Lignan-de-Bordeaux

commune française du département de la Gironde

Lignan-de-Bordeaux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lignan-de-Bordeaux
Lignan-de-Bordeaux
La mairie
Blason de Lignan-de-Bordeaux
Blason
Lignan-de-Bordeaux
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de l'Entre-Deux-Mers
Maire
Mandat
Pierre Buisseret
2020-2026
Code postal 33360
Code commune 33245
Démographie
Gentilé Lignanais, Lignanaises
Population
municipale
836 hab. (2021 en évolution de +3,47 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 49″ nord, 0° 25′ 36″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 95 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Créon
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Lignan-de-Bordeaux
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Liens
Site web www.lignan-de-bordeaux.fr/

Géographie

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Localisation

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Représentations cartographiques de la commune
 
  Mairie
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine, Lignan-de-Bordeaux est située dans la région naturelle de l'Entre-deux-Mers.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Bonnetan au nord-nord-est, Loupes au nord-est, Sadirac au sud-est, Saint-Caprais-de-Bordeaux au sud sur environ 175 m, Cénac à l'ouest et Fargues-Saint-Hilaire au nord-ouest.

Communes limitrophes de Lignan-de-Bordeaux[1]
               Fargues-Saint-Hilaire                Bonnetan

Loupes
Cénac   Sadirac
Saint-Caprais-de-Bordeaux

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Lignan-de-Bordeaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), prairies (20,2 %), forêts (19,3 %), zones urbanisées (7,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lignan-de-Bordeaux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1985, 1988, 1990, 1992, 1993, 1999, 2009 et 2021[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[18]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lignan-de-Bordeaux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 367 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 367 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2002, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie

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Le toponyme Lignan viendrait de l’anthroponyme latin Linus ou Linius ou du terme latin lignum (leinha en gascon) qui signifie « bois »[21].
La terminaison -de-Bordeaux a été ajoutée en 1930, sans doute pour faire le distinguo avec la commune de Lignan-de-Bazas du même département qui ajouta sa terminaison en 1918.

En gascon, le nom de la commune est Linhan de Bordèu.

Histoire

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Dès les temps préhistoriques, le site a été occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carles et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avansay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu. Des monnaies du IIIe siècle ont été trouvées sur une voie dallée près des vestiges d’un pont sur le Canterane, aux abords du chemin des Caminasses qui menait vers Burdigala.

Au Moyen Âge des monastères apparaissent : celui du Clos Saint Jean sous l’égide des abbayes bénédictines de La Sauve et de Sainte Croix puis celui de La Ligne[23] avec les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Ce sont ces moines qui construisent l’église Sainte Eulalie, aux XIIe et XIIIe siècles. À cette époque, l’église de Lignan a droit de baptême, mariage et sépulture pour toute la région : c’est ce qui explique la présence des tombes monolithes et des nombreux sarcophages autour de l’église ; la place actuelle du village et les alentours du cimetière ont servi de nécropole jusqu’au XVe siècle.

 
Gare de Lignan avant sa transformation en multiple rural
 
Porc primé en 1929 élevé au Château de Seguin

Avec les abbayes citées plus haut, les seigneurs se partagent les nombreux moulins sur la Pimpine, le Carles et le Canterane ainsi que les terres de la paroisse occupées par des forêts, des céréales et des vignes. En 1453, le seigneur de Chapelas devient co-seigneur avec le roi de la paroisse de Lignan et des terres de La Ligne et Mondet ; la famille éminente des Pontac-Chapelas aura droit de banc et de litre. L’urne funéraire de l’oncle Arnaud de Pontac, évêque de Bazas décédé en 1605, sera placée dans la crypte de l’église. Les propriétaires de l’Isle-Fort, Seguin[24], Pugerin, Sentout, maisons nobles, ont souvent une charge juridique au Parlement de Bordeaux. Maurice de Sentout aura même le droit de créer une faïencerie royale sur son domaine.

La Révolution entraîne une nouvelle distribution des grandes propriétés. La première séance du conseil municipal a lieu dans l’église le et la paroisse Sainte Eulalie va devenir Lignan-de-Créon. En 1847 sont fondés les établissements Saignes[25], usine de cinquante ouvriers qui fabrique jusqu’en 1934 des pulvérisateurs et soufreuses à traction animale pour le traitement de la vigne. En 1873 est inauguré le premier tronçon de la voie de chemin de fer Bordeaux-Eymet pour acheminer la pierre des carrières de Lignan, Cénac et autres communes de l’Entre-deux-Mers nécessaire à la construction des immeubles bordelais (à Lignan, les carrières deviendront par la suite champignonnières). Quatre ans plus tard, 60 000 tonnes de pierre sont acheminées sur Bordeaux par le train et le trafic atteint 8000 voyageurs en gare de Lignan.

Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer est alors un atout pour l'homme d'affaires G.- F. Bertrin[26] originaire de Sainte-Bazeille[27], détenteur d’une solide fortune qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan : il rachète le château Seguin, fonde en 1913 un élevage porcin de trois cents bêtes primées dans toute la France, un cheptel d’une centaine de vaches laitières, un haras de chevaux de course et replante un vignoble de cent dix hectares qui produira près de quatre mille barriques de vin.

Dans les années 1930, on trouve à Lignan (qui s’appelle désormais Lignan-de-Bordeaux[28]) des forgerons, des charrons, un maréchal-ferrant, une scierie, trois bars-restaurants, une auberge, trois épiceries et le moulin Zuera qui emploie une vingtaine d’ouvriers. L’école, construite en 1877 doit être agrandie. De nos jours, Lignan est un village-dortoir, la plupart des Lignanais travaillant dans l’agglomération bordelaise. L’usine Saignes a cédé la place à un parking. La voie ferrée a été aménagée en une piste cyclable appréciée des Bordelais pour son cadre champêtre, la « voie verte Roger-Lapébie ». La gare est devenue le multiple rural[29] « Le Bistrot de la Pimpine »[30]. Mais on peut toujours voir les vestiges du passé dans le musée[31]. Les châteaux présentent à la dégustation leurs vins blancs, rosés et rouges.

Politique et administration

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La commune de Lignan-de-Bordeaux fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune demeure dans le canton de Créon remodelé[32],[33]. Lignan-de-Bordeaux fait également partie de la communauté de communes des Portes de l'Entre-Deux-Mers, membre du Pays du Cœur de l'Entre-deux-Mers.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1984 2014 Françoise Guimon SE  
2014 En cours Pierre Buisseret[34] SE Cadre supérieur

Démographie

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Les habitants sont appelés les Lignanais[35].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 836 habitants[Note 4], en évolution de +3,47 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
334296318424352358328326325
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
349393415393412401404361402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
401362341423423425401369342
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
387465530643722677701725699
2014 2019 2021 - - - - - -
797811836------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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La commune est située dans l'aire géographique de production de l'entre-deux-mers (vins blancs secs)[40], appellation d'origine contrôlée du vignoble du même nom. Toute la région produit en outre des rouges, des clairets, des rosés, des blancs secs, doux ou effervescents sous les dénominations bordeaux et bordeaux-supérieur[41].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Outre l'église Sainte-Eulalie[42] et le château de Lislefort[43], qui bénéficient d'une protection au titre des monuments historiques, une vingtaine d'autres lieux et édifices de la commune de Lignan-de-Bordeaux comme les tombes monolithes, sont recensés et versés à l'inventaire général du patrimoine culturel dans le cadre d'une étude topographique du canton de Créon réalisée à partir de 1983 par le conseil régional d'Aquitaine[44]. La commune présente son passé dans le cadre de son musée archéologique et historique[31].

Personnalités liées à la commune

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  • Arnaud de Pontac (v. 1530-1605), évêque de Bazas, dont le cœur est enterré dans la crypte de l'église Sainte-Eulalie.
  • Jean Maurice (1860-1932), boulanger et poète gascon[45] de Lignan-de-Créon, auteur entre 1899 et 1902 de quelques poèmes occitans parus dans la revue Reclams[46]
  • Pierre André Baillon (1903-1977), fondateur du musée de Lignan-de-Bordeaux en 1968 et fondateur de la Société Archéologique et Historique du Canton de Créon (Lignan et ses historiens : quarante années de complicité SAHC 2013)
  • Kevin Desmond (1950-...), auteur de 33 livres, y compris À la recherche de Trouvé : la quête d'un génie français oublié, (2012) primé par l'Académie Nationale des Sciences, Belles-lettres et Arts de Bordeaux, habite Lignan-de-Bordeaux[47]. Organisateur du RAVEL (Rallye Aquitaine des Véhicules Électriques Légers) en 2018, 2019, 2020 et 2021
  • Sandrine Biyi (1967-...)[48],[49], auteure de la série de romans historiques, La Dame de la Sauve, habite Lignan-de-Bordeaux[50].
  • Thierry Vigneron (1960-...), ancien détenteur du record du monde du saut à la perche (5,91 m en 1984), a habité à Lignan-de-Bordeaux[réf. souhaitée].

Héraldique

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Les armes de Lignan-de-Bordeaux se blasonnent ainsi :

Taillé, au premier de sinople au château d'argent composé d'une tour centrale, flanquée de deux corps de logis accompagnés de deux autres plus petits brochant et flanqués de deux tourelles, les tours girouettées et le tout couvert du même, au second de gueules au lion d'or ; aux deux fleurs de lys parties d'or et d'argent posées en barre brochant, en chef et en pointe, sur la partition, celle en pointe accostée de deux grappes de raisin tigées et vrillées rangées en bande, l'une d'or en chef à dextre et l'autre d'argent en pointe.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Lignan-de-Bordeaux sur Géoportail, consulté le 2 mai 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
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  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lignan-de-Bordeaux ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lignan-de-Bordeaux », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lignan-de-Bordeaux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Lignan-de-Bordeaux sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 2 mai 2015.
  22. Annie Chavrier-Lestonnat, Lignan tout au long des chemins, le passé retrouvé, Lignan-de-Bordeaux, France, Société Archéologique et Historique du Créonnais (SAHC), , 70 p. (lire en ligne), (extrait sur le site de la mairie de Lignan).
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  31. a et b « Le Musée de Lignan-de-Bordeaux », sur sahc33.net (consulté le ).
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  33. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde
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  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Cahier des charges de l'appellation entre-deux-mers
  41. Guide des régions et des appellations : Bordeaux — Entre-deux-Mers
  42. « Notice MH de l'église Sainte-Eulalie », notice no PA00083600, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  45. Pierre-Louis Berthaud,, La Littérature gasconne du Bordelais, Paris, Les Belles Lettres, , 117 p., p. 89.
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