Le Quesne

commune française du département de la Somme

Le Quesne est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Le Quesne
Le Quesne
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Alexis Bourgois
2020-2026
Code postal 80430
Code commune 80651
Démographie
Gentilé Quesnois
Population
municipale
253 hab. (2021 en évolution de −8 % par rapport à 2015)
Densité 177 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 48″ nord, 1° 47′ 57″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 175 m
Superficie 1,43 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Quesne

Géographie

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Le Liger, depuis le pont.

Le village est desservi par la route départementale 211, l'axe Senarpont (à 6 km) - Hornoy-le-Bourg (à 8 km).

Localisation

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  Saint-Aubin-Rivière Arguel  
N
O    Le Quesne    E
S
Beaucamps-le-Vieux Liomer

Communes limitrophes

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Arguel, Liomer, Saint-Aubin-Rivière et Beaucamps-le-Vieux bordent le territoire communal.

Transports routiers

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La localité est desservie par la ligne d'autocars no 4 (Blangy-sur-Bresle - Amiens) et la ligne no 32 du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Liger[2],[Carte 1].

Le Liger, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Lafresguimont-Saint-Martin et se jette dans la Bresle à Senarpont, après avoir traversé huit communes[3].

 
Réseau hydrographique du Quesne[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vallée de la Bresle ». Ce document de planification concerne un territoire de 748 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Bresle. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement, de gestion et de valorisation du bassin de la Bresle[4].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Quesne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,1 %), terres arables (29,9 %), zones urbanisées (15,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), forêts (0,1 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Quercus en 1161 (latinisation), Caisne en 1165[16], Le Quesne dès 1617, Quêne en 1747.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale qui consiste en un nom d'arbre employé absolument (sans suffixe, adjectif, appellatif ou anthroponyme). Quercus est une latinisation savante qui n'a rien à voir avec l'étymologie de Quesne, qui remonte, comme le français chêne, au gaulois cassanos devenu cassinos « chêne » et dont l'ancienne graphie Caisne relevée en 1165 porte encore trace. Le maintien du groupe initial /ca/ est caractéristique de la phonétique normanno-picarde[17] constatée au nord de la ligne Joret.

La graphie Quesne avec un s est conservatrice, chêne se dit encore localement quêne tout comme dans l'ensemble de la Picardie occidentale et de la Normandie septentrionale. Les formes toponymiques suffixées sont Le Quesnel (Somme) « le petit chêne » et les différents Quesnoy « chênaie », dont il existe plusieurs exemples dans la Somme.

Histoire

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Des silex taillés ont été découverts sur le territoire communal[18].

En 1890, est construite une usine textile destinée à la production de tissus de jute et de chanvre. Elle emploie alors environ 300 ouvriers[19].

Une étoffe grossière blanche ou grise, la tiretaine, est alors à la mode. Elle est fabriquée par les ouvriers bélingers locaux[18].

Pendant la guerre 1914-1918, les hommes partis au front sont remplacés par des femmes qui fabriquent également des sangles pour l'armée, tout au long du conflit[19].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1806 du canton de Hornoy-le-Bourg[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.

Intercommunalité

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La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois, créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[21],[22]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [23], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[24].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Claude Poiret DVG  
mars 2001 mai 2020 Michel Doinel PRG  
mai 2020[27] En cours
(au 8 octobre 2020)
Alexis Bourgois    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 253 habitants[Note 2], en évolution de −8 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
215217227242239262264272270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
243237252244258280278267265
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
230232220200195186173167144
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
144168303373313300281278284
2017 2021 - - - - - - -
267253-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Rémy.
  • Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, derrière l'église, de 1875. Il renferme de nombreux ex-voto[31].
  • Les larris, versants crayeux exposés au sud, à la biodiversité reconnue.

Personnalités liées à la commune

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  • Sire Fulgence, enfant du village et hussard napoléonien, s'illustre lors de faits d'armes liés au passage de la Bérézina. Il est décoré pour ses actes de bravoure[18].

Héraldique

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  Blason
De vair au pal de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Un blason différent figure sur le fronton de l'école-mairie.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique du Quesne » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. « Fiche communale du Quesne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. Sandre, « le Liger »
  4. « SAGE Vallée de la Bresle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Le Quesne et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 552a.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  18. a b et c Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Lenoir, 1899, archives départementales de la Somme, Amiens Lire la notice en ligne.
  19. a et b Denise Élie-Deneux, Un jeune appelé de Beaucamps-le-Vieux dans l'après-guerre 1914-1918 : témoignage, Société d'Émulation d'Abbeville, bulletin 2015, tome XXXIII, fascicule 5, p. 644, ISSN 0081-0819.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  24. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  25. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  26. « Les maires de Quesne (Le) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. « Une nouvelle municipalité en place », Courrier picard,‎ , p. 15.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 92 (ASIN B000WR15W8).