Montauban-sur-l'Ouvèze

commune française du département de la Drôme

Montauban-sur-l'Ouvèze est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Montauban-sur-l'Ouvèze
Montauban-sur-l'Ouvèze
Blason de Montauban-sur-l'Ouvèze
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Gérard Coupon
2020-2026
Code postal 26170
Code commune 26189
Démographie
Gentilé Montalbanais, Montalbanaises
Population
municipale
118 hab. (2021 en évolution de +10,28 % par rapport à 2015)
Densité 3,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 00″ nord, 5° 30′ 00″ est
Altitude Min. 665 m
Max. 1 532 m
Superficie 32,29 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montauban-sur-l'Ouvèze
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Montauban-sur-l'Ouvèze
Liens
Site web montauban-sur-ouveze.fr

Géographie

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Localisation

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Carte de Montauban-sur-l'Ouvèze.

Montauban sur l'Ouvèze est situé à 24 km (par la route, 9 km à vol d'oiseau) de Séderon (chef-lieu de canton) et à 22 km à l'est de Buis-les-Baronnies.

Relief et géologie

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Dernier village de la haute vallée établi à une altitude moyenne de 730 mètres avant la montée en lacets de la route atteignant au col de Perty (1 302 mètres).

Sites particuliers[1] :

  • Barret (1025 m)
  • Col de Chauvac (1282 m)
  • Col de la Chapelle
  • Col de la Trappe
  • Col de Nayranne
  • Col de Pain Days
  • Col de Perty (1302 m)
  • Col d'Izon
  • la Gardette (1381 m)
  • la Grande Plaine (1482 m)
  • Montagne de Chamouse (1532 m, point culminant)
  • Montagne de l'Arsuc (1461 m)
  • Plaine des Pins
  • Serre de Charbuisse

Géologie

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Le sol est sédimentaire de formation argileuse marno-calcaire[réf. nécessaire].

Hydrographie

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La commune est arrosée par l'Ouvèze qui y prend sa source à l'est du hameau de Somécure[2], au-dessus de 800 mètres d'altitude, ainsi que par les cours d'eau suivants[1] :

  • le Rieu (dont source)
  • ravin de Chantaour
  • ravin de la Couvagne
  • ravin de la Trappe
  • ravin du Pré d'Enroye
  • ruisseau de Crabaye
  • ruisseau de Cramy
  • ruisseau de Pévouillet
  • ruisseau de Roussieux
  • ruisseau de Ruègne
  • ruisseau des Combes
  • ruisseau de Terre Noire

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 959 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Auban »sur la commune de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Montauban-sur-l'Ouvèze est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,4 %), prairies (1,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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La commune n'a pas de village-centre portant ce nom. Elle est composés de hameaux anciens disséminés[2] sur le territoire, les plus centraux étant Bagnols et Bons sur un site de confluences (Ouvèze-Rieu-Ruisseau de Roussieux).

Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Adret de Barret
  • Bagnols
  • Barbayes
  • Beaussec
  • Bergerie de la Trappe
  • Blaches de Ruissas
  • Bons
  • Châtillon
  • Chauvet
  • Clos de Pitoye
  • Église-Mairie
  • Fenouil
  • Fontaimon
  • Forêt Domaniale de Chamouse
  • Francou
  • Grandes Bouisses
  • la Boudousse
  • la Bouisse
  • la Brunette
  • la Combe
  • la Farette
  • la Frigourière
  • la Pigière
  • la Pose
  • la Traverse
  • le Grand Ribas
  • le Pré Neuf
  • les Armaraux
  • les Combes
  • le Serre
  • les Olagniers
  • les Pièces
  • les Sestrières
  • les Siriers
  • l'Ubac d'Armaraux
  • l'Ubac de Barret
  • l'Ubac de la Fortune
  • l'Ubac de la Prune
  • l'Ubac de Somecure
  • Micore
  • Nayranne
  • Opiot
  • Pain Days
  • Plane
  • Pracaillon
  • Prayes
  • Prayette
  • Quinet
  • Remoulon
  • Ruègne
  • Ruissas
  • Saint-Quentin
  • Saussac
  • Somecure
  • Temps Perdu
  • Ville Vieille

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • l'Abric est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé La Bris en 1627 (parcellaire)[14].

Logement

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Projets d'aménagement

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Voies de communication et transports

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Ancienne route des princes d'Orange.

La commune est desservie par les routes départementales D 65 et D 65a[1].

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Autres risques

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Toponymie

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1284 : mention de la baronnie : baronia Montis Albani (inventaire des dauphins, 234).
  • 1293 : castrum de Monte Albano (inventaire des dauphins, 226).
  • 1343 : mention de la baronnie : la baronie de Montalban (Duchesne, Dauphins de Viennois, 69).
  • 1400 : Mont-Alban (choix de documents, 235).
  • 1516 : mention du prieuré : prioratus Montis Albani (pouillé de Gap).
  • 1891 : Montauban, commune du canton de Séderon.

En 1920 : Montauban-sur-l'Ouvèze[16].

Étymologie

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Histoire

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Du Moyen Âge à la Révolution

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La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, Montauban était une terre (ou seigneurie) de l'ancienne baronnie de ce nom, souverainement possédée, dès 1206, par les Montauban.
  • 1278 : la terre passe (par mariage) aux Castellane.
  • Elle passe (par héritage) aux Adhémar de Lombers.
  • 1302 : les Adhémar de Lombers l'abandonnent aux dauphins.
  • 1349 : la terre devient domaniale.
  • 1543 : vendue (sous faculté de rachat) aux Plovier dont les droits sont rachetés par les habitants.
  • 1559 : vendue aux Bon.
  • 1593 : vendue aux La Tour.
  • 1638 : vendue aux Pingré.
  • Vers 1710 : passe (par héritage) aux Crombis de Cheisolme, derniers seigneurs.

La baronnie de Montauban comprenait tout ou partie des terres et châteaux suivants[15] :

  • Drôme : Aubres, Autane, Ban, la Bâtie-Côte-Chaude, la Bâtie-Verdun, Baume-la-Lance, Bécone, Châteauneuf-de-Bordette, Châteauratier, Chauvac, Dulion, Durfort, la Fare, Gignac, Gouvernet, Lemps, Linseuil, Marsoin, Mirabel, Montauban, Montbrison, Montferrand, Montguers, Montjoux, Montaulieu, Montréal, Noveysan, Nyons, Oddefred, Ollon, Pennafort, Piégon, Rioms, Rocheblave, Rochebrune, Rochegude, Roussieux, Sahune, Sainte-Euphémie, Sainte-Jalle, Tarandol, Taulignan, Teyssières, Venterol, Vercoiran, Vinsobres.
  • Hautes-Alpes : la Baume-Rison, Ribiers, Rosans, Saint-André de Rosans.
  • Vaucluse : Cayrane, Derboux, Grillon, Valréas.

1302 : Montauban est l'une des trois baronnies réunies au Dauphiné[2].

Le château seigneurial est ruiné pendant les guerres du XVIe siècle[réf. nécessaire]. Ce château du XIIe siècle fut définitivement détruit sur décisions des villageois[17].

1639 (démographie) : 1000 à 1100 habitants[15].

Avant 1790, Montauban était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap, dont l'église, sous le vocable de Notre-Dame de Saint-Quentin, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Cluny) et dont les dimes appartenaient au prieur qui présentait à la cure[15].

De la Révolution à nos jours

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En 1790, Montauban devient le chef-lieu d'un canton du district du Buis, comprenant les municipalités de Ballons, Chauvac, Eygalayes, Laborel, Lachau, Mévouillon, Montauban Montguers, Rioms, Roussieux, Saint-Auban, Sainte-Euphémie, Villebois, Villefranche et Vers. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Séderon[15].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Gérard Coupon DVG agriculteur
2008 2014 Gérard Coupon   maire sortant
2014 2020 Gérard Coupon   maire sortant
2020 En cours
(au 9 janvier 2021)
Gérard Coupon[18][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux

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Pour les élections législatives, la commune relevait du Canton de Séderon avant mars 2015 ; depuis elle fait partie de la Troisième circonscription de la Drôme.

Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

En 2021, la commune comptait 118 habitants[Note 1], en évolution de +10,28 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
530564549503535523519502487
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
464446457433445423413354337
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
330302310275263245227198175
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
14714092808185113114104
2015 2020 2021 - - - - - -
107120118------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête : le dernier dimanche de juillet[2].

Loisirs

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  • Randonnées : GRP Tour des Baronnies Provençales[1]. Une table d'orientation est installée au col de Perty[2].

Médias

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Économie

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Agriculture

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En 1992 : plantes médicinales, lavande, ovins[2], caprins[réf. nécessaire].

  • Marché : le 28 septembre[2].

La culture du tilleul, qui a fait la réputation des baronnies, a presque totalement disparu[réf. nécessaire].

Tourisme

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Revenus de la population et fiscalité

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château en ruine[2].
  • Église restaurée à Bons[2].
Église paroissiale Saint-Pierre dans le hameau central de Bons-Bagnols (XVIIe siècle)[réf. nécessaire].
  • Chapelle à Somecure[2].
Chapelle Saint-Pierre au hameau de Somécure[réf. nécessaire].
  • Chapelle à la Combe[2].
Chapelles Saint-Quentin et Saint-Pierre au hameau de la Combe[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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La commune fait partie du Parc naturel des Baronnies provençales créé en 2015[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune

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  • Joseph Charras (1769-1839) : général des armées de la République et de l'Empire.

Héraldique, logotype et devise

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  Blason
D'azur à trois tours d'or maçonnées de sable[23].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a b c d e f g h i j et k Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Cobonne.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Montauban-sur-l'Ouvèze et Saint-Auban-sur-l'Ouvèze », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St-Auban », sur la commune de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St-Auban », sur la commune de Saint-Auban-sur-l'Ouvèze - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 1 (L'Abric).
  15. a b c d e et f J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 223 (Montauban).
  16. Toponymie Ouvèze.
  17. Histoire.
  18. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « 26189 Montauban-sur-l'Ouvèze (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).