Majastres

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Majastres (Majastre en provençal selon la norme classique et la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Majastres
Majastres
Vue générale du village.
Blason de Majastres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Jean Sevenier
2020-2026
Code postal 04270
Code commune 04107
Démographie
Gentilé Malejactois
Population
municipale
hab. (2021 en évolution de +66,67 % par rapport à 2015)
Densité 0,17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 51″ nord, 6° 17′ 23″ est
Altitude Min. 800 m
Max. 1 860 m
Superficie 29,85 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Majastres
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Majastres
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Majastres
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Majastres

Avec cinq habitants permanents en 2021, elle est la commune la moins peuplée du département (Alpes-de-Haute-Provence) et de la région (Provence-Alpes-Côte d'Azur).

Le nom de ses habitants est Malejactois[1].

Géographie

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Majastres et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Situation et accès

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Le village est situé à 1 143 mètres d’altitude[2],[3], au cœur du massif du Montdenier. La commune est membre du Parc naturel régional du Verdon.

Le point culminant est le sommet du Serre de Montdenier, à 1 749 mètres d’altitude.

On peut y accéder par une route suivant la vallée de l’Estoublaïsse et par le col de Saint-Jurs (1318 mètres) au départ de Saint-Jurs, alternativement dans une forêt méditerranéenne (pins et chênes) et dans des gorges étroites, et réduite à l’état de piste terreuse sur une partie de son parcours.

Une autre piste étroite et très caillouteuse relie Majastres à Blieux. Enfin, on peut atteindre Majastres à partir de Mézel, par le col de la Croix (869 mètres) et par la route départementale 17 : la route est étroite mais correctement goudronnée.

Communes limitrophes

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Majastres est limitrophe de six communes, toutes situées dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et réparties géographiquement de la manière suivante :

Géologie et relief

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C'est une des communes couvertes par la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence[4]

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur Majastres.

Hydrographie

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  • L'eau dans la commune[5] :
    • Liste des masses d'eau superficielles directement impactées (traversant la commune) : ravin du riou d'ourgeas; ravin du pas d'escale; L'Estoublaise
  • Mesure des eaux souterraines, Lieu-dit : Ruisseau De Ville : Code national du point d’eau : 09702X0001/HY, Code européen du point d’eau : FR09702X0001/HY[6].

Flore et faune

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Une liste des espèces recensées a permis d'inventorier 754 taxons terminaux (espèces et infra-espèces) sur la commune[7].

Transports

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La seule route desservant la commune de Majastres est la départementale 17 des Alpes-de-Haute-Provence, une route difficile qui la relie à la vallée de l'Asse (Mézel) au nord, et à celle du Verdon (Rougon) au sud.

L'ancienne halte du « Train des Pignes », située à plusieurs heures de marche du village entre Norante et Barrême, a été fermée en 2013.

Risques majeurs

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Le canton de Mézel auquel appartient Majastres est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Majastres est également exposée à deux autres risques naturels[9] : les feux de forêt et les mouvements de terrain.

La commune de Majastres n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10]

et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10]
; le Dicrim n’existe pas non plus[11].

Le seul tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le , avec une intensité macro-sismique ressentie de IV et demi sur l’échelle MSK[12],[13].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 923 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs à 7 km à vol d'oiseau[16], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Majastres est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22] et hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,7 %), forêts (40,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %)[25].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1040, de terra Magastris. Selon Charles Rostaing, il s’agirait d’un nom formé sur une racine pré-indo-européenne, *Mag-. Selon Ernest Nègre, il peut s’agir d’un nom propitiatoire, visant à attirer un destin favorable, formé de l’occitan mager (plus grand) et astre (destin) : le village au destin meilleur[26],[27].

Charles Rostaing considère que Levens, de la même façon que Majastres, est un toponyme antérieur aux Gaulois[28].

Histoire

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La communauté de Majastres, signalée en 1040 pour la première fois[29], relevait de la baillie de Digne[29]. Le chapitre de Riez percevait les revenus liés aux églises des deux communautés de Levens et Majastres. Il existait également deux prieurés, Saint-Sauveur et Saint-Pierre[29]. En 1309, Guillaume de Roumoules est signalé comme seigneur de Roumoules, de Beaujeu, de Bédéjun, de Bras-d'Asse, d'Entrages, de Majastres, de Vergons et d'Estoublon[30].

Durant les guerres de religion, le bourg est attaqué et saccagé par les protestants en 1574[31]. Les carcistes (catholiques radicaux), menés par le comte de Sault et Hubert de Garde de Vins, prennent et saccagent le village le [32].

Durant la Révolution, cette commune comptait une société patriotique, créée après la fin de 1792[33]. Les communes du Poil et de Majastres en possédaient également chacun une, mais les deux communes ayant de bonnes relations, elles fusionnent en mai 1793[34].

Comme de nombreuses communes du département, Levens et Majastres se dotent d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, chaque commune en possède une, installée au chef-lieu, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[35]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[36], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent les deux communes[37], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Levens et de Majastres sont régulièrement scolarisées.

La commune de Levens est rattachée à Majastres en 1951[38]. Son nom apparaît dans les chartes vers 1200, sous la forme Levenz[39]. Elle comptait 27 feux en 1301, était comme Majastres inhabitée en 1471 et avait 169 habitants en 1765[39].

Économie

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Aperçu général

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En 2009, la population active comptait une seule personne, ayant un emploi[40]. Du fait de l’extrême faiblesse de l’économie locale, le secteur primaire représente la totalité des emplois de Majastres.

Agriculture

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Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et un emploi salarié[41].

Les exploitations professionnelles sont inexistantes en 2010, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture[42]. Elles étaient trois en 1988[43] avec une surface agricole utile (SAU) de 544 hectares[43].

Activités de service

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Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait un seul établissement, la mairie[41].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant, statistique faussée par la faiblesse de la population[44]. La seule capacité d'hébergement de la commune consiste en ses résidences secondaires[45] : au nombre de 12, elles représentent 86 % des logements[46],[47].

Politique et administration

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Habitants, électeurs et élus

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Bien que ne comptant que quatre habitants permanents (en 2017), la commune compte 19 électeurs inscrits, incluant les résidents secondaires. Conformément à la loi, le conseil municipal compte sept membres, élus au scrutin plurinominal. Pour les élections de , neuf candidats se présentent, dont le maire sortant[48].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 mars 1983 ? Adrien Pierrisnard[49]    
mars 1983 21 juin 2013
(décès)
Gustave Pierrisnard[50],[51] PCF[52] Retraité
mars 2014 En cours
(au 5 janvier 2022)
Jean Sévenier[53] SE Artisan
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Majastres a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

Budget et fiscalité 2015

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En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[54] :

  • total des produits de fonctionnement : 33 000 , soit 16 461  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 45 000 , soit 22 681  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 16 000 , soit 8 089  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 9 000 , soit 4 669  par habitant.
  • endettement : 0 , soit 25  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 2,67 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 3,22 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 25,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Démographie

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Majastres est une des communes parmi les moins peuplées de France avec Rochefourchat et Aulan (Drôme), Leménil-Mitry (Meurthe-et-Moselle), Baren (Haute-Garonne) et Ornes (Meuse). En 2021, la commune comptait 5 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants sont effectués tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Mane). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Majastres

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].

En 2021, la commune comptait 5 habitants[Note 2], en évolution de +66,67 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
276224202216248270270263259
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
225245226213202165166174156
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
143137117955754414443
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
352720141210822
2016 2021 - - - - - - -
45-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
26 feuxinhabitée
Évolution démographique de Levens depuis 1315
1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
27 feuxinhabité16913188134155157178152
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
16716315313913712613811099103
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 -
78746655197445-
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[39]., EHESS[58])
 
Façade de l'église Notre-Dame de la Roche.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
De gueules à la tour d'or maçonnée de sable posée sur un mont d'argent[61],[62].
Détails
Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Levens
  Blason
D'azur à la fasce d'argent, chargée de l'inscription « LEVENS » en lettres capitales de sable[63],[62].
Détails
Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Filmographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. Le repère du Nivellement général indique 1143 ± 1 m
  4. Réserve géologique de Haute-Provence
  5. L'eau dans la commune
  6. Station de mesure des eaux souterraines
  7. Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  8. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, , p.39.
  9. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 31 juillet 2012
  10. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 96.
  11. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 31 juillet 2011
  12. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Majastres », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 31 juillet 2012
  13. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consultée le 31 juillet 2012
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Majastres et Saint-Jurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  21. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  22. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 199-200
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 21048, p 1122
  28. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, carte 11 et commentaire
  29. a b c d et e Daniel Thiery, « Majastres- Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », (consulté le ).
  30. Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 446
  31. Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, (ISBN 2-7449-0139-3), p.200.
  32. Cru 2001, p. 201.
  33. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307,‎ 1er trimestre 1989, p.296-298.
  34. Alphand 1989, p. 296.
  35. Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  36. Labadie 2013, p. 16.
  37. Labadie 2013, p. 18.
  38. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. a b c et d Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 180-181.
  40. Dossier local - Commune :Majastres, Insee (lire en ligne), p.5.
  41. a et b Dossier local, p. 15.
  42. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
  43. a et b Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
  44. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, (lire en ligne), p.6.
  45. Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 44.
  46. Dossier local, p. 16.
  47. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
  48. P.S., « Municipales 2020 : à Majastres, un des plus petits villages de France, “être maire, c'est être le papa de tout le monde” », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
  49. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  50. Gustave Pierrisnard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
  51. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013
  52. Annuaire des mairies des Alpes-de-Haute-Provence
  53. , « [1] », 2020, consultée le 5 janvier 2022.
  54. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Levens », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  59. Monument aux morts de la guerre de 14-18
  60. Monument aux morts
  61. « 04107 Majastres (Alpes-de-Haute-Provence) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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