Le Tronquay (Eure)

commune française du département de l'Eure

Le Tronquay est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Le Tronquay
Le Tronquay (Eure)
Mairie-école du Tronquay
et son monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes Lyons Andelle
Maire
Mandat
Dominique Drony
2020-2026
Code postal 27480
Code commune 27664
Démographie
Gentilé Tronquois
Population
municipale
518 hab. (2021 en évolution de +1,37 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 37″ nord, 1° 28′ 46″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 179 m
Superficie 19,06 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Le Tronquay
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Le Tronquay

Géographie

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C'est une petite commune située dans le pays de Lyons-Andelle à un peu plus de 100 km de Paris et 30 km de Rouen, dans la forêt de Lyons, la plus grande hêtraie d'Europe. Située sur le plateau limité par l'Andelle et la Lieure, le bourg se trouve à la limite Sud du territoire communal. La commune est occupée par deux zones importantes de forêt, l'une à l'ouest, l'autre au centre-nord.

 
OpenStreetMap Limite communale

Le Tronquay possède plusieurs lieux-dits et fermes :

  • les Célestins. Le fief de la Rosière prit le nom des célestins au milieu du XVIe siècle, lorsque Jeanne Havart[1], épouse de Guillaume V de Bricqueville[2], le vendit aux célestins de Rouen. À la disparition du couvent des célestins en 1783, les biens furent réunis au séminaire Saint-Nicaise de Rouen ;
  • les Cornets ;
  • la Grand-Fray[3] Fief en 1579 de Philippe d'Alcrippe ;
  • la Motte. Élevée selon la tradition lors de la guerre de Cent Ans par les Anglais, elle se composait d'une butte et d'une fortification ;
  • le Fresnay. Au XVIIIe siècle, le Fresnay appartenait en partie à M. de la Garenne ;
  • les Landez ;
  • les Callouettes ;
  • les Brûlins. Ce nom semble indiquer qu'un incendie aurait détruit une partie de la forêt sur laquelle le nouveau fief allait être installé. L'existence du fief est attesté en 1588. Le propriétaire, Martin Anquetil, procureur du roi au Parlement, demande la construction d'un colombier à pied. À la fin du XVIe siècle, début XVIIe siècle, il passe à la famille Hallé. Milieu XVIIe siècle, il devient la propriété de Robert Dieupart, pour appartenir à M. de Limoges au XVIIIe siècle ;
  • le Bâtiment. Le manoir est un logis du XVIIIe siècle et appartenant à cette époque à la famille de Limoges[4], dont deux membres furent abbés de l'Isle-Dieu ;
  • la Garenne. Triège[5] sis au Fresnay, propriété de Thomas d'Aussy, sieur de la Garenne, anobli en 1643. Le manoir appartient en 1753 à la famille Lefranc d'Assignies. La chapelle du XVIIe siècle est aujourd'hui détruite.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative> 80 % en hiver), vents forts fréquents[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 821 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Étrépagny à 16 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Tronquay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,5 %), forêts (41,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), prairies (4,9 %), zones urbanisées (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le lieu est mentionné sous la forme latinisée Troncheium vers 1188 (reg. Phil. Aug.), Trunkeium en 1197 (charte de Gautier, archev. de Rouen), Tronqueium en 1206, Truncheium en 1208, Tronquetum en 1248, Tronqueum en 1250, Trunqueium en 1250 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Tronquoy en 1321 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Le Tronquoy en 1754 (Dict. des postes), Tronquai-en-Lions 1828 (Louis Du Bois)[19]

La présence de l'article indique qu'il ne s'agit pas d'une formation très ancienne, romane en tout cas : on y reconnait le mot tronc, attesté pour la première fois chez Wace en 1155 (trunc), c'est-à-dire de façon quasiment contemporaine à « Tronquay ». Ce terme est issu du gallo-roman *TRUNCU qui remonte au latin truncus « tronc, souche »[20].

Le second élément est le suffixe masculin bien connu -ay (parfois graphié -ey ou -et) et qui « sert généralement à désigner un ensemble d'arbres appartenant à la même espèce » (cf. Le Quesnay, Le Saussay, etc.), sa forme féminine -aye a donné le suffixe moderne -aie (cf. chênaie, saulaie, etc.). Il remonte au gallo-roman -ETU / -ETA.

Il est parfois attesté avec la phonétique plutôt picarde de Tronquoy en 1321 (cartulaire de l'abbaye de l'Isle-Dieu) à Le Tronquoy en 1754 (dictionnaire des postes), -oy étant la forme correspondant à -ey / -ay, plus répandue en Picardie et en Wallonie (cf. Le Quesnoy, Le Sauchoy).

La commune est enfin dénommée officiellement en 1828 Tronquai-en-Lions[21].

La signification exacte du toponyme n'est pas claire « l'endroit où il y a des troncs d'arbre »[22], c'est-à-dire, peut-être, une « troncaie » au sens de futaie, même suffixe -aie[23].

Histoire

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Vitrail nord du chœur de l'église Saint-Ouen de 1877 qui montre l'archevêque de Rouen délivrant par le privilège de la Fierte Saint-Romain les habitants du Tronquay, emprisonnés à Rouen après la mort du capitaine de la Fontaine du Houx.
  • D'après les recherches faites par un des curés du Tronquay, la commune a vu son origine à la fin du XIe, début XIIe siècle.
  • Autrefois, l'église du Tronquay relevait de l'abbaye de L'Isle-Dieu[24]. Une charte du XIIe siècle parle de l'« ancien et du nouveau territoire du Tronquay ». En 1206, Mathieu du Tronquay donna plusieurs pièces de terre à cette abbaye, qui possède le patronage de l'église. D'autres familles firent aussi des dons à cette abbaye et le roi Louis VIII de France donna un bois en 1226 où les religieux ont construit une grange aujourd'hui détruite. Le fief du Tronquay appartient de 1411 à 1421 à la famille de Beauvais, puis à celle d'Estouteville en 1438.

La guerre de Cent Ans

  • Pendant la guerre de Cent Ans, le Tronquay s’est trouvé sous occupation anglaise. C’est de cette époque que daterait la motte. Les habitants du Tronquay étaient devenus très malheureux, d’une part des soldats anglais, et d’autre part à cause de la rapacité des chanoines de Rouen, jamais satisfaits. Il y eut des protestations de la part de la population. Finalement, un arrangement a pu être trouvé.

Le privilège de Saint-Romain

  • Les paroissiens du Tronquay se défendent en demandant que tout homme d’armes possède un ordre du roi par écrit s’il veut séjourner et loger avec ses troupes sur le territoire de la paroisse (1640)[25]. Le sieur de la Fontaine du Houx a passé outre cet ordre. Il s’installa le dans le pays et pilla le presbytère et d’autres maisons, ainsi que l’église. Devant la demande des habitants de présenter l’autorisation du roi, le capitaine de la Fontaine du Houx lança ses soldats contre la foule. Beaucoup furent tués, des soldats aussi et leur capitaine. Le père de la Fontaine du Houx, le chevalier de Fours prit 18 ou 20 habitants en otage et les autres en résidence surveillée. Ceux qui ont pu fuir se sont réfugiés dans la forêt. Pendant deux ans, la situation stagne, quand les gens du Tronquay ont tourné leur regard vers l’église de Rouen et choisirent d’avoir recours au privilège de Saint-Romain. 15 habitants se constituèrent prisonniers dans la prison de Rouen. Après étude de leur cas, ils furent tous libérés, le privilège de Saint-Romain fonctionna en leur faveur ( et )[26].
 
Église Saint-Mathurin des Hogues.

La séparation avec Les Hogues

  • Le défrichement de la forêt se prolonge jusqu'au cours du XVIIIe siècle. À cette époque, c'est monsieur de Belle-Isle qui devint seigneur et patron honoraire du Tronquay. Plus tard, le Tronquay devint propriété royale, puis du comté d'Eu et du duc de Penthièvre, dernier seigneur du Tronquay.
  • En 1787, Le Tronquay se scinda en deux : Le Tronquay et Les Hogues (pour des raisons d'éloignement). Au début du XXe siècle, il y avait plusieurs sabotiers ainsi que 15 cafés.

Aujourd'hui

  • Ce petit village paisible garde deux écoles primaires (regroupement scolaire avec les communes environnantes), un garage et des artisans. La fête patronale Saint-Ouen se fait tous les troisièmes dimanches de juin.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Nicolas François Delarue    
    Pierre Vincent Boissel    
    L. Dubosc    
    P. Damours    
  1831 Louis François Dupuit   Cultivateur
1831 1835 Pierre Simon   Cultivateur
1835 1840 Louis François Dupuit   Cultivateur
1840 1852 Pierre Louis Séverin Boullenger   Cultivateur, propriétaire
1852 1858 Félix Alexandre Duboc   Rentier, démissionnaire
1858 1860 Pierre Louis Séverin Boullenger   Cultivateur, propriétaire
1860 1865 Jean Baptiste Armand Blot    
1865 1887 Pierre Louis Jumelin   fabricant sabotier
1887 1887 Jacques Désir Deshayes Républicain Propriétaire, démissionnaire
1887 1891 Pierre Louis Jumelin   fabricant sabotier, démissionnaire
1891 1892 Alphonse Crétot    
1892 1896 Célestin Gobert   Propriétaire
1896 1898 Hector de Folleville    
1898 1900 Frédéric Morin    
1900 1912 François Bavant    
1912 1919 Léon Bordin    
1919 1925 Dieudonné Gueroult   Propriétaire
1925 1932 Jules Fouquet   Cultivateur
1932 1935 Saintier    
1935   Louis Touchard   1866-1949
1951 1971 Raymond Vigreux DVD Agriculteur, 1898-1984
    Lucien Leroux   1923-2007
1995 mars 2014 Marcel Le Roy UMP[27] docteur en médecine
mars 2014 En cours Dominique Drony (1960-) DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 518 habitants[Note 2], en évolution de +1,37 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4711 3921 3951 3311 2251 3171 2491 1941 207
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0971 059977911880817805723662
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
603577546488492510465474460
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
464392403372410391449469485
2014 2019 2021 - - - - - -
513513518------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • 1786 = 3000
  • 1787 = 1027[32]

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. dame d'Aussebosc, fille de Georges Havart, vicomte de Dreux, sénéchal héréditaire du Perche et de Antoinette d'Estouteville, de la ligne d'Estouteville
  2. Maison de Bricqueville
  3. « Ferme au lieu-dit la Grand-Fray », notice no IA00016901, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  4. Possessionnée à Vascœuil, elle a donné les marquis de Saint-Saëns.
  5. Un triège définit une surface de forêt ou un lieu-dit [1].
  6. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  10. « Orthodromie entre Le Tronquay et Étrépagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 221.
  20. étymologie de tronc
  21. Dictionnaire topographique de la France, noms de lieux anciens et modernes
  22. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Éditions Charles Corlet/Presses universitaires de Caen, 1993 (ISBN 2-905461-80-2), p. 260.
  23. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 202.
  24. Jadis très influente ; c'est aujourd'hui une grande ferme entre Vascœuil et Perruel. L'abbaye de l'Isle-Dieu nommait le curé de la paroisse.
  25. Des Andelys au Havre : illustrations de Normandie
  26. Liste des 15 habitants : Jacques Brémontier, 49 ans du Tronquay ; Jean Brémontier, 14 ans de Lorleau ; Étienne Anquetil, 46 ans, drapier au Tronquay ; François Lorgery, 45 ans, tonnelier ; Paul Mesnager, 42 ans, tisserand ; Pierre Oliefve, 40 ans, geôlier à Lyons ; Georges Delamare, 35 ans, laboureur ; Pierre Lorgery, 31 ans, sabotier ; Nicolas Boissel, 38 ans, batteur en granges ; Étienne Mabire, 25 ans, du Tronquay, avironnier à Rouen ; Noël Delamare, 36 ans, charron ; Louis Brémontier, 33 ans, tabellion ; Jean Drouet, 22 ans, laboureur ; Nicolas Brémontier, 24 ans ; Jean Picart, 44 ans, toilier.
  27. Annuaire des mairies de l'Eure
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. juste après la séparation avec Les Hogues
  33. Liste des curés du Tronquay :
  34. « Église Saint-Ouen », notice no IA00016898, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no IA00017043.
  36. « Manoir au lieu-dit le Bâtiment », notice no IA00017038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Manoir de la Garenne », notice no IA00016900, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Manoir des Brûlins », notice no IA00016899, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Pierres à légendes du département de l'Eure, 1922, par Léon Coutil.
  40. « Forteresse dite Butte aux Anglais », notice no IA00017044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. La Butte aux Anglais
  42. Entrée à l'Académie le 2 janvier 1833.
  43. Précis analytique des travaux de l'Académie.

Voir aussi

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Bibliographie

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Liens externes

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