Mirabelle Kajenjeri

pianiste française de parents burundais et ukrainiens

Mirabelle Kajenjeri est une pianiste, violoniste et conférencière française de parents burundais et ukrainien.

Mirabelle Kajenjeri
Mirabelle Kajenjeri le 13 octobre après un concert avec l'Orchestre Arcangelo au Théâtre Charcot de Marcq-en-Baroeul
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Conservatoire royal de Bruxelles (d)
Hochschule für Musik, Theater und Medien HannoverVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Pianiste, conférencière, violonisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Site web

Biographie

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Enfance, formation et débuts

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Mirabelle Kajenjeri est née en 1998 en Ukraine, de parents Burundais et Ukrainien[1],[2]. Elle débute le piano à 3 ans et le violon à l'âge de 6 ans en Ukraine[3]. Sa mère fait de la danse classique et son père joue d'un instrument traditionnel burundais. Elle poursuit sa formation à Roubaix dans le nord de la France et au Conservatoire Royal de Bruxelles en Belgique[3].

Parcours

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Mirabelle Kajenjeri est boursière du programme Yehudi Menuhin Live Music Now (2019) et de la Fondation Yamaha Music Europe Allemagne (2020). Passionnée de violon, qu'elle a commencé à l'âge de 6 ans en Ukraine. Elle l’étudie par la suite en France, puis en Belgique au Conservatoire Royal de Bruxelles

Selon La Libre Belgique, Mirabelle Kajenjeri captive son public avec :

« un toucher unique, maîtrisant les plus grandes acrobaties dans un (discret) sourire, désarmante de naturel et de générosité »

La pianiste française est récompensée de nombreux prix, notamment le premier prix du Concours international de piano de Santa Cecilia (2021) et le deuxième prix du Kissinger KlavierOlymp (2023).

Son récital, qui s'inspire de la nature, la spiritualité et les émotions, mêle des œuvres classiques à un répertoire moins connu. Elle fait dialoguer le Feuillet d'album de la compositrice française Marie Jaëll avec le cycle Miroirs de Ravel. La sonate Le sermon du feu de Rautavaara se trouve en contraste avec les joyaux lyriques Liebesleid et Liebesfreud, initialement composés pour violon par Kreisler et transcrits pour piano par Rachmaninov[4].

Notes et références

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  1. https://www.spectable.ch/artiste/mirabelle-kajenjeri
  2. « Mirabelle Kajenjeri • biographie pianiste • C. Bechstein », sur www.bechstein.com (consulté le )
  3. a et b « Mirabelle Kajenjeri, piano | Les Festivals de Wallonie 2023 », sur www.lesfestivalsdewallonie.be (consulté le )
  4. « Mirabelle Kajenjeri », sur Flagey, (consulté le )

Liens externes

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