Nourard-le-Franc

commune française du département de l'Oise

Nourard-le-Franc est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Nourardais et les Nourardaises.

Nourard-le-Franc
Nourard-le-Franc
L'église Saint-Vaast.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Sylvie Soudet
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60468
Démographie
Gentilé Nourardais, Nourardaises
Population
municipale
300 hab. (2021 en évolution de −14,04 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 58″ nord, 2° 22′ 29″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 176 m
Superficie 11,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Nourard-le-Franc
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Nourard-le-Franc
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Nourard-le-Franc
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Nourard-le-Franc

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes de Nourard-le-Franc.

Nourard-le-Franc est une commune située à 71 km au nord de Paris, 22 km à l'est de Beauvais, 34 km à l'ouest de Compiègne et à 44 km au sud d'Amiens[1].

Elle est traversée par le méridien de Paris, matérialisé depuis l'an 2000 par la méridienne verte.

Communes limitrophes

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Topographie et géologie

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La commune de Nourard-le-Franc est établie plateau picard, à l'origine de plusieurs vallées sèches (Vallée Collot, Fond du Bois, Vallée Saurette) orientées vers le sud-ouest. Le creusement du plateau par ces fonds a créé un dénivelé d'environ 70 mètres entre le point culminant du territoire au nord-est localisé à 179 mètres par une borne géodésique au bois de la Sablonnière, et le point le plus bas au sud, à 109 mètres dans le fond du bois à la limite avec Le Mesnil-sur-Bulles. Le village est situé entre 143 et 163 mètres d'altitude, la ferme de Busmaubert à 166 mètres, le bois de Mont à 164 mètres[2]. Nourard-le-Franc se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].

Les différents écoulements empruntant les vallées sèches et les talwegs s'orientent vers le bassin versant de la Brêche, sous affluent de la Seine par l'Oise.

La commune est équipée de son propre château d'eau ainsi que d'une station de pompage hydraulique.

À l'instar des villages de la région, le territoire conserve plusieurs mares, l'une dans le village à l'angle des rues de Beauvais et de la Belle levée, la seconde à la ferme de Busmaubert[2]. Les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[5].

 
Réseau hydrographique de Nourard-le-Franc[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels

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Hormis les espaces bâtis couvrant 27 hectares pour 2 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 84 % d'espaces cultivés sur 960 hectares et 22 hectares de vergers et de prairies. La commune possède enfin 12 % d'espaces boisés sur plus de 137 hectares, composés par le bois de Mont et le bois des Pentes au sud, le bois de Busmaubert et le bois Ragon au nord-ouest ensemble auquel on peut ajouter un important bosquet au nord du village[12],[2].

Le larris du bois de Mont, à l'extrémité occidentale de cet espace naturel constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du réseau de coteaux crayeux du Beauvaisis[13]. L'ensemble de ce bois est également classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1[14] et forme un corridor écologique potentiel pour de nombreuses espèces animales[15].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Nourard-le-Franc est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[17]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,3 %), forêts (9,2 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits

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Hormis le chef-lieu, la ferme de Busmaubert à l'ouest demeure le seul écart habité sur la commune[2].

Voies de communications et transports

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La commune est desservie par deux routes départementales, la D 94 et la D 938. La route départementale 938, ancienne RN 38 reliant Beauvais à La Fère dans l'Aisne par Saint-Just-en-Chaussée est le principal axe routier transitant sur le territoire. Il traverse le village par les rues de Beauvais et Laurent. La route départementale 94, de Bresles à Mory-Montcrux du nord au sud coupe la D938 au niveau du cimetière communal. Une route communale rejoint également Le Quesnel-Aubry en passant par la ferme de Busmaubert[2].

La gare SNCF la plus proche est celle de gare de Saint-Just-en-Chaussée à 4 km à l'est, sur la ligne Paris-Amiens[1].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 613 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[21].

En 2017, la commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[22].

Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6823) relie le village aux communes voisines de Catillon-Fumechon, Le Mesnil-sur-Bulles et du Plessier-sur-Bulles[21].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 19 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 56 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Le sentier de grande randonnée GR 124, de Cires-lès-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse la commune du nord au sud par la ferme de Busmaubert[2].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Nouerastum (1124) ; Noëraz (1124) ; Nuerast (vers 1145) ; Noerast (vers 1150) ; ad monasterium noerasti (1181) ; Noerart (1189) ; Nuscurticus (1194) ; Nouerart (XIIe) ; de Noeratio (1206) ; Noerasum (1206) ; Noerath (1209) ; dominus de Nourraz (1219) ; Aelidis de Nooraz (1232) ; Estenes de Nouourat (1260) ; Noerat (1262) ; Nouerat (1292) ; Nourat (vers 1320) ; eccl. de Nourrart cum capelle (XVe) ; Nourart (1520) ; Nourar (1520) ; Nourare (1540) ; Norart le franc (1586) ; Nourard (1667) ; Nourard-le-franc (1840) ; Nourard-le-Franc (XIXe)[23].

Le toponyme, orthographié au Moyen Âge Nouerastum, proviendrait de l'oïl[24] ou du picard noier « noyer » et serait l'indication d'un lieu planté de noyers[25], avec le suffixe péjoratif latin -aster, on aboutit à de « vilains noyers ».

Nourard reçut le surnom de "Franc", parce qu'il relevait de la châtellenie de Pontoise, située dans l'Ile- de-France, tandis que tous les lieux voisins ressortissaient des juridictions du Beauvaisis qui dépendait anciennement de la Picardie[26].

Histoire

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Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 29 à 84 communes.

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1989.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1957[28] après 1957 Louis Dumont    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 2014 Yves Marielle[29] UDF[30] Dessinateur à la DDE
4 avril 2014[31] juillet 2014 Marie-Claude Kapela   Enseignante retraitée
Démissionnaire[32]
26 juillet 2014[33] En cours
(au 21 mars 2018)
Sylvie Soudet   Adjoint administratif à Cambronne-les-Clermont

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 300 habitants[Note 3], en évolution de −14,04 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
405415451445504513501520500
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
501484477422437353373367339
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
322332330290270223230260249
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
227217250242269326358363332
2014 2019 2021 - - - - - -
348311300------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 161 hommes pour 164 femmes, soit un taux de 50,46 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,6 
11,0 
75-89 ans
9,6 
16,9 
60-74 ans
17,2 
26,6 
45-59 ans
25,5 
18,2 
30-44 ans
14,6 
12,3 
15-29 ans
10,8 
13,6 
0-14 ans
21,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Vaast : il s'agit de l'ancienne chapelle d'un château aujourd'hui transformé en ferme.
  • Chapelle Saint-Vaast, dans le cimetière.
  • Trouée de Nourard, point de vue

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Nourard-le-Franc » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d e et f « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 10 août 2017)..
  3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Nourard-le-Franc »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Nourard-le-Franc », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Nourard-le-Franc et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
  14. « Larris et bois de Mont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  15. « Carte des corridors écologiques potentiels au Plessier-sur-Bulles », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Nourard-le-Franc ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Transports en commun à Nourard-le-Franc », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  22. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Oise Mobilité (consulté le ).
  23. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 398.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1234.
  25. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 19.
  26. « Nourard-le-Franc », sur eglisesdeloise.com (consulté le ).
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. « Noces de diamant pour Evelyne et Gilbert Gossent », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3442,‎ , p. 25 « C'est le 2 février 1957 à la mairie de Nourard-le-Franc que Louis Dumont (maire de l'époque) a unis pour le meilleur et pour le pire, selon la formule consacrée, Evelyne Sthal et Gilbert Gossent ».
  29. Armand Prin, « Y. Marielle est décédé le 16 mars « Je ne veux pas qu'on oublie mon mari » : L'ancien maire du village s'est éteint à l'âge de 72 ans. Son épouse lui rend un vibrant hommage. Elle en dévoile des facettes peu connues », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3490,‎ , p. 16 « Yves Marielle a été un maire controversé. Son épouse ne cache pas : « Les polémiques qui ont existé à Nourard- le- Franc l'ont beaucoup fait souffrir. Car, s'il avait l'air d'un roc, c'était quelqu'un de très sensible. » Françoise Marielle défend un bilan très positif à la tête de Nourard- leFranc, bilan marqué par de nombreuses réalisations : « Il a quand même concrétisé 70 projets. Il a transformé le village avec la création d'une salle multifonctions, d'une bibliothèque, d'un terrain multisports, il a fait rénover l'école… Pour sa veuve, « Yves Marielle était un homme passionné et généreux. Il faisait beaucoup pour les habitants du village. Il a donné du travail à des gens… ll voulait le bonheur des habitants » ».
  30. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
  31. « Marie-Claude Kapela à la tête du village », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284,‎ , p. 20 (ISSN 1144-5092).
  32. Armand Prin, « Nourard-le-Franc : Marie- Claude Kapela quitte également son siège », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3299,‎ , p. 20.
  33. Céline Sol, « Sylvie Soudet, nouveau maire, souhaite réinstaller un climat serein : Après la démission de Marie-Claude Kapela, qui reste conseillère, les élus ont choisi samedi leur nouveau maire : Sylvie Soudet, par 10 voix « pour » et un vote blanc. », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3300,‎ , p. 13.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Nourard-le-Franc (60468) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).