Levergies

commune française du département de l'Aisne

Levergies est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Levergies
Levergies
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Bernard Nuttens
2020-2026
Code postal 02420
Code commune 02426
Démographie
Gentilé Levergeois(es)
Population
municipale
541 hab. (2021 en évolution de −2,52 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 55′ 40″ nord, 3° 18′ 48″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 155 m
Superficie 7,67 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bohain-en-Vermandois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Levergies
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Levergies

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Levergies
Joncourt Ramicourt
Magny-la-Fosse   Sequehart
Lehaucourt Lesdins
 
Panorama du village depuis Sequehart.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Levergies[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Levergies est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,1 %), zones urbanisées (4,9 %)[11].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Levergies apparaît pour la première fois en 1220 sous le nom de Vergie dans un cartulaire de l'abbaye de Vermand, puis Levregies[Quand ?], Le Vergie[Quand ?], Levregiez[Quand ?], Levregye[Quand ?], Levergyes[Quand ?], puis Le Vergie au XVIIIe siècle sur la Carte de Cassini[12]. Au XIXe siècle, le village prendra l'orthographe actuelle.

Histoire

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Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

Carte de Cassini

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Sur la Carte de Cassini ci-contre datant du XVIIIe siècle, Levergies est une paroisse.
Au nord, le hameau de Presel avait une ferme qui appartenait à l'abbaye de Saint-Prix de Saint-quentin[13].
La ferme de Senacourt dons les terres était située sur la paroisse de Levergies a été détruite vers 1750[14].

A un kilomètre du village s'élevait, avant la Révolution, une statue de six pieds représentant Saint Maurand sur un piédestal en pierre...Quatre ormes donnaient ombrage aux pèlerins..."[15].

Un dicton picard circulait au XVIIIe siècle concernant les habitants du village :

A L'vergies / Pover zeins / Queudron vuid / Grind' marlmite / Erien d'eins
A Levergies / Pauvers gens / Chaudron vide / Grande marmite / Rien dedans[16]

La guerre de 1914-1918

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Après la bataille des Frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le , les Allemands s'emparent de Levergies et poursuivent leur route vers l'ouest[17]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Pendant toute cette période le village restera loin des combats, le front se situant à une quarantaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne puis le long de la ligne Hindenburg à partir de [18].
Pendant plus de 4 ans, le village servira de base arrière pour l'armée allemande. En , l'offensive des Alliés sur la ligne Hindenburg porte ses fruits, les Allemands cèdent du terrain peu à peu. Les habitants de Levergies sont évacués vers l'arrière par les Allemands. Après de durs combats, la 32è division britannique s'empare du village le . "Communiqué britannique du :"Hier après-midi, notre attaque au nord de saint-Quentin a continué et nos troupes ont enlevé Levergies après de durs combats dans le voisinage du village[19]". Les corps de soldats tués lors de ces affrontements reposent dans le cimetière militaire situé route de Joncourt[20]. L'église et les habitations ont subi de nombreux dégâts à la suite des bombardements[21].
Peu à peu, les habitants évacués sont revenus, mais la population de 871 habitants en 1911 n'était plus que de 619 en 1921. Alors commença une longue période de reconstruction de la mairie, des maisons, de la voie ferrée et des routes.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [22]. Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 33 soldats levergeois morts pour la France au cours de cette guerre[23]. Le et durant 4 jours les 550 habitants de Levergies doivent quitter leur domicile pour une opération de déminage. Depuis plusieurs décennies, ils vivaient à 300m à peine d'un champ où étaient enterrés 1.500 obus, presque 28 tonnes qui datent de la Première Guerre mondiale... tous prêts à exploser[24].

L'ancienne voie ferrée

De 1892 à 1954, Levergies a possédé une gare située rue de La-Dessous. Elle faisait partie du réseau de chemin de fer d'intérêt local desservant le Cambrésis dans le département du Nord ainsi que le nord du département de l'Aisne. Elle était sur la ligne Le Catelet-Gouy / Saint-Quentin-Cambrésis longue de 25 km. Elle servait pour le transport du courrier, des marchandises, des betteraves et surtout des Joncourtois qui se rendait à Saint-Quentin.

De nos jours, la gare est devenue une habitation ; le support de la réserve d'eau existe toujours ainsi que l'emprise de l'ancienne voie, qui devenue sentier de randonnée.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Levergies est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bohain-en-Vermandois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[26].

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 mars 2008 Philippe Ducatteau    
mars 2008[27] 2014 Muriel Roussos    
2014 avril 2016[28] Angélique Decaudin SE Employée
mai 2016[29] En cours
(au 28 mai 2020)
Bernard Nuttens SE Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 541 habitants[Note 3], en évolution de −2,52 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5505548871 0041 0991 1221 0881 1761 232
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2101 2741 2551 1851 1051 0601 0501 1321 021
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
942975871619675555530440509
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
534512536566601577601581549
2021 - - - - - - - -
541--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Notes et références

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Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Levergies et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  14. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  15. « Vie de saint Maurant,... extraite des Bollandistes ; par M. l'abbé Gobaille,... », sur Gallica, (consulté le ).
  16. « Dictons et sobriquets populaires des départements de l'Aisne, de l'Oise et de la Somme / par Ylliatud [A.-J. Dutailly] », sur Gallica, (consulté le ).
  17. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  18. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  19. « Le Petit journal », sur Gallica, (consulté le ).
  20. « Cimetière britannique de Joncourt », sur aisne14-18.com via Wikiwix (consulté le ).
  21. « Carte spéciale des régions dévastées. 13 SE, Cambrai [Sud-Est] / [Service géographique de l'armée] », sur Gallica, (consulté le ).
  22. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  23. « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
  24. Nicolas Totet, « 70 gendarmes mobilisés pour évacuer Levergies et débarrasser le village de ses tonnes d'obus », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  25. « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  27. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  28. « Levergies : Angélique Décaudin quitte ses fonctions de maire », L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  29. « Levergies : Bernard Nuttens devient le nouveau maire du village », L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  30. « Angélique Décaudin revient au conseil municipal de Levergies, Bernard Nuttens reste maire », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Bernard Nuttens a été réélu maire, mais son équipe compte une invitée surprise en la personne d'Angélique Décaudin ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Notes de type "Carte"

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  1. « Réseau hydrographique de Levergies » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Liens externes

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