Louis Dufort
Louis Dufort (, Montréal, Canada) est un compositeur de musique électroacoustique résidant à Montréal, Canada.
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Biographie
modifierLes œuvres de Louis Dufort sont de factures multiples : musique sur support fixe, musique mixte avec traitement et musique visuelle. Il reçoit plusieurs commandes de divers ensembles et organismes de musique, dont l’Association pour la création et la recherche électroacoustiques du Québec (ACREQ[1]), la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ[2]), Réseaux/Akousma[3], Chants libres[4], Codes d’accès[5], l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+[6]), EMPAC[7], le quatuor de saxophones Quasar[8], le quatuor à cordes Bozzini[9],[10], l’ensemble à percussion Sixtrum et le Centre d’art et de technologie des médias de Karlsruhe[11].
Depuis 1996, il collabore étroitement avec la chorégraphe Marie Chouinard en composant la musique pour un grand nombre de ses créations[12],[13]. D’ailleurs, un numéro entier de la revue Circuit, musiques contemporaines a été consacré à cette collaboration[14]. Louis Dufort enseigne la composition au Conservatoire de musique de Montréal[15] et il est le directeur artistique de la société de diffusion Akousma[16], qui produit le Festival international des musiques numériques immersives, lequel a lieu annuellement à Montréal. En 2018, Louis Dufort a remporté le prix Opus du directeur artistique de l’année[17]. Il a en outre participé à la composition de la bande sonore originale des films La chute de l’empire américain (2018)[18] et Testament (2023)[19] de Denys Arcand.
Esthétique et approche compositionnelle
modifierLouis Dufort a d’abord développé son approche compositionnelle par le médium de la musique électroacoustique, puis il s’est rapidement intéressé à la musique mixte et aux œuvres multimédias[20].
Dans les années 1990-2000, les compositions de Louis Dufort se caractérisent par un style dramatique, lequel se remarque dans certaines de ses œuvres électroacoustiques telles que Pointe-aux-Trembles (1996), Transit (1998) et Zénith (1999), ainsi que dans ses œuvres mixtes comme Lucie (1998), ou encore Consomption (1999), pour soprano et support, dans laquelle l’interprète devient un véritable personnage servant le discours narratif. C’est toutefois avec Décap (2000), pour bande seule, que ce caractère dramatique atteint son paroxysme, l’œuvre dénonçant l’horreur et les conséquences humaines des conflits qui sévissent dans le monde[21].
Les œuvres de la décennie suivante (2000-2010), comme celles pour médium fixe qui composent l’album Matériaux composés (2008, empreintes DIGITALes), dont tout particulièrement Grain de sable (2004-2005) et le cycle Matério (2006-2007), constitué de Matério_* (2006), Matério_** (2006) et Matério_*** (2007), laissent place à une expressivité plus abstraite. En effet, pour l’écriture de ces compositions, Louis Dufort emprunte une approche organiciste[22], ce qui témoigne déjà d’une certaine influence de la nature. Le compositeur explique que « ce cycle marque l’amorce d’une approche organiciste abstraite, ce qui représente un changement de direction par rapport à mes œuvres précédentes, qui étaient davantage construites autour d’affects dramatiques[23] », ajoutant que « le cycle des Matério est une première tentative de soutirer des structures organisationnelles et musicales à même les propriétés émergentes et dynamiques de la matière sonore[23] ».
Parallèlement, les œuvres mixtes mobilisant des traitements en temps réel, comme Accident (2001), Spiel (2001), Déflagration (2002), Intonarumori (2002), ou encore Manu militari (2003) contrastent avec d’autres dont Les corpuscules agglutinés (2013). Cette dernière est une pièce mixte pour 10 instruments acoustiques qui marque un tournant dans l’approche compositionnelle de Louis Dufort, puisqu’il y délaisse les traitements en temps réel afin de se concentrer uniquement sur la qualité du spectre des instruments acoustiques (la nature même du timbre), ce qu’il réalise en recourant à une fine amplification de ceux-ci[24].
Par ailleurs, des œuvres comme Épochè (2008), relevant de la musique visuelle, se caractérisent par une conscience qui repose sur l’écoute des mouvements du son à travers l’espace et la durée, et par une volonté d’inclure le corps en entier dans l’expérience de l’auditoire[10], la démarche de Louis Dufort étant fortement marquée par ses collaborations avec le milieu de la danse. Cette conscience du mouvement ainsi que l’exploration des interactions avec des éléments technologiques se reflètent également dans les œuvres audiovisuelles mixtes comme Yutiröp (2011) et Quatre histoires néguentropiques (2011)[25],[26],[27],[28], cette dernière étant une œuvre pluridisciplinaire pour quatuor à corde, support, synthèse visuelle 3d et danse.
Plus récemment, on remarque que les processus compositionnels de Louis Dufort affirment une influence avouée non seulement de la nature, comme la forêt laurentienne pour Monts Valin (2022)[29], mais aussi des phénomènes d’ordre biologique, notamment à travers les « vues macroscopiques des micro-organismes et l’organisation chaotique naturelle des éléments[6] », ce qui crée une musique qui « devient très active, nerveuse, minérale, presque chimique[30] ». Le cycle Into the Forest (2021, Empreintes DIGITALes) s’inspire notamment de la vie forestière, avec « l’idée d’une grande structure, les branches comme les racines, qui organisent la vie en forêt[30] ». Cette inspiration pour la nature se retrouve aussi dans des œuvres de musique visuelle comme bjvfewo (2018)[31], ainsi que dans la série de miniatures composée de Argile (2022)[32], Billot (2024)[33], Femme Forêt (2024)[34], Fleuve Rive (2023)[35] et Planétarium (2024)[36].
Louis Dufort qualifie son travail de « maximaliste[37] » et il s’inspire de l’approche systémique[38], qu’il utilise pour étudier les objets sonores dans leur complexité, profitant des possibilités offertes par les technologies numériques, lesquelles permettent d’analyser et de traiter le son dans ses plus infimes détails[6]. Ses influences sont nombreuses. Parmi elles, les écrits et la musique d’Horacio Vaggione[20], de même que les enseignements qu’il a reçus de Francis Dhomont, qu’il considère comme son maître[39], constituent des sources d’inspiration notables pour Louis Dufort.
Discographie
modifierCette section présente une liste des enregistrements discographiques de Louis Dufort[40].
- Francis Dhomont – Frankenstein Symphony (1997), Asphodel/Sombient (collectif)[41]
- Prix International Noroit-Léonce Petitot 1997 (1998), Centre Noroit (collectif)[42]
- eXcitations : Sampler (2000), empreintes DIGITALes, IMED 0050 (collectif)[43]
- Connexion (2000), empreintes DIGITALes, IMDE 0051[44]
- Électricités/Electricities (2003), Centre de musique canadienne/Canadian Music Centre (collectif)[45]
- L’Orchestre de granulation (2003), empreintes DIGITALes, NT 086 (collectif)[46]
- Montreal Sound Matter – Montréal Matière Sonore (2006), Pogus Productions, P21041-2 (collectif)[47]
- Matériaux composés (2008), empreintes DIGITALes, IMDE 0893[48]
- trans_canada (2009), empreintes DIGITALes, IMDE 09100 (collectif)[49]
- Victoriaville matière sonore (2009), Les Disques Victo, VICTO 113 (collectif)[50]
- A Tasty Swarm of Small Signals (2010), Störung, str008 (collectif)[51]
- Into the Forest (2021), empreintes DIGITALes, IMDE 21175[52]
- Tour Mode (2021), SUPERPANG (collectif)[53]
- Volume (2021), SUPERPANG[54]
Œuvres
modifierCompositions
modifierCette section présente une liste non exhaustive, mais détaillée, des compositions de Louis Dufort[55].
1994
- Vulvatron 2000, pour support, 3:00
1995
- Concept 2018957, pour support, 15:00
1996
- Pointe-aux-Trembles, pour support stéréo, 14:26. Version définitive créée en 1998
1998
- Lucie, 17:00
- Transit, pour support stéréo, 12:00
1999
- Consomption, pour soprano et support, 16:00
- Zénith, pour support stéréo, 14:31
2000
- Décap, pour support stéréo, 24:07
- Le cri du monde, 60:00
- Silo mon amour, 25:00
- Symphonie du millénaire, pour 333 musiciens, 2000 carillonneurs, 15 clochers, grand orgue, carillon de 56 cloches et 2 camions de pompiers, 90:00. En collaboration avec Serge Arcuri, Walter Boudreau, Vincent Collard, Yves Daoust, Alain Dauphinais, André Duchesne, Louis Dufort, Sean Ferguson, Michel Gonneville, André Hamel, Alain Lalonde, Estelle Lemire, Jean Lesage, Luc Marcel, Marie Pelletier, John Rea, Anthony Rozankovic, Gilles Tremblay. Arrangement : Denys Bouliane
2001
- Accident, pour saxophone soprano et traitement, 12:00
- Étude no 1, pour système, 22:00. Musique de scène pour une chorégraphie de Marie Chouinard
- Spiel, pour flûte et traitement, 16:00
2002
- Déflagration, 16:00
- Intonarumori, pour ensemble portuaire, 20:00. Symphonie portuaire
- La femme des sables, 60:00
2003
- Cantique no 1, pour vidéo, 15:00. Vidéomusique. En collaboration avec Marie Chouinard
- Cantique no 2, pour vidéo, 20:00. Vidéomusique. En collaboration avec Marie Chouinard
- Chorale, 40:00
- L’Orchestre de granulation, 32:00. En collaboration avec Cal Crawford, Érick d’Orion, Aimé Dontigny, Philémon Girouard, Julie Rousse et David Turgeon
- Les cerisiers, 50:00
- Manu militari, pour quatuor de saxophones et traitement, 18:00
- Sound Object, pour vidéo, 10:00. Vidéomusique
- Trip à six, pour 6 pianos, 12:00
2004
- Dans le silence, pour support, 55:00. Musique de scène pour la chorégraphie Dans le silence des bambous de Jocelyne Montpetit
- Ephem, pour support, 15:00
2004-2005
- Grain de sable, pour support 4.1 canaux, 14:35
2005
- bODY_rEMIX/les_vARIATIONS_gOLDBERG, 110:00
- Hi_Res, pour support 5.1 canaux, 13:37
- Hyper Lucidity, pour piano MIDI (Yamaha Disklavier) et traitement, 15:00
- L’archange, pour 3 voix, comédien et support, 52:31. Opéra. En collaboration avec Alexis Nouss
- Mouvement, 20:00
2006
- Flesh, pour vidéo, 5:00. Vidéomusique
- Matério_*, pour support 4.1 canaux, 8:00
- Matério_**, pour support 4.1 canaux, 9:00
- Miniatures, pour quatuor à cordes et traitement, 15:00
- Particules, pour piano amplifié, traitement et vidéo, 10:00
2006-2007
- Miniature II, pour quatuor à cordes et traitement, 15:00
2007
- Enfant d’obus, pour support 4.1 canaux, 10:02
- Gen_3, pour support 4.1 canaux, 8:56
- Matério_***, pour support 4.1 canaux, 9:48
- Particules II, pour vidéo dix écrans, 5:00. Vidéomusique
- Plastide, pour 8 flûtes et traitement, 12:00
2008
- Épochè, pour vidéo, 10:00. Vidéomusique
2008-2012
- Julie Sits Waiting, pour support stéréo, 67:00. Opéra. En collaboration avec Tom Walmsley
2009
- Nervures, pour support stéréo, 12:48
- Particules III, pour piano, traitement et vidéo
- Pulsacion, pour percussions, support et vidéo, 9:00
2010
- Particules IV, pour piano, traitement et vidéo, 5:49
- Rhizome, pour flûte, traitement et vidéo, 14:49
2011
- Quatre histoires néguentropiques, pour quatuor à cordes, support, vidéo et danse, 52:00
- Systemic Shock, pour vidéo, 5:00. Vidéomusique
- Yutiröp, pour percussions et vidéo, 14:49
2012
- Concatenare, pour vidéo. Vidéomusique
- Grain de lumière I, pour support, 2:59
- Grain de lumière II, pour support, 2:50
2013-2014
- Les corpuscules agglutinés, pour musiciens spatialisés, percussions électroniques et support multicanal
2014
- Study no 1, pour support, 7:00
- Study no 2, 7:00
2015
- French Suite Remix, pour support
- Spirale no 1, pour guitare électrique, traitement, support et vidéo, 12:00
2016
- Concatenare IV, pour vidéo. Vidéomusique
- Tombeau de Claudio Monteverdi, pour support, 14:56
2016-2017
- I Am, You Are, We Are Plastic, pour flûte, traitement et video
2017-2018
- bjvfewo, pour vidéo, 4:30. Vidéomusique
2020
- Sur la lame, pour tam-tam et support, 7:00. Musique de scène pour une chorégraphie de Marie Chouinard
2020-2021
- Into the Forest, pour support, 39:40. Cycle
- Volume, pour support multicanal, 19:45
2021
- Monts Valin, pour support multicanal, 11:36
2023
- « M », acousmatique, 58:00. Musique de scène pour une chorégraphie de Marie Chouinard
2024
- Argile, 00:31 ; Billot, 00:50 ; Femme Forêt, 00:15 ; Fleuve Rive, 04:03 ; Planétarium, 0:29. Série de miniatures
Œuvres en collaboration avec Marie Chouinard
modifierCette section présente une liste des compositions de Louis Dufort réalisées dans le cadre de sa collaboration avec la Compagnie Marie Chouinard[56].
- Étude poignante (1998), solo pour Carol Prieur
- Humanitas (1998), solo pour Carol Prieur
- Le Cri du monde (2000), pour 9 interprètes
- Étude no 1 (2001), solo pour Lucie Mongrain
- Chorale (2003), pour 10 interprètes
- Cantique no 1 (2003), film
- Cantique no 2 (2003), performance vidéo multiécran
- Cantique no 3 (2004), installation vidéo participative
- bODY_rEMIX/les_vARIATIONS_gOLDBERG (2005), ballet en deux actes pour 10 interprètes
- Mouvements, 64 dessins, un poème, une postface par Henri Michaux, Éditions Gallimard, 1951 (2005), solo pour Carol Prieur
- bODY_rEMIX/les_vARIATIONS_gOLDBERG (2008), film
- Orphée et Eurydice (2008), pour 10 interprètes
- gloires du matin :)-(: (2009), solo dansé par Marie Chouinard
- Le Nombre d’or (live) (2010), pour 10 interprètes
- La Nuit ensoleillée (2011), événement-performance pour 18 interprètes
- Henri Michaux : Mouvements (2011), pour 10 interprètes
- Paradisi Gloria (2011), installation photographique
- In Museum (2012), solo dansé par Marie Chouinard, performance participative
- Corps célestes (2013), performance virtuelle immersive en boucle pour dôme
- Soft virtuosity, still humid, on the edge (2015), pour 10 interprètes
- Cantique (2015), application pour iPad et iPhone
- Anne et Samuel (2015), duo
- Inner Resources (2016), ballet pour 8 danseuses
- Jérôme Bosch : Le Jardin des délices (2016), pour 10 interprètes
- Cy Twombly Somehow (2017), ballet pour 13 interprètes
- Visages (Opéra Dogma, 2001-2018) (2018), solo pour la création d’un film en direct
- Duo Mains (Opéra Dogma, 2001-2018) (2018), duo pour la création d’un film en direct
- Radicale Vitalité (2018), œuvre composée de solos, de duos et d’œuvres de pièces groupe, pour 10 interprètes
- En conversation (2019), duo
- Le Lac des cygnes : Le chant (2020), pour 9 danseuses
- Jardin de sculptures éphémères (2020), performance live pour diffusion en direct pour 2 danseuses
- « M » (2023), pour 12 interprètes
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la musique :
- Ressource relative au spectacle :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- « La boutique électroacoustique », sur electrocd (consulté le )
- Label SUPERPANG
Notes et références
modifier- François Guérin, « ACREQ », sur L’encyclopédie canadienne, (consulté le )
- SMCQ, « Louis Dufort », sur Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ) (consulté le )
- Akousma, « Ephem (Louis Dufort) », sur Akousma (archives) (consulté le )
- Benoit Rose, « Les nouvelles technologies de mieux en mieux intégrées », sur Le Devoir, (consulté le )
- Codes d’accès, « Mission », sur Codes d’accès (consulté le )
- Guy Marceau, « Louis Dufort », SOCAN : Paroles & Musique, (lire en ligne, consulté le )
- Akousma, « Louis Dufort: Study no 2 for the EMPAC lobby (2014) [vidéo en ligne] », sur Vimeo, (consulté le )
- Quasar, « Louis Dufort (1970 - ) », sur Quasar, quatuor de saxophones (consulté le )
- Quatuor Bozzini, « Louis Dufort », sur Quatuor Bozzini, (consulté le )
- (en) Gayle Young, « The body is listening », Musicworks, no 101, , p. 20-27
- ZKM, « Louis Dufort », sur Zentrum für Kunst und Medien Karlsruhe (ZKM) (consulté le )
- Compagnie Marie Chouinard, « Collaborateurs-trices », sur Compagnie Marie Chouinard (consulté le )
- Maxime McKinley, « Introduction. L’étonnement chorégraphique », Circuit, musiques contemporaines, vol. 33, no 2, , p. 5 (article p. 5-12) (lire en ligne )
- Circuit, musiques contemporaines, « Volume 33, numéro 2 (2023). Marie Chouinard et Louis Dufort : corps fluctuants, sons fixés », sur Érudit, (consulté le )
- Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec, « Louis Dufort », sur Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec (consulté le )
- Akousma, « L’équipe », sur Akousma (consulté le )
- Christophe Huss, « Le Conseil québécois de la musique a dévoilé ses lauréats pour les prix Opus », Le Devoir, (lire en ligne, consulté le )
- Charles-Henri Ramond, « Chute de l’empire américain, La – Film de Denys Arcand », sur Films du Québec, (consulté le )
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- Louis Dufort, Approche systématique pour la composition d’œuvres acousmatiques, mixtes, vidéomusicales et pluridisciplinaires (thèse de doctorat), Montréal, Université de Montréal, (lire en ligne)
- Archive du concours Ars Electronica, « Décap (Louis Dufort) », sur Ars Electronica, (consulté le )
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- Guy Marceau, « Louis Dufort : à l’intérieur du son », sur Electrocd, SOCAN : Paroles & Musique, (consulté le )
- Extrait no. 1_Quatre histoires néguentropiques, Louis Dufort (, 2:57 minutes), consulté le
- Extrait no. 2_Quatre histoires néguentropiques, Louis Dufort (3:32 minutes), consulté le
- Extrait no. 3_Quatre histoires néguentropiques, Louis Dufort (4:02 minutes), consulté le
- Extrait no. 4_Quatre histoires néguentropiques, Louis Dufort. Danseuse : Marie Chouinard (4:31 minutes), consulté le
- Dominic Marion, « Compte rendu de Mathieu David Gagnon, Louis Dufort, Duu : paysages sonores laurentiens/Volume II de Flore Laurentienne/Volume de Louis Dufort/Into the Forest de Louis Dufort/Monts Valin de Louis Dufort/Arboretum de DUU », Spirale, no 284, , p. 108-115 (lire en ligne , consulté le )
- Philippe Renaud, « Les sons qui cachent la forêt », Le Devoir, (lire en ligne, consulté le )
- bjvfewo, Louis Dufort (, 4:49 minutes), consulté le
- Argile, Louis Dufort (, 0:31 minutes), consulté le
- Billot, Louis Dufort (, 0:50 minutes), consulté le
- Femme Forêt, Louis Dufort (, 0:15 minutes), consulté le
- Fleuve Rive, Louis Dufort (, 4:03 minutes), consulté le
- Planétarium, Louis Dufort (, 0:29 minutes), consulté le
- Louis Dufort, « Matière et mouvement », Circuit, musiques contemporaines, vol. 33, no 2, , p. 46 (article p. 39-56) (lire en ligne , consulté le )
- Alain Brunet, « Louis Dufort : vous avez bien dit néguentropique ? », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
- Louis Dufort, Approche systématique pour la composition d’œuvres acousmatiques, mixtes, vidéomusicales et pluridisciplinaires (thèse de doctorat), Montréal, Université de Montréal, (lire en ligne), xvii
- « Releases « Louis Dufort », sur louisdufort.com (consulté le )
- Discogs, « Francis Dhomont – Frankenstein Symphony (1997, CD) », sur Discogs (consulté le )
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- Electrocd, « eXcitations: Sampler », sur Electrocd
- Electrocd, « Connexion, Louis Dufort », sur Electrocd (consulté le )
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- Electrocd, « L’Orchestre de granulation. L’Orchestre de granulation / Cal Crawford, A_dontigny, Érick d’Orion, Philémon, Julie Rousse, David Turgeon, Louis Dufort », sur Electrocd (consulté le )
- Discogs, « Montreal Sound Matter / Montréal Matière Sonore (2006, CD) », sur Discogs (consulté le )
- Electrocd, « Matériaux composés. Louis Dufort », sur Electrocd (consulté le )
- Electrocd, « trans_canada. Various artists / Nicolas Bernier, Darren Copeland, Francis Dhomont, Louis Dufort, Gilles Gobeil, Robert Normandeau, Barry Truax, Hildegard Westerkamp », sur Electrocd (consulté le )
- Electrocd, « Victoriaville matière sonore. Various artists », sur Electrocd (consulté le )
- Discogs, « A Tasty Swarm Of Small Signals (2012, DVD) », sur Discogs (consulté le )
- Bandcamp, « Into the Forest, par Louis Dufort », sur Bandcamp (consulté le )
- Bandcamp, « Tour Mode, par Superpang », sur Bandcamp (consulté le )
- Bandcamp, « Volume, par Louis Dufort », sur Bandcamp (consulté le )
- Electrocd, « Artiste : Louis Dufort (œuvres) », sur Electrocd (consulté le )
- Compagnie Marie Chouinard, « Liste des créations de Marie Chouinard avec la musique de Louis Dufort (1998-2023) », Circuit, musiques contemporaines, vol. 33, no 2, , p. 23-28 (lire en ligne , consulté le )