Monceaux-le-Comte

commune française du département de la Nièvre

Monceaux-le-Comte (nivernais Moncio) est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Monceaux-le-Comte
Monceaux-le-Comte
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Clamecy
Intercommunalité Communauté de communes Tannay-Brinon-Corbigny
Maire
Mandat
Françoise Corbeau -Mougne
2020-2026
Code postal 58190
Code commune 58170
Démographie
Population
municipale
124 hab. (2021 en évolution de −0,8 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 47″ nord, 3° 39′ 44″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 242 m
Superficie 3,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Clamecy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Géographie

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Le village de Monceaux-le-Comte est situé en bordure du massif du Morvan (à l'ouest), sur les rives de l'Yonne. Son territoire s’étend sur 328 ha et ses habitants s’appellent les Moncelliens. Sa population forte de 453 habitants en 1846 n’a cessé de régressé pour atteindre 131 habitants au recensement de 2016.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Vignol, Dirol, Ruages et Saizy.

  Vignol  
Dirol N Saizy
O    Monceaux-le-Comte    E
S
Ruages

Hameaux, lieux-dits, écarts

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Hydrographie

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L'Yonne, le ruisseau de Fontenelle, le ruisseau de Vignes sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.

Géologie

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Les sols de la commune sont propices aux herbages et des statistiques du XIXe siècle disent que la vigne y était présente car elle couvrait près de 5 ha du territoire comme en témoignent encore l'architecture locale.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 833 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lormes_sapc », sur la commune de Lormes à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 071,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Monceaux-le-Comte est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (68,5 %), forêts (17,1 %), terres arables (8,7 %), zones urbanisées (5,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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L’origine du nom de ce village est monticellu diminutif du latin mons, montagne, le Comte étant l’ancien génitif signifiant du comte. Il porte le nom de Monceaux en 1793 et prend le nom de Monceaux-sur-Yonne pendant la Révolution.

Histoire

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La découverte d’un piédestal situé sous l’autel de l’église paroissiale Saint-Symphorien et gravé du IIIe siècle laisse à penser que le village était occupé dès l’époque gallo-romaine. Le domaine de Monceaux est reconnu dès le Ve siècle par le don fait au monastère de Saint-Cosme par saint Germain d’Auxerre en 418. Appelé Sanctus-Georgius-de-Moncellis, Monceaux-le-Comte relève de l’évêché d’Autun mais la cure dépend du prieur de Saint-Étienne de Nevers. Plusieurs chapelles s’y trouvent dès le XIe siècle. En 1090, dans sa charte de dotation du prieuré de Saint-Étienne, le comte de Nevers Guillaume II déclare abandonner aux religieux les chapelles de Monceaux et tout ce qui leur appartient. Les prieurs de Saint-Étienne de Nevers conserveront jusqu’à la Révolution tous les anciens droits sur la chapelle devenue paroisse, et en style monastique le prieuré de Saint-Georges de Monceaux. Une autre chapelle devenue aussi paroissiale était dédiée à saint Symphorien. Elle s’élevait au pied des murailles du château. L’évêque d’Autun la visitera le 14 octobre 1671. Complètement rasée, ses débris ont servi dans la construction de la nouvelle église. La dernière chapelle est la chapelle du vieux château des comtes de Nevers. Elle est dédiée à saint Potentien[13].

La châtellenie de Monceaux-le-Comte possédait au XVIIe siècle la terre de Saizy en partage avec Neuffontaines.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta provisoirement le nom de Monceaux-sur-Yonne[14].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 en cours Françoise Corbeau-Mougne UMP Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Les maires précédents ont été Messieurs Patrice Peneveyre (2008-2014) et Edouard Grosjean (5 décennies).

Pour l'année 2019, le budget annuel de la commune s'élève à 112 000 euros de produits de fonctionnement, soit 857 euros par habitant. Le budget d'investissement atteint 65 000 euros, (87 % pour les équipements, 13 % pour le remboursement de la dette). L'encourt de la dette représente 65 000 euros. En 2015, le budget annuel de la commune était de 129 000 euros de produits de fonctionnement, soit 875 euros par habitant. Le budget d'investissement s'élevait à 39 000 euros. L'encourt de la dette représentait 102 000 euros[15].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

En 2021, la commune comptait 124 habitants[Note 2], en évolution de −0,8 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
422392427373430442448453415
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
345353359337379360348346336
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
346347312302277251260254219
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
181203198168158132151157129
2018 2021 - - - - - - -
121124-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Enseignement

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La commune comptait une école, fermée en 2016[20].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Georges depuis la restauration de 2020.

Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Georges, en plan de croix date du XIIe siècle, elle est inscrite depuis 1903 à l'inventaire général du patrimoine culturel des monuments historiques. Ses modifications, aménagements et réhabilitations ont été pléthore jusqu’au 17 octobre 2020[21], date de l’inauguration de sa dernière restauration. Après un an de travaux, l'église paroissiale, en phase de laïcisation, vient de bénéficier de la restauration de sa toiture grâce à la Fondation du Patrimoine[22], les abords, les contreforts et les murs ont suivi avec le soutien des collectivités territoriales. L'intérieur de l'église dont l'autel date de 1960, dispose de trois sculptures remarquables[23] :
     
    L'église Saint-Georges avant les restaurations de 2020.
    • Vierge de Miséricorde en pierre polychrome du XVIe siècle d'une hauteur de 1,25 mètre et   Classé MH (1907). Cette Vierge prend ici le nom de : Notre-Dame-de-Réconfort, et exemplaire unique dans la Nièvre. Les sculptures de la Vierge auxiliatrice sont rares en Bourgogne, deux en Saône-et-Loire, sept en Côte-d'Or et une dans l'Yonne[24] ;
    • Vierge allaitant l'Enfant, marbre du dernier quart du XIVe siècle   Classé MH (1903)[25] ;
    • Saint Antoine, statue en pierre qui a perdu ses mains datée du XVIe siècle, elle provient de la chapelle nord de l'ancienne église qui était située au pied du château des comtes de Nevers. La boucle de sa ceinture comporte une cavité pour recevoir une relique. Elle est   Classé MH (1922)[26].
  • Le lavoir édifié en 1835, est situé sur la rive droite de l'Yonne, quai du Moulin le long d'un chemin de promenade publique. Avec sa toiture en tuiles plates de Bourgogne et sa margelle en pierre de taille, il reflète bien l'architecture vernaculaire du XIXe siècle.
  • Le moulin, propriété privée, visible depuis le quai du Moulin, est situé entre deux bras de l'Yonne, dispose d'un joli jardin, dont il reste seulement le passage de la roue.
  • Le manoir de Sermizelles, propriété privée, est visible depuis la grille d'accès à l'angle de la rue de Vignol et du chemin de Sermizelles. Il subsiste encore une tour octogonale et un joli parc.
  • Le calvaire de Sermizelles, devant le manoir, indique par ses anciennes écritures gravées le lien avec le dernier héritier de la châtellenie de Monceaux le comte Barthélémy Olivier Guillaume Sermizelles et de Neuffontaines disparu en 1834.
  • Les puits publics se découvrent au hasard des déambulations dans le village, rue du Champs de Foire, rue Carnot, Grand Rue. Ils révèlent la faible profondeur des nappes phréatiques, tandis que leurs margelles faites d'un seul tenant, évoquent la qualité des pierres de taille dont les carrières sont situées à proximité.
  • L'ancien château fort a laissé quelques vestiges, la muraille et des anciennes édifications sont visibles à partir de la ruelle du Vieux-Château, ou encore quai du Moulin. Subsistent également des tours de l'époque des remparts, une tour le long de l'Yonne, accessible par la ruelle du Pavé à partir de la rue de l’Abreuvoir, une autre est située dans l'impasse dite Grande-Cour.
  • Les maisons de vignerons typiques de l'architecture vernaculaire sont encore visibles rue de l'Abreuvoir, avec leur escalier situé au-dessus de l'entrée des caves, car dans le passé Monceaux-le-Comte disposait de 10 hectares de vignes[27].
  • Un jardin public est situé dans l'ancien cimetière, il est ombragé, accessible par la rue Saint-Symphorien.

Activités culturelles

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  • Association Hostellerie de la Tour[28],[29] organise NATURE EN LIVRES - Une écopoétique de villages, en pays nivernais[30],[31]
  • La Palette de Monceaux[32],[33] dispense des ateliers et stages de peinture et d'aquarelle
  • Le Comité des fêtes gère le vide-grenier de l'Ascension et les festivités du 14-Juillet
  • Les Livreurs et Bookson proposent les Heures festives[34],[35]
  • Le musée du Son[36] est ouvert en été

Personnalités liées à la commune

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  • François Chevalier, châtelain de Monceaux-le-Comte en 1526. Garde-scel de Clamecy en 1520. Seigneur de Creux et de Presière. Il vit en 1547.
  • André Billardon (1940-), homme politique.
  • Denis Grozdanovitch, écrivain.

Galerie

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Monceaux-le-Comte et Lormes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lormes_sapc », sur la commune de Lormes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lormes_sapc », sur la commune de Lormes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Monceaux-le-Comte ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Monceaux le Comte — Wiki58 », sur gennievre.net (consulté le ).
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Monceaux-le-Comte », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  15. Ministère de l'action et des comptes publics, « Monceaux-le-Comte fiche détaillée », sur impots.gouv.fr, .
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Solenn de Royer, « « Une secrétaire de mairie, c’est trois têtes, des multibras et quinze jambes » : la lente disparition des gardiennes de la vie locale », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  21. Après un an de travaux, l'église de Monceaux-le-Comte est presque comme neuve
  22. « Les projets/ Eglise Saint Georges Monceaux le Comte ».
  23. Comte de Soultrait, « Patrimoine des communes de la Nièvre », sur wikinievre.
  24. Fabrice Cario, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 9, p.23/160.p.
  25. Fabrice Cario, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 12, p.27/160.p.
  26. Fabrice Cario, Trésors cachés des églises de la Nièvre, La Camosine, 1990, notice no 34, p.53/160.p.
  27. François BONNEAUD (Paysagiste dplg), Stéphane BERTIN (Paysagiste dplg), Marc VERDIER (Architecte-urbaniste), Jacques VERTES (Sigiste) et Thomas SCHMUTZ (Agronome), Atlas des paysages de la Nièvre, .
  28. « Création d’une association littéraire dans la Nièvre – Quartiers d'Art » (consulté le ).
  29. « Des Résidences d’écrivains – Hostellerie de la Tour » (consulté le ).
  30. fédération nationale des maisons d'écrivain et des patrimoines littéraires, « Le Cercle écopoétique de l’Hostellerie de la Tour en Nivernais », Bulletin, no 44,‎ , p. 22, 23 (lire en ligne).
  31. luc, « Nature en livres », sur Nature en livres, .
  32. « Atelier "La Palette de Monceaux" », sur Nièvre Tourisme (consulté le ).
  33. « MARLEEN MELENS, Fiche artiste », sur ARTactif (consulté le ).
  34. « Les Heures Festives • Les Livreurs », sur Les Livreurs, (consulté le ).
  35. Centre France, « Festival - Les Heures festives, à Monceaux-le-Comte, promettent des découvertes théâtrales », sur lejdc.fr, (consulté le ).
  36. Le journal du Centre, « Le musée du son réveille les sens », Journal du centre,‎ , https://www.lejdc.fr/monceaux-le-comte-58190/loisirs/le-musee-du-son-reveille-les-sens_1664852/.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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