Musée dauphinois
Le Musée dauphinois est un service culturel relevant du Département de l’Isère. Situé à Grenoble, ancienne capitale de la province du Dauphiné, il est chargé de la mémoire et de l’histoire de ce territoire (qui recouvrait les départements de l’Isère, de la Drôme et des Hautes-Alpes). Il s’appuie pour remplir cette mission sur les recherches conduites en histoire, en archéologie et en ethnologie.
Type |
Alpine Museum (en), musée régional (d), collection (en), musée ethnographique |
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Ouverture |
1906 (il y a 117 ans) |
Dirigeant |
Olivier Cogne[1] |
Surface |
4 500 m2 |
Visiteurs par an |
84 195 (2018)[3] |
Site web |
Collections |
Objets/ Documents liés au Dauphiné et aux Alpes françaises |
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Nombre d'objets |
100 000 objets, 160 000 photographies, 22 000 documents iconographiques, 1 400 films, 2 000 enregistrements sonores et 20 000 ouvrages |
Protection |
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Pays |
France |
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Commune | |
Adresse |
30, rue Maurice-Gignoux, 38031 Grenoble cedex 1 |
Coordonnées |
Créé en 1906, le Musée dauphinois est l’un des premiers musées de patrimoine régional en France (après le Musée Arlaten, fondé par Frédéric Mistral).
Installé sur les premières hauteurs de la Bastille, dominant la ville, il occupe un ancien couvent de visitandines (XVIIe siècle), Sainte-Marie d’en-Haut. L’ensemble de l’édifice (extérieurs et toitures) ainsi que la chapelle sont classés au titre des Monuments historiques ; le musée bénéficie du label « Musée de France ».
Ce musée a deux espaces d’exposition qui présentent une synthèse de l’histoire et des cultures alpines ainsi que des expositions temporaires, sur les sujets souvent en résonance avec l’actualité.
Historique du musée
modifierLe fondateur
modifierHippolyte Müller, érudit autodidacte, archéologue préhistorien et ethnologue, a rassemblé les premiers éléments qui deviendront les collections du Musée dauphinois. Reconnu par des préhistoriens, il bénéficie du soutien du professeur Arthur Bordier, qui lui obtient un poste de bibliothécaire à l’Ecole de médecine. Müller va conduire ses recherches sur le Dauphiné, privilégiant le domaine alpin de l’ancienne province. En plus des trouvailles archéologiques, il enrichit ses collections avec du matériel ethnographique, prélevé dans les communautés montagnardes (l'étude des sociétés traditionnelles françaises était l’objet du folklore davantage que de l'ethnologie)[4],[5].
Première installation du Musée dauphinois
modifierEn 1906, avec le soutien de personnalités grenobloises, Müller persuade la mairie de Grenoble de créer un musée, malgré la présence du musée des beaux-arts – bibliothèque et du muséum d’histoire naturelle. Cette nouvelle institution culturelle est installée dans la chapelle désaffectée de l’ancien couvent de Sainte-Marie-d’en-Bas. Sous la direction de Müller, premier conservateur du Musée dauphinois, les collections comprennent des éléments lapidaires de la période gallo-romaine, des trouvailles préhistoriques de ses propres fouilles et des objets issus des collectes conduites dans le domaine alpin du Dauphiné, notamment dans le Queyras. Le nom de Musée dauphinois lui est donné sur une suggestion de l’archiviste départemental, Auguste Prudhomme. Ce couvent situé au cœur de la vieille ville, rue Très-Cloîtres, avait été créé à la fin du XVIIe siècle pour l’ordre des Visitandines, trop à l’étroit à Sainte-Marie d’en-Haut[4]. Les photos du début du XXe siècle montrent bien l’absence de présentation de type muséographique (malgré la présence de quelques vitrines), mais au contraire une sorte d’accumulation ; le musée ne disposant pas de réserves. Le manque de place est évident[4],[5].
Un nouveau site pour le Musée dauphinois
modifierEn 1965, la nouvelle municipalité, conduite par Hubert Dubedout, envisage de déplacer le Musée dauphinois pour lui donner plus de place. Cette initiative est encouragée par l’administration des musées de France, représentée par George Henri Rivière, directeur du Musée national des Arts et Traditions populaires. Bernard Gilman (1931-2022), alors maire-adjoint chargé des affaires culturelles, supervise ce projet et nomme Marcel Boulin (1919-1983) comme conservateur professionnel pour diriger le musée. Depuis le décès de Müller en 1933, le musée avait été dirigé, entre autres, par Joseph Colomb, gendre de Müller, puis par Joseph Laforge, galeriste et antiquaire. Dans le cadre d’un vaste chantier d’urbanisme préparant Grenoble pour les Jeux olympiques d’hiver de 1968, le Musée dauphinois déménage dans l’ancien couvent de Sainte-Marie d’en-Haut. Cette période étant très favorable, le maire et son adjoint savent pouvoir compter sur d’importantes subventions, de l’État notamment[4],[5].
Nouvelles équipes
modifierLe musée est inauguré lors des Jeux olympiques par le ministre de la Culture, André Malraux, le 3 février 1968. Cependant, Bernard Gilman ne se contente pas des expositions organisées pour l’occasion, mais ira personnellement recruter un nouveau conservateur, alors en poste au Musée-château d’Annecy : Jean-Pierre Laurent (1927-2015). En fonction dès 1971, ce dernier entreprend une refonte quasi-totale de la présentation des collections. Sous l’expression « L’homme se retrouve », il oriente les expositions pour refléter les formes de vie des hommes et des femmes de la montagne. Il conquiert de nouveaux publics, en plaçant « les gens » au cœur de la démarche muséale avec des expositions telles que « Hache, ébénistes à Grenoble », « La main du gantier », « Enfants des montagnes », « Le Roman des Grenoblois » ou « Les chartreux, le désert et le monde ».
Laurent bénéficie du soutien de Charles Joisten (1936-1981), un collecteur des contes et récits légendaires des Alpes, et fondateur de la revue Le Monde alpin et rhodanien[6],[7].
En 1981, Jean Guibal et Jean-Claude Duclos, deux jeunes conservateurs, sont nommés pour succéder à Jean-Pierre Laurent (en 1987) et veiller à poursuivre son œuvre dans l’esprit qu’il avait donné à cette maison[4],[5].
La Conservation du patrimoine de l’Isère (CPI)
modifierÀ partir de 1992, le Musée dauphinois passe sous la tutelle du Conseil général de l’Isère (aujourd’hui Conseil départemental) et revoit son projet en conséquence. Déjà engagé dans le soutien des « petits » musées locaux, il systématise son aide technique, organise le dépôt de collections souvent en réserves et assiste à la rénovation ou à la création d’une quinzaine d’établissements dans la région, notamment à La Mure, Mens, Aoste, Bressieux, Charavines, Allevard, Saint-Chef, Hières-sur-Amby, etc. Dans le cadre d’une écomuséologie à l’échelle du territoire, le Musée dauphinois devient le siège d’un service au public (d’abord aux communes et à leurs élus, puis aux associations patrimoniales et aux particuliers) capable de répondre à toutes les demandes dans le domaine du patrimoine. Le rapprochement du Centre d’archéologie historique des musées de Grenoble et de l’Isère (CAHMGI) avec ses archéologues et ses architectes, autour du Musée dauphinois, permettra de remplir ces missions, voire de lancer des inventaires systématiques du patrimoine de certains territoires. Ces travaux sur le territoire isérois prendront une grande importance, nécessitant le recrutement d’animateurs du patrimoine pour assurer le suivi sur le terrain et la relation avec les publics. En 1998, le Musée de l’ancien Évêché, à Grenoble, est créé pour rendre compte au public de ce large travail. Débordé par une telle activité extérieure, le Musée dauphinois deviendra le siège d’un nouveau service : la Conservation du patrimoine de l’Isère. Le succès de cette démarche se traduira par la signature d’un protocole par le ministère de la Culture, en collaboration avec le Département de l’Isère et son service patrimonial (la CPI), en faveur d’une politique de décentralisation de la gestion du patrimoine. L’aventure de la CPI durera une douzaine d’années, avant que le Conseil général de l’Isère ne décide de supprimer ce service à une époque où d’autres musées départementaux étaient apparus ou avaient été rénovés au fil des ans, plaçant la collectivité devant de lourdes charges, qu’elle devait assumer directement[8],[9],[10].
Le Musée dauphinois en 2023
modifierLe musée, dirigé par Olivier Cogne, continue d'interroger le rapport qu’entretiennent nos contemporains avec le patrimoine : les expositions Égyptomania, Rose Valland, Nunavik, ou encore L’ivresse des sommets : eaux de vie et liqueurs des Alpes ont la même fonction auprès des publics. En 2023, la direction de la culture et du patrimoine du Département, a lancé un projet de réserves départementales, communes aux douze musées relevant de cette collectivité. Cela implique un grand chantier des collections, incluant le récolement, la numérisation voire la restauration pour certains documents, sur lesquels le Musée dauphinois est déjà engagé. En octobre 2019, lors du 400e anniversaire de la pose de la première pierre du couvent de Sainte-Marie d’en-Haut, le président du Département de l'Isère, Jean-Pierre Barbier, annonce le début des travaux de réhabilitation des jardins du musée. Parallèlement, il prend la décision de faire construire à Saint-Martin-d’Hères de nouvelles réserves pour le réseau des musées départementaux où seront conservées notamment les collections du Musée dauphinois[4],[11].
Les collections et le centre de ressources documentaires
modifierLes collections du Musée dauphinois témoignent de l'histoire des hommes et des femmes de l'ancienne province du Dauphiné et, plus largement, des Alpes françaises. Elles sont constituées[12] de :
- plus de 100 000 objets, depuis les premiers silex taillés de la haute préhistoire au snowboard de la dernière génération ;
- 160 000 photographies dont 1 000 autochromes ;
- 22 000 documents iconographiques : dessins, estampes, affiches, cartes et plans, cartes postales ;
- 1 400 films ;
- 2 000 enregistrements sonores : enquêtes orales sur les savoir-faire, les coutumes, les patois… ;
- et plus de 20 000 ouvrages, anciens et récents.
Le Musée dauphinois conserve également les archives de l'alpiniste et géodésien, Paul Helbronner, comprenant entre autres 15 000 plaques de verre formant des tours d’horizon photographiques à 360° pris de tous les sommets des Alpes[13].
Les collections s'enrichissent régulièrement par des dons, des collectes, ou par de nouvelles acquisitions, comme en 2019 avec la grande huile sur toile de Théodore Ravanat, Chemin de la Grande Chartreuse par la vallée du Grésivaudan[14].
Depuis une dizaine d'années, près de 70 000 objets et documents ont été numérisés[12].
-
Chaussures de ski alpin pour enfant, années 1960
-
Tresseurs de chanvre, photographie des frères Cristille, fin XIXe siècle
-
Vièle à roue, XIXe siècle
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Collection de silex, photographie d’Hippolyte Müller, début XXe siècle
-
Vue du sommet du Pelvoux (détail), aquarelle de Paul Helbronner, vers 1900
Les expositions
modifierLes expositions de référence
modifierLe choix de Jean-Pierre Laurent de privilégier une dense politique d’expositions temporaires est toujours d’actualité. Ce choix s'explique en partie par les contraintes du site, en effet, difficilement accessible, il exige un effort constant de rechercher, d’attirer et de fidéliser les visiteurs. Deux expositions de longue durée sont conçues pour offrir une vision synthétique, mais approfondie des sociétés installées dans les Alpes dauphinoises.
Alpins, 7000 ans d'histoire
modifierInitialement intitulée « Gens de là-haut » par Jean-Pierre Laurent, puis « Gens de l’alpe » en 1998, cette exposition de référence a été récemment réadaptée sous le titre « Alpins, 7 000 ans d’histoires », depuis octobre 2023. Elle aborde l’histoire du peuplement et de la vie dans les Alpes depuis le néolithique, mettant particulièrement en lumière les aspects de la vie quotidienne aux époques contemporaines (19e et 20e siècle) : pastoralisme et travaux des champs (fenaison, moisson), habitat, organisation familiale, éducation, vie communautaire et religieuse (catholiques et protestants)... Actualisée avec les dernières connaissances sur les Alpes et des techniques de scénographie modernes, elle explore l'adaptation des populations alpines aux défis géographiques, climatiques, politiques et socioéconomiques à travers les âges. Conçue pour tous les publics, elle propose un parcours ludique et éducatif, enrichi par les dessins de Flore Hénocque et le quiz des Incoll’Alpes, le tout présenté en français et en anglais[15].
Le rêve blanc
modifierLa seconde exposition de référence, intitulée « Le rêve blanc. L’épopée des sports d’hiver dans les Alpes ». Elle a pour mission de rendre compte des usages contemporains de la montagne et des changements qu’ils ont entraînés. Elle explore à la fois l’histoire du ski et la conquête des espaces d’altitude ; mais elle invite aussi à une réflexion sur le rôle de la montagne et des montagnards face aux enjeux de la crise écologique. L'exposition explore ces enjeux à travers des témoignages filmés, offrant des perspectives variées et des solutions pour que l'aventure du ski dans les Alpes perdure, tout en s'adaptant aux réalités contemporaines. Pour sa réouverture en 2023, l'une des 33 torches de la flamme olympique de 1968 a intégré les collections du Musée dauphinois[16].
Histoire du couvent
modifierUn autre espace est consacré à l’histoire de l’ancien couvent Sainte-Marie d'en-Haut, dans un couloir desservant la chapelle.
Les expositions temporaires
modifierDe 1990 à 2020, le musée a accueilli plus de 100 expositions temporaires. Ces dernières années, ce sont en moyenne trois nouvelles expositions par an[17]. On observe des thèmes récurrents dans les expositions temporaires :
- Le patrimoine archéologique régionale, préhistorique ou historique : « Premiers alpins » ; « Nos villages ont cinq mille ans » ; « Premiers princes celtes » ; « Chevaliers de l’an mil »
- Le patrimoine industriel : « Cathédrales électriques » ; « Les Maîtres de l’acier » ; « Fait main. Quand Grenoble gantait le monde »
- Le patrimoine immatériel : « Inventer le monde, les Rhônalpins et leurs langages » ; « Peurs bleues, l’enfant et les croque-mitaines » ; « L’ivresse des sommets. Eaux de vie et autres breuvages des Alpes »
- L’art : « Rose Valland. En quête de l’art spolié », « Bretelles et fabulations », « Art et science »,
Le musée accorde une attention particulière aux communautés d’origine immigrée faisant partie intégrante de la culture régionale ainsi qu’aux thèmes « sociétaux » comme en témoignent les expositions et les publications : « La Différence » (avec le Musée d’ethnographie de Neuchâtel et le Musée de la Civilisation de Québec) ; « Les Millénaires de Dieu » ; « Rester libres ! ». Le musée s’emploie à étudier les minorités culturelles dans tous les continents dans un contexte de mondialisation accrue où les cultures de tradition se transforment ou disparaissent de façon accélérée.
De 1990 à 2020, le musée a accueilli 99 expositions temporaires. Ces dernières années, c'est en moyenne trois nouvelles expositions par an[17].
- Exposition d'art religieux ancien - 1963
- À la découverte de l'art roman dauphinois - 1964
- Trésors du Musée dauphinois - 1968
- Jalons d'histoire dauphinoise - 1970-1982
- Vivre à Grenoble hier - 1971
- Art de Rome et de ses provinces - 1971
- Art et Architecture - 1972
- Marionnettes 73 à Grenoble - 1973
- Lumière et feu - Avril -
- Peintures paysannes de Dalécarlie - 1973
- Hache - Ébénistes à Grenoble - 1974
- Marques postales dauphinoises - Donation Rebreyend-Laubies - Mai -
- Sérigraphies - 1974
- Art populaire du Tyrol - La maison paysanne - au
- Amisch quilt - au
- Art esquimau contemporain - au
- Poterie des fellahs d'Égypte -
- Enfants des montagnes - 1979
- Les colporteurs fleuristes de l'Oisans - 1981
- 4000 ans de chaussures - 1981
- Saint-Véran, la mémoire du Queyras - 1981
- Le roman des Grenoblois - 1982
- Ex-voto napolitains (XVIe - XXe siècle) - 1982
- Itinéraires archéologiques à Naples et ses environs - au
- Poteries et potiers de Cliousclat - au
- Le désert du monde - L'ordre des Chartreux - -
- De mémoire d'homme 1986-1987
- La main du gantier - à fin 1986
- Les Celtes et les Alpes - Février à
- Masques - au
- Regard des années 1920 et 30 - Mémoire d'architecture - Mallet Stevens - au
- Sainte-Marie-d'en-Haut - 1988
- Découverte et sentiment de la montagne - 1988
- De pain et d'espérance 1788-1988 - Grenoble et le Dauphiné à la veille de la Révolution - 1988
- Profession guide, deux siècles de passion montagnard - - été 1989
- Cathédrales électriques - Cent ans d'hydroélectricité en Dauphiné au
- Villages de Roumanie, identités en péril - Exposition photographique - Juin à
- Quelle mémoire pour demain ? - 1989
- Eux et nous - 1989
- Corato-Grenoble - Grenoble - 1989
- Hymne au parfum (janvier 1990 - février 1990)
- Pays, paysans, paysages du Vercors (mai 1990 - septembre 1990)
- Inventer le monde. Les rhônalpins et leurs langages (mai 1990 - novembre 1991)*
- Bijoux berbères du Maroc. Traditions juives et arabes, au creuset du monde berbère (octobre 1990 - mars 1991)
- Gaëtan Gatian de Clérambault. Psychiatre et photographe (octobre 1990 - décembre 1990)
- Premiers princes celtes (novembre 1990 – août 1991)
- Médinas et ksours. Une culture millénaire (février 1991 – mars 1991)
- Les champs de la ville. Grenoble et ses campagnes (mai 1991 – juin 1993)
- Icônes roumaines sur verre. Art sacré populaire des Modèle:S2-XVIII (décembre 1991 - avril 1992)
- Présentation de l'automate « Les joueurs de cartes » (décembre 1991 - janvier 1992)
- Passion bergers, cloches et sonailles. Usages et fabrication (mars 1992 - juin 1992)
- Homo turisticus. Cent ans de tourisme ordinaire en montagne (mai 1992 - décembre 1992)
- L'homme et les alpes (octobre 1992 - janvier 1993)
- Des grecs. Les grecs de Grenoble. Les costumes de la Grèce traditionnelle (mars 1993 - janvier 1994)*
- Le temps des rafles (avril 1993 - juin 1993)
- Les années noires. La répression à Grenoble durant l'occupation (avril 1993 - janvier 1994)
- Tibet en exil. Le Dalaï Lama et le bouddhisme tibétain (octobre 1993 - janvier 1994)
- Potiers en Isère. XIXe-XXe siècles (octobre 1993)
- Chevaliers paysans de l'an mil au lac de Paladru (octobre 1993- mai 1996)
- Le cinéma à cent ans ! Cent ans de cinéma en Isère (avril 1994 - octobre 1994)*
- Le balcon de Belledonne. Photographies de Francis Helgorsky (juin 1994 - janvier 1995)
- Patrimoine en Isère. Pays de Vizille (octobre 1994 - décembre 1994)
- Hommage aux paysans de montagne. Photographies de Jean-Pierre Bonfort (avril 1995 - septembre 1995)
- Nos villages ont cinq mille ans (juin 1995 - octobre 1995)
- Premiers alpins. Des derniers chasseurs de la préhistoire aux premiers paysans (septembre 1995 - janvier 1997)
- Patrimoine en Isère. Pays de Domène (décembre 1995 - janvier 1996)
- L'image de l'autre dans la photographie. L'immigration en France vue par 45 photographes (février 1996 - avril 1996)
- La différence. Trois musées. Trois regards (février 1996 - octobre 1996)
- Les maîtres de l'acier. Histoire du fer dans les alpes (octobre 1996 - décembre 1998)
- Patrimoine en Trièves (février 1997 - mai 1997)
- D'Isère et d'Arménie. Histoire d'une communauté (avril 1997 - juin 1999)*
- Épreuves d'Arménie. Photographies de Guy Martin-Rave (avril 1997 - juin 1999)
- Hache. Ébénistes à Grenoble (octobre 1997 - mars 1999)
- Entre l'eau et la lumière. Les hommes de l'hydraulique. Une création photographique de Anne-Marie Louvet (décembre 1997 - avril 1998)
- Les alpes à l'affiche (novembre 1998 - janvier 1999)
- Corps de classe. Une création photographique de Catherine Poncin (mars 1999 - octobre 1999)
- Patrimoine en Chambaran (décembre 1999 - mars 2000)
- Racines. Ghada Amer, Brahim Bachiri, Samta Benyahia, Mohamed El baz, Mona Hatoum, Shirin Neshat, artistes plasticiens (juin - décembre 2000)
- Pour que la vie continue - D'Isère et du Maghreb, mémoires d'immigrés (octobre 1999 - décembre 2000)*
- Peurs bleues. L'enfant et les croquemitaines (avril 2000 - avril 2001)
- Les millénaires de Dieu. Une vielle histoire pleine d'avenir(novembre 2000 - décembre 2001)*
- Patrimoine en Oisans (octobre 2001 - décembre 2001)
- Potiers et faïenciers en Dauphiné (octobre 2001 - janvier 2003)
- Les géographes inventent les Alpes. Deux siècles de géographie alpine (décembre 2001 - janvier 2003)
- Martinotto frères. Photographes à Grenoble (juin 2002 - janvier 2003)
- Les Alobroges. Gaulois et Romains du Rhône aux Alpes (octobre 2002 - septembre 2003)*
- Art post'alpe. La correspondance de 200 artistes postaux autour du bestiaire alpin (janvier - mars 2003)
- Transhumance. Été 1951. Sur la route des alpages (mars - juillet 2003)*
- Français d'Isère et d'Algérie (mai 2003 - septembre 2004)*
- Un air de famille. Berriat à Grenoble, Tevézáros à Budapest. Deux quartiers de villes en changement (octobre 2003 - mars 2004)*
- Patrimoine en Isère / Pays de Roussillon (décembre 2003 - juin 2004)
- Hippolyte Müller. Aux origines de la préhistoire alpine (mai 2004 - mai 2006)*
- Trésors d'Égypte. La « Cachette » de Karnak (septembre 2004 - janvier 2005), exposition-hommage à Georges Legrain à l'occasion du IXe congrès international d'égyptologie.*
- Germaine Tillion. Itinéraire et engagements d'une ethnologue (février - mai 2005)
- Louis Mandrin. Malfaiteur ou bandit au grand cœur ? (mai 2005 - mars 2006)*
- Papetiers des alpes. Six siècles d'histoire. (octobre 2005 - juillet 2007)*
- Le monde n'est pas un panorama (avril - juin 2006)*
- Le Musée dauphinois a cent ans ! (octobre 2006 - juin 2008)
- Êtres fantastiques. De l'imaginaire alpin à l'imaginaire humain (octobre 2006 - juin 2008)*
- Rester Libres ! Les expressions de liberté. Des allobroges à nos jours (juin - septembre 2007)*
- Contez les boutons - Installation - Événement (juin - septembre 2007)
- Eugénie Goldstern 1884-1942. Être ethnologue juive dans l’Europe alpine des deux guerres (novembre 2007 - juin 2008)*
- Premiers bergers des Alpes. De la préhistoire à l'Antiquité (avril 2008 - juin 2009)*
- Être ouvrier en Isère. XVIIIe – XXIe siècle (octobre 2008 - janvier 2010)*
- Rompre le silence. Mémoires de chômeurs et précaires en Isère. 1975-2008 (novembre 2008 - janvier 2009)
- Habiter (avril 2009 - juin 2010)*
- Tibétains. Peuple du monde (octobre 2009 - janvier 2011)*
- Matrice, exposition de la plasticienne Marie Goussé (mai - septembre 2010)[18]
- Vaucanson et l’homme artificiel. Des automates aux robots (avril 2010 - juin 2011)*
- Sur les bords de la rivière Sangha (février 2011)
- Les anneaux de la mémoire (avril 2011)
- Désert en fête Sylvie Chappaz, photographe (juin - août 2011)
- Ce que nous devons à l'Afrique (octobre 2010 - janvier 2012)*
- Hannibal et les Alpes. Une traversée, un mythe (avril 2011 - juillet 2012)*[19]
- Un air d'Italie. La présence des Italiens en Isère (novembre 2011 - janvier 2013)*
- Cœur d'ouvriers. Un travail photographique de Bernard Ciancia (décembre 2011 - septembre 2012)*
- Voyage dans ma tête. La collection d'Antoine de Galbert (mars - juillet 2012)*[20]
- L'Isère en relief. Les maquettes monumentales des fortifications de Grenoble et de Fort Barraux (octobre 2012 - janvier 2013)*[21]
- Chambre noire pour amateurs éclairés. Collection photographique Flandrin (novembre 2012 - septembre 2013)*[22]
- Angèle, Suzanne, Martine et moi... (septembre 2013 - janvier 2014)[23]
- Bretelles et fabulations (février - juin 2014)*
- Les dessous de l'Isère. Une histoire de la lingerie féminine (mars 2013 - septembre 2014)*[24]
- Caractères d'altitude. Portraits sonores et photographiques des Écrins (co-production avec le Parc national des Écrins et le Centre de l'oralité alpine - Conseil général des Hautes-Alpes) (octobre 2013 - mai 2014)*[25]
- Voir midi à sa porte. Cadrans solaires de l'Isère (décembre 2013 - janvier 2015)[26]
- À l'arrière comme au front. Les Isérois dans la Grande Guerre (mars 2014 - juin 2015)*[27]
- [K]rânes42. La catacombe artistique (décembre 2014 - décembre 2015)*
- Confidences d'outre-tombe. Squelettes en question (décembre 2014 - janvier 2016)*[28]
- Premières couleurs. La photographie autochrome (mai - septembre 2015)*[29]
- Grenoble 1925, La grande mutation (décembre 2015 - septembre 2016)*
- Tsiganes. La vie de bohème ? Six siècles de présence en Isère (octobre 2015 - janvier 2017)*[30]
- Nunavik. En terre Inuit (mars 2016 - janvier 2017)*[31]
- Portrait large. Paysages sensibles du Pays voironnais. Photographes de Thierry Bazin (octobre 2016 - février 2017)
- Life. Affiches de Kazumasa Nagai (novembre 2016 - janvier 2017)
- Si on chantait ! La La La La ... (décembre 2016 - janvier 2018)*
- Alpes là ! (mars - octobre 2017)
- Lesdiguières, le prince oublié (octobre 2017 - juillet 2018)[32]
- Pop en France. Portraits d'artistes 1967-2017 (novembre 2017 - juin 2018)
- Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l'Isère (février 2018 - octobre 2019)*[33]
- Des samouraïs au kawaii. Histoire croisée du Japon et de l’Occident (octobre 2018 - juin 2019)*[34]
- L'ivresse des sommets. Eaux-de-vie, liqueurs et autres breuvages des Alpes (mars 2019 - novembre 2020)*[35]
- Enclosed, Tony Manent (juin - décembre 2019)*
- Rose Valland. En quête de l'art spolié (novembre 2019 - juin 2020)[36]
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Confidences d'outre-tombe. Squelettes en question
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Nunavik. En terre Inuit
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Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l'Isère
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Des samouraïs au kawaii. Histoire croisée du Japon et de l'Occident
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L'ivresse des sommets. Eaux-de-vie, liqueurs et autres breuvages des Alpes
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Rose Valland. En quête de l'art spolié
- Refuges alpins. De l'abri de fortune au tourisme d'altitude (juin 2020 - juin 2021)[37]
- Résidences photographiques/ Kédougou [Sénégal] 2020-2021 (mai 2021 - décembre 2021)
- Un amour de vélo (mai 2021 - juillet 2022)[38]
- L'Homme et la forêt en Isère. Enjeux d'hier et d'aujourd'hui (septembre 2021 - Janvier 2022)
- Art et science (novembre 2021 - novembre 2022)
- Fait main. Quand Grenoble gantait le monde (mars 2022 - mars 2023)[39]
- Égyptomania (novembre 2022 - novembre 2023)[40]
- Style & cimes, photographies de Jacques Henri Lartigue (avril 2024 - janvier 2025)[41]
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Refuges alpins. De l'abri de fortune au tourisme d'altitude
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Résidences photographiques / Kédougou [Sénégal]
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Fait main. Quand Grenoble gantait le monde
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Egyptomania
Éditions
modifierLa revue Le Monde alpin et rhodanien
modifierRevue régionale d'ethnologie, Le Monde alpin et rhodanien a publié, entre 1973 et 2006, deux à quatre numéros par an d'études et d'articles sur les pays du grand sud-est, autour des Alpes et du Rhône, du Lyonnais à la plaine du Pô et du Léman à la Camargue. Fondée en 1973 par Charles Joisten, la revue est éditée par le Centre alpin et rhodanien d’ethnologie (CARE), association dont le siège est au Musée dauphinois. Le CARE publie aussi une collection d'ouvrages : les Documents d'ethnologie régionale. La mémoire et le patrimoine culturel sont parmi les thèmes privilégiés d'une large approche des communautés rurales ou urbaines, anciennes ou contemporaines, et des hommes de cette région. Une telle réflexion sur les racines des cultures régionales engage de nombreuses disciplines. Sont ainsi étudiés : les croyances, les rites et des coutumes ; la langue, la littérature orale et la chanson ; les arts populaires, les modes de vie et les comportements. Ethnologues, historiens et linguistes collaborent étroitement au sein de l'équipe rédactionnelle. Mais la parole est souvent donnée à ceux, témoins directs, autodidactes de l'histoire ou de l'ethnologie, qui peuvent apporter sur les multiples facettes du monde traditionnel le témoignage irremplaçable du vécu. Pour le Musée dauphinois, dont une partie de l'équipe collaborait à la revue, cette édition constituait un outil de diffusion scientifique de première importance[5].
La revue L'Alpe
modifierProposée par André Pitte dans les années 1990, et née de l'amitié qui le liait tant à Jacques Glénat qu'à Jean Guibal, alors directeur du musée dauphinois, la revue L'Alpe connait une parution trimestrielle depuis 1998. « Elle s'intéresse à ces hommes qui, de la Provence à l'Autriche, des Alpes helvétiques à la Slovénie, ont su s'acclimater à un environnement exceptionnel et se servir de la montagne pour écrire une histoire faite d'échanges, de migrations et d'ouvertures. » Fondé sur un savoir rigoureux, L'Alpe n'est pas pour autant une revue savante. Elle utilise les apports de l'histoire, de la géographie, de l’archéologie, de l'ethnologie, de la littérature, etc. pour répondre à l'attente de publics de plus en plus nombreux, en quête d'émotion culturelle. « Basée au Musée dauphinois, l'équipe rédactionnelle de L'Alpe profite du réseau de relation du musée et de ses ressources documentaires. » L'Alpe participe, en contrepartie, au rayonnement euro-alpin du Musée dauphinois[5].
La collection « Les Patrimoines »
modifierPubliée par le quotidien régional Le Dauphiné libéré (dont l’aire de diffusion recouvre la plus grande partie des Alpes françaises, mais aussi le nord de l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, etc.) cette collection a pour ambition de porter jusqu’au plus large public les éléments majeurs du patrimoine régional. Les sites culturels les plus fréquentés, les personnages historiques célèbres, les villes de la région, les produits de terroir, etc., font l’objet d’une présentation à la fois concise (les ouvrages comptent 50 pages) et parfaitement informée (ce sont toujours des spécialistes qui sont chargés de l’écriture des textes). Le succès d’une telle collection tient dans ces caractères majeurs mais aussi dans la parfaite lisibilité et la qualité de l’iconographie de ces petits livres. Plus d’une centaine d’ouvrages ont déjà été édités depuis 1998 ; et plus d’un million d’exemplaires qui ont été vendus. Un tel outil de diffusion, que seul peut assurer un grand quotidien régional, est parfaitement complémentaire des missions d’un musée de patrimoine régional tel que le Musée dauphinois.
Fréquentation
modifierÉvolution de la fréquentation du Musée dauphinois[42]
Année | 2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Nombre de visiteurs | 49432 | 50267 | 49580 | 41698 | 107398 | 52344 | 53516 | 48313 | 45164 | 57205 | 65826 | 62304 |
Année | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 | 2021 | 2022 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Nombre de visiteurs | 92997 | 67629 | 61002 | 63752 | 74514 | 59895 | 84194 | 77097 | 30488 | 28915 | 67071 |
Les conservateurs
modifierConservateurs directeurs | Années |
---|---|
Hippolyte Müller | 1906 - 1933 |
Joseph Colomb[43] | 1933 - 1952 |
Victor Piraud | 1952 - 1955 |
Joseph Laforge | 1955 - 1966 |
Marcel Boulin[44] | 1966 - 1969 |
Michel Colardelle | 1969 - 1970 |
Marcel Maget | 1970 |
Jean-Pierre Laurent[45] | |
Jean Guibal | 1986 - 2000 |
Jean-Claude Duclos[46] | 2000 - 2011 |
Jean Guibal | 2011 - 2016 |
Olivier Cogne | 2016 - actuel |
Conservateurs chargés des collections et des expositions | |
Charles Joisten | 1970 - 1981 |
Annie Bosso | 1978 - 1994 |
Michel Hue | 1992 |
Chantal Spillemaecker | 1982 - 2017 |
Jean-Pascal Jospin | 1983 - 2020 |
Isabelle Lazier | 1985 - 2005 |
Franck Philippeaux | 1999 - actuel |
Valérie Huss | 2000 - 2015 |
Notes et références
modifier- petit-bulletin.fr du 22 novembre 2016, Olivier Cogne, du Musée de la Résistance au Musée dauphinois.
- Notice no PA00117195, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- [PDF] pro.isere-tourisme.com 2018
- Jean-Claude Impr. Les Deux-Ponts), Cent ans : [Musée dauphinois, 1906-2006], Musée dauphinois, (ISBN 2-905375-89-2 et 978-2-905375-89-6, OCLC 421973113, lire en ligne)
- Duclos 2006.
- Mireille, ... Gansel et Impr. des Deux-Ponts), Et l'homme se retrouve! : cheminements muséographiques : entretiens avec Mireille Gansel, Musée dauphinois, (ISBN 978-2-35567-020-6 et 2-35567-020-X, OCLC 470692780, lire en ligne)
- Laurent Jean-Pierre, ... Et l'homme se retrouve ! Cheminements Muséographiques, Ed. Musée dauphinois, Département de l'Isère, Grenoble, 2008
- Marianne Taillibert, « Communiquer le patrimoine de l'Isère »
- Cécile Alibert, « Sylvie Vincent : "Transmettre est un privilège" »
- Jean Guibal, « Un réseau de musées pour un territoire. Le musée Dauphinois. »
- Le Dauphiné Libéré, « Musée dauphinois : une impressionnante opération de traitement des collections » (consulté le )
- Musées Isère, « Ressources documentaires »
- glenatlivres.com
- Collections Isère, « Peinture : "Chemin de la Grande Chartreuse par la vallée du Grésivaudan" », sur collections.isere.fr (consulté le )
- Sophie Chanaron, « 7000 ans d’histoires des Alpins revisités au Musée dauphinois », sur Actumontagne, (consulté le )
- Clément Berthet, « La torche des JO d'hiver de Grenoble enfin exposée chez elle ! » , sur Le Dauphiné Libéré, (consulté le )
- « Les expositions depuis 1958 », sur Portail des Musées (consulté le )
- « "MATRICE. Musée Dauphinois. Grenoble », sur Marie Goussé, (consulté le )
- « "Hannibal et les Alpes. Une traversée, un mythe" à revivre au musée dauphinois », sur Francetvinfo, (consulté le )
- « Un coup de chapeau », sur Le Petit Bulletin, (consulté le )
- « L'Isère en relief - Un événement Musée dauphinois », sur Dailymotion, (consulté le )
- « "Chambre noire pour amateurs éclairés", un siècle de photo à Grenoble », sur Francetvinfo, (consulté le )
- « Stéphanie Miguet », sur Stéphanie Miguet (consulté le )
- « Les Dessous de l'Isère », sur Dailymotion, (consulté le )
- « Caractères d'altitude : l'exposition est présentée à Grenoble », sur Parc National des Ecrins, (consulté le )
- « Le Musée dauphinois à l'heure solaire », sur Place Gre'net, (consulté le )
- « À l’arrière comme au front : Les Isérois dans la Grande Guerre », sur Isère Tourisme (consulté le )
- « "Confidences d'outre tombe" : squelettes et têtes de mort à Grenoble », sur Francetvinfo, (consulté le )
- « La photo autochrome en vedette au Musée dauphinois », sur Place Gre'net, (consulté le )
- « "Tsiganes" au Musée dauphinois de Grenoble : une exposition pour déconstruire les préjugés », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le )
- « "Nuvanik, en terre inuit" ou l'art de la survie au Musée dauphinois », sur Francetvinfo, (consulté le )
- « "Lesdiguières, le prince oublié" : le grand dauphinois s'expose », sur Le Petit Bulletin, (consulté le )
- « Le Musée dauphinois célèbre les 50 ans des JO 1968 de Grenoble », sur L’Équipe, (consulté le )
- « Reportage - Des samouraïs au Kawaii, au Musée dauphinois », sur Dailymotion, (consulté le )
- « « L'ivresse des sommets », une exposition à déguster sans modération au Musée dauphinois de Grenoble », sur Place Gre'net, (consulté le )
- « Rose Valland, portrait d'une femme engagée », sur Culture.gouv, (consulté le )
- « Le Musée dauphinois hôte des refuges alpins », sur Actumontagne, (consulté le )
- « L'exposition "Un amour de vélo" au Musée dauphinois », sur Le Dauphiné Libéré, (consulté le )
- « EN IMAGES. Quand Grenoble gantait le monde, une exposition du musée Dauphinois raconte l'âge d'or de la capitale de la ganterie », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le )
- « À Grenoble, l'exposition Egyptomania retrace la passion de l'Occident pour la civilisation des pharaons », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Le style jusqu’aux cimes… les photos de Jacques Henri Lartigue exposées au Musée dauphinois », sur Le Dauphiné Libéré, (consulté le )
- Isère attractivité, « Fréquentation des principaux musées et sites touristiques de l'Isère »
- Jean-Claude Duclos, « Hippolyte Müller et le Musée Dauphinois », Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie, (lire en ligne).
- Michel Colardelle, « Marcel Boulin, refondateur du Musée Dauphinois », Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie, (lire en ligne).
- « Décès de Jean-Pierre Laurent, conservateur emblématique du Musée dauphinois » [archive du ], sur Actu Montagne, .
- Jean-Claude Duclos, « De l’immigration au Musée dauphinois », Hommes & migrations [En ligne], 1297 | 2012, mis en ligne le 31 décembre 2014, consulté le 16 novembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/hommesmigrations/1551 ; DOI : 10.4000/hommesmigrations.1551
Voir aussi
modifierBibliographie (par ordre alphabétique d'auteur)
modifier- Antzamidakis Éloïse, Huss Valérie, La bibliothèque d’Etienne May, un fonds d’exception au Musée dauphinois, in Regards sur les Alpes : 100 livres d’exception 1515-1908 [exposition]. Éd. du Mont-Blanc, 2011, p. 8.
- Antzamidakis Éloïse, avec la contribution de Huss Valérie, La phonothèque du Musée dauphinois : évolution, questions de droits et méthodologie envisagée, in Photo son et vidéo dans les musées – Questions de droit et méthodes, éd. Association générale des conservateurs des collections publiques de France PACA, pp. 86–92, 2011.
- Jean-Claude Duclos, Cent ans, Grenoble, Ed. Musée dauphinois, (ISBN 2-905375-89-2).
- Fau Élise, Huss Valérie, Le fonds Helbronner au Musée dauphinois, in Les Alpes d’Helbronner, mesures et démesure. Éd. Glénat, 2015, pp. 10–11.
- Huss Valérie (dir.), Martinotto Frères, photographes à Grenoble [exposition]. Ed. Conseil général de l'Isère - Musée dauphinois, 2002, 120 p.
- Huss Valérie (dir.), Louis Mandrin, malfaiteur ou bandit au grand cœur ? [exposition]. Ed. Conseil général de l'Isère - Musée dauphinois, 2005, 144 p.
- Huss Valérie, Blumenfeld-Chiodo Zoé (dir.), Chambre noire pour amateurs éclairés. Photographies de la collection Flandrin [exposition]. Ed. Conseil général de l'Isère - Musée dauphinois, 2012, 104 p.
- Huss Valérie, Le Musée dauphinois pendant la Grande Guerre, in A l’arrière comme au front, les Isérois dans la Grande Guerre [exposition]. Éd. Conseil général de l’Isère – Musée dauphinois, 2014, p 133.
- Huss Valérie (dir.), Premières couleurs. La photographie autochrome. Ed. Département de l'Isère - Musée dauphinois, 2015, 120 p.
- Jospin Jean-Pascal (dir.), Hippolyte Müller, Aux origines de la Préhistoire alpine, , Ed. Département de l'Isère - Musée dauphinois, 2004 (ISBN 2-905375-61-2)
- Laurent Jean-Pierre - Entretiens avec Mireille Gansel, ...Et l'Homme se retrouve, Cheminements Muséographiques, Ed. Département de l'Isère - Coll. Musée dauphinois, 2008 (ISBN 978-2-35567-020-6)
- Spillemaecker Chantal, Sainte-Marie d’en-Haut à Grenoble. Quatre siècles d’histoire. Ed. Département de l'Isère - Musée dauphinois, 2010 (ISBN 978-2-35567-041-1)
Annexes
modifierListe des musées départementaux de l'Isère Musées départementaux de l'Isère
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Articles connexes
modifier- Liste des monuments historiques de Grenoble
- Liste des monuments historiques de l'Isère
- Liste des musées de l'Isère
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressource relative aux beaux-arts :
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- Ressource relative au tourisme :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :