Mareuil-sur-Lay-Dissais

commune française du département de la Vendée

Mareuil-sur-Lay-Dissais est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Mareuil-sur-Lay-Dissais
Mareuil-sur-Lay-Dissais
Une vue générale de Mareuil-sur-Lay en .
Blason de Mareuil-sur-Lay-Dissais
Blason
Mareuil-sur-Lay-Dissais
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Fontenay-le-Comte
Intercommunalité Communauté de communes Sud Vendée Littoral
Maire
Mandat
Vincent Jules
2020-2026
Code postal 85320
Code commune 85135
Démographie
Gentilé Mareuillais
Population
municipale
2 773 hab. (2021 en évolution de −1,18 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 32′ 07″ nord, 1° 13′ 17″ ouest
Altitude 31 m
Min. 0 m
Max. 78 m
Superficie 25,70 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Mareuil-sur-Lay-Dissais
(ville isolée)
Aire d'attraction La Roche-sur-Yon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mareuil-sur-Lay-Dissais
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Géographie

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Le territoire municipal de Mareuil-sur-Lay-Dissais s’étend sur 2 570 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 31 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 78 mètres[1],[2].

Mareuil-sur-Lay-Dissais se situe à la Plaine vendéenne, au sud du Bocage vendéen.

  Rosnay Château-Guibert Moutiers-sur-le-Lay  
La Couture N Bessay
O    Mareuil-sur-Lay-Dissais    E
S
La Couture Péault Corpe

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 780 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sainte Gemme la Plaine_sapc », sur la commune de Sainte-Gemme-la-Plaine à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Mareuil-sur-Lay-Dissais est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mareuil-sur-Lay-Dissais[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), zones urbanisées (9,7 %), forêts (6,8 %), prairies (5,4 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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La commune est née en 1974 de la fusion des communes de Mareuil-sur-Lay et de Dissais. Mareuil avait déjà, en 1827, absorbé les communes de Beaulieu-sur-Mareuil et de Saint-André.

Ancienne commune de Mareuil-sur-Lay

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Se référer à l'article Mareuil-sur-Lay.

Ancienne commune de Beaulieu-sur-Mareuil

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La première mention de ce lieu remonte à l'an 1107, à travers son église nommée en latin ecclesiae de Bello loco[15]. En 1533, le lieu est nommé, toujours en latin, Bellum Locum supra Marolium (Beaulieu "au-dessus de" Mareuil)[16]. De 1678 jusqu'à la Révolution, le bourg de Beaulieu a abrité la maison diocésaine ("le couvent") des pères lazaristes (officiellement la congrégation de la Mission) chargés notamment de l'évangélisation des plus modestes[17]. La commune créée sur le territoire de cette paroisse en 1790 s'étendait sur la partie Sud-Ouest de l'actuelle commune de Mareuil-sur-Lay-Dissais, au sud du Lay, le bourg de Beaulieu se trouvant en limite de l'ancienne commune de Mareuil[18]. Pendant la guerre de Vendée, au moins en avril-mai 1794, c'est à Beaulieu, probablement dans l'ancien couvent lazariste, que l'administration républicaine du district de la Roche-sur-Yon se réfugia[19],[17]. Après la Révolution, la paroisse n'a pas été rétablie. Au recensement de 1820, la commune comptait 242 habitants[20]. Son dernier maire, Édouard de Châteigner (maire de 1809 à 1827), avait combattu aux côtés de Charette durant les derniers mois de la guerre de Vendée (novembre 1795-mars 1796)[21]. La commune est supprimée et réunie à Mareuil-sur-Lay par ordonnance royale du 21 août 1827, en même temps que celle de Saint-André-sur-Mareuil[15].

Ancienne commune de Saint-André-sur-Mareuil

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La première mention de ce lieu remonte à l'an 1284 ; il est alors appelé en latin S. Andreas supra Marolium (Saint-André "au-dessus de" Mareuil)[22]. Au XVIIè-XVIIIè s. il est appelé Saint-André-de-Mareuil sur les registres paroissiaux, avant de prendre le nom de Saint-André-sur-Mareuil au XVIIIè siècle (Registre paroissial commencé en 1744)[23], dénomination qui sera celle de la commune créée en 1790. Sous la Révolution, pendant une année (en l'an IV, soit 1795-1796), elle porte le nom d'André-le-Vigneron[24] ; il est vrai que ses vins étaient parmi les plus réputés du pays de Mareuil[19]. Cette commune s'étendait sur l'actuel territoire de Mareuil-sur-Lay-Dissais situé au nord du Lay et à l'ouest du Marillet[25]. Au recensement de 1820, elle comptait 330 habitants[26]. Le lieu le plus peuplé en était le Marchiou, un faubourg de Mareuil, le "bourg" de Saint-André ne comprenant alors qu'une grande demeure et deux exploitations agricoles[25]. Après la Révolution, la paroisse n'est pas rétablie et l'église, ruinée par les troupes républicaines, est vendue[27] ; il en reste aujourd'hui des murs au sein du domaine du château de Saint-André[28]. La commune de Saint-André-sur-Mareuil est supprimée et réunie à Mareuil-sur-Lay en 1827[22].

Ancienne commune de Dissais

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Dissais est probablement un toponyme formé sur le nom d'homme latin Dicaeus : il s'agissait donc, à la fin de l'Antiquité, du "domaine de Dicaeus"[16]. Les éléments les plus anciens de l'église Notre-Dame semblent dater du XIe-XIIe siècle[29], mais le lieu n'est cité pour la première fois que vers 1306 (Dissayo)[30]. Au XVIIIe siècle, la seigneurie de Dissais appartenait à la famille Sabourin (François Sabourin I en est cité comme seigneur à partir de 1693) ; il s'agissait de juges royaux résidant ordinairement à Fontenay-le-Comte mais plusieurs de ses membres furent inhumés dans l'église de Dissais[31]. La commune créée sur le territoire de cette paroisse en 1790 couvrait la portion Sud-Est de l'actuelle commune de Mareuil-sur-Lay-Dissais. La paroisse ne fut pas relevée après la Révolution et l'église fut vendue en 1798[32]. Les recensements montrent une population relativement stable : 234 habitants en 1820, 246 habitants en 1946. Elle est réunie à Mareuil-sur-Lay par arrêté préfectoral du 20 décembre 1973 pour former la commune de Mareuil-sur-Lay-Dissais[30].

Emblèmes

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Héraldique

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  Blasonnement :
D'or, au chevron de gueules, accompagné de trois aiglettes d'azur, becquées et membrées de gueules[33].

La devise de Mareuil-sur-Lay-Dissais : Sans sortir de l'ornière.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Gérard Priouzeau[34],[35] DVD puis
UDF
Agriculteur
Conseiller régional des Pays de la Loire (1992 → 1998)
Conseiller général du canton de Mareuil-sur-Lay-Dissais (1970 → 2001)
Président de la CC du Pays-Mareuillais (1997 → 2001)
[36] Jean-Pierre Hocq DVD Vétérinaire retraité
Conseiller général du canton de Mareuil-sur-Lay-Dissais (2001 → 2015)
Président de la CC du Pays-Mareuillais (2008 → 2014)
8e vice-président de Sud-Vendée-Littoral (2017 → 2020)
Réélu en 2008 et 2014[37]
[38] En cours Vincent Jules SE-DVD Œnologue

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].

En 2021, la commune comptait 2 773 habitants[Note 3], en évolution de −1,18 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
4574476651 2891 4971 6091 7051 6651 729
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 7811 8701 7111 7791 8961 9121 8971 8401 871
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 8351 7581 6331 5991 4881 4521 3471 4201 547
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 5561 8312 0122 2072 2772 5802 5702 6702 778
2019 2021 - - - - - - -
2 7922 773-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,8 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 385 hommes pour 1 418 femmes, soit un taux de 50,59 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
2,9 
9,8 
75-89 ans
12,9 
22,4 
60-74 ans
22,8 
18,4 
45-59 ans
18,4 
15,2 
30-44 ans
15,5 
15,0 
15-29 ans
11,4 
18,6 
0-14 ans
16,1 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2021 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Lieux et monuments

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Personnalité liée à la commune

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Jumelages

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Commune 12692 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Mareuil-sur-Lay-Dissais », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Mareuil-sur-Lay-Dissais et Sainte-Gemme-la-Plaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sainte Gemme la Plaine_sapc », sur la commune de Sainte-Gemme-la-Plaine - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Sainte Gemme la Plaine_sapc », sur la commune de Sainte-Gemme-la-Plaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Mareuil-sur-Lay-Dissais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mareuil-sur-Lay-Dissais ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Dictionnaire historique des communes », sur archives.vendee.fr (consulté le ).
  16. a et b Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste éditions, (ISBN 2-84561-263-X)
  17. a et b « Fichier historique du diocèse de Luçon - Les paroisses (1 Num 47/210) », sur archives.vendee.fr (consulté le ).
  18. « Cadastre de Beaulieu-sur-Mareuil (1820) », sur archives.vendee.fr.
  19. a et b abbé Aillery, Chroniques paroissiales, Tome deuxième, Luçon, M. Bideaux, imprimeur de l'évêché, (lire en ligne)
  20. « Recensement de Beaulieu-sur-Mareuil (1820) », sur archives.vendee.fr.
  21. Henri Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, Poitiers, Imprimerie Oudin et Cie,
  22. a et b « Dictionnaire historique des communes », sur archives.vendee.fr (consulté le ).
  23. « Registres paroissiaux de Saint-André-sur-Mareuil », sur archives.vendee.fr.
  24. « État-civil de Saint-André-sur-Mareuil », sur archives.vendee.fr.
  25. a et b « Cadastre de Saint-André-sur-Mareuil de 1819 », sur archives.vendee.fr.
  26. « Recensement de la population de Saint-André-sur-Mareuil (1820) », sur archives.vendee.fr.
  27. « Fichier historique du diocèse de Luçon – Les paroisses – 1 Num 47/405 », sur archives.vendee.fr.
  28. « Le château (de Saint-André) et son histoire », sur chateau-saintandre.fr (consulté le ).
  29. « Église de Dissais - Site des Trois Batailles », sur mareuilsurlay.fr (site officiel de la commune) (consulté le ).
  30. a et b « Dictionnaire des communes », sur archives.vendee.fr (consulté le ).
  31. Jean Maillaud, « Notes généalogiques (pages 453 à 458) », sur archives.vendee.fr.
  32. « Fichier historique du diocèse de Luçon - Les paroisses ( 1 Num 47/286) », sur archives.vendee.fr.
  33. « http://www.labanquedublason2.com »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  34. « Cantonales : ceux qui repartent », Ouest-France,‎ .
  35. « L’incontournable Gérard Priouzeau aux prises avec six candidats », Ouest-France,‎ .
  36. « Jean-Pierre Hocq, nouveau maire élu par le conseil municipal », Ouest-France,‎ .
  37. « Jean-Pierre Hocq réélu pour un 3e mandat de maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  38. « Mareuil-sur-Lay-Dissais. Vincent Jules a été élu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mareuil-sur-Lay-Dissais (85135) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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