Max Marest
Max Marest, né le au Havre et mort le à Yerres[1],[2], est un homme politique français. Membre de l’Union pour un mouvement populaire, il est sénateur de l’Essonne, conseiller général du canton de Saint-Chéron et maire de Breuillet.
Max Marest | |
Fonctions | |
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Sénateur français | |
– (4 ans, 6 mois et 11 jours) |
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Circonscription | Essonne |
Groupe politique | RPR (2000-2002) UMP (2002-2004) |
Prédécesseur | Jean-Jacques Robert |
– (1 an, 10 mois et 17 jours) |
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Circonscription | Essonne |
Groupe politique | RPR |
Prédécesseur | Jean Simonin |
Conseiller général de l'Essonne | |
– (18 ans, 11 mois et 25 jours) |
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Circonscription | Canton de Saint-Chéron |
Prédécesseur | René Sanvoisin |
Successeur | Jean-Pierre Delaunay |
Maire de Breuillet | |
– (18 ans, 2 mois et 29 jours) |
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Successeur | Jean-François Degoud |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Le Havre (Seine-Maritime, France) |
Date de décès | (à 86 ans) |
Lieu de décès | Yerres (Essonne, France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UMP |
Profession | Directeur commercial |
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Biographie
modifierMax Marest est né le au Havre.
Il effectue son service militaire en Algérie et au Maroc de 1952 à 1953 dans les régiments de Spahis algériens et marocains. Il est rappelé en 1956 pour servir en Algérie et encadrer les fusilliers de l'armée de l'air. Il quitte l'armée en 1957 avec le grade de lieutenant.
Max Marest est directeur commercial dans la vie civile. Il exerce la plus grande partie de sa carrière professionnelle dans la société Le « Comptoir Lyon-Alemand, Louyot et Cie ».
Carrière politique
modifierMax Marest commence sa carrière politique en 1977, année de son élection à la mairie de Breuillet. Il conserve son mandat jusqu’en 1995 et y ajoute, de 1982 à 2001 le mandat de conseiller général du canton de Saint-Chéron et de vice-président du conseil général de l'Essonne. Devenu une première fois sénateur en 1993 à la suite du décès de Jean Simonin, il n'est pas réélu en 1995 mais redevient sénateur en 2000 à la suite du décès de Jean-Jacques Robert[3]. En 2001, il choisit de laisser son siège de conseiller général à Jean-Pierre Delaunay et en 2004, il choisit de ne pas se représenter au mandat de sénateur.
Décorations et récompenses
modifierMax Marest a été décoré de la croix de la Valeur militaire avec l'étoile de bronze en 1957 pour son action lors d'un attentat à Alger au cours duquel il arrêta un des terroristes.
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
Sources
modifier- « Hommage à Max Marest », sur le site internet de la commune de Breuillet (consulté le ).
- « L’ancien maire de Breuillet et ex-sénateur Max Marest est décédé », sur le site internet du journal Le Parisien (consulté le ).
- Article Deux nouveaux sénateurs prennent leurs fonctions du 5 avril 2000 sur le site du Parisien. Consulté le 30/09/2009.