Marbéville
Marbéville est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.
Marbéville | |||||
Le clocher émergeant d'un verger à l'entrée du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Haute-Marne | ||||
Arrondissement | Chaumont | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Chaumont, du Bassin Nogentais et du Bassin de Bologne Vignory Froncles | ||||
Maire Mandat |
Michel Courageot 2020-2026 |
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Code postal | 52320 | ||||
Code commune | 52310 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marbévillois, Marbévilloises | ||||
Population municipale |
99 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 16′ 38″ nord, 5° 01′ 25″ est | ||||
Altitude | 315 m |
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Superficie | 17,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bologne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Marne
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Géographie
modifierSituée à 315 mètres d'altitude, la commune s'étend sur 17,7 km2 dont une grande partie en forêt.
Localisation
modifierGuindrecourt-sur-Blaise | Ambonville | Mirbel | ||
Curmont | N | La Genevroye | ||
O Marbéville E | ||||
S | ||||
Sexfontaines | Ormoy-lès-Sexfontaines |
Hydrographie
modifierLa commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[1],[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blécourt », sur la commune de Blécourt à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 879,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Marbéville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), terres arables (35,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (1,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
modifierIl est fait mention de Marbéville en 1252 (Marbeti-Villa) c'est-à-dire la ferme de Marbetus. Le village a toujours eu une vocation agricole très importante.
La seigneurie appartenait au baron du Châtelet (de Cirey-sur-Blaise).
Il n'est pas fait mention sur la commune de château ni même de maison forte. Aucune famille noble n'a séjourné sur le village d'après les registres paroissiaux. Voici quelques familles importantes ou de certains personnages qui ont marqué l'histoire du village.
Tout d'abord mentionnons maître Nicolas Rhin né à Marbéville vers 1585, il fut sergent et huissier royal à Daillancourt puis lieutenant de Justice pour le compte de la famille de Choiseul à Ambonville.
- Les Georges
Maître Pierre Euvrard né vers 1590, est cité comme le premier lieutenant de la justice de Marbéville. Son gendre Aubin George, probablement originaire d'Ambonville, est incontestablement le personnage le plus important de la commune en cette fin du XVIIe siècle. Substitut du procureur fiscal, praticien (notaire seigneurial) et surtout marchand, Aubin George est un individu avec lequel il faut compter dans la petite région du Blaisois. Il épouse Margueritte Euvrard fille de Pierre Euvrard nommé précédemment. De leur union mentionnons :
a) Maître François George, procureur fiscal de la seigneurie d'Ambonville pour le compte des Choiseul, il fut également syndic perpétuel d'Ambonville et marchand.
b) Maître Nicolas George, marchand et exempt de la maréchaussée d'Ambonville (chargé du ravitaillement des troupes).
c) Maître Pierre George, est né à Marbéville vers 1665 et y demeure. Nommé lieutenant de la Justice de Marbéville, il est aussi exempt et syndic perpétuel de la commune. Il épouse damoiselle Anne Donnot fille de François Donnot, lieutenant au bailliage de Montier-sur-Saulx (Meuse). Pierre George s'éteint le . Après son décès les Georges n'auront plus aucune influence sur la commune tout du moins en leur nom propre.
- Les Guyot
Dans le même temps, une autre famille apparaît dans la commune ou plus exactement un autre personnage. Il s’agit de Joseph Guyot (1610-1687). Il est né à Bouzancourt aux alentours de 1610, d'abord laboureur à Bouzancourt, il épouse en second Nicole Harmand (1620-1699) originaire de Blaise. Les Harmand sont une famille de maîtres taillandiers, mais aussi de maîtres armuriers et arquebusiers. L'un d'eux, Étienne, fait fortune et épouse même Margueritte de Saulx issue de la noblesse. Joseph Guyot et Nicole Harmand s'installent à Marbéville aux environs de 1650. Ils sont les ancêtres de la nombreuse descendance Guyot et de beaucoup de Marbévillois aujourd'hui.
Au XVIIe siècle, les Guyot n'ont que peu d'influence sur la commune. Il faut parler au départ d'un essor démographique qui s'effectue principalement par François Guyot (1654-1729) et fils de Joseph. François Guyot épouse le Pierrette Desnouveaux de Mirbel et issue d'une famille de Charpentier. De leur union, trois fils nous intéressent, Charles, François et Bernard Guyot. Ils épousent tous les trois, les trois sœurs Voillequin de Biernes et filles de maître Pierre Voillequin, lieutenant de la Baronnie de la Voivre. Ce sont ces trois frères qui sont à l'origine de l'ascension sociale de la famille Guyot. Bien que certains vont exercer quelques charges dans la justice locale, citons Joseph (1748-1819) syndic de Marbéville, François (1740-1800) greffier en la justice et surtout Jean François (1741-1828) greffier en la Justice, officier public élu le 8 janvier 1793 puis maire de 1808 à 1815, la vocation des Guyot est tournée essentiellement vers l'accroissement des terres. De plus la période est favorable et la Révolution pointe à l'horizon. Les Guyot deviennent en ce début du XIXe siècle les propriétaires terriens les plus importants de la région. Dans un souci de conserver le patrimoine, ils s’orientent inexorablement vers des mariages consanguins. La période faste de cette famille couvre plus d'un siècle. Elle débute vers 1740 pour finir vers 1880. Citons quelques personnages :
a) Jean François Guyot est né le à Marbéville, il est fils de Charles Guyot (1715-1773) et d'Anne Voillequin. Greffier en la justice du lieu il épouse dame Marie Thérèse Tarlet, fille de Firmin Eugène Tarlet, receveur des Fermes du roi à Vignory, admodiateur des domaines du prieuré de Saint-Blin, procureur fiscal de la seigneurie de Marbéville et bourgeois de Vignory et Marbéville. Marie Thérèse Tarlet était l'arrière-petite-fille de Maître Pierre George. Jean François Guyot mentionné bourgeois de Marbéville, sera le premier officier public (maire) de la commune et son beau-père prendra la suite quelques années plus tard. Son fils Pierre Eugène Guyot briguera lui aussi un mandat de 1815 à 1830. Il faut souligner que l'élection des maires de l'époque n'est pas le fruit du vote de la populace mais provient d'une nomination de l'administration qui choisit le plus souvent parmi les plus notables voir parmi les nobles s’ils existent dans la commune.
b) François Martin Alexis Guyot est né le à Marbéville. C'est un personnage incontournable en ce début de XIXe siècle. Important propriétaire terrien, il est également élu maire de la commune dans les années 1835. Il épouse Marie Jeanne Guyot sa cousine issue de germain par deux fois. Marie Jeanne Guyot est la petite-fille de Claude Girardin, Marchand de Lachapelle et l'arrière-petite-fille de Sébastien Paulin, Procureur Fiscal de Lachapelle en Blaisy. Leur fils Alexandre Guyot (1817-1895) sera également maire de la commune pendant près de vingt ans.
- Les Piot
Incontestablement la famille la plus nombreuse de la commune (environ 300 naissances en deux siècles). En 1820 les familles Piot et Guyot composent à elles seules environ 30 % de la population. Comme nous l'avons dit, la vocation économique du village repose essentiellement sur l'agriculture. Néanmoins la proximité de la forêt de l'Étoile, appelé forêt de Lenoncourt sous l'ancien régime parce qu'ayant appartenu longtemps à cette famille noble de Lorraine, conduit nombre d'habitants du village à exercer le métier de charbonnier. Les Piot furent parmi les premiers charbonniers de l'étoile. Citons :
a) Jean Piot, né peut-être à Marbéville aux environs de 1635, il est charbonnier dans la forêt de l'Étoile, tantôt sur le finage de Marbéville, tantôt sur celui de Lachapelle et de Lamothe ainsi que d'Ormoy. Il épouse Barbe Thierry de Lamothe.
b) Claude Piot (1684-1761), petit-fils du précédent, et maître charbonnier dans les bois de Lenoncourt. Il épouse Marie Caput de Montherie. De leur union mentionnons : Louis, Edmé et Jean Piot tous trois maîtres charbonniers à l'Étoile et Jacques Piot charbonnier à Sexfontaines.
Loin d'être des gens incultes (il suffit de considérer leurs signatures), ils sont souvent parmi ceux qui possèdent le savoir. Ainsi Noel Piot (1675-1750) fils de Jean Piot et de Barbe Thierry fut recteur d'école de Marbéville pendant près de 35 ans. Citons également François Piot, né à Marbéville en 1694 et maître de forge à Bologne. Un autre François Piot, sabotier, né le ainsi que son frère Pierre Piot et garde forestier pour la famille du Chatelet font partie des personnages de la commune en cette fin du XVIIIe siècle. Il nous faut parler également de Pierre Nicolas Piot, né le à Marbéville et mort à Paris le qui fut longtemps instituteur dans la commune.
- Les Demerson
Les Demerson sont originaires de Villiers-sur-Marne. L'un d'eux, maître Nicolas Demerson (1645-1686), domicilié à Guindrecourt, fut lieutenant de la Justice de Marbéville avant la nomination de maître Pierre George. Son petit-fils, Mames Demerson (1714-1789) était venu s'installer à Marbéville en 1749. Il contracta alliance en second avec Margueritte Guyot (1742-1787). De cette union est née Anne Demerson le à Marbéville. C'est sans doute l'enfant du village la plus célèbre. Entrée à la Comédie-Française en 1810, ce fut une comédienne de talent et de grand succès. Elle fut sociétaire de la Comédie-Française pendant vingt ans.
- Les Multier
L'origine de la famille Multier à Marbéville vient de Joseph Multier (1710-1784), originaire de Blaise, il s'installe dans la commune en 1730 lors de son mariage avec Jeanne Bertrand matrone jurée de Marbéville (1713-1785). Les débuts de cette famille sont modestes. De surcroît la famille Bertrand est plutôt pauvre. Jean Bertrand l’aïeul de Jeanne Bertrand est mendiant dans la commune. Il faut attendre le petit-fils de Joseph, Pierre Nicolas Edmé Multier né en 1764, pour percevoir une évolution sociale. Pierre Nicolas Edmé Multier épouse Anne Charlotte Cultrud de La Genevroye. De leur union, citons Charles Nicolas Multier (1799-1886), prêtre de Marbéville et Nicolas Multier (1794-1883) propriétaire et maire de la commune. L'influence de cette famille est surtout perceptible dans la seconde moitié du XIXe siècle avec Antoine Sigismond Multier, né en 1838, propriétaire et maire de la commune. Victor Nicolas Multier, né en 1857, et René Marie Georges Multier, né en 1888, ses neveux, furent eux aussi maires de Marbéville.
- Les Fourrier
C'est une famille originaire de Cerizières. Les Fourrier de Marbéville tirent leur origine de Nicolas Fourrier (1721-1796). Né probablement à la ferme de Morfontaine dont son père Jacques Fourrier est administrateur il s'installe dans le village en 1744 lors de son mariage avec Marie Simonne Maillot du dit lieu. Très vite Nicolas Fourrier s'impose dans la commune. Pierre Fourrier son fils est recteur d'école de 1766 à 1771 puis aubergiste à Soncourt. Juste Fourrier un autre de ses fils est lui aussi aubergiste, tandis que Nicolas et Jacques sont cultivateurs. L'un des descendants, Ernest Hyppolite Fourrier, né en 1856 sera maire de la commune en 1902, il est décédé en Seine-et-Marne avec sa femme Marie Anasthasie Huot.
- Les Huot
Originaire de Lamothe. Le premier à être mentionné est Simon Huot (1675-ca1725) alors greffier de la Justice de Lamothe mais celui-ci ne résidera jamais à Marbéville. Son petit-fils François Huot, résidant à Curmont, contracte alliance à Marbéville avec Barbe Piot, petite-fille de Noel Piot et recteur d'école, mais lui aussi ne sera jamais un habitant de la commune. Ce sont ses fils, François et Jacques Alexandre Huot, qui s'installent dans le village en 1804. Le premier François épouse Marie Jeanne Fourrier, fille de Nicolas Fourrier et Edmée Demerson, et le second Jacques Alexandre prend pour femme Marie Edmée Piot, fille de François Piot (cité plus haut) et de Marie Fourrier. Très vite les Huot se révèlent être des propriétaires importants. Le plus en vue d'entre eux est sans doute Jacques François Huot (1808-1882) qui s'allie avec Célénie Daubanton, fille du notable Claude Daubanton de Rouécourt. Citons également Jacques Alexandre Huot (1820-1863), son frère, qui fut diacre à Paris puis prêtre et missionnaire en Chine.
Politique et administration
modifierMaires de Marbéville (naissance et décès) :
- Jean François GUYOT 1741
- Joseph GUYOT 1748-1819 (cousin germain de Jean François Guyot)
- Claude COLLOT ca 1752
- Pierre Eugène GUYOT 1775 (fils de Jean François Guyot)
- François Martin Alexis GUYOT 1779-1868 (neveu de Joseph Guyot)
- Nicolas MULTIER 1794-1883
- Alexandre GUYOT 1817-1895 (fils de François Martin Alexis Guyot)
- Antoine Sigismond MULTIER 1838 (fils de Nicolas Multier)
- Ernest Hyppolite FOURRIER 1856
- Victor Nicolas MULTIER 1857- (petit-fils de Nicolas Multier)
- René Marie Georges MULTIER 1888-ca1981 (fils du précédent)
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].
En 2021, la commune comptait 99 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierÉconomie
modifierLa commune compte une quarantaine d'emplois répartis entre trois entreprises (scierie, matériel agricole, transport) implantées depuis plusieurs générations.
Lieux et monuments
modifier- Église Saint Martin.
Personnalités liées à la commune
modifier- Nicolas Rhin, né vers 1585 à Marbéville, huissier royal à Daillancourt et lieutenant en la justice d'Ambonville pour la famille de Choiseul.
- Pierre Euvrard, né vers 1595, lieutenant en la Justice de Marbéville.
- Aubin George (1620-1700), notaire seigneurial, substitut du procureur fiscal, marchand.
- Pierre George (1666-1731), lieutenant en la Justice de Marbéville, exempt, syndic perpétuel.
- Noêl Piot (1677-1750), recteur d'école de Marbéville de 1696 à 1727 et de 1742 à 1745.
- François Piot (1694-), maître de forge à Bologne.
- Louis Antoine Crozat (1700-1770), seigneur de Marbéville et collectionneur d'art
- Firmin Eugène Tarlet (1730-1805), procureur fiscal, bourgeois de Vignory, maire de Marbéville.
- Jean François Guyot (1741-1815), 1er maire de la commune, bourgeois de Marbéville, greffier.
- Anne Demerson (1786-1872), comédienne de théâtre de renom entrée à la Comédie-Française en 1810.
- Pierre Nicolas Piot (1805-1877), instituteur de Marbéville, mort à Paris.
- Jacques Alexandre Huot (1820-1863), prêtre puis missionnaire en Chine où il meurt.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Marbéville sur le site de la Communauté de Communes du Bassin de Bologne Vignory Froncles.
- Marbéville sur le site de l'Institut géographique national
- Généalogie de Marbéville 1667-1792 sur le site GeneaNet d'après Emmanuel Laporte
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Marbéville » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Fiche communale de Marbéville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Marbéville et Blécourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Blécourt », sur la commune de Blécourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Blécourt », sur la commune de Blécourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Marbéville ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Texte rédigé par Emmanuel Laporte d'après ses recherches
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.