Moncaup (Pyrénées-Atlantiques)

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Moncaup (prononcé [mɔ̃ko] ; en béarnais Montcauv ou Mouncaup) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Moncaup
Moncaup (Pyrénées-Atlantiques)
La mairie de Moncaup.
Blason de Moncaup
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Gabriel Hugues
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64390
Démographie
Gentilé Moncaupais ou Moncaupois
Population
municipale
157 hab. (2021 en évolution de +1,95 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 06″ nord, 0° 03′ 25″ ouest
Altitude Min. 171 m
Max. 291 m
Superficie 11,35 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Moncaup
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Moncaup
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Moncaup
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Moncaup

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Moncaup se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 42 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 39 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Monpezat (2,2 km), Corbère-Abères (2,8 km), Bétracq (3,2 km), Bassillon-Vauzé (3,4 km), Lascazères (3,6 km), Lasserre (3,9 km), Lahitte-Toupière (4,4 km), Hagedet (4,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Moncaup fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Lahitte-Toupière, Lascazères, Sombrun, Vidouze, Bassillon-Vauzé, Corbère-Abères, Monpezat et Séméacq-Blachon.

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Moncaup.

La commune est drainée par le Bergons, le Larcis, le Louet, le ruisseau de Mortères, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Bergons, d'une longueur totale de 25,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Mont, après avoir traversé 9 communes[8].

Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[9].

Le Louet, d'une longueur totale de 44,3 km, prend sa source dans la commune de Gardères et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Castelnau-Rivière-Basse, après avoir traversé 22 communes[10].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 039 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maubourguet à 7,73 km à vol d'oiseau[14], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[19], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[20],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[21],[Carte 3] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[22].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Moncaup est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[24],[25].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), terres arables (31,2 %), prairies (19 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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  • Ancien Moulin ;
  • Basté ;
  • Bourdalès ;
  • Boutigué ;
  • Camau ;
  • le Château ;
  • Coteaux en delà de Larcis ;
  • Domenjou ;
  • Duviau ;
  • Floris ;
  • Latrille ;
  • Mayné ;
  • Pantalou ;
  • Poublan.

Voies de communication et transports

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Elle est desservie par les routes départementales 51, 142 et 221.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Moncaup est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Louet, le Bergons et le Larcis. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990 et 2009[29],[27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Moncaup.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 92,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[31].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

Toponymie

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Le toponyme Moncaup apparaît sous les formes Mont-Caup (1343[34], hommages de Béarn[35]), Moncaub (1402[34], censier de Béarn[36]), Moncamp et Sainte-Luce de Moncaup (respectivement 1546[34] et 1680[34], réformation de Béarn[37]).

Son nom béarnais est Montcauv[38] ou Mouncaup[39].

Histoire

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En 1385, la commune comptait cinquante-deux feux et dépendait du bailliage de Lembeye. À cette même époque, Monpezat était une annexe de Moncaup.

Les Hospitaliers

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Paul Raymond[34] note que Moncaup était un membre de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

Héraldique

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  Blasonnement :
D'or à la montagne de trois coupeaux, deux de sinople sommés d'un de gueules, mouvant d'une muraille crénelée et défendue d'une tour et deux demies, le tout mouvant de la pointe et des flancs, d'argent maçonné et ajouré de sable; au chef d'azur chargé de trois coquilles d'argent[40]

Politique et administration

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Liste des maires de Moncaup
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Raymond Lansaman   agriculteur
2008 2014 Gabriel Hugues   viticulteur
2014 En cours Gabriel Hugues   viticulteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Moncaup fait partie de cinq structures intercommunales[41] :

Moncaup accueille le siège du SIVU de regroupement pédagogique d'Aurions-idernes, Arrosès, Séméacq-Blachon et Moncaup.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 157 habitants[Note 7], en évolution de +1,95 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
488617745829732824837754755
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
764690650653617614607661603
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
514513454394337312295270232
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
239192164165177144151154158
2014 2019 2021 - - - - - -
153159157------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Les vestiges d'un ancien ensemble fortifié[46] du XIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.

Une croix de chemin[47] se dresse au lieu-dit le Château, et date de la limite XIXe et XXe siècles.

Moncaup présente un ensemble de demeures et de fermes[48] dont la construction s'étale du XVIIe siècle au XIXe siècle, ainsi qu'une fontaine-lavoir[49] du XIXe siècle.

Un ancien moulin[50], signalé dès 1675, est également visible sur la commune.

Enfin le village a consenti en 2009 un effort considérable pour la restauration de son lavoir, des fontaines et sources. Il y a quatre circuits de 4 à 15 km pour en faire le tour ! Attention certaines ne sont pas facilement accessibles mais des ex-voto témoignent de leur fréquentation.

Patrimoine religieux

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L'actuelle église Sainte-Lucie[51] fut construite après 1903 pour remplacer l'ancien édifice[52] qui datait du haut Moyen Âge et qui fut abattue vers 1901. Elle recèle du mobilier[53], un tableau[54], des verrières[55] et des objets[56] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements

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Éducation

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La commune dispose d'une école élémentaire.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[32].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Moncaup » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Moncaup », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Moncaup », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Moncaup ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Moncaup et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Moncaup et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Moncaup », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Moncaup », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Bergons ».
  9. Sandre, « le Larcis ».
  10. Sandre, « le Louet ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Moncaup et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Maubourguet) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Maubourguet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Moncaup », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200779 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Moncaup », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF les « coteaux calcaires du Béarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Moncaup », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. Article R214-112 du code de l’environnement
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  34. a b c d et e Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  35. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  36. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  39. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  40. de France
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié
  47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de chemin
  48. [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10] [11][12][13][14][15][16][17][18] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les maisons et fermes anciennes
  49. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la fontaine-Lavoir
  50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ancien moulin
  51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la nouvelle église Sainte-Lucie
  52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ancienne église Sainte-Lucie
  53. [19][20][21][22][23][24] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Sainte-Lucie
  54. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Sainte-Lucie
  55. [25][26][27] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les verrières de l'église Sainte-Lucie
  56. [28][29][30][31][32][33] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église Sainte-Lucie

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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