Linac

commune française du département du Lot

Linac est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le Ségala lotois, une région naturelle constituant la frange occidentale de la Châtaigneraie, constituant le parent lotois du Ségala aveyronnais et tarnais.

Linac
Linac
Château de Puy-Launay.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Jean-Claude Lacombe
2020-2026
Code postal 46270
Code commune 46174
Démographie
Population
municipale
235 hab. (2022 en évolution de +6,33 % par rapport à 2016)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 59″ nord, 2° 06′ 55″ est
Altitude 432 m
Min. 210 m
Max. 467 m
Superficie 12,3 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Figeac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Linac
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Linac

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Célé, le Veyre, la Burlande, le Bervezou, le ruisseau de Guirande et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Linac est une commune rurale qui compte 235 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 998 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Linacois ou Linacoises.

Géographie

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Commune de l'aire urbaine de Figeac située dans le Ségala lotois, Massif central. Elle est bordée à l'est par le Veyre, à l'ouest par le Bervezou et au sud par le Célé.

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe du département du Cantal.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 059 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maurs à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 157,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[8] : les « environs de Pierres-Blanches » (182 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Cantal et deux dans le Lot[9] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[8] : le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Linac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,5 %), forêts (47,4 %), prairies (2,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Linac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Célé, le Veyre, le ruisseau de Guirande, le Bervezou et la Burlande. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[14]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[15],[12].

Linac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[16].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Linac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Linac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Toponymie

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Le toponyme Linac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Linus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[22].

Le village était nommé Linars sur les cartes de Cassini.

Histoire

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Pendant la Seconde Guerre mondiale, la commune se trouva en sur la route de la 2e division SS Das Reich avant sa remontée vers le front de Normandie.

Le vers 10h30, les maquisards tendent une embuscade à 150 mètres du pont du Colombier à 2 km en amont de Viazac. Deux voitures sont touchées dans l'une d'elle, une Peugeot qui se dirigeait par la RN 122 de Figeac à Aurillac, se trouvent trois SS de la division "Das Reich", dont le lieutenant Hohme, et l’épouse de ce dernier. ces derniers et des soldats allemands sont tués, mais deux survivants réussissent à rejoindre Figeac à l'aide de bicyclettes récupérées à Viazac-Gare. Une demi-heure plus tard, des chenillettes et camions chargés de soldats viennent de Figeac. En chemin, dans Viazac, ils arrêtèrent au hasard huit hommes et une femme (Henri Bastide, François Darles, Mariano Ferrer, Robert Fournier, Frédéric Gibrat, Anne, dite Eugénie Sainte-Marie, Gaston Prévot, Henri Joseph Ringeval et Gilbert Valéro) cultivateurs ou mineurs de Saint-Perdoux et un employé de la SNCF .Ils les ramenèrent dans la soirée au lieu-dit La Rivière et les fusillent sur le lieu de l'embuscade[23]. Ils remontent ensuite le talus en tirailleurs vers le lieu-dit Le Cayla (commune de Linac) et tirent sur toutes les personnes qu'ils rencontrent. Ils reviennent le soir pour brûler le hameau et achever les blessés. Neuf personnes périssent dont le curé du village, le Père Lacarrière, venu porter secours[24].

Politique et administration

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Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1798 Jean Lagane    
1798 1801 Marc Prouzet    
1801 1813 Etienne Andriol    
1813 1815 Pierre Lagane    
1815 1840 Etienne Lagane    
1840 1842 Etienne Page    
1842 1848 Etienne Lagane    
1848 1852 François Noël Cormieu    
1852 1859 Etienne Carreyrou    
1859 1862 Etienne Lagane    
1862 1865 François Courdurie    
1865 1871 Jean Antraygues    
1871 1878 Etienne Labro    
1878 1887 Germain Carrayrou    
1887 1892 Jean Baptiste Carrayrou    
1892 1904 Auguste Antraygues    
1904 1913 Philippe Carrayrou    
1913 1935 Paul Courdurie    
1935 1939 Célestin Lacombe    
1939 1941 Théodore Labro    
1941 1945 Justin Raffy    
1945 1958 Eloi Lagarde    
1958 1959 Paul Verdie    
1959 1989 Georges Lacombe    
1989   Jean-Claude Lacombe    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2022, la commune comptait 235 habitants[Note 4], en évolution de +6,33 % par rapport à 2016 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
924845998768762787759785866
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
893857660709736697661629580
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
524531493479459421414361351
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
300283264242220218195196215
2015 2020 2022 - - - - - -
218235235------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018, la commune compte 95 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 196 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 080 [I 5] (20 740  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 1,5 % 10,5 % 8,5 %
Département[I 8] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 128 personnes, parmi lesquelles on compte 77,7 % d'actifs (69,2 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 22,3 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 30 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 24 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 90, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 11].

Sur ces 90 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 80,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,3 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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15 établissements[Note 7] sont implantés à Linac au [I 14]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 15 entreprises implantées à Linac), contre 13,9 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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La commune est dans le Segala », une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 38 22 19 18
SAU[Note 9] (ha) 613 604 517 448

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 38 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 22 en 2000 puis à 19 en 2010[32] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 53 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[33],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 613 ha en 1988 à 448 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 25 ha[32].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Linac ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Figeac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Linac » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Linac » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Linac » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Linac » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Linac et Maurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maurs » (commune de Maurs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Maurs » (commune de Maurs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Linac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF les « environs de Pierres-Blanches » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Linac », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Linac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 115.
  23. « FOURNIER Robert, Jacques, Jules - Maitron », sur fusilles-40-44.maitron.fr (consulté le ).
  24. Gilbert Lacan, Figeac en Quercy : sous la terreur allemande, Paris, Union Amicale des Enfants de l'Arrondissement de Figeac, , 99 p., p. 77-78.
  25. « Les maires de Linac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  31. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  32. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Linac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
  34. « Château de Puy-Launay », notice no PA00095289, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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