Palluel
Palluel est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Palluellois. La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.
Palluel | |||||
L'église Notre-Dame de la Visitation. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC Osartis Marquion | ||||
Maire Mandat |
Thierry Gilleron 2022-2026 |
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Code postal | 62860 | ||||
Code commune | 62646 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Palluellois | ||||
Population municipale |
566 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 204 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 16′ 05″ nord, 3° 05′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 34 m Max. 60 m |
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Superficie | 2,77 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Arleux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bapaume | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Le peintre et graveur Jean-Baptiste Camille Corot a immortalisé certains paysages de la commune.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLocalisée dans le sud du département du Pas-de-Calais, entre Cambrai et Douai, et limitrophe du département du Nord, Palluel est un bourg rural de la vallée de la Sensée située à 13 km au sud-est de la commune de Vitry-en-Artois et à 27 km à l'est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de trois communes, dont une, Arleux, dans le département du Nord. Les communes limitrophes sont Arleux, Écourt-Saint-Quentin et Oisy-le-Verger.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 2,77 km2 ; son altitude varie de 34 à 60 m[1].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par cinq cours d'eau :
- la rivière la Sensée, d'une longueur de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[3] ;
- l'Agache, d'une longueur de 11,54 km, qui prend sa source dans la commune d'Inchy-en-Artois et finit sa course dans la commune[4] ;
- l'Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin, d'une longueur de 6,33 km, qui prend sa source dans la commune de Saudemont et se jette dans l'Agache au niveau de la commune d'Écourt-Saint-Quentin[5] ;
- le canal Malderrez, d'une longueur de 2,65 km, qui prend sa source dans la commune d'Arleux et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Écourt-Saint-Quentin[6] ;
- le canal du Nord, canal ou chenal navigable de 75,56 km, qui prend sa source dans la commune de Rouy-le-Grand et se jette dans la Somme Canalisée au niveau de la commune de Biaches[7].
On trouve également de nombreux plans d'eau et étangs, propices à la pratique de la pêche et à la détente. À proximité des plans d'eau ont été aménagés des cabanons et des mobiles-homes habités toute l'année.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinoy à 6 km à vol d'oiseau[10], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,9 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 ha constitué d'étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles[14] ;
- le marais d’Aubigny et de Brunemont, d’une superficie de 306 ha et d'une altitude variant de 34 à 48 mètres. C'est un complexe marécageux typique de la vallée de la Sensée avec, en bordure des étangs, de belles végétations[15] ;
- le bois du Quesnoy à Oisy-le-Verger, d’une superficie de 186 ha et d'une altitude variant de 41 à 67 mètres. Cette ZNIEFF est constituée d'un bois sur sables dont la partie centrale est occupée par une carrière en activité[16].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF s’étend sur plus de 20 km depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[17].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Espèces faunistiques et floristiques
modifierL’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[18].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Palluel est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arleux[Note 5], une agglomération inter-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[Insee 2],[Insee 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[Insee 3]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[Insee 4],[Insee 5].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,5 %), zones humides intérieures (22,5 %), eaux continentales[Note 8] (13,1 %), zones urbanisées (11,5 %), prairies (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), forêts (0,4 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 323, alors qu'il était de 307 en 2013 et de 299 en 2008[Insee 6].
Parmi ces logements, 80,2 % étaient des résidences principales, 15 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements[Insee 7].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Palluel en 2018 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (15 %) supérieure à celle du département (6,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[Insee 8].
Typologie | Palluel[Insee 6] | Pas-de-Calais[Insee 9] | France entière[Insee 10] |
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Résidences principales (en %) | 80,2 | 86 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 15 | 6,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,8 | 7,6 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par les routes départementales D 13, D 21 et D 65.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Paluel en 1140 ; Paluhel en 1160 ; Paluiel, Pallueel au XIIIe siècle ; Paluyel en 1326 ; Pailluiel au XIVe siècle ; Palueil en 1720 ; Palwel, Palwez en 1765 ; Pallué au XVIIIe siècle ; Paluez en 1790[20] ; Palluel en 1793 et depuis 1801[1].
Toponyme qui est issu du latin paludis, diminutif de palu, nom topographique signifiant « marais »[21].
Histoire
modifierPalluel est un village dévasté par une tornade le . Son intensité, a priori non confirmée, serait de F5 dans l'échelle de Fujita améliorée selon Keraunos, soit des vents > à 320 km/h. Il est cependant difficile d'en être sûr vu le manque d'expérience des observateurs en France à propos de ce genre de phénomène et de leur rareté, même aux États-Unis[22].
Cette tornade fut l'une des plus importantes jamais observées en France depuis au moins 1850 et a fait 7 morts et 72 blessés.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[Insee 11].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et totalise 42 651 habitants en 2021[Insee 11].
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton de Bapaume[Insee 11].
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[23].
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEspaces publics
modifierLa commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine, qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.)[29].
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Palluellois[30].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2021, la commune comptait 566 habitants[Note 9], en évolution de +2,35 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 279 hommes pour 287 femmes, soit un taux de 50,71 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
modifierSentier de randonnée
modifierLe sentier de grande randonnée GR 121, reliant Wavre, en région Région wallonne (Belgique) à Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais (France), traverse le territoire de la commune[35].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMonument historique
modifier- La croix de grès, dans le cimetière. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [36].
Autres lieux et monuments
modifier- Le site d'écluse no 1, répertorié comme patrimoine architectural dans la base Mérimée[37].
- L'église Notre-Dame de la Visitation.
- Le monument aux morts[38].
- Le pigeonnier.
-
Le monument aux morts.
-
Le pigeonnier.
La commune dans les arts
modifierLe peintre et graveur Jean-Baptiste Camille Corot réalise quelques unes de ses œuvres dans la commune.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | Tiercé en pairle renversé : au1) d'or à trois pommes feuillées d'or, au 2) de sinople à un canard contourné volant d'or, au 3) d'azur à un brochet d'or ; au pairle renversé diminué d'argent brochant sur la partition ; sur le tout un écu en bannière rectangulaire de sable chargé de trois nèfles d'or appointées en pairle[39]. |
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Détails | Le blasonnement donné par différentes sources[40] sont en conflit avec ce qui est affiché sur le site de la commune, savoir le canard est dit essorant et la banière n'est pas dite rectangulaire.e adopté en 1988 |
Pour approfondir
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
modifier- Dossier de la commune sur la base nationale sur l'intercommunalité (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 10], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 11], [lire en ligne]
- « Palluel » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Arleux comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arleux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Palluel ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Palluel » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Palluel - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Palluel - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Pas-de-Calais » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Palluel (62646) », (consulté le ).
Autres sources
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Agache (E1560840) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin (E1560900) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal Malderrez (E1560820) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal du Nord (----0472 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Palluel et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Cambrai-Epinoy » (commune d'Épinoy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « ZNIEFF 310007251 - marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013261 - Marais d’Aubigny et de Brunemont », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310014512 - Bois du Quesnoy à Oisy-le-Verger », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, (ISBN 2600001336), p. 1096.
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- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- C. L. C., « Le maire de Palluel, Jean-François Lemaire, est décédé : Jean-François Lemaire, s’est éteint lundi à l’âge de 68 ans, victime d’un infarctus à son domicile. Maire de la commune depuis 2001, il était vice-président de la communauté de communes Osartis-Marquion », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- C. L. (CLP), « Bilan du maire à Palluel - J.-F. Lemaire : une école confortée, des équipements sportifs, un béguinage en projet : Élu depuis 1983 et premier magistrat de la commune depuis 2001, Jean-François Lemaire se représentera en mars 2014 pour un sixième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Palluel : Le nouveau maire est Jean-François… Lemaire : Seul candidat au poste majoral, Jean-François Lemaire, rempile pour un nouveau mandat. Depuis 2001, Jean-François Lemaire s’est efforcé d’améliorer la qualité de vie dans ce village de la Sensée (562 habitants), au bord des étangs », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Palluel, commune qui pourrait croître significativement avec un béguinage (cent logements) : Avec un nom comme le sien, Jean-François Lemaire, 61 ans, ingénieur fraîchement retraité depuis quelques semaines, ne pouvait qu’être maire de Palluel ! Il expose ses priorités pour son mandat en cours », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- C. L. C., « Nouveau maire de Palluel, Thierry Gilleron a la « tâche difficile » de succéder à Jean-François Lemaire », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Palluel devient village patrimoine », sur La Voix du Nord, (consulté le )
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le GR 121 », sur gr-infos.com (consulté le ).
- « La Croix de grès », notice no PA00108372, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « site d'écluse », notice no IA62005246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- https://armorialdefrance.fr/documents/SI/PALLUEL-62-01.JPG blasonnement selon dessin.
- Armorial de France, p. 15881