Nackawic
Nackawic est une ancienne ville du Nouveau-Brunswick, au Canada. Elle fait partie de la ville de Nackawic-Millville depuis la réforme de la gouvernance locale du .
Nackawic | ||
La plus grande hache du monde | ||
Administration | ||
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Pays | Canada | |
Province | Nouveau-Brunswick | |
Subdivision régionale | York | |
Statut municipal | Ville | |
Maire Mandat |
Ian Kitchen 2021-2025 |
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Constitution | 1976 | |
Dissolution | ||
Démographie | ||
Population | 962 hab. (2021 ) | |
Densité | 115 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | 45° 59′ 47″ nord, 67° 14′ 22″ ouest | |
Superficie | 840 ha = 8,40 km2 | |
Divers | ||
Langue(s) | Anglais (officielle), français (minorité) | |
Fuseau horaire | UTC-4 | |
Indicatif | +1-506 | |
Code géographique | 1310054 | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : Nouveau-Brunswick
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Liens | ||
Site web | www.nackawic.com | |
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Toponyme
modifierNackawic est nommé ainsi d'après le ruisseau Nackawic, un nom dérivé du malécite Nelgwaweegekm, signifiant probablement ruisseau droit, faisant référence au fait que le ruisseau, avant l'ouverture du barrage de Mactaquac, était parallèle avec le fleuve dans la fin de son cours[1].
Géographie
modifierSituation
modifierNackawic est situé sur la rive gauche (nord) du fleuve Saint-Jean, au niveau du coude de Nackawick. La ville surplombe l'anse Culliton, qui est en fait l'estuaire de la rivière Nackawic dans le fleuve.
Nackawick possède un territoire presque rectangulaire, orienté nord sud, bordé par le fleuve à l'est et par Southampton sur les autres côtés. Queensbury se trouve à environ 400 mètres au nord-est et sur l'autre rive du fleuve se trouve Dumfries.
Transport
modifierNackawic est situé le long de la route 105, qui relie la ville à Fredericton par l'est et à Woodstock par l'ouest. Un pont le long de cette route permet de franchir l'anse Culliton. Le pont de Hawkshaw, au sud, traverse le fleuve et permet d'accéder à la route 2, qui est un tronçon de la route transcanadienne. Le chemin Rossville, à l'ouest, ainsi que la route 603, au nord, sont des voies secondaires d'accès à partir de Southampton. Nackawic n'est plus desservi par le chemin de fer et bien que le fleuve soit navigable, le barrage de Mactaquac, en aval, empêche tout déplacement sur de longues distances.
Quartiers
modifierLa ville compte trois quartiers. Nackawic à proprement parler est situé au niveau du Coude et sur la rive sud de l'anse Culliton. Ce quartier regroupe la plupart des résidences, commerces et services. Au nord de l'anse Culliton se trouvent quelques maisons éparses, l'usine de pâte et papiers et le terrain de golf. Au sud de Nackawic et au bord du fleuve se trouve le hameau de Southampton, qui s'étend en partie vers l'ouest dans la paroisse de Southampton.
Logement
modifierLa ville comptait 444 logements privés en 2006, dont 405 occupés par des résidents habituels[2]. Parmi ces logements, 76,5 % sont individuels, 2,5 % sont jumelés, 0,0 % sont en rangée, 0,0 % sont des appartements ou duplex et 12,3 % sont des immeubles de moins de cinq étages. Enfin, 8,6 % des logements entrent dans la catégorie autres, tels que les maisons-mobiles[3]. 80,2 % des logements sont possédés alors que 19,8 % sont loués[3]. 84,0 % ont été construits avant 1986 et 9,9 % ont besoin de réparations majeures[3]. Les logements comptent en moyenne 7,2 pièces et 0,0 % des logements comptent plus d'une personne habitant par pièce[3]. Les logements possédés ont une valeur moyenne de 103 903 $, comparativement à 119 549 $ pour la province[3].
Histoire
modifierL'école élémentaire Nackawic et l'école secondaire de deuxième cycle Nackawic sont toutes deux inaugurées en 1967[4]. L'école intermédiaire Nackawic ouvre quant à elle ses portes en 1971[4]. Nackawic est constitué en municipalité le [5]. La caserne de pompiers est détruite dans un incendie vers la mi juillet 2014[6].
Démographie
modifierLa ville comptait 977 habitants en 2006, soit une baisse de 6,2 % en cinq ans[2]. Il y a en tout 405 ménages dont 340 familles[3]. Les ménages comptent en moyenne 2,4 personnes tandis que les familles comptent en moyenne 2,5 personnes[3]. Les ménages sont composés de couples avec enfants dans 21,0 % des cas, de couples sans enfants dans 45,7 % des cas et de personnes seules dans 17,3 % des cas alors que 16,0 % des ménages entrent dans la catégorie autres (familles monoparentales, colocataires, etc.)[3]. 70,6 % des familles comptent un couple marié, 13,2 % comptent un couple en union libre et 16,2 % sont monoparentales[3]. Dans ces dernières, une femme est le parent dans tous les cas[3]. L'âge médian est de 43,2 ans, comparativement à 41,5 ans pour la province[2]. 82,6 % de la population est âgée de plus de 15 ans, comparativement à 83,8 % pour la province[2]. Les femmes représentent 50,3 % de la population, comparativement à 51,3 % pour la province[2]. Chez les plus de 15 ans, 21,6 % sont célibataires, 61,1 % sont mariés, 3,7 % sont séparés, 6,8 % sont divorcés et 5,2 % sont veufs[2]. De plus, 9,3 % vivent en union libre[2].
Les autochtones représentent 1,5 % de la population[10] et aucun habitant fait partie d'une minorité visible[11]. Les immigrants représentent 1,0 % de la population et il n'y a aucun résident permanent[12]. Tous les habitants sont citoyens canadiens et 92,6 % des habitants âgés de plus de 15 ans sont issus de familles établies au Canada depuis trois générations ou plus[12]. En date du , 84,0 % des gens avaient la même adresse depuis au moins un an alors que 7,2 % habitaient auparavant ailleurs dans la même ville, que 8,8 % habitaient ailleurs dans la province et que personne habitait ailleurs au pays ou dans le monde[13]. À la même date, 56,5 % des gens avaient la même adresse depuis au moins cinq ans alors que 15,1 % habitaient auparavant ailleurs dans la même ville, que 24,2 % habitaient ailleurs dans la province, que 4,3 % habitaient ailleurs au pays et que personne habitait ailleurs dans le monde[13].
La langue maternelle est le français chez 13,3 % des habitants, l'anglais chez 86,7 % alors que 1,0 % sont allophones[14]. Les deux langues officielles[Note 1] sont comprises par 22,6 % de la population alors que 1,0 % des habitants sont unilingues francophones, que 76,4 % sont unilingues anglophones et que personne ne connaissent ni l'anglais ni le français[14]. Le français est parlé à la maison par 7,7 % des gens, l'anglais par 91,3 %, les deux langues officielles par 1,5 %[14]. Le français est utilisé au travail par 1,9 % des travailleurs et l'anglais par 96,2 % alors que 2,9 % des travailleurs utilisent les deux langues officielles[15].
Évolution des langues maternelles (en %) | Légende | |
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Sources[16],[17],[14]: |
Chez les plus de 15 ans, 25,3 % n'ont aucun certificat, diplôme ou grade, 26,5 % ont uniquement un diplôme d'études secondaires ou l'équivalent et 47,5 % détiennent aussi un certificat, un diplôme ou un grade post-secondaire; par comparaison, ces taux s'élèvent à 29,4 %, 26,0 % et 44,6 % au provincial[18]. Parmi la même tranche d'âge, 14,2 % des gens possèdent un diplôme d'un programme d'un an au CCNB ou l'équivalent, 21,0 % détiennent un diplôme d'un programme de trois ans au CCNB ou l'équivalent, 5,6 % ont un diplôme ou un certificat universitaire inférieur au baccalauréat et 6,8 % ont un certificat, un diplôme ou un grade universitaire plus élevé[18]. Parmi ces diplômés, 9,1 % sont formés en enseignement, aucun en arts ou en communications, 2,6 % en sciences humaines, aucun en sciences sociales ou en droit, 22,1 % en commerce, en gestion ou en administration, 3,9 % en sciences et technologies, 5,2 % en mathématiques ou en informatique, 23,4 % en architecture, en génie ou dans des domaines connexes, 3,9 % en agriculture, en ressources naturelles ou en conservation, 15,6 % en santé, parcs, récréation ou conditionnement physique, 13,0 % en services personnels, de protection ou de transport et aucun dans d'autres domaines[18]. Les diplômés post-secondaires ont terminé leurs études à l'extérieur du pays dans 2,6 % des cas[18].
Économie
modifierLe recensement de 2006 de Statistique Canada fournit aussi des données sur l'économie. Chez les habitants âgés de plus de 15 ans, le taux d'activité était alors de 58,0 %, le taux d'emploi était de 50,0 % et le taux de chômage était de 13,8 % ; à titre de comparaison, ceux de la province étaient respectivement de 63,7 %, 57,3 % et 10,0 %[19].
On dénombrait 10,8 % des emplois dans l'agriculture, la pêche et les autres ressources, 5,4 % dans la construction, 16,1 % dans la fabrication, aucun dans le commerce de gros, 12,9 % dans le commerce de détail, 6,5 % dans la finance et l'immobilier, 4,3 % dans la santé et les services sociaux, 6,5 % dans l'éducation, 10,8 % dans les services de commerce et 26,9 % dans les autres services[19].
Chez les personnes âgées de 15 ans et plus, 490 ont déclaré des gains et 715 ont déclaré un revenu en 2005[22]. 93,2 % avaient aussi déclaré des heures de travail non rémunérées[19]. Le revenu médian s'élevait alors à 22 915 $ avant et à 20 362 $ après impôt, comparativement à la moyenne provinciale de 22 000 $ avant et 20 063 $ après impôt; les femmes gagnaient en moyenne 4 471 $ de moins que les hommes après impôt, soit 15 891 $[22]. En moyenne, 61,2 % du revenu provenait de gains, 24,6 % de transferts gouvernementaux et 14,7 % d'autres sources[22]. 10,3 % de toutes les personnes dans les ménages avaient un faible revenu après impôt, une proportion montant à 17,8 % pour les moins de 18 ans[22].
Parmi la population active occupée, seulement 5,0 % des gens n'ont pas de lieu de travail fixe, et aucun d'entre eux ne travaille à domicile ou à l'extérieur du pays[23]. Parmi les travailleurs ayant un lieu de travail fixe, 44,0 % travaillaient en ville, 33,3 % travaillaient ailleurs dans le comté, 21,3 % travaillaient dans un autre comté et aucun ne travaillaient dans une autre province[23].
Entreprise Central NB, membre du Réseau Entreprise, a la responsabilité du développement économique[24].
Administration
modifierConseil municipal
modifierLe conseil municipal est formé d'un maire et de cinq conseillers généraux[5].
Le conseil municipal actuel est élu lors de l'élection quadriennale du [25].
Anciens conseils municipaux
Un conseil est formé à la suite de l'élection du [26]. Le conseiller Jamie Douglas Young est toutefois élu lors d'une élection partielle tenue le [27]. Le conseil municipal suivant est élu lors de l'élection quadriennale du [5]. Janet L. Caldwell quitte ensuite le conseil. Une élection partielle a lieu le suivant et Karen P. Howell est élue conseiller[5].
Mandat | Fonctions | Nom(s) |
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2012 - 2016 | Maire | Nancy A. Cronkhite |
Conseillers | Gail M. Farnsworth, Karen P. Howell, Jennifer Lynch Lamey, Doug J. Mercer, Brian E. Toole. |
Mandat | Fonctions | Nom(s) |
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2008 - 2012 | Maire | Rowena E. Simpson |
Conseillers | Brian Allison Grant, Karen P. Powell, Jacques Laroche, Paul P. Légère, Peter Seymour. |
Commission de services régionaux
modifierNackawic fait partie de la Région 11[28], une commission de services régionaux (CSR) devant commencer officiellement ses activités le [29]. Nackawic est représenté au conseil par son maire[30]. Les services obligatoirement offerts par les CSR sont l'aménagement régional, la gestion des déchets solides, la planification des mesures d'urgence ainsi que la collaboration en matière de services de police, la planification et le partage des coûts des infrastructures régionales de sport, de loisirs et de culture; d'autres services pourraient s'ajouter à cette liste[31].
Représentation et tendances politiques
modifierNackawic est membre de l'Union des municipalités du Nouveau-Brunswick[32].
Nouveau-Brunswick: Nackawic fait partie de la circonscription provinciale de York-Nord, qui est représentée à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick par Kirk MacDonald, du Parti progressiste-conservateur. Il fut élu pour la première fois lors de l'élection générale de 1999 puis réélu à chaque fois depuis, la dernière fois en 2010.
Canada: Nackawic fait partie de la circonscription électorale fédérale de Tobique—Mactaquac, qui est représentée à la Chambre des communes du Canada par Michael Allen, du Parti conservateur. Il fut élu lors de la 39e élection générale, en 2006, et réélu en 2008.
Vivre à Nackawic
modifierÉducation
modifierNackawic compte trois écoles publiques anglophones faisant partie du district scolaire #14. Les élèves fréquentent tout d'abord l'école élémentaire de la maternelle à la 5e année avant d'aller à l'école intermédiaire de la 6e à la 8e année et finalement à l'école secondaire jusqu'en 12e année. Toutes trois offrent un programme d'immersion française.
La ville est incluse dans le territoire du sous-district 10 du district scolaire Francophone Sud[33]. Les écoles francophones les plus proches sont à Fredericton alors que les établissements d'enseignement supérieurs les plus proches sont dans le Grand Moncton.
Nackawic possède une bibliothèque publique en milieu scolaire, à l'école secondaire. Nackawic possède aussi un poste d'Ambulance Nouveau-Brunswick et une caserne de pompiers.
Autres services
modifierLa ville possède un poste de la Gendarmerie royale du Canada. Il dépend du district 7, dont le bureau principal est situé à Woodstock. Il y a aussi un bureau de poste.
Les anglophones bénéficient des quotidiens Telegraph-Journal, publié à Saint-Jean, et The Daily Gleaner, publié à Fredericton. Ils ont aussi accès au bi-hebdomadaire Bugle-Observer, publié à Woodstock. Les francophones ont accès par abonnement au quotidien L'Acadie nouvelle, publié à Caraquet, ainsi qu'à l'hebdomadaire L'Étoile, de Dieppe.
Sport et parcs
modifierLa ville bénéficie du club de golf de Nackawic, un parcours de 9 trous. La ville dispose aussi d'un aréna. La plage de Nackawic est une plage d'eau douce non surveillée, disposant de toilettes, d'un terrain de jeu et d'une aire de pique-nique.
Le Jardin international est le principal parc de la ville.
Religion
modifierL'église St. John the Evangelist est une église anglicane. L'église Sts. Simon and Jude est une église catholique romaine faisant partie du diocèse de Saint-Jean.
Culture
modifierLangues
modifierSelon la Loi sur les langues officielles, Nackawic est officiellement anglophone[34] puisque moins de 20 % de la population parle le français[14].
Personnalités
modifier- Gordie Dwyer (né à Dalhousie en 1978), joueur de hockey dans la LNH ;
- Casey LeBlanc (né à Woodstock en 1987), chanteuse ;
- Robert B. Simpson (né à Miramichi en 1943), homme politique et maire.
Architecture et monuments
modifierLa plus grande hache du monde est située à Nackawic, sur l'allée Otis. Elle symbolise l'importance de l'industrie forestière pour la ville et la province[35].
Notes et références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Énergie, Mines et Ressources Canada, Ottawa, 1975, p. 195.
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Familles et ménages », sur Statistique Canada (consulté le ).
- [PDF] « Anglophone West », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Élections quadriennales municipales, le 14 mai 2012, Rapport du directeur général des élections municipales », sur Élections N.-B. (consulté le ).
- La Presse canadienne, « L’Hôtel de Ville de Millville a été détruit par le feu lundi », L'Acadie nouvelle, (lire en ligne, consulté le )
- « 1986 (2A) questionnaire abrégé des provinces aux municipalités », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 1996 - Nackawic - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Nackawic » (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Peuples autochtones », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Minorité visible », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Immigration et citoyenneté », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Mobilité et migration », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Langue », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Langue de travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 1996 - Nackawic - Population page 1 », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2001 - Nackawic - Population », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Scolarité », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 1996 - Nackawic - Revenu et travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2001 - Nackawic - Travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Revenu et gains », sur Statistique Canada (consulté le ).
- « Profils des communautés de 2006 - Nackawic - Lieu de travail », sur Statistique Canada (consulté le ).
- (en)« About Enterprise Central », sur Entreprise Central NB (consulté le ).
- « Les résultats non officiels des élections (2016-05-10) », sur Élections N.-B. (consulté le ).
- « Événements électoraux locaux de 2008 », sur Élections N.-B. (consulté le ).
- « Événements électoraux locaux de 2009 », sur Élections N.-B. (consulté le ).
- « Les communautés dans chacune des 12 Commissions de services régionaux (CSR) », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Conseils d'administration des commissions de services régionaux annoncés », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Gouvernance des nouvelles commissions de services régionaux », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Services obligatoires », sur Gouvernement du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- « Liste des zones », sur Union des municipalités du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- [PDF] « Francophone Nord-Ouest », sur Ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick (consulté le ).
- Canada, Nouveau-Brunswick. « Loi sur les langues officielles », art. 35, 36, 37, 38 [lire en ligne (page consultée le 15 mars 2011)].
- (en) « World's Largest Axe », sur Roadsideattractions.ca (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- (en) William F. Ganong, A Monograph of the Origins of the Settlements in New Brunswick, Ottawa, J. Hope, , 185 p.
- (en) Alan Rayburn, Geographical Names of New Brunswick, Ottawa, Énergie, Mines et Ressources Canada,