Méteren
Méteren [metʁɛn] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
Méteren | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Cœur de Flandre | ||||
Maire Mandat |
Elizabeth Boulet 2020-2026 |
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Code postal | 59270 | ||||
Code commune | 59401 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Méterennois | ||||
Population municipale |
2 256 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 122 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 44′ 29″ nord, 2° 41′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 150 m |
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Superficie | 18,44 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Armentières (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bailleul | ||||
Législatives | Quinzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierMéteren est située dans le département du Nord, jouxtant la ville de Bailleul et le Mont des Cats. Son territoire s'étend sur 1 844 hectares. Elle est traversée par la RD 933, la RD 42, la RD 18 et la RD 318. Deux échangeurs de l'autoroute A25 desservent le village.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Meteren Becque, la Becque de Flètre, la Courte Croix[1], les Quatre Fils Aymon[2],[3],[Carte 1].
La Meteren Becque, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Lys à Estaires, après avoir traversé sept communes[4].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang des Quatre Fils Aymon (4,3 ha)[Carte 1],[5].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Méteren est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (4,2 %), forêts (0,1 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
modifierMéteren est un hydronyme et viendrait de Matrona (divinité des sources et des cours d'eau). En 1158, le village est cité sous le nom de Matrenes (bulle du pape Alexandre III)[19].
Histoire
modifierÉpoque médiévale
modifierRestes du château des seigneurs de Méteren. D'après Behague, il en est resté des vestiges jusque vers le milieu du XIXe s., sur la propriété dénommée dans le terrier “Hoog-Wal”; l'endroit s'appelait le fort (t'foort)[20].
Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bailleul[21].
XIXe siècle
modifier- 1851 : création du corps de sapeurs pompiers[22]
Première Guerre Mondiale
modifier- jeudi , les Allemands pillent la perception et emportent les 1252,97 F qui s'y trouvaient[23]. Arrestation du maire César Herreman
- mardi , les Anglais délogent les Allemands du village. Mort du Lieutenant Artwood Morris.
Stationnement des troupes anglaises jusqu'en 1918.
- 1916 : la foudre tombe sur le clocher.
- : évacuation du village.
- 12- 11 000 obus tombent sur le village qui est alors rasé.
La commune reçoit donc la croix de guerre 1914-1918 le 1, .
Entre-deux guerres
modifier- 1919 : premiers ensemencements des champs[24]
- : premier conseil municipal, avec présents. Constatation de la perte des documents cadastraux de 1856. Décision de construire une maison provisoire sur la place.
- : demande de baraquements pour loger les évacués
- fin : 850 habitants logeant des baraquements en demi lune couverts de tôles ou en bois.
- : demande à Alger de parrainer la commune.
- : première élections municipales
- : création d'une commission foncière pour la recherche et le rétablissement des limites de propriétés disparues.
- : approbation des plans de l'église, du presbytère, de la mairie et de la poste, proposés par les architectes Quételart et Pawlowsky.
- : pose de la première pierre de l'église.
- : inauguration des écoles publiques
- : inauguration de la mairie, de l'hospice et de la poste.
- : création du syndicat intercommunal d'électrification.
- : une famille de Méteren fête le baptême de son vingtième enfant, le Préfet du Nord est son parrain[25].
- : inauguration et bénédiction de la nouvelle église par MgrGeorges Jansoone.
- : congrès diocésain eucharistique
Seconde Guerre mondiale
modifierEn , les bombes causent le bris des vitraux de l'église et quelques dégâts minimes sur la tour. Les réparations se firent dans les années 1950 car l'église était utilisable.
Héraldique
modifierPolitique et administration
modifierListe des maires
modifierMaire de 1802 à 1807 : David Berteloot[26],[27].
Maire en 1881 : Decuive (Becuwe?) -Gantois[28].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2021, la commune comptait 2 256 habitants[Note 5], en évolution de +0,8 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 165 femmes, soit un taux de 50,35 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
modifierL'église Saint-Pierre-Saint-Paul
modifierL'ancienne église
modifierC'était une église-halle construite en 1550 et entourée de son cimetière. On ne dispose pas d'information sur l'édifice médiéval. Selon Béhague, “elle était belle et spacieuse, avec ses trois vastes nefs aux voûtes élevées et sa tour massive qui la flanquait à l'ouest ”[42].
Le mobilier (détruit en 1918)
- Maître-Autel en bois doré de style Louis XV, retable de style renaissance avec la transfiguration de De Coninck
- Tribune et buffet d'orgue en style Louis XVI.
- Confessionnaux de style renaissance.
- Chaire d'époque Louis XV en chêne.
- Fonts en marbre, style Louis XVI.
- Christ en bronze des missions de 1891 : unique objet retrouvé dans les décombres.
- Vitraux de 1772, 1865 et 1879.
Vicissitudes
- : Mise à sac par les protestants.
- 1793 : célébrations des fêtes républicaines
- : mise en vente de l'église à Douai et adjugée à un citoyen Lillois.
- : le contenu de l'église est brûlé dans le cimetière.
- 1914 : sert d'infirmerie aux allemands
- 1916 : destruction du clocher par la foudre
- : destruction totale de l'église (et du village)
Les églises provisoires
modifier- La cuisine de la ferme de M. Vaneufville. La messe y fut célébrée le au . Ce fut la première paroisse du décanat de Bailleul à reprendre sa vie religieuse[43]. On y célébra 3 mariages et 6 funérailles. Une plaque commémore cette utilisation.
- Baraquement provisoire en tôles, du jusqu'en . Une cloche y est installée le .
La nouvelle église
modifierLa première pierre en est posée . Elle est construite sous la direction des architectes Louis Quételart et André Pavlovsky. Bénie le , elle est de style néo-byzantin.
: baptême de la première cloche Omérine Léon qui sonne lesol, d'un poids de 660 kg : baptême de Marie Renée qui sonne le fa et pèse 900 kg et de Hélène André qui tire le ré et pèse 1 270 kg.
- Aménagement de l'église
- Maître-autel de Maurice Ringot, 1928
- La chaire représentant les quatre évangélistes a été démontée. la cuve est devenue le nouvel autel alors que l'abat-voix est devenu l'ambon. De même que le banc de communion, le chemin de croix et les fonts baptismaux, ils sont de M. Ringot.
- Le crucifix de la nef est le seul vestige de l'ancienne église
- L'orgue de la tribune est factice. Le décor d'anges et de sainte Cécile est en sgraffite. L'orgue a été réalisé par les frères Coupleux, facteurs à Lille, en 1929 ; le décor de faïence a été réalisé par la S. A. Fourmaintraux et Delassus de Desvres (62)[44].
- Le décor peint
Le chœur est décoré d'une fresque sur toile marouflée représentant de gauche à droite :
sainte Marguerite-Marie Alacoque, saint François d'Assise, un saint évêque, saint Pierre, la vierge en pleurs, le christ crucifié, saint Jean, saint Paul, saint Louis, saint ? et sainte Thérèse. Le tout est surmonté de l'inscription Redemisti nos domine Deus in sanguine tuo". L'anecdote raconte qu'un vicaire de l'époque monta sur une échelle pour retoucher le regard du Christ, trop sévère à son goût. - Les vitraux
Ils sont exécutés en 1960-61 par la maison Delannoy de Lille d'après les cartons originaux de la Maison Turpin. On y rajouta cependant une légende. Les douze paires mettent en parallèle des scènes de l'ancien et du nouveau testament. On trouve entre autres :- la guérison/la rédemption
- Isaac chargé/Jésus surchargé
- Joseph vendu/Jésus trahi
- Jonas vaincu/Jésus vainqueur
- Alléluia/Hosanna
- Division/Unité
- Église éternelle/Pierre premier pape
- Terre promise/Sauveur donné
- La création/La nativité
- Révélation aux Juifs/Révélation aux nations
- Pain et Vin/ Corps et Sang
- Cette église est l'un des six clochers de la paroisse Saint-Benoît-des-Monts.
Monuments
modifier- Le monument aux morts, sculpté par Camille Debert, inauguré le . Il porte l'inscription À nos héros
- Mausolée du Lieutenant Atwood MORRIS décédé le . Après la guerre, sa famille demande que son corps ne soit pas transféré vers un cimetière militaire. Ils achètent le terrain en 1920. Ils y font construire un mausolée en forme de pagode sur lequel figure l'inscription In loving memory of Anthony George Atwood Morris lieutenant the King's Own Royal Lancaster Regiment born may 19th 1887, Killed in action oct 13th 1914 at Meteren in the Great War with Germany. Il faisait partie du King's Own Royal Regiment (Lancaster) (en)
- Le chartil de Méteren, datant du XVIIe siècle, il était la dernière partie d'une hosfède. Une imposante et exceptionnelle toiture de chaume à pans coupés à la frisonne compose le toit s'élevant 6,40 mètres. L'ossature est composée d'un mur en torchis, composé de chaque côté de quatre poteaux placés sur la sablière basse, reposant sur un mur gouttereau en briques.
Chapelles
modifier- chapelle dédiée à Jean-Marie Vianney, curé d'Ars, première chapelle dédiée à ce vocable dans le diocèse de Lille, construite en 1932 à la demande de la famille Deman.
Située sur la RN42, route d'Hazebrouck à l'entrée de Strazeele (face au château d'eau), située à l'entrée de l'ancienne ferme Boddaert sur le territoire communal de Méteren. Architecture flamande remarquable. Entrepreneur-architecte Gaston Ringot de Malo-les-Bains[45]. Bénie par Mgr Georges Jansoone, en présence de l'abbé Joseph Woets Monument commémoratif de marbre blanc. Dernière messe "officielle" célébrée le pour le bicentenaire de la naissance du Curé d'Ars par l'abbé Jean Coquant.
- Chapelle Notre-Dame du Mont-Carmel
Hoog Weg. attestée en 1856, reconstruite à l'identique après 1918. Inscription en flamand Waxht te verzetten uwoen voet. Eer gy Maria Carmelia groet soit Attends de déplacer ton pied Honores-tu bien Marie du Carmel par un salut?[46]
- Chapelle Notre-Dame de Lourdes
- rue Neuve, reconstruite en 1918 Cœur immaculé de Marie PPN[47]
- Zandstraeye (appelée aussi chapelle Scheercousse), 1875. L'intérieur est une grotte en grès ferrugineux.
- rue Vyverput, 1880, restaurée en 1930.
- Chemin de Merris, 1968. Il remplace une ancienne chapelle (1880) qui possédait un dôme à quatre pans.
- Chapelle Notre-Dame-des-Victoires
Water Straete. Existait avant 1914 et détruite pendant le conflit. Mais une suite de malheur étant survenue, elle fut reconstruite en 1930, sur le conseil des père Carmes d'Ypres[48].
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception
- Rue de la fontaine, après 1918
- chemin de Merris, 1925. Demandée pour que cesse une suite de malheurs (décès, accidents)[49]
- Chapelle Notre-Dame-de-Consolation
Saint Omaers straete, 1890
- Chapelle du Sacré-Cœur
Rue Neuve
- Chapelle Sainte-Thérèse
Chemin Goddeloozenhouck (coin des athées), restaurée en 1984. Anciennement dédiée à Notre-Dame-du-Bon-Secours[46].
Personnalités liées à la commune
modifier- Mgr Casimir Alexis Joseph Wicart né à Méteren le et décédé à Laval le . Il est nommé premier évêque de Laval en 1855.
- Pierre De Coninck, peintre né à Méteren et y décède le .
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Nord
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires du Nord
- Cimetières Militaires du Commonwealth :
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Armentières (partie française) comprend deux villes-centres (Armentières et Bailleul) et huit communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Méteren » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « la Courte Croix »
- Sandre, « les Quatre Fils Aymon »
- « Fiche communale de Méteren », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Meteren Becque »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Lys », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Méteren et Steenvoorde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Armentières (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Méteren ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages, Nord, 2009
- BEHAGUE (R.), “Méteren, essai d'histoire d'une commune flamande”, An. Com. flam. France, 1932, t. XXXVIII, p. 31.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
- Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 57.
- Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 62.
- Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 71.
- Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 47
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 142-143 -images 172-173.
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
- Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p37
- Almanach du commerce du Nord Année 1854
- Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p46
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1892
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1893 à 1896
- Annuaire Ravet-Anceau Département du Nord Années 1897 à 1900
- Extrait de la fiche de Mme Elizabeth BOULET, sur lesbiographies.com
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Méteren (59401) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- BEHAGUE (R.), “Méteren, essai d'histoire d'une commune flamande”, An. Com. flam. France, 1932, t. XXXVIII, p. 60-61.
- Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 113.
- « Ministère de la Culture - Maintenance », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Chapelle du curé d'Ars », sur patrimoine-religieux.fr.
- MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 80.
- MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 78.
- MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 84.
- MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 82.