Le Croisty

commune française du département du Morbihan

Le Croisty [lə kʁwasti] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Le Croisty
Le Croisty
L'église parroissiale Saint-Jean-Baptiste
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Roi Morvan Communauté
Maire
Mandat
Bruno Lavarec
2020-2026
Code postal 56540
Code commune 56048
Démographie
Gentilé Croistyate
Population
municipale
732 hab. (2021 en évolution de +1,81 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Population
agglomération
25 412 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 57″ nord, 3° 21′ 45″ ouest
Altitude 204 m
Min. 123 m
Max. 255 m
Superficie 15,88 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gourin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel de la commune

Toponymie

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Le nom de la localité est mentionné sous la forme Croasti au XIIe siècle[1].

Le nom de la commune en breton est Ar C'hroesti.

Le Croisty signifie en breton « maison de la croix » de croaz, croix, et ti, maison. La localité doit son nom au fait qu'elle fut le siège d'une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[2].

Géographie

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Localisation

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Le Croisty est une commune rurale du centre Bretagne. Elle appartient par ses traditions au Pays Pourlet et à la Basse-Bretagne. Le bourg se situe à vol d'oiseau à 30 km à l'Ouest de Pontivy, 35 km au nord de Lorient et 64 km au nord-ouest de Vannes.

Communes limitrophes du Croisty
Saint-Tugdual
Priziac   Ploërdut
Saint-Caradec-Trégomel

Relief et hydrographie

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L'Aër, également appelée Rivière du Pont Rouge du nom d'un pont franchissant le cours d'eau entre Priziac et Le Croisty, arrose la commune et sert de limite naturelle avec les communes limitrophes de Saint-Tugdual au nord et de Priziac à l'ouest. La colline de Mané Garhénec culmine à 255 mètres et constitue le point le plus élevé de la commune. Le point le plus bas de la commune, 123 mètres d'altitude, est situé au lieu-dit moulin du Pont Tournant, au fond de la vallée de l'Aër.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 096 mm, avec 16,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lanvénégen à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 215,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Croisty est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 3,2 % 51
Terres arables hors périmètres d'irrigation 36,5 % 582
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 1,9 % 30
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 35,6 % 567
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 5,3 % 85
Forêts de feuillus 10,0 % 160
Forêts de conifères 1,6 % 26
Forêts mélangées 0,5 % 8
Landes et broussailles 1,7 % 27
Forêt et végétation arbustive en mutation 3,6 % 58
Source : Corine Land Cover[14]

Morphologie urbaine

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La commune compte 57 écarts. Le Bourg constitue l'agglomération principale. La plupart des écarts sont de simples hameaux constitués de deux ou trois maisons mais d'autres sont plus importants comme le village de Cornhospital.

Habitat

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La commune a conservé une partie de son habitat ancien, notamment dans le Bourg. L'habitat traditionnel est en pierre de taille et utilise comme matériau le granite.

Histoire

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Carte de Cassini de la paroisse de Priziac et de la trève du Croisty, qui dépendait de la paroisse de Saint-Tugdual (1787).

Moyen Âge et Temps modernes

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Sous l'Ancien Régime, Le Croisty était une trève dépendant de la paroisse de Saint-Tugdual.

Les Hospitaliers

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Les habitants du bourg du Croisty dépendaient des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[15]. Ils étaient soumis au régime de la quévaise. À ce titre ils devaient verser une dîme tous les ans au commandeur de la commanderie du Croisty dont ils étaient redevables et ils devaient se rendre au moulin banal situé sur la rivière Aër pour y moudre leur grain[16].

Louis Rosenzweig écrit en 1863 qu'un moulin situé à 2 km environ de la chapelle du Croisty se nomme moulin du Temple et que les paysans de toute cette portion du pays appellent encore la terre Dour-Templ ("Terre de Templiers")[17].

Révolution française

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La trève de Le Croisty fut totalement incluse dans la commune de Saint-Tugdual lors de la Révolution française.

Le XIXe siècle

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Le , 116 habitants de la section de Le Croisty (la section était délimitée par le cours de la rivière Aër au nord) demandèrent la séparation de cette section de la commune de Saint-Tugdual et son érection en commune distincte. 6 conseillers municipaux prirent l'initiative de la pétition. Ils firent valoir que la section du Croisty possédait une église, un presbytère et un cimetière. Par ailleurs un décret du avait érigé l'église du Croisty en succursale et un second décret en date du 2 juillet 1866 avait créé un adjoint spécial chargé de remplir les fonctions d'état-civil dans la section du Croisty. Enfin les habitants des villages de la section étaient presque tous obligés de traverser Le Croisty pour se rendre à leur chef-lieu d'alors ; la distance entre les 2 bourgs faisait 5 kilomètres; les villages de Ruzellic, de Kerharff, de moulin de Pontournant et autres se trouvaient encore au-delà de 5 kilomètres. Le projet ne fut pas accepté. Si le projet avait abouti, la population de la commune de Saint-Tugdual n'aurait plus été que de 830 habitants, son étendue de 2022 hectares et ses revenus ordinaires n'auraient pas dépassé 2190 francs. La nouvelle commune du Croisty aurait eu une population de 795 habitants, une étendue de 1592 hectares et ses revenus ordinaires auraient été de 1634 francs[18]. Lorsque la pétition fut déposée, la section du Croisty n'avait toujours pas d'école et les enfants devaient se rendre à Saint-Tugdual ou dans les chefs-lieux voisins pour bénéficier des bienfaits de l'instruction.

C'est en 1882 que le conseil municipal de Saint-Tugdual vote la construction d'une école mixte au Croisty, la section du Croisty comptant alors plus de 700 habitants[19].

Le XXe siècle

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La création de la commune en 1903

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Le moulin de l'Aër avec ses 2 roues et son habitation au toit de chaume vers 1900.
 
L'église en 1922 avant le transfert du cimetière

Le Croisty n'accéda à l'indépendance communale que le . Pour obtenir leur indépendance, les habitants du quartier du Croisty firent valoir que Le Croisty avait déjà une église qui remontait aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, mais qui, nouvellement restaurée, était largement suffisante pour les besoins du culte, ainsi que d'un cimetière, une maison d'école, un presbytère et une fontaine publique[20].

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Le Croisty porte les noms de 60 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; pari eux François Carro est mort dès le lors des combats de Maissin (Belgique) ; Joseph Gloux est mort en captivité en Allemagne en 1915 ; Louis Le Bris, marsouin au 56e régiment d'infanterie coloniale a été tué à l'ennemi le dans la presqu'île de Gallipoli (Turquie) et François Mahé, lui aussi marsouin, mais au 38e régiment d'infanterie coloniale, a été tué à l'ennemi en 1917 dans l'actuelle Macédoine du Nord ; tous les autres sont morts sur le sol français, dont Toussaint Le Douaron et Joseph Le Nestour, tous deux décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[21].

Un vitrail de l'église paroissiale porte les noms de 25 d'entre eux[22].

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts du Croisty porte les noms de 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale dont Jean Valentin, tué à l'ennemi à Saint-Vith (Belgique) le  ; Louis Le Puil, tué le à la Bataille de Kissoué en Syrie ; Armel Réty, mort le dans le naufrage de l'aviso Tahure, coulé par le sous-marin américain USS Flasher le long des côtes de l'Indochine ; René Rouillé (nommé à tort Jean-Louis Rouillé), résistant déporté au camp de concentration de Bergen-Belsen et décédé le  ; Vincent Cariou, mort en captivité en Allemagne[21]. Parmi ces victimes également, Xavier Foucault et Jean Le Capitaine, deux résistants FFI, tués lors de combats contre les Allemands le à Kerbic-er-Motenec (une stèle commémorative honoré leur mémoire)[23] ; un monument commémoratif a été édifié en mémoire de Jean Bellec, Maurice Le Nestour[Note 1], et Maurice Le Nestour[Note 2] (homonyme du précédent), eux aussi résistants FFI, tués à l'ennemi le au rocher de Kermarquer en Saint-Caradec-Trégomel[24]. Le journal L'Espoir du Morbihan cite aussi deux autres résistants adhérents du parti communiste : Robert Royant (engagé de l'Armée de l'air, réfugié au Croisty et tué à Priziac) et Lucien Le Vaillant (de Saint-Caradec-Trégomel, tué au Croisty en service commandé le )[25] et dans un autre article Jean Le Douaron, Raymond Belper, Philippe Janin et Maurice Morvan, eux aussi résistants FTPF morts au Croisty lors des combats de la Poche de Lorient[26].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Pierre Le Tenier, adjudant au 159e bataillon d'infanterie alpine, est mort pour la France le en Grande Kabylie pendant la Guerre d'Algérie[21].

Politique et administration

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la mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1904 1912 Jean Vincent Ollivier[Note 3]   Cultivateur. Premier maire du Croisty. Maire de Saint-Tugdual entre 1900 et 1903.
1912 après 1917 Joseph Louis Quéré[Note 4]   Cultivateur.
         
1947 puis 1983 1977 - puis 1989 Yvon Quérec[Note 5]   Employé de banque.
2001 2008 Serge Lechat[Note 6]    
2008
Réélu en 2014 et 2020[27]
En cours Bruno Lavarec    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 732 habitants[Note 7], en évolution de +1,81 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 0881 1561 2171 3151 3321 2411 2321 0381 106
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1 1131 019921846735685724708732
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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  • Église Saint-Jean-Baptiste, d'inspiration gothique, elle fut achevée au XVIe siècle. Certains des éléments de style roman la constituant évoquent un édifice plus ancien. Elle était très endommagée au début du XXe siècle et a failli être démolie. En entrant dans cette église, on remarque de suite sa voûte bleue, symbole du ciel dans l'art roman. Elle comporte des sablières en bois polychrome, comportant des scènes de chasse et le combat des centaures, un homme sur le point d'uriner, qui furent restaurées en 2001 et 2002. Elles sont classées   Classé MH (1939) pour 14 scènes d'entre elles et une en   Classé MH (1994), d'autres pièces de mobilier de cette église sont également classées.

Patrimoine civil

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  • le moulin du Temple (XVIe siècle). Ce moulin appartenait sous l'ancien régime aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Une pierre avec une croix pattée subsiste[33].

Sites naturels

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  • Vallée de l'Aër

L'Aêr en aval de Coët-Milin coule au fond d'une vallée encaissée où affleure le granite qui forme par endroits des chaos rocheux.

 
L'Aër près du village de Kergoff. Le lit de la rivière est encombré de gros blocs de granite.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Maurice Le Nestour, né le à Cornospital en Le Croisty.
  2. Maurice Le Nestour, né le au Croisty.
  3. Jean Vincent Ollivier, né en 1868 au Croisty, commune de Saint-Tugdual.
  4. Josph Louis Quéré, né le à Derhan en Saint-Tugdual, décédé le à Derhan en Le Croisty.
  5. Yvon Quérec, né le au Croisty, décédé le à Guémené-sur-Scorff.
  6. Serge Lechat, décédé le âgé de 78 ans.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 131.
  2. « Étymologie et Histoire du Croisty » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Le Croisty et Lanvénégen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lanvenegen » (commune de Lanvénégen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lanvenegen » (commune de Lanvénégen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  15. Amédée Guillotin de Corson, Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem dit Chevaliers de Malte en Bretagne, Nantes, L. Durance, (lire en ligne), page 19.
  16. Historique sur le site de la ville
  17. Louis Rosenzweig, Répertoire archéologique du département du Morbihan : Saint-Tugdual, Paris, Impr. impériale, (lire en ligne), pages 108 et 109.
  18. Morbihan. Conseil général., « Saint-Tugdual. Projet d'érection de la section du Croisty en commune distincte. », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général,‎ , p. 36 à 38 (lire en ligne)
  19. Morbihan. Coseil général, « Construction d'une école mixte au village du Croisty. Demande de secours », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , p. 175 et 176 (lire en ligne, consulté le ).
  20. Morbihan. Conseil général, « Projet d'érection en commune distincte de la section du Croisty, en Saint-Tugdual », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , p. 37-38 et 66-67 (lire en ligne, consulté le ).
  21. a b et c « Le Croisty. Monument aux Morts (Relevé n° 7035) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  22. « Le Croisty. Vitrail 1914-1918 (Relevé n° 61508) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  23. « Le Croisty. Stèle commémorative F.F.I (Relevé n° 47693l », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  24. « Le Croisty. Stèle commémorative 1939-1945 (Relevé n° 8140) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  25. « Hommage à nos camarades du Morbihan qui sont tombés pour que vive la France », Journal L'Espoir du Morbihan,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Le Croisty », Journal L'Espoir du Morbihan,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Troisième mandat de maire pour Bruno Lavarec au Croisty », sur Le Télégramme, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Manoir de Garhenec », notice no IA00008274, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. « A la découverte des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem », sur ouest-france.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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