Licourt
Licourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Licourt | |||||
La mairie-école. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC de l'Est de la Somme | ||||
Code postal | 80320 | ||||
Code commune | 80474 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Licourtois | ||||
Population municipale |
399 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 58 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 49′ 32″ nord, 2° 53′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 104 m |
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Superficie | 6,93 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierLocalisation
modifierPar la route, Nesle est à 8,5 km, Chaulnes à 7 km et Amiens à 51 km[1].
La commune se trouve dans la zone d'emploi de Saint-Quentin et dans le bassin de vie de Rosières-en-Santerre[I 1].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Cizancourt, Épénancourt, Morchain, Potte, Saint-Christ-Briost, Marchélepot-Misery et Hypercourt.
Misery | Marchélepot | Cizancourt | ||
N | Épénancourt | |||
O Licourt E | ||||
S | ||||
Pertain | Potte | Morchain et Potte |
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 6,93 km2 ; son altitude varie de 53 à 104 mètres[2].
Selon son maire, Licourt constitue le second point culminant du Santerre[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie.
Elle est drainée par la Somme canalisée et le contre-fossé rive gauche du canal de la Somme[Carte 1].
Le canal de la Somme, construit entre 1770 et 1827, mis au gabarit Freycinet en 1880, est long de 170 km. Il débute à Saint-Simon où il touche au canal de Saint-Quentin et débouche dans la baie de Somme[4].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Licourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,3 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,7 %), zones urbanisées (6,3 %)[15].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
modifierEn 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 189, alors qu'il était de 185 en 2016 et de 179 en 2011[I 2].
Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 9,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Licourt en 2021 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) par rapport au département (8,4 %) et à la France entière (9,7 %).
Typologie | Licourt[I 3] | Somme[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88,5 | 83,1 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,7 | 8,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,8 | 8,5 | 8,1 |
Voies de communication et transports
modifierLe village se trouve à proximité de l'échangeur entre l'autoroute A1 (E19) et l'autoroute A29 (E44) qui traverse son territoire.
Il est proche de l'ex-RN 17 (actuelle départementale 1017) et se rejoint par la RD 17.
La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 50, Péronne - Matigny - Ham)[16].
Énergie
modifierLa commune est concernée par un projet de construction de dix éoliennes réparties entre Ablaincourt-Pressoir, Hypercourt, Licourt et Marchélepot, pour une puissance de 36 MW. La construction des éoliennes par Valorem doit commencer à l'été 2018, et fait l'objet d'une collecte de financement participatif destiné notamment à faire adhérer la population concernée au projet[17].
Un second parc éolien de trois aérogénérateurs est envisagé en 2023[18]
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Brescort — Luescort en 1103 ; Luscort en 1215 ; Liescourt en 1218 ; Liecourt en 1241 ; Lielcort en 1249 ; Liescort en 1249 ; Lehericurt en 1254 ; Liacourt en 1353 ; Liecourt en 1353 ; Liesbecourt en 1519 ; Licourt en 1554 ; Lycourt en 1761 ; Lycourt-les-Cressy en 1808[19].
En picard, la commune est dénommée « Licourt ».
Histoire
modifierAntiquité
modifierAu lieu-dit le Câtelet, on a trouvé des pièces de monnaie à l'effigie de Dioclétien, des poteries et des pierres datant de l'époque gallo-romaine[20].
À l'occasion de fouilles de sauvegarde précédant la réalisation du futur canal Seine-Nord Europe, une nécropole gauloise riche en mobilier archéologique (bijoux en argent massif et en os, objets en bronze et en fer) a été découverte en 2011 dans la commune, au lieu-dit la Vallée Madeleine[21].
Moyen Âge
modifierLicourt, dit-on, possédait son château féodal à l'emplacement de l'église actuelle[20].
La dîme et la seigneurie appartenaient au duché-pairie de Chaulnes. Un comte de ce bourg, Louis d'Ongnies en avait fait l'acquisition en 1574 de l'abbesse de Jouarre qui se réserva la nomination à la cure[20].
Temps modernes
modifierEn 1650, Robert Dournel (ou d'Ournel) est seigneur de Grandcourt et de Licourt. Il est aussi maïeur de Péronne. La famille Dournel est suzeraine de Licourt, Fransart, Chuignolles, Quivières, Tincourt, Bonneval et autres lieux jusqu'à la Révolution[22].
Aussi surprenant que cela puisse paraitre[pourquoi ?], le roi Louis XIV, âgé de 16 ans, est venu, avec la Cour, prendre une collation au village de Licourt, le , en revenant de la prise de Stenay.
Révolution française et Empire
modifierDidier et François Namond, gardes particuliers de la citoyenne veuve de Crosne, tuent une louve sur le territoire de la commune le , en se rendant au Bois de Licourt. Les empreintes dans la neige les avaient amenés à appeler des traqueurs et à tirer plusieurs coups de fusil après avoir découvert l'animal. Ils touchent 40 F de prime. Le surnom donné aux habitants vient-il de leur caractère ou de leur aptitude à chasser le loup[23] ?
Époque contemporaine
modifierLors de la guerre franco-allemande de 1870, trois Licourtois sont morts pour la patrie[20].
À la fin du XIXe siècle, Licourt comportait un hameau, Saint-Pierre, avec une râperie destinée à la fabrication du sucre de betterave. On y trouvait aussi une carrière de sable[20].
- Première Guerre mondiale
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[24].
Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [25].
- Seconde Guerre mondiale
La commune est située dans la zone des combats de la bataille de l'Aisne et de la Somme lors de la Seconde Guerre mondiale. En effet la commune, comme Fresnes-Mazancourt, Berny-en-Santerre, Misery, Marchélepot, Pertain et Villers-Carbonnel, fait partie de la ligne Weygand dont la défense est confiée au 22e Régiment de Marche de Volontaires Étrangers (22e RVME)[26],[27],[28].
Du 4 au , les 2 500 hommes du régiment bloquent l'avance de l'armée allemande. Succombant sous le nombre des attaques d'infanterie, des panzers et des bombardements de l'aviation, de l'artillerie, 800 hommes sont faits prisonniers[27].
Le village est donc à nouveau détruit lors de la Seconde Guerre mondiale[29]. Il est décoré de la Croix de Guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [30].
- XXIe siècle
Le président de la République Nicolas Sarkozy est venu à Licourt en , afin de voir les travaux du canal Seine-Nord[31],[32].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme[I 1].
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nesle[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Ham[I 1].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
modifierLa commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[33], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[34].
La fusion intervient le et la nouvelle structure dont la commune fait désormais partie[I 1] prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[35],[36].
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLes enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Morchain et de Potte dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[3].
Licourt dispose d'une école publique qui scolarise 49 élèves pour l'année scolaire 2016-2017[41].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2021, la commune comptait 399 habitants[Note 3], en évolution de +1,01 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
modifierLes Jeunes agriculteurs de la Somme ont organisé en 2022 à Licourt leur traditionnel évenement qui réunit professionnels, grand public et passionnés du monde agricole[45].
Vie associative
modifierEn matière de théâtre, la troupe picardisante locale « Ché Démucheux » se produit régulièrement en spectacle et présente, entre autres, des œuvres de sa création[46].
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Pierre[47] : les parties les plus anciennes datent du XIIe siècle. L'édifice a été modifié à la Renaissance. Elle a été gravement dégradée pendant les deux guerres mondiales. Lors de sa reconstruction, le clocher, initialement situé dans l'alignement de la nef, a été déplacé sur le côté[29].
- Sentier de randonnée, dit de la « vallée Madeleine » : il part de la salle des fêtes de Licourt, longe la Somme puis les bois et relie par une boucle Cizancourt et Épénancourt[29].
-
L'église Saint-Pierre.
-
Vue du clocher de l'église.
-
Entrée de village emblématique.
-
Monument aux morts.
-
Panneau d'histoire locale.
Langue régionale
modifierLe village fait partie de l'aire linguistique du picard, et est appelée Licourt dans cette langue[48].
Le village a signé la charte en faveur du picard, les panneaux d'entrée et de sortie du village sont mentionnés dans la langue régionale[49],[3].
Personnalités liées à la commune
modifierLicourt est également un nom de famille. Les personnes portant ce patronyme ont très certainement un ancêtre commun originaire de la commune. La première attestation de ce nom de famille remonte au XIIIe siècle.
Héraldique
modifierBlason | De sable à la bande d'or chargée d'un annelet de sinople et accompagnée de deux têtes de loup arrachées d'argent, languées de gueules, celle en pointe contournée[50].
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Détails | Armes de la famille Dournel, qui donna d'anciens seigneurs du village, associées à des têtes de loups évoquant leur présence dans les bois environnants jusqu'au XIXe siècle mais également le surnom des Licourtois : chés leups d'Licourt, « les loups de Licourt ». Création de Jacques Dulphy et Daniel Juric, adoptée le . |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- Licourt sur le site BANATIC du Ministère de l'intérieur (DGCL).
- « Licourt » sur Géoportail.
- M. Wiemann, « Fond de plan topographique de la commune de Licourt au 1/2000e », Commissariat à la Reconstruction, Archives départementales de la Somme, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Licourt » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Licourt ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Licourt - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Licourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la Somme - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- ViaMichelin.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Nicolas Totet, « À Licourt, « ch’poéyi d’chés leus » – le pays des loups – heureux de causer picard », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le village de Licourt a signé la charte « Ma commune aime le picard ». Les écoliers chantent en picard et une signalétique régionale va être installée au « pays des loups », l’un des engagements ».
- Sandre, « le canal de la Somme »
- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Licourt et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Benjamen Meriau, « De l'argent en plus et des paysages en moins avec le projet éolien d'Ablaincourt-Pressoir : L'entreprise Valorem propose à nouveau d'investir dans l'un de ses projets, celui de dix éoliennes à Ablaincourt, Hypercourt, Licourt et Marchélepot. Avec des intérêts à la clé », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Eoliennes: coup de frein à Villers-Saint-Christophe, feu vert à Licourt-Morchain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La Communauté de communes de l’est de la Somme a émis un avis favorable pour l’implantation de trois mâts aérogénérateurs mais refuse l’accès à une voirie intercommunale pour Villers-Saint-Christophe ».
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 2, page 510, vue 214/267, Archives départementales de la Somme, Amiens [1]
- Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur du village, M. Fournier, 1898, Archives départementales de la Somme, Lire la notice en ligne, sur le site des Archives.
- « De riches sépultures gauloises retrouvées à Licourt (Somme) », Sites archéologiques, sur inrap.fr, (consulté le ).
- « Licourt dans l'Armorial de France ».
- Jacques Dulphy, Les loups dans la Somme, 1988, imp. Colombel, Amiens
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
- 22e R.M.V.E. Marchélepot Fresnes-Mazancourt Misery
- MARCHELEPOT Il y a 75 ans, c'était la guerre dans le village
- La bataille de la Somme et de l'Aisne
- Panneau d'histoire locale, reproduit dans la section « Lieux et monuments ».
- « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ).
- « Nicolas Sarkozy lance le canal Seine-Nord », Le Parisien, édition de l'Oise, (www.leparisien.fr/noyon-60400/nicolas-sarkozy-lance-le-canal-seine-nord-06-04-2011-1394987.php, consulté le ).
- A.L. avec AFP et AEDD, « Transports - Nicolas Sarkozy lance la dernière phase du chantier du canal Seine-Nord Europe », Localtis, (lire en ligne, consulté le ).
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
- V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Imposée par l'État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
- « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50, , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l'Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
- « Christian Meresse vise un sixième mandat à Licourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire Christian Meresse (sans étiquette) a décidé de poursuivre l'aventure. Il est donc prêt pour tenter de décrocher un sixième mandat, lui qui a été élu pour la première fois au conseil municipal en 1983, avant de devenir maire en 1986, après la démission de Marceau Cazé ».
- « Christian Meresse, maire de Licourt, est décédé », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Élu à Licourt depuis 1983, village dont il était devenu maire en 1985, Christian Meresse est décédé mercredi 16 octobre 2024 ».
- Romaric Leurs, « Somme : disparition de Christian Méresse, maire de Licourt depuis 1986 », Le Journal de Ham, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le maire de Licourt, Christian Meresse, veut un nouveau mandat », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Il est maire de Licourt depuis 1986, et c'est avec le sourire qu'il souhaite se représenter aux prochaines élections. ».
- L'école sur le site de l'éducation nationale.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Nicolas Totet, « Plaine en fête ce week-end à Licourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « La grande fête agricole samarienne a lieu ce week-end à Licourt, à l’est du département. Pour les amoureux de la ruralité, il y aura de quoi se divertir ».
- « Ches Démucheux» ont présenté leur nouvelle pièce à Licourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Licourt, d'après nature, 22 octobre 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Somme : On parle le picard à Licourt », Le Journal de Ham, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas Totet, « Licourt-Épehy : quand le picard fait causer dans l’est de la Somme », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Ce sont deux villages de l’est de la Somme, parmi quelques autres, qui ont adhéré à la charte de la langue picarde. Qu’en est-il aujourd’hui ? Ambiance ».
- « 80474 Licourt (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).