Méré (Yvelines)

commune française du département des Yvelines

Méré est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Méré
Méré (Yvelines)
La mairie.
Blason de Méré
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Michel Recoussines
2020-2026
Code postal 78490
Code commune 78389
Démographie
Gentilé Méréens
Population
municipale
1 667 hab. (2021 en évolution de −0,77 % par rapport à 2015)
Densité 162 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 13″ nord, 1° 49′ 06″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 184 m
Superficie 10,32 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Montfort-l'Amaury
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Méré
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Méré
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Méré
Liens
Site web mere-village.fr

Géographie

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Position de Méré dans les Yvelines.

Situation

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La commune se trouve à 24 km environ au Nord de Rambouillet, dans la plaine de Montfort-l'Amaury, en lisière de la forêt de Rambouillet. Le village jouxte Montfort-l'Amaury.


Hydrographie

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La commune est irriguée par un petit ruisseau, le "ru de Ponteux" qui coule du Sud vers le Nord et se jette dans le Lieutel, affluent de la Mauldre.

Communes limitrophes

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Transports et voies de communications

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Réseau routier

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Les communications routières sont assurées par la route nationale 12, mise à deux fois deux voies en 2003, qui traverse la commune d'Est en Ouest. La route RD 76, qui lui est perpendiculaire, relie Montfort-l'Amaury et Méré à la gare puis à Thoiry vers le Nord.

Desserte ferroviaire

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La gare de Montfort-l'Amaury - Méré.

La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne, à environ 3 km du centre-ville, le long de la route nationale 12.

AutoBus

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La commune est desservie par les lignes 1, 2, 5, 13, 15, 16, 17, 22, 35, 39, 40, 45, 49 et Express 67 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.


Sentier de randonnée

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Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Montfort-l'Amaury au Sud jusqu'à Mareil-le-Guyon au Nord-Est.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 648 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Méré est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfort-l'Amaury[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 81,01 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 4,91 % d'espaces ouverts artificialisés et 14,08 % d'espaces construits artificialisés[12].

Toponymie

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Selon B. Guérard le nom de Méré serait le chef-lieu le plus vraisemblable du comté de Madrie[13]. Si l'on suit cette hypothèse, les mentions les plus anciennes de Méré se retrouvent dans : Madriacensis pagi vers 692, [in] pago Madriacensi en 707[14],[15], in pago Matriacensi 751-752[16],[17], Rumaldus Madriacens, Comes... in pago Madriacensi en 754[18], Theobertus comes Matricensis en 802[19], filiam Theotberti Comitis Matricensis en 822[20], in pago Madriacensi vers 825[21], villam pagi Madriacensis en 849[22].

Les mentions suivantes de la localité sont Pinciacensi comitatu, prima potesta Medriaca vers 879-999[23], Medriaca en 936[24], ad Mairiacum en 997[25], potestate Madreia, potestate Madriaca en 997[26], S. Dionysii de Madriaco en 1158[27],[28], de Meri en 1209[29], de Mereio vers 1270[30], prévosté de Mairay en 1317[31],[32], Meriacum[33], Meracum, Mereaorum en 1490[34], Cure de Merey en 1648[35], Merey vers 1757[36], Méré vers 1850[37].

L'étymologie de Madriacensis ou Matriacensis indique que ce toponyme est formé de la racine latine Matri- ou gauloise Matri- (latin mater, -tricis « mère » ou gaulois matir « mère », attesté dans le Plomb du Larzac : adiega matir aiias « Adiega, mère d'Aiia »[38]) employée de manière littérale « Mère » ou sous forme d'un anthroponyme Matrius[39], dont la consonne occlusive sourde -t- passa, sous les mérovingiens, à -d-. Il est suivi du suffixe gaulois et gallo-romain -acum « domaine de »[39],[40] + suffixe latin adjectival -ensis « du pays, du territoire »[41] (> gallo-roman -ESI > ancien français -eis > français -ais). Madriacensis peut être traduit par « pays du domaine de la Mère ou de Matrius », le Mérézais, comme Pinciacensis a donné Pincerais. Potestate Madriaca (prévôté de Méré) est le seul toponyme candidat, le plus homologue dans cette région, à pouvoir prétendre succéder à Madriacensis. Il correspondrait à la bourgade de Méré, plutôt qu'à Merey (Eure). Ce nom est formée également de la racine gauloise et latine Matri- + suffixe gaulois et gallo-romain -acum « domaine de » devenu Madri- par lénition de l'occlusive sourde. Son ultime évolution, de Ma(d)ri(aca) par le double amuïssement de l'occlusive dentale -d- du radical Madri- et de l'occlusive -c- de la finale -acu, aboutit à Mairy, Méri, Merey et Méré. Dans cette hypothèse, les formes anciennes Matriacensis permettent d'établir Matri- > Madri-, le -d- s'est amuis sous les mérovingiens, et rendent moins forte l'explication par le latin materius « matériaux, bois de construction »[42]. Madriaca peut se traduire par « Domaine de la (Déesse) Mère ou de Matrius ». En effet, le culte des 'Mères' a laissé des traces innombrables dans la toponymie de la Gaule[38].

Histoire

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Le monument aux morts.

Époque gallo-romaine

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  • Au lieu-dit la Chasière ont été découverts des fragments d'amphores et de céramiques datant du Ier siècle apr. J.-C.[43]. En se basant sur l'étymologie de son nom, la création de Méré remonterait à l'époque gallo-romaine. Le site était placé près du carrefour de deux voies antiques importantes reliant les territoires des cités gauloises. La première reliait Beauvais (Bellovaques) à Orléans (Carnutes) par les Mureaux aux lieux-dits la Borne Imbert et Maison Rouge. La seconde voie de Lutèce (Parisii) à Dreux (Durocasses) croise la première au carrefour de l'Espérance (devant la gare de Méré), elle appartient à l'Itinéraire d'Antonin[44],[43].

Époque mérovingienne

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  • Près de l'église Saint-Denis, il y a un sarcophage mérovingien en granite de Cherbourg, portant l'inscription Radone[43],[45]. L'instituteur écrit en 1899 fort judicieusement "Les moyens de transports étant, au [haut] Moyen Âge, très difficiles et fort couteux, donc laisse à supposer qu’elle formait le couvercle de la sépulture d’un chef »[46]. En 1844, Guérard a proposé que Méré a pu être le chef-lieu du comté de Madrie[13].

Époque moderne et contemporaine

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  • Ancien village fermier, les plus anciennes fermes subsistantes remontent à la première moitié du XXe siècle.
  • Village résidentiel.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2005 Jean-Claude Muller    
2005 En cours Michel Recoussines[47]    

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

En 2021, la commune comptait 1 667 habitants[Note 4], en évolution de −0,77 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
415471477413458454450448419
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
426389410397407382375401411
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
386412423450468566609647674
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7748071 0361 1401 3531 6751 6991 7061 690
2018 2021 - - - - - - -
1 6731 667-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 813 hommes pour 860 femmes, soit un taux de 51,40 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,0 
7,5 
75-89 ans
10,9 
17,6 
60-74 ans
16,9 
25,1 
45-59 ans
26,5 
14,8 
30-44 ans
14,2 
17,1 
15-29 ans
12,1 
17,6 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Enseignement

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La commune possède[54] :

  • Salle de sport "Magicfit" Méré qui a ouvert en novembre 2019.

Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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L'église Saint-Denis.
  • Agriculture - grandes cultures, productions de céréales ;
  • Scierie, silos de stockage ;

Culture locale et patrimoine

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Buste de François Quesnay.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Denis : église en pierre du XIIe siècle, avec un clocher-tour carré de deux étages percé de hautes baies géminées et surmonté d'une flèche octogonale couverte d'ardoise.

Personnalités liées à la commune

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  • Jean de Poltrot de Méré (1537-1563), assassin du duc François de Guise, était le seigneur de Méré.
  • François Quesnay (1694-1774), médecin, érudit, économiste du XVIIIe siècle, y est né en 1694.
  • L'écrivain Colette a résidé à Méré de 1939 à 1941 dans sa résidence « Le Parc »[55], dont une des fenêtres a été l'objet d'un de ses poèmes[réf. nécessaire].
  • L'éditeur de musique Raoul Breton (1896-1959) possédait une résidence secondaire à Méré (maison dite « le Colombier »), où de nombreux artistes se rendaient. Il y est enterré avec son épouse, appelée « la Marquise ». Un square et une stèle y portent son nom[56].
  • Léopold Bellan (1857-1936), industriel et homme politique français, est né à Méré.
  • Céleste Albaret, née Augustine Célestine Gineste (1891-1984), servante de Marcel Proust, y est décédée.
  • Henri Bourtayre (1915-2009), compositeur de musique y est enterré.

Héraldique

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  Blason
D'argent, à la fasce de sable accompagnée de trois pensées d'or au pied feuillé de sinople.
Détails
Elles auraient été données à François Quesnay par Louis XV[57]. Le texte qui figure sur le blason est Propter Cogitationem Mentis (Comme les pensées de votre esprit).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Méré », p. 590–591

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montfort-l'Amaury comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Méré et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Montfort-l'Amaury », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Méré ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. a et b GUERARD (Benjamin), Essai sur le système des divisions territoriales de la Gaule. (1832), p. 129-138.
  14. Auguste Le Prévost, « Anciennes divisions territoriales de la Normandie (pagus Madriacensis) » in Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, 2e série, vol. 1, année 1837, 38,39 (1840), t. 11, p. 29-30.
  15. François de Beaurepaire, op. cit.
  16. MALSY Jean-Claude. Un exemple de méthodologie en géographie historique. In: Nouvelle revue d'onomastique, no 41-42, 2003. p. 73-132.
  17. BOUQUET (Dom Martin) Recueil des historiens des Gaules et de la France... (1869), t.5, Audogaire : p.xxxvij, p. 697A : sylva Aqualinæ p. 707.
  18. MABILLON (J.) Acta sanctorum ordinis S. Benedicti...- saeculum tertium (1734) pars seconda VENETIS - vita s. Germani episc. Parisiens. §XIX, p. 94 et note a
  19. WERNER (K.F.) La Neustrie: les pays au nord de la Loire de 650 à 850 : colloque historique international, (1989), t. 1, p. 264.
  20. PERTZ (Georgius Henricus) Eginhard, Annal. (1845), p. 84.
  21. GUERARD (Ben.) Polytique d’Irminion (1844), t. 2, p. 31.
  22. MABILLON (J.) Annales Ordonis S. Benedicti : Complectens res gestas ab anno Christi DCCI. ad annum DCCCXLIX. Inclusive (1704), t.2, p. 229LII;
  23. HALPHEN (L.) LOT (F.) Recueil des actes de Lothaire et de Louis V, rois de France (1908), p. 155, l.25,30.
  24. Jean Camille Niel, Attila dans les Gaules, page 75
  25. TARDIF (Jules) Cartons du Roi. Inventaires & Documents - A.N. (1866), no 240, p. 151.)
  26. BOUQUET (Dom Martin) Recueil des historiens des Gaules et de la France: Rerum gallicarum (1757), t. 10, IV, p. 575.
  27. GALLIA CHRISTIANA, in provincias ecclesiasticas distributa: qua..., (1744), t. 7, p. Instrumenta p. 67 §LXXXII, p. 69D, LXXXIII.
  28. MOUTIE (A.) Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la RocheVaux de Cernay, (1862), p. 285.
  29. DION (A. Cte de) Le Prieuré St-Laurent de Montfort. Sté Archéol. Rambouillet (1888), t. 8, p. 166.
  30. DION (Adolphe de), Trente-sixième session tenue à Chartres au mois de septembre 1869, (1870), p. 374-384, p. 380.
  31. RHEIN (André) Seigneurie de Montfort. Sté Archéologique de Rambouillet (1910), t. 21, p. 354-355.
  32. MORLET (M. Th.) Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule…(1968), t.3, p. 130.
  33. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  34. LONGNON (Auguste) Pouillé de Sens (1844) 158B, 213B .
  35. POUILLE GENERAL contenant les bénéfices de l'archevêché de Paris – (1648), p. 49.
  36. IGN, plan de Cassini, vers 1757
  37. IGN, carte d'État-Major 1820-1866.
  38. a et b Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, coll. « Hespérides », , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 219
  39. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 425a - 451a
  40. Jean-Pierre Levet, Orient et Occident- suffixe gaulois latinisé -acum (1996)
  41. Pierre-Henri Billy, La « condamine », institution agro-seigneuriale in Étude onomastique (), p. 136.
  42. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Étymologie de 35000 noms de lieux, Librairie Droz, Genève, 1990, t. 1, p. 1859, n° 1861.
  43. a b et c BARAT (Y.) DUFAŸ (B.) RENAULT (I.) Carte archéologique de la Gaule - les Yvelines. (2007), p. 235.
  44. BARAT (Y.) LANGLOIS (M.) BRICON (D.) Habitats et nécropoles du haut Moyen Âge en vallée de Vaucouleurs (Septeuil et Villette) Rev archéol du Centre de la Fr (2001), t. 40, Carte p. 135.
  45. Archéologie des nécropoles mérovingiennes en Île-de-France - Rapport d’activité 2014, p. 43. ; - 1899 p. 16.
  46. A.D.Y Monographie communales, (1899), p. 16.
  47. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Méré (78389) », (consulté le ).
  53. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  54. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
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  56. Raoul Breton sur le site de la commune
  57. Association pour l’idée, la rencontre, l’information non ennuyeuse, François Quesnay : un illustre enfant de Méré (1694 - 1774).