Le Douhet

commune française du département de la Charente-Maritime

Le Douhet est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le Douhet
Le Douhet
Le village du Douhet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Stéphane Taillasson
2020-2026
Code postal 17100
Code commune 17143
Démographie
Gentilé Douhetiens
Population
municipale
703 hab. (2021 en évolution de +0,14 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 13″ nord, 0° 34′ 11″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 81 m
Superficie 18,35 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaniers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Douhet
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Douhet
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Charente-Maritime
Le Douhet
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Le Douhet

Ses habitants sont appelés les Douhetiens et les Douhetiennes[1].

Géographie

modifier

Localisation

modifier

La commune du Douhet se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi atlantique[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques : le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.

Communes limitrophes

modifier

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Le Douhet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[4]. Elle est située hors unité urbaine[5]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[5]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), zones agricoles hétérogènes (33,3 %), terres arables (14,3 %), cultures permanentes (4,1 %), prairies (0,7 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune du Douhet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels

modifier
 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Douhet.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[11]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 367 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 235 sont en aléa moyen ou fort, soit 64 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[12].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques

modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[14].

Toponymie

modifier

Le nom de ce village proviendrait du vieux français doit, en saintongeais douet, dérivé du latin ductus désignant une conduite d’eau ou un petit cours d’eau. On y voit la référence à l’aqueduc souterrain qui captait l’eau au hameau de Chez Pérot pour l’acheminer jusqu’aux Thermes de Saintes[15].

Histoire

modifier

Préhistoire

modifier

Site moustérien et magdalénien du Gros-Roc

modifier

Le site se trouve dans l'ouest de la commune, à environ 2,3 km au sud-ouest du bourg, sur le flanc nord du coteau boisé situé à environ 350 m à l'est de l'ancien moulin des forges (devenue une pisciculture). Le site s'étend entre la source au pied du coteau et la grotte des Chambres-Noires au sommet[16],[17].

En 1889, M. Clouet (père[18],[n 1]), alors instituteur au Douhet d'après Daniel 1978[22], est le premier à fouiller la grotte des Chambres-Noires[17]. Quelques années plus tard (entre 1892 et 1908), de nouvelles fouilles sont effectuées par le même M. Clouet père (alors instituteur à Saint-Hilaire), Clouet fils (instituteur à Saintes) et Saisy (instituteur au Douhet)[18].

Les vestiges de faune sont abondants mais très dégradés et - en 1908 - difficiles à identifier. Une dizaine d'os en relativement bon état proviennent d'un grand équidé. Nombreuses dents, dont les 9/10e sont des dents de cheval. Le renne semble absent[23]. Le niveau magdalénien fournit une mâchoire de félin que Boule (1892) identifie comme une sous-espèce nouvelle : Felis spelaea var cloueti (Clouet 1891[24])[25].

Politique et administration

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1973 1983 Paul Cartier    
1983 2014 Jacques Tanner    
2014 En cours Stéphane Taillasson   Agriculteur

Région

modifier

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 703 habitants[Note 2], en évolution de +0,14 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9139338409741 0581 0081 0331 033968
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
920913859757776759720734663
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
639627697646641606556534573
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
511502477518589636692700694
2017 2021 - - - - - - -
713703-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

modifier

Sports et loisirs

modifier

Vie associative

modifier

Médias

modifier

Économie

modifier

En 1963, Butagaz obtient l’autorisation d’implanter un centre emplisseur et de stockage de butane et propane au Douhet, près de la gare et des habitations de Chez Pesson et Chez Pérot. Le site est classé Seveso seuil haut nécessitant un Plan de Prévention des Risques Technologiques[30].

La gare n'est plus desservie.

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Le château du Douhet

modifier
 
Le parc et le logis du château du Douhet.

On a longtemps pensé que ce château avait été construit vers 1680 sur ordre de Renaud de Pons. Mais la présence de baies segmentées au dernier étage est l'indice d'une construction plus récente, entre 1715 et 1730[31]. Il est acheté en 1946 par l'industriel Jean Damilleville, ancien pilote pendant la Première Guerre mondiale.

Racheté par un promoteur immobilier, le château, ainsi que ses dépendances, ont subi d'importants travaux intérieurs pour l’aménagement d’appartements privés. Le tout est organisé en copropriété depuis 2009[32].

L'aqueduc romain

modifier

L'aqueduc romain, principalement souterrain, alimentait Mediolanum Santonum (Saintes) en eau. L'aqueduc date du Haut Empire romain (2e moitié du Ier siècle. On peut aussi voir des portions de cet aqueduc à Fontcouverte (Vallon des arcs), ainsi qu'un aqueduc affluent, aux Fontaines romaines de Vénérand.

Une portion de cet aqueduc, orientée nord-est sud-ouest, est ouverte à la visite au lieu-dit La Grand-Font[33] (45° 49′ 00″ N, 0° 33′ 12″ O) où se situe l'une de ses sources. L'entrée est taillée dans le roc. Le site est classé monument historique, depuis 1840[34].

À 160m en aval de la source de la Grand Font se trouve un baptistère paléochrétien (fin IIIe siècle, début IVe siècle), alimenté par l'eau de l'aqueduc, et transformé en lavoir au XIXe siècle[35].

L'église romane Saint-Martial

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • [Bonneau 1908] A. Bonneau, « La station moustérienne du Gros-Roc (Charente-Inférieure) », L'Homme préhistorique, no 12,‎ , p. 353-359 (lire en ligne [sur archive.org]).  
  • [Clouet (M.) 1891] Marcel Clouet, « Fouille de la grotte de Gros-Roc, commune du Douhet (Charente-Inférieure) », Comptes-rendus de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences « Congrès de Marseille 1891 »,‎ (présentation en ligne).
  • [Clouet (P.) 1891] Pierre Clouet, « Caverne Magdalénienne au Gros-Roc du Douhet », Recueil CAMH CI et SAS 3° s., t. III (T. X coll.),‎ , p. 351-354 (présentation en ligne).
  • [Clouet (P.) 1891] Pierre Clouet, « Le Préhistorique. Au Douhet et dans les environs », Recueil CAMH CI et SAS 4° s., t. I (T. XI coll.),‎ , p. 47-56 (présentation en ligne)
  • [Daniel 1973] Raoul Daniel, « Présentation d'une série lithique de la grotte du « Gros-Roc », commune du Douhet (Charente-Maritime) provenant des fouilles Clouet (1889) », Bulletin de la Société Préhistorique Française, vol. 70, no 3,‎ , p. 80-84 (lire en ligne [sur persee]).  
  • [Saisy 1914] Alfred Saisy, Monographie de Le Douhet et ses environs, Pons, impr. Gaston Robert, , 104 p., sur archive.org (lire en ligne).  .

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  1. L'attribution des professions respectives est donnée par Saisy lui-même (1914)[18]. Il précise que M. Bonneau est inspecteur primaire à Saintes[18], et que Marcel-Pierre Clouet est instituteur au Douhet de 1880 à 1892[19]. Sauf erreur de la part de Daniel (1978), le Clouet qui fait les premières fouilles de la grotte des Chambres-Noires au Gros-Roc est Marcel-Pierre Clouet, instituteur au Douhet de 1880 à 1892 selon Saisy (1914)[18] ; ensuite Marcel-Pierre Clouet a peut-être été muté à Saint-Hilaire et Saisy a pu prendre son relais comme instituteur au Douhet à partir de 1892 ou après.
    On note aussi un « Clouet (Marcel), Instituteur, 83, rue de la Boule, Saintes (Charente-Inférieure). [membre] T[itulaire] S[souscripteur] » présent au XIe Congrès préhistorique de France à Périgueux en 1934[20]. Les bibliographies de la littérature concernant ce site indiquent un « Clouet (M.) » et « Clouet (P.) » publiant différents travaux. Le premier serait alors Marcel-Pierre Clouet, et le deuxième a pu être prénommé Pierre selon l'habitude - alors très en usage - de transmission des prénoms. Et la deuxième série de fouilles se serait alors déroulée entre 1892, date où Marcel-Pierre Clouet cesse d'être instituteur au Douhet[19], et 1908 année de publication de l'article de Bonneau[21].
Note sur la démographie

Références

modifier
  1. « Les gentilés de Charente-Maritime », sur habitants?fr.
  2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  5. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saintes », sur insee.fr (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a et b « Les risques près de chez moi - commune du Douhet », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  12. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Douhet », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  15. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des Noms de Villes et Villages, Charente-Maritime, Editions Bordessoules 2002, (ISBN 2-913471-65-X)
  16. « Gros-Roc, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  17. a et b Bonneau 1908, p. 353.
  18. a b c d et e Saisy 1914, p. 23.
  19. a et b Saisy 1914, p. 81.
  20. « Compte-rendu de la onzième session du Congrès préhistorique de France » (Périgueux, 16-22 septembre 1934), Publication de la Société Préhistorique Française,‎ , p. 32 (lire en ligne [PDF] sur prehistoire.org, consulté le ).
  21. Bonneau 1908.
  22. Daniel 1973, p. 80.
  23. Bonneau 1908, p. 359.
  24. [Clouet (M.) 1891] M. Clouet, « Fouilles de la grotte du Gros Roc », Association Française pour l’Avancement des Sciences,‎ 23 septembre 1891 (20ème session, 1ère partie), p. 268.
  25. [Delpech 2020] Françoise Delpech, « Biostratigraphie et datations de la fin des temps glaciaires. Nouvelles visites des faunes de quelques gisements du Grand Sud-ouest de la France », Paléo, vol. 30, no 2,‎ , p. 92-106 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ), paragr. 42.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. PPRT Compte-rendu de réunion publique
  31. Châteaux Manoirs et Logis, La Charente-Maritime, Association Promotion Patrimoine, 1993, (ISBN 2-910137-04-X)
  32. Syndicat de copropriété
  33. « Source de la Grand-Font au Douhet », sur aqueducs-antiques-de-saintes.fr (consulté le ).
  34. « Aqueduc romain », notice no PA00104671, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « Un baptistère paléochrétien au Douhet », sur aqueducs-antiques-de-saintes.fr (consulté le ).