Nouvelle-Église

commune française du département du Pas-de-Calais

Nouvelle-Église est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants de la commune sont appelés les Nouvellois. La commune est membre de la communauté de communes de la Région d'Audruicq.

Nouvelle-Église
Nouvelle-Église
La mairie.
Blason de Nouvelle-Église
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté de communes de la Région d'Audruicq
Maire
Mandat
Patrick Way
2020-2026
Code postal 62370
Code commune 62623
Démographie
Gentilé Nouvellois
Population
municipale
709 hab. (2021 en évolution de +14,17 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 55′ 33″ nord, 2° 03′ 18″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 5 m
Superficie 9,07 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marck
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Nouvelle-Église
Liens
Site web nouvelleeglise.fr

Géographie

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Localisation

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Localisée dans le nord du département du Pas-de-Calais, Nouvelle-Église est une commune rurale située à 6 km au nord-nord-ouest de la commune d’Audruicq, dont elle est limitrophe, et à 16 km à l'est de la commune de Calais (chef-lieu d'arrondissement).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes. Les communes limitrophes sont Oye-Plage, Audruicq, Nortkerque, Offekerque et Vieille-Église.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 9,07 km2 ; son altitude varie de 1 à 5 mètres[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le canal de Calais, d'une longueur de 32,51 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Pierre-Brouck, dans le département du Nord, et se jette dans la Manche au niveau de la commune de Calais[3], par le Vinfil, cours d'eau naturel non navigable de 6,38 km, qui prend sa source dans la commune de Vieille-Église et se jette dans le canal de Marck au niveau de la commune d'Ardres[4], et par la rivière d'Oye, d'une longueur de 13,52 km, qui prend sa source dans la commune de Marck et se jette dans l'Aa canalisée au niveau de la commune de Gravelines[5].

 
Réseau hydrographique de Nouvelle-Église[Note 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Marck à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

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L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[12].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Nouvelle-Église est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle est située hors unité urbaine[Insee 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[Insee 2]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[Insee 3],[Insee 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (98,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), zones urbanisées (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

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À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[14].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Herewegh, Herwega (1100) ; Herawega en 1132 ; Herwoghe, Herewogehem, Herewoge en 1244 ; Herewoughe en 1260 ; Hereweghe en 1263 ; Herewerghe en 1302 ; Herewoque en 1387 ; Harrawaye now called Newkirke, Newkirk en 1556 ; Neufveglise en 1583 ; Nouvel-Église, autrefois Niew-Kerque en 1739 ; La Barrière pendant la Révolution[15] ; Douvelle Eglise en 1793 et Nouvelle-Église depuis 1801[1].

Nieuw(e)kerke en flamand[16].

Une chapelle a été fondée au IXe siècle. Elle était rattachée à la paroisse de Vieille-Ville. Nouvelle-Église fut d'abord appelé Herewegh en 1100[17], c'est-à-dire « La grande route », au début du XIIe siècle, du fait de sa position sur cet ancien chemin. Puis ce fut l'arrivée des Anglais dans la contrée. Ceux-ci rebaptiseront cette commune tout d'abord Harrawaye puis en 1556 Newkirk[17], à l'origine du toponyme actuel.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de La Barrière (loi de brumaire an II)[1].

Histoire

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Une chapelle a été fondée au IXe siècle. Elle était rattachée à la paroisse de Vieille-Ville.

À l'arrivée des Anglais dans la contrée, dans l'espoir sans doute de se maintenir plus sûrement en ce pays, ils y firent construire plusieurs forteresses, dont une fut nommée le fort Bâtard, sur le territoire de Newkirk, sur la rive droite du canal de Saint-Omer à Calais.

En 1634, les Espagnols, maîtres alors de Gravelines et de Bourbourg, s'emparèrent du fort Bâtard et en confièrent la garde à quarante hommes qui en furent évincés le 24 octobre par deux cents hommes de la garnison française de Marck et quatre cents de celle de Calais. L'abandon dans lequel était restée cette forteresse depuis la retraite des Anglais en 1558 en motiva le rétablissement en 1642, afin de garantir le pays contre les fréquentes invasions des Espagnols. À peine les travaux étaient-ils terminés que ces derniers, sous les ordres du général Francisco de Mello, la reprirent en 1643. Mais ils en furent presque aussitôt chassés par un détachement de l'armée du comte d'Harcourt, alors commandée par le marquis de la Ferté. Après la reddition de Saint-Omer en 1677, le fort fut rasé.

Nouvelle-Église est le chef-lieu de canton de cinq communes de 1789 à 1801, date à laquelle il est réuni à celui d'Audruicq.

Première Guerre mondiale

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Pendant la Première Guerre mondiale, en 1917, Nouvelle-Église est le siège d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front qui part de Nieuport, suit le cours de l'Yser un moment puis gagne les monts des Flandres, et traverse le département du Pas-de-Calais (Lille, certaines villes du bassin minier du Pas-de-Calais sont sous domination allemande) avant de gagner l'est de la France. Les communes faisant partie du commandement d'étapes sont Vieille-Église, Guemps, Nortkerque, Saint-Folquin, Les Attaques, Offekerque, Saint-Omer-Capelle, Coulogne, Sainte-Marie-Kerque[18], Balinghem, Marck., Ardres. En juillet 1917, Nouvelle-Église accueille une section sanitaire anglaise de 30 personnes sur son territoire[19].

Le 3 juillet 1917, deux cas de fièvre typhoïde (un enfant et la femme qui le soigne) se sont déclarés sur le commandement d'étapes; les malades ont été soignés par un médecin-major présent sur place[20]. En août 1917, un maréchal des logis de gendarmerie de Nouvelle-Église a arrêté un déserteur belge absent illégalement de son poste situé à Gravelines et l'a amené à Calais[21]; même chose le 2 septembre 1917[22].

Le 19 août 1917, l'équipe sanitaire a dû procéder à une désinfection à la suite de la découverte d'un cas d'angine diphtérique dans un local de cantonnement sur Nouvelle-Église[23]. Le 28 août 1917, une tempête a provoqué la chute de plusieurs arbres sur les routes, mais sans provoquer d'accident[24]. Le 31 août 1917, ce sont un peu plus de 11 000 hommes qui stationnent dans l'ensemble du commandement d'étapes[25].

Le 2 septembre 1917, un aéronef a fait une incursion dans le commandement d'étapes[22] et plusieurs avions ennemis ont été annoncés le 25 septembre 1917[26]. Le commandement d'étapes reçoit régulièrement ce genre d'information et donne en conséquence les consignes adaptées en matière d'extinction des lumières, ainsi les 2, 15, 22, 28 octobre, 7 novembre , etc.[27].

À partir de fin octobre 1917, l'activité du commandement d'étapes diminue sensiblement. Le 24 octobre, il reçoit l'ordre de prévoir la saisie des journaux Le Petit Bleu, journal de tranchées et L'Action française[28].

Le 1erdécembre 1917, il est transféré à Saint-Folquin, Nouvelle-Église dépendant alors de ce nouveau siège[29].

Le 19 janvier 1918, a été trouvé sur la commune un pigeon voyageur en état de décomposition. Ces oiseaux ayant été utilisés comme moyen de communication entre les troupes (Pigeons voyageurs de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale), on a soigneusement relevé les inscriptions indiquées sur les bagues portées par le volatile et les bagues ont été prises en charge par le chef de poste de gendarmerie de Nouvelle-Église[30].

Lorsqu'un raid aérien ennemi est annoncé, le responsable du commandement d'étapes fait prévenir toutes les communes qui font partie du groupe afin que soit appliquée la principale consigne donnée dans cette situation : masquer les lumières. Le 22 mars, ce responsable signale, il l'avait déjà fait le 21 janvier 1918, qu'il ne peut prévenir par téléphone trois communes : Nouvelle-Église, Guemps et Offekerque, et ne dispose donc d'aucun moyen efficace pour faire parvenir le signal. À la date du 22 mars, les sécheries de chicorée situées sur les trois communes ne fonctionnent plus, ce qui rend moins essentiel de pouvoir faire parvenir le message d'alerte[31].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Calais du département du Pas-de-Calais[Insee 5].

Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement de Saint-Omer pour intégrer l'arrondissement de Calais[32].

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté de communes de la Région d'Audruicq qui regroupe 15 communes et totalise 28 077 habitants en 2021[Insee 5].

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton de Marck[Insee 5].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la septième circonscription du Pas-de-Calais[33].

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Françoise Daulle-Honoré    
avant 1995 ? Donat Vanhaecke DVD  
mars 2001 En cours
(au 30 mai 2020)
Patrick Way   Ancien employé
Réélu pour le mandat 2014-2020[34],[35],[36]
Réélu pour le mandat 2020-2026[37]

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Nouvellois[38].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 709 habitants[Note 4], en évolution de +14,17 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
328332348346332336351353364
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
354392373382392350357328369
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
341350347349326349340356336
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
283291268276322343468486535
2017 2021 - - - - - - -
679709-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 45,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 9,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 350 hommes pour 338 femmes, soit un taux de 50,87 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
3,0 
75-89 ans
2,1 
6,2 
60-74 ans
7,9 
19,8 
45-59 ans
17,5 
26,8 
30-44 ans
24,8 
18,5 
15-29 ans
23,5 
25,8 
0-14 ans
24,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Taillé: au 1er d'or à la tour de sable, au 2e de sable à l'église d'or[44].
Détails
Adopté par la municipalité.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[45] :

  • H. Piers, Petites histoires du canton d'Audruicq, Aire-sur-la-Lys, Poulain, 1843.

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

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Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Nouvelle-Église ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a b et c « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Nouvelle-Église (62623) », (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de Calais (E41-0082) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vinfil (E4110710) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière d'Oye (E4390600) » (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Nouvelle-Église et Marck », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Calais-Marck » (commune de Marck) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Calais-Marck » (commune de Marck) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  15. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  16. roepstem.net - vlaanderen
  17. a et b Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 280.
  18. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  19. Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p.14, lire en ligne.
  20. Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p.5, lire en ligne.
  21. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 41, lire en ligne.
  22. a et b Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 66, lire en ligne.
  23. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 51, lire en ligne.
  24. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 61, lire en ligne.
  25. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 63, lire en ligne.
  26. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 88, lire en ligne.
  27. Commandement d'étapes de Nouvelle-Église, à différentes pages correspondant aux dates indiquées, lire en ligne.
  28. Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 118.
  29. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  30. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 50, lire en ligne.
  31. Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 111, lire en ligne.
  32. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur pas-de-calais.gouv.fr, (consulté le ).
  33. « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  34. J.-M.D. (CLP), « Le maire de Nouvelle-Église, Patrick Way, entame son troisième mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  36. B. B. (CLP), « Nouvelle-Église : un terrain multi-sport et une piste d’athlétisme ont vu le jour : Comme elle l’a fait avec les bilans des maires avant les élections, « La Voix du Nord » propose une nouvelle série consacrée aux projets des maires. Quels engagements ? Quels grands chantiers ? Quelles priorités ? Réponses ici avec Patrick Way, maire de Nouvelle-Église », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  38. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  43. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
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