Musée Maison de Dante
Le musée Maison de Dante (en italien Museo Casa di Dante) est un lieu touristique créé en 1911 situé via Santa Margherita dans une demeure reconstruite dans le centre historique de Florence, lieu « prétendu » de la naissance du poète italien Dante Alighieri (1265-1321) à Florence en Toscane en Italie.
Type | |
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Ouverture | |
Surface |
200 m2, 200 m2 |
Visiteurs par an |
65 000 () |
Site web |
Collections |
Documents et objets copiés ou reconstitués de la vie de Dante Alighieri au Moyen Âge, reproduction d'œuvres d’art de Giotto, Fra Angelico, Andrea del Castagno, Ghirlandaio, Luca Signorelli, Raphaël, Michel-Ange ... |
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Protection |
Bien culturel italien (d) |
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Pays |
Italie |
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Commune | |
Adresse |
1 via Santa Margherita |
Coordonnées |
Historique
modifierEn 1910 la municipalité de Florence fait construire par l'architecte Giuseppe Castellucci un édifice selon les plans d'une demeure florentine du XIIIe siècle et la place fut créée lors de la démolition des bâtiments alentour, sur les lieux où se dressaient les habitations de la famille Alighieri. Lieu présumé (depuis 1910) où la tradition[1],[2] veut que Dante soit né en , dans le centre historique de Florence, entre la piazza del Duomo et la piazza della Signoria, le musée est ouvert en 1911, consacré à la vie et à l’œuvre de l’auteur de la Divine Comédie.
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Buste de Dante Alighieri
En 1994 le musée est rouvert au public sur trois niveaux avec l'exposition de nombreuses reproductions de documents et objets de l'époque de la vie de Dante au Moyen Âge. Une iconographie de Dante à travers les siècles est exposée, avec des copies d'œuvres d’art de Giotto, Fra Angelico, Andrea del Castagno, Ghirlandaio, Luca Signorelli, Raphaël, Michel-Ange...
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Sépulture (fausse) de Béatrice Portinari, église sainte Marguerite d'Antioche voisine.
La famille Portinari repose dans l'église voisine, famille de sa bien-aimée Béatrice Portinari, dont il chante l'amour dans Le Rime et dans la Vita nuova.
Notes et références
modifier- Notice du répertoire des édifices de la ville de florence
« La sensibilità ottocentesca e dei primi anni del Novecento riguardo al restauro era ben diversa da quella nostra, e il Castellucci fu forse il protagonista di quella maniera di intervenire, caratterizzata da azioni invasive, arbitrarie e irreversibili, che oggi vengono tanto deprecate. Gli interventi non di rado si trasformavano in una drastica selezione degli elementi da mantenere e da demolire, azzerando talvolta la stratificazione secolare negli edifici. Altre volte si procedeva a una vera e propria ricostruzione ex novo, con elementi più "immaginati" che filologicamente coerenti. »