Labastide-Castel-Amouroux
Labastide-Castel-Amouroux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Labastide-Castel-Amouroux | |||||
La mairie (octobre 2015). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne | ||||
Maire Mandat |
Nicole Bernadet 2020-2026 |
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Code postal | 47250 | ||||
Code commune | 47121 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Labastidois | ||||
Population municipale |
312 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 20′ 25″ nord, 0° 07′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 51 m Max. 172 m |
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Superficie | 11,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Marmande (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Forêts de Gascogne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune située au nord-est de Casteljaloux dans les Landes de Gascogne en landes de Lot-et-Garonne.
Communes limitrophes
modifierLabastide-Castel-Amouroux est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Sainte-Gemme-Martaillac, Casteljaloux, Grézet-Cavagnan, Leyritz-Moncassin et Poussignac.
Hydrographie
modifierLe territoire communal est arrosé par l'Avance qui coule, du sud vers le nord, en limite communale ouest de Casteljaloux et de Poussignac.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-Curton à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 867,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Labastide-Castel-Amouroux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (31,6 %), terres arables (28,3 %), prairies (26 %), forêts (14 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits et écarts
modifierLes principaux lieux-dits de la commune sont :
- Archambaud, à proximité du bourg de Veyries, où se situe un château du XIXe siècle,
- L'enclos de Maupas, au sud-ouest, sur la route départementale D933 (Marmande au nord et Casteljaloux au sud),
- Gravillon, au nord-ouest, également sur la route départementale D933,
- Labastide, au nord-nord-ouest, dont l'église est en ruine,
- Massilos, au sud-est,
- Le Plantey, à l'ouest, où est implantée une ferme de Midatest[14], station d’évaluation sur descendances des qualités maternelles en race Blonde d'Aquitaine et où se trouve un château du XIXe siècle,
- Saint-Gény, à l'est, où se trouvent les vestiges d'une église romane,
- Veyries, au centre, chef-lieu de la commune, où se trouvent la mairie et l'église paroissiale,
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Labastide-Castel-Amouroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Ruisseau de Tareyre et l'Avance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2018[17],[15].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Toponymie
modifierLe nom de la commune proviendrait du terme bastide en tant que bâtiment ou en tant que ville provenant du terme gascon bastida qui désigne une « maison à terre » par opposition à la maison en hauteur ou une ville neuve au XIIIe siècle, et de son nom ancien Castelamoros cité par la charte anglaise de 1287 (cf. Histoire).
Une légende, au sujet de l'origine du nom de la ville voisine de Casteljaloux, raconte qu'il serait dû à la jalousie d’un seigneur des environs. Le CRDP de Bordeaux va plus loin en attribuant cette jalousie au seigneur de Casteljaloux à l'encontre de celui de Castel-Amouroux et pose la question de savoir s'ils étaient amoureux de la même dame[21] ; il n'y a qu'un léger pas à faire pour en déduire l'attribution de surnoms auxdits seigneurs...
En gascon, le nom de la commune est usuellement La Bastida, sans déterminant[22], celui-ci, Castèthamorós, permettant en principe de distinguer la commune des nombreuses autres portant lo nom de La Bastida.
Histoire
modifierL'historien local Jean Lepargneur, raconte, en 1948, le choix du parti anglais par la cité de Castelamouroux :
- « En 1286, au nom de leur cité, les six consuls de Castelamouroux rendirent hommage au roi Édouard Ier d'Angleterre, lui prêtant serment de fidélité et d'obéissance. La bastide adopta la charte des coutumes et privilèges accordée le par l'Angleterre. La « ville » fut officiellement unie à la couronne anglaise en 1317 par Édouard II et traversa ensuite non sans mal les conflits qui se succédèrent[23]. »
Avec les siècles, il ne reste rien de ladite bastide et le village, composé de plusieurs lieux-dits et écarts, a vu son habitat majoritairement concentré dans le bourg de Veyries où se trouve la mairie et l'église paroissiale.
Politique et administration
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Labastidois[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28]. En 2021, la commune comptait 312 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église paroissiale actuelle, Notre-Dame de Veyries, d'architecture romane, serait une fondation des Templiers ; elle a été abondamment remaniée au cours du XIXe siècle, rehaussement en 1832, ajout de chapelles en 1882, restauration du sanctuaire en 1896[31].
- L'église Notre-Dame de Labastide, construite au XIIIe siècle et d'architecture gothique, ne subsiste plus aujourd'hui qu'à l'état de vestiges[32].
- L'église Saint-Gény, construite au XVe siècle présente une architecture de la dernière époque gothique, n'est plus aujourd'hui qu'amas de ruines[33].
- Dans l'enclos de l'église, une croix de cimetière sans ornementation subsiste parmi des pierres tombales éparses[34].
- Le château du Plantey, au lieu-dit Plantey dans le nord-ouest du territoire communal, a été construit au XIXe siècle dans le style néo-médiéval[35].
- Le Château de Lacaze
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L'église Notre-Dame de Veyries (octobre 2015).
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La façade occidentale de Notre-Dame de Veyries (octobre 2015).
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L'église Notre-Dame de Labastide (octobre 2015).
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L'église Saint-Gény (octobre 2015).
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La croix de cimetière de Saint-Gény (octobre 2015).
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Le château du Plantey (mars 2014).
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Le monument aux morts devant l'église de Veyries (octobre 2015).
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Page de Labastide-Castel-Amouroux sur le site de l'office de tourisme de Castejaloux.
- Labastide-Castel-Amouroux sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Labastide-Castel-Amouroux et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Labastide-Castel-Amouroux ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marmande », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site de France Génétique Élevage, consulté le 10 octobre 2015.
- « Les risques près de chez moi - commune de Labastide-Castel-Amouroux », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF] Casteljaloux, la ville aux multiples visages sur le site Canopé de Lot-et-Garonne, Littérature jeunesse.
- Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes, Lot-et-Garonne, Éd. CAIRN e Institut Occitan, Pau, 2012, p. 138
- La baylie royale s'est oubliée, Emmanuelle Pédezert pour Sud Ouest.fr du 9 août 2011, consulté le 10 octobre 2015.
- « Nicole Bernadet aussi », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
- http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=202&type=0 sur le site de l'Amicale des Maires de Lot-et-Garonne
- Labastide-Castel-Amouroux sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Église de Veyries sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
- Vestiges de l’église de Labastide sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
- Église Saint-Gény sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
- Croix de cimetière de Saint-Gény sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.
- Château du Plantey sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 10 octobre 2015.