Montmiral
Montmiral est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Montmiral | |||||
Le village. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Pouilly 2020-2026 |
||||
Code postal | 26750 | ||||
Code commune | 26207 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montmiralois, Montmiraloise | ||||
Population municipale |
672 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 09′ 22″ nord, 5° 09′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 240 m Max. 548 m |
||||
Superficie | 26,69 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Romans-sur-Isère (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Drôme des collines | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-montmiral.fr | ||||
modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierMontmiral se situe à 18 kilomètres au nord-est de Romans-sur-Isère.
Relief et géologie
modifierSites particuliers[1] :
- Combe de Bois Burais ;
- Combe de la Forêt ;
- Combe du Sabot.
Géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 015 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Christophe-L_sapc »sur la commune de Saint-Christophe-et-le-Laris à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 004,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Voies de communication et transports
modifierUrbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montmiral est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), prairies (18,8 %), terres arables (11,3 %), cultures permanentes (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierQuartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail[1] :
- Bigalière
- Boffard
- Bois Burais
- Bois communal de Saint-Bonnet-de-Valclérieux
- Bois de Fay
- Bois de Panaray
- Bois des Barinières
- Bois Lacour
- Bois Lambert
- Chaix
- Chanrans
- Châtillonet
- Chaunet
- Christave
- Croze
- Déruine
- Fontanger
- Forêt de Thivolet
- Francon
- Javanet
- la Cloitre
- Lacour
- la Forêt
- la Goutte
- la Grainerie
- la Jassaudière
- la Pelletière
- la Verrière
- le Gourrat
- le Penon
- le Sabot
- le Saladot
- les Allamands
- les Bayeux
- les Brudeaux
- les Brunes
- les Chevalières
- les Combes
- les Paladus
- Maison Vieille
- Melin
- Moucherand
- Oppidum (Tour de Montmiral)
- Palagris
- Pont Baillardon
- Quartier de Montagne
- Ratelière
- Saint-Martin
- Tôt
- Voreppe
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- Ain est un hameau attesté[13] :
- en 1200 : Ainc (cartulaire hosp. et templ., 23).
- en 1468 : Aysium (archives de la Drôme, E 2512).
- au XVe siècle : Sayls (terrier de Parnans).
- au XVIIIe siècle : Daym (Carte de Cassini).
- en 1775 : Zain-sur-Montmiral (affiches du Dauphiné).
- au XIXe siècle : les Ains (carte d'état-major).
- en 1891 : Ain, hameau.
- Les Allamands est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé les Alemands au XVIIIe siècle (Carte de Cassini)[14].
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierRisques naturels et technologiques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :
- 950 : mention du village : villa Soduli (cartulaire de Romans, 208).
- 995 : mention du village : villa quae dicitur Solo (cartulaire de Romans, 255).
- 1000 : mention de la tour : castrum Montis Mirati (cartulaire de Romans, 266).
- 1068 : mention de la paroisse Saint-Christophe : ecclesia Sancti Christophori in loco Sole (cartulaire de Romans, 12 bis).
- XIe siècle : mention de la paroisse Saint-Christophe : parrochia Sancti Xristofori de Sor (cartulaire de Romans, 314) / note : le X est la lettre grecque khi.
- 1150 : Montmira (cartulaire de Romans, 325).
- XIIe siècle : de Montemirato (cartulaire des hospitaliers, 19).
- XIIe siècle : apud Montem Miratum (cartulaire des hospitaliers, 23).
- 1215 : Monsmira (cartulaire des hospitaliers, 41).
- 1217 : Montmiraut (cartulaire des hospitaliers, 41).
- 1467 : Mons Mirandi (archives de la Drôme, E 462).
- 1521 : mention de la paroisse Saint-Christophe : capella Sancti Christophori Montismirati (rôle de décimes).
- 1593 : mention du village : le bourg de Saint-Christophe (archives de la Drôme, E 69).
- 1593 : mention de la paroisse Saint-Christophe : ecclesia Sancti Christophori (archives de la Drôme, E 69).
- 1788 : mention du village : Saint-Christophe de Montmiral (alman. du Dauphiné).
- 1891 : Montmiral, commune du canton de Romans.
Étymologie
modifierLa première partie du toponyme provient du latin mons « montagne, mont, élévation »[16].
La deuxième partie vient du latin miratus, participe passé du verbe mirari « être surpris, être en admiration »[17].
Le toponyme peut donc être interprété de deux façons : « Mont admirable » ou « Mont d'où l'on admire » (mont d'où l'on voit loin : le village se situe à 400 mètres d'altitude et a une vue remarquable sur le Vercors et sur la Drôme des collines)[réf. nécessaire].
Histoire
modifierAntiquité : les Gallo-romains
modifierLa commune possède des vestiges gallo-romains (MH)[18].
Dans le quartier Saladot, de nombreux vestiges d'époque romaine ont été découverts. Une hypothèse a été avancée pour identifier le site avec la ville disparue de Solonium[19].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierEn 950[15] ou en 974, Montmiral apparaît pour la première fois dans les textes. Un cartulaire de Saint-Barnard de Romans mentionne la villa Soduli[20].
Au XIe siècle, le château apparaît dans les textes. Il appartient aux Bressieux[20].
Au Moyen Âge, le village a connu trois églises[19] :
- L'église Saint-Martin près du château, au sud de la motte castrale. Près de ses ruines, ont été retrouvées des tombes des environs de l'an 1000.
- L'église Saint-Michel de Montmiral, probablement construite à l'époque du château en pierre.
- L'église Saint-Christophe autour de laquelle s'est formé le village actuel. Une charte du XIe siècle l'appelle « église mère au temps de Charlemagne ». Durant ce même siècle, elle est remise à l'abbaye Saint-Barnard de Romans qui y établit une communauté de chanoines réguliers.
La terre de Montmiral est disputée par les dauphins et les religieux de Romans[18].
La seigneurie[15] :
- Au point de vue féodal, Montmiral était une terre du patrimoine des Clermont.
- 1465 : la terre est confisquée et donnée aux Dusie.
- 1467 : elle est rendue aux Clermont.
- 1581 : vendue aux Fléhard.
- Milieu du XVIIe siècle : cédée aux Mistral.
- 1710 : les Mistral obtiennent l'érection de Montmiral en marquisat.
- Peu de temps après : le marquisat passe (par mariage) aux Emé de Marcieu, derniers seigneurs.
En novembre 1533, François Ier s'arrête à Montmiral. Il aurait chassé dans les bois de la forêt de Thivolet qui couvraient alors les collines. Il a gravé sa signature dans une des bâtisses du village[20]. La cheminée de la ferme Chapotière porte une inscription ainsi que le visage du roi (sculpté en 1539)[réf. nécessaire].
Avant 1790, Montmiral était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait trois paroisses du diocèse de Vienne : Montmiral, Saint-Martin et Saint-Michel. La paroisse de Montmiral avait saint Christophe pour patron et le chapitre de Romans pour collateur et décimateur (voir Saint-Martin et Saint-Michel)[15].
Saint-Martin
modifierAvant 1790, Saint-Martin était une paroisse du diocèse de Vienne et de la communauté de Montmiral, dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure[21] :
- 1050 : parrochia Sancti Martini (cartulaire de Romans, 315).
- XIVe siècle : capella Sancti Martini Montis Mirati (pouillé de Vienne).
- 1788 : Saint Martin de Montmiral (alman. du Dauphiné).
- 1891 : Saint-Martin, village, paroisse et section de la commune de Montmiral.
Saint-Michel
modifierAvant 1790, Saint-Michel était une paroisse du diocèse de Vienne et de la communauté de Montmiral, dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure.
Le 16 avril 1884, cette paroisse est distraite de la commune de Montmiral pour former une commune distincte du canton de Romans[22] :
- Vers 1150 : ecclesia Sancti Michaelis de Abiais (cartulaire de Romans, 313).
- 1227 : basilica Sancti Michaelis et capella et cimiterium Sancti Michaelis (cartulaire de Romans, 359 et 360).
- 1521 : ecclesia Sancti Michaelis Montis Miratis (pouillé de Vienne).
- 1891 : Saint-Michel, commune du canton de Romans.
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, Montmiral devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Crépol, Montmiral, Miribel et Parnans. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans, de laquelle est distraite la commune de Saint-Michel en 1884[15].
En 1797, la commune compte 1600 habitants[20].
Politique et administration
modifierTendance politique et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2021, la commune comptait 672 habitants[Note 2], en évolution de +3,07 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierLe village participe à un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec la commune de Saint-Michel-sur-Savasse pour l'école primaire et maternelle[31]. Ce regroupement comprend l'école de Montmiral allant de la maternelle jusqu'au CP et celle de la commune de Saint-Michel-sur-Savasse qui accueille les CP jusqu'au CM2[32].
La carte IGN indique une école, un collège et un lycée au hameau la Cloitre[1].
Santé
modifierManifestations culturelles et festivités
modifier- Fête : le dernier dimanche de juillet[18].
Loisirs
modifier- Randonnées (nombreux parcours pédestres)[réf. nécessaire].
Associations[réf. nécessaire] :
- Association de l'Amicale Laïque Les collines (pour les écoles primaires de Montmiral et Saint Michel) ;
- Association Rando-VTT. Elle organise chaque année au mois de mai des circuits dans les collines du village ;
- club de chasse ;
- club des personnes âgées (Club de La Tour).
Sports
modifierMédias
modifierCultes
modifierÉconomie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : pâturages, céréales, élevage, volailles[18].
L'agriculture locale produit aussi des noix labellisées Noix de Grenoble[réf. nécessaire].
Tourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et monuments
modifierLieux et monuments
modifier- Tour médiévale sur tertre[18].
- La tour féodale du XIIe siècle est un donjon à section carrée situé sur une motte au lieu-dit la Tour. Elle appartenait au château en pierre qui avait remplacé la motte castrale en terre[33].
- Elle fait seize mètres de haut et huit mètres de côté. En 1927, la tour a été classée monument historique. D'après une légende locale, il y aurait un souterrain qui relierait les tours de Montmiral, de Miribel, de Ratières et d'Albon[34].
- Église Saint-Christophe de Montmiral : clocher (est), abside et absidioles du XIIe siècle (IMH), cloche du XVIIIe siècle, autre clocher du XIXe siècle[18].
- Elle comporte un vieux clocher et deux absides de style roman. Les peintures et l'architecture intérieure sont de style art nouveau. L'église est ornée de vitraux 1900, œuvres du peintre verrier Louis Balmet[19].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifier- Forêt de Thivolet[1].
- Étang de Montmiral[réf. nécessaire].
- Grottes[1].
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique, logotype et devise
modifierMontmiral possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montmiral et Saint-Christophe-et-le-Laris », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Christophe-L_sapc », sur la commune de Saint-Christophe-et-le-Laris - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Christophe-L_sapc », sur la commune de Saint-Christophe-et-le-Laris - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (Ain).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 5 (Les Allamands).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 232 (Montmiral).
- « Mons • Dictionnaire Gaffiot latin-français », sur lexilogos.com (consulté le ).
- « Miratus • Dictionnaire Gaffiot latin-français », sur lexilogos.com (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montmiral.
- « Village de Montmiral », sur Drôme Tourisme (consulté le ).
- (en) « Bienvenue sur Rhône Médiéval », sur rhone-medieval.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 349 (Saint-Martin).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 352 (Saint-Michel).
- À la suite de dissensions anciennes survenues au sein du conseil municipal, celui-ci a été dissous : décret du 22 août 2018 portant dissolution du conseil municipal de la commune de Montmiral (Drôme), JORF n°0193 du 23 août 2018, texte n° 1, NOR : INTA1816819D
- « Montmirail. Il va falloir revoter dimanche prochain », Le Dauphiné, (lire en ligne).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- https://programme-candidats.interieur.gouv.fr/elections-departementales-2021/data-pdf-propagandes/1-26-05-3.pdf
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ecole primaire St Michel sur Savasse de Saint-Michel-sur-Savasse (0260419P) », sur L'annuaire de l'éducation (consulté le ).
- « Ecoles | mairie-montmiral.fr » (consulté le ).
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 694-695.
- « La tour de Montmiral », sur lieux-insolites.fr (consulté le ).