et devise
modifierBlason | De gueules à la croix d'argent, chargée de cinq coquilles de sable[31]. |
|
---|---|---|
Détails |
Annexes
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Pommerol sur le site de l'Institut géographique national (archive) / page archivée depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
- Randonnée autour de Pommerol
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Pommerol.
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 280 (Pommerole, ruisseau).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pommerol et Rosans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rosans », sur la commune de Rosans - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rosans », sur la commune de Rosans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 279 (Pommerol).
- Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, Éd. du Beffroi, 2002, page 618.
- Glory, André, « La grotte des Sarrasins ou grotte écrite à Pommerol (Drôme) », Bulletin de la Société préhistorique française, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 65, no 3, , p. 88–91 (DOI 10.3406/bspf.1968.8996, lire en ligne , consulté le ).
- http://www.etudesdromoises.com/pages/pages_revue/resumes_d_articles/baume_ecrite.htm
- http://www.lauragais-patrimoine.fr/BIBLIOTHEQUE/SURVIVANCE-L.GRATTE/032-DROME.pdf.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 401 (Saint-Roman).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 360 (Saint-Roman).
- Source : les actuels associés
- Archives de Pommerol.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jean-Yves Royer, « Troubadours et Chevaliers des Baronnies », Les Baronnies au Moyen Âge, Les Alpes de Lumière, n° 123, , p. 36-41.
- « HAUTES-ALPES / DROME. L’histoire rosanaise d’Éric Vuillard », sur ledauphine.com (consulté le ).
- « 26245 Pommerol (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Charles d'Hozier, Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696, vol. 29 : Provence, 1re partie, , 1044 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 298.