Mathilde Aussant
Mathilde Aussant, née Mathilde Céleste Gaudet[1] le à Donges (Loire-Atlantique) et morte le à Vendôme, est une supercentenaire française. Elle a été considérée à tort comme doyenne des Français lors du décès d'Eugénie Blanchard le car la véritable doyenne, Maria Diaz, n'était pas encore connue.
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Mathilde Céleste Gaudet |
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Biographie
modifierElle est née Gaudet en 1898 à Donges, de François Gaudet et Hélène Halgand en Loire-Inférieure. Elle est la 5e d'une fratrie de onze enfants. À la suite du décès de sa mère, elle quitte Donges en 1923 pour rejoindre Paris. Elle y exerce différents métiers (gardienne d'immeuble, femme de ménage). Elle épouse un cheminot de la gare Saint-Lazare qui meurt en 1936. Elle épouse en 1946 un autre cheminot, René Aussant, décédé en 1961[2].
Sa fille unique, née de son premier mariage, est morte en 2007. En 1999, elle rejoint la maison de retraite de la Sagesse à Morée[3].
En 2008, elle reçoit la médaille de la ville de Donges, sa ville natale et celle de l'assemblée nationale, remise par Maurice Leroy, président du conseil général de Loir-et-Cher et député[4].
Elle meurt à l'hôpital de Vendôme, le [5].
Elle est inhumée à Fréteval.
Notes et références
modifier- Fichier Insee des décès en France depuis 1970.
- Jean Delaviaud, « La nouvelle doyenne des Français est née à Donges », Ouest-France, (lire en ligne)
- Hervé Aussant, « La doyenne des Français dansait sur les tables », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne)
- [PDF] « La nouvelle doyenne des Français est née à Donges », sur cg41.fr (consulté le )
- « Doyenne des Français Mathilde Aussant est décédée », La Nouvelle République du Centre-Ouest, (lire en ligne)