La Cage aux folles
La Cage aux folles est une pièce de théâtre de Jean Poiret créée au théâtre du Palais-Royal le dans une mise en scène par Pierre Mondy avec Jean Poiret et Michel Serrault dans les rôles principaux. Chorégraphie Jean-Pierre Martino.
La Cage aux folles | |
Auteur | Jean Poiret |
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Genre | Comédie |
Date de création en français | |
Lieu de création en français | Théâtre du Palais-Royal |
Metteur en scène | Pierre Mondy |
Rôle principal | Michel Serrault (Albin) Jean Poiret (Georges) |
Enregistrement | Vidéo (que partiellement) |
Adaptations | |
La Cage aux folles (1978)
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Jouée près de 2 000 fois[1], elle a été adaptée au cinéma en 1978, puis sous forme de comédie musicale à Broadway sous le même nom en 1983. Un remake américain réalisé par Mike Nichols est sorti en 1996.
L’intrigue
La scène se passe à la boîte de nuit la cage aux folles dans le sud de la France à Saint-Tropez. Dans les premières instances, Albin refuse de faire sa présentation du fait de sa dépression qu’il attribue à Renato. Cette dépression n’est qu’un coup de fatigue selon son docteur. Albin reproche à Renato de ne plus l’apprécier. Dans la suite entre en scène le fils de Renato qui lui dit qu’il va se marier avec Andréa, les beaux-parents veulent connaître son père. C’est pourquoi tout objet à caractère sexuel devrait être enlevé, modifier le décor. Donc de changer les coutumes et demande même à Albin de prendre les vacances pour cacher les tendances travesties du couple Renato Albin. Albin n’en revient pas et pique une crise. Mais il reste. Pour faire mentir les rumeurs Renato va chercher la maman de Laurent. Les Charrier arrivent ne se doutant de rien et voilà qu’arrive Albin habillé en maman de Laurent. Malheureusement les couverts de table d’où y sont inscrits de mâles nus grecs et le jumelage d’appartements avec la boîte de nuit vont susciter des questions de la part des Charrier. Mais le coup de grâce arrive quand la vraie maman de Laurent se présente à la maison aussi toute l’équipe de cage aux folles arrivent au salon avec leur gâteau d’anniversaire. Avec ça la vérité se révèle, sort de l’ombre et le comble, des journalistes attendent le député en dehors de la boîte de nuit. Pour sauver sa face Charrier s’habille en drag queen enfin de se faufiler sans être reconnu. Le film se termine avec le mariage de Laurent et d’Andréa.
Thèmes
Michel Serrault l’acteur du film la cage aux folles a dit dans l’un de ses films l’allégorie suivante : « quand l’homme prend conscience de sa faiblesse, il prend conscience de sa fragilité et il prend conscience de sa laideur, car il est laid l’homme. Nature ingrate qui a voulu que l’homme soit modelé à l’image de la puissance et non de la grâce et tout ce qui est mâle ne soit que force et laideur alors que ce qui est femelle n’est que douceur et tendresse, la fleur, la rivière, la musique. L’homme est une horreur. Une jambe d’homme c’est épouvantable. Infâme distribution, seule la femme a tout reçu des dieux »(Jean Yanne 45 :36)
Le transgenre Albin voit la beauté des femmes et il veut s’en approprier. Il y a attrait à la féminité, utilisation de perruques, des maquillages pour s’approcher de l’image idéale de la femme. Mais on peut se demander d’où vient ce désir.
Le style féminin change la grossièreté de l’homme d’ailleurs on peut voir dans une scène son insécurité sur sa beauté et son apparence quand il cri à Renato au tout début du film
Albin qui contrairement aux lesbiennes qui s’habillent en garçon pour attirer les filles, il s’habille en travesti pour se donner du charme, de la séduction et de douceur qui manquent chez les hommes.
Pourtant la société ne voit cette tendance à la beauté, au charme comme tel, mais comme une perversion. De la vient les luttes intérieures de ne pas être compris.
Il y a une lutte incessante entre ce qu’est l’homme ou ce qu’est la femme.
On se demandera ce qu’est l’homme ce qu’est une femme dans la mesure où un enfant peut se maquiller est-ce qu’il est fille ou garçon. Il faut quand même souligner le fait que la psychologie des enfants et différente de celle des adultes.
Il y a un très important épisode où Renato tente de faire Albin un homme
On voit toute la complexité de cette expérience, un travesti se reconvertir en l’homme dont il avait rejeté l’identité. C’est un bug un virus dans ses construits psychologique. Cette masculinité qu’il avait refoulée lui donne des problèmes. C’est de la frustration et de la confusion, Albin ne sait plus qu’il est, cela se voit quand il hurle quand on lui dit de se comporter en homme.
Une autre scène très importante quand Albin se fait passer pour la maman de laurent, on voit son incapacité à agir comme une maman malgré tous les efforts. Cela n’est pas facile d’être une femme complète parce que malgré toutes les perruques, car il y aura ce côté homme qui revient sans cesse.
Les transgenres se font passer pour des femmes parce qu’ils s’y sentent bien. Ils découvrent tout un univers qui lui était inconnu, une manière d’être au monde et de comprendre des choses auxquels on ne s’imaginait pas.
Il y a l’oppression aussi qui est une épée de Damoclès sur tout transgenre mené par le regard de la société qui n’accepte pas à de prétendues femmes d’avoir un pénis.
Cette oppression Albin va le ressentir quand Laurent demandera de changer le décor et les couverts de la maison et de changer ses manières. On lui reproche son identité et cela le rend malheureux, car tout en ensemble de sentiments et de pensées s’entrechoque et ne lui donne pas d’équilibre. (Carolyn a. Durham, 1982.)
L’univers et la psychologie des queers est très difficiles qu’est ce qui fait qu’un individu veut ressembler à une femme et l’autre non. Dans leur enfance qu’est ce qui les a marqués pour changer d’identité sexuelle. Y a-t-il une reconversion en personne normale pour les transgenres.
Ce film est bizarre puis ce que prétendant représenter les personnes transgenres il utilise comme acteurs des personnes totalement hétérosexuel.
Il y a une scène où le député Charrier s’aperçoit que ses hôtes sont transgenres. On voit le regard de la société qui considère immorales les habitudes transgenres. Le député Charrier incarne les mentalités et les préjugés de cette société qui catégorisent le queer comme une perversion alors que cela est un phénomène paradoxal de l’existence humaine, une complexité psychologique de l’humain.
Quand même le film est une importante étape dans le constructivisme social des périodes futures et permettra une reconnaissance sociale de même niveau que le cinéma normal
Les films futurs inciteront à la révision des positions dans la sphère sociale.
Are the aesthetics, the politics and the assertions really marking new voices and new directions? (B.Ruby Rich,1992)
Contexte historique et émergence de la cage aux folles
L’apparition du cinéma queer commence avec l’émergence de nouveaux films queer comme les films de Jean Cocteau et Jean Genet qui sont tous deux homosexuels. Jean Cocteau réalisa entre autres films la belle et la bête en 1946, l’aigle à deux têtes en 1948, les parents terribles de la même année et Orphée réalisé en 1950. Il fut le mentor de Jean Marais dont il eut une liaison. Jean Genet produisit comme seul filme un chant d’amour un court métrage français dont l’intrigue parle d’une relation entre deux prisonniers qui communiquent érotiquement à travers le trou du mur. Dans ces périodes l’homosexualité n’était pas tolérer il fallut attendre en 1975 pour la sortie de ce film. Ce fut la première manifestation de l’érotisme gay dans le cinéma. Pendant la nouvelle vague du cinéma il n’y eut pas de sorties de films queers sauf le film les amitiés particulières de Jean Delannoy où il décrit la relation entre Georges et d’Alexandre dans les internats. C’est dans les années 1970 que l’on décèle une panoplie de films sur l’homosexualité, pendant cette période de 10 ans, des films ont resurgi dans la sphère française qu’internationale. Il s’agit du film Emmanuelle réalisé par Just Jaeckin d’après le roman de Emmanuelle Arsan. C’est un film érotique lesbienne. Un autre film va surgir c’est histoire d’O du même réalisateur qu’Emmanuelle. Le film a pour thèmes le sado masochiste puisque O l’actrice principale s’est laissée devenir esclave. Un autre film surgira, le film Bilitis un film d’amour entre une élève en internat et une femme mariée qui est photographe (LGBT au cinéma, 2024)
Ces films sont le contexte, le milieu la période d’où naîtra La cage aux folles. C’est la période d’invisibilité où la censure et l’homophobie sont rampantes dans la société et les milieux cinématographiques en France. Ça, c’est pendant les années 1960. Après 1960-1980 est la période où apparaissent sur les écrans les premières représentations de personnages homosexuelles (Brassart, Alain. 2009) La figure de l’homosexuel sera dès lors prive de sa nature inquiétante pour être familière, auquel le spectateur s’identifiera. C’est ce que fera le réalisateur Audry qui nous donne un personnage sans stéréotypes et dont l’orientation sexuelle ne trompe pas. Cela ne fut pas possible avant 1960 puisque la société ne permettait pas de représenter un homosexuel de manière authentique. Deux réalisateurs Carné et Prévert doivent rester dans le flou à cause de la censure. Dans la première moitié du siècle, la représentation de personnages homosexuels est difficilement acceptable.
Voici le contexte sociopolitique d’où émergea le film la cage aux folles. C’est de ce contexte historique que se développera le new queer cinéma dans les années 1990. C’est quoi le new queer cinéma, le new queer cinéma est marqué par une volonté de s’affranchir des représentations hégémoniques et normatives véhiculées par le cinéma dominant et des stratégies assimilationnistes défendues par le mouvement gay et lesbien. (Marolleau, Émilie, 2014) Ainsi, la cage aux folles sera le précurseur du new queer cinéma dans le sens que celui fut l’une des premières représentations du film queer sans censure ni ambiguïté de ses acteurs.
Historique
modifierSi Michel Serrault et Jean Poiret avaient déjà joué un couple d'homosexuels dans un de leurs sketchs, Les Deux Hortenses[1], repris pour l'émission télévisée La Clé des champs de Pierre Tchernia en 1959[2], c'est la pièce L'Escalier (Staircase) du dramaturge britannique Charles Dyer créée en 1966, adaptée à Paris en 1967, avec Paul Meurisse et Daniel Ivernel, puis portée à l'écran en 1969 par Stanley Donen, avec Richard Burton et Rex Harrison, qui ont inspiré à Jean Poiret l'idée de sa pièce[3].
Abordant un sujet délicat sur un ton tranchant avec les représentations caricaturales (Haute Société, La Joyeuse Divorcée…) ou tragiques (Thé et Sympathie, La Fureur de vivre, La Rumeur…) de l'époque, elle raconte l'histoire d'un couple d'homosexuels vieillissants qui tiennent un salon de coiffure à Londres et passent leur temps à se déchirer même si il est clair qu'ils s'aiment.
Dans la pièce de Jean Poiret, deux homosexuels tiennent un cabaret de danseurs travestis appelé « La Cage aux folles ». Albin fait des scènes de plus en plus fréquentes à Georges. Ce dernier reçoit la visite de Laurent, le fils qu'il a eu à l'occasion d'une liaison hétérosexuelle qui lui apprend qu'il va se marier. Le problème : les parents de la fiancée sont très conservateurs, et ignorent tout de la profession et de la vie sexuelle des futurs beaux-parents de leur fille.
Jean-Michel Rouzière, directeur du théâtre du Palais-Royal, accepte de monter la pièce tout en étant réservé quant au comique exubérant résolument choisi par Poiret, le sujet restant tabou dans la société malgré la libération sexuelle de mai 68[1]. Créée le [4], les avis sont sévères. Tout en louant le jeu des acteurs, une grande partie de la critique crie au scandale et des militants homosexuels appellent au boycott en raison de l'image caricaturale qu'elle donne des gays, malgré que le terme « la folle » soit utilisé dans des spectacles de travesti comme les Gazolines du FAHR ou Copi[5].
Le bouche-à-oreille fait cependant son office et un mois plus tard, le pièce devient un énorme succès, se jouant durant cinq ans (Jean-Jacques remplaçant Michel Serrault en 1977-1978), avant une reprise de deux ans à partir d' au théâtre des Variétés, Michel Roux remplaçant à son tour Jean Poiret face à Michel Serrault.
La pièce est jouée également au théâtre des Célestins en 1984 avec Jean-Jacques et Jacques Sereys dans les rôles principaux.
En 1999, la version française de la comédie musicale conçue par Harvey Fierstein et Jerry Herman est donnée au théâtre Mogador, pour 100 représentations.
Une reprise de la pièce a lieu du au au théâtre de la Porte-Saint-Martin avec Christian Clavier et Didier Bourdon.
Malgré le succès, la pièce n'a jamais été filmée en intégralité[6] et aucun producteur français n'accepta de l'adapter au cinéma. C'est la raison du recours à une coproduction italienne, impliquant l'emploi de nombreux acteurs italiens en lieu et place de la distribution française, à commencer par Ugo Tognazzi à la place de Jean Poiret, sans que cela n'altère toutefois le succès, devenant avec le temps non seulement un classique du théâtre et du cinéma mais reconnaissant, avec le recul, « un côté progressiste » à l’œuvre dans une époque où la culture homosexuelle était proche du « néant »[5].
Principales productions
modifierThéâtre du Palais-Royal, 1973
modifier- Distribution
- Michel Serrault : Albin (1973-1977)
- Jean-Jacques : Albin (1977-)
- Jean Poiret : Georges
- Philippe Lavot : Laurent, fils de Georges
- Jacqueline Mille : Simone, mère de Laurent
- Danièle Luger : Muriel, fiancée de Laurent
- Marcelle Ranson-Hervé : Madame Dieulafoi, mère de Muriel
- Marco Perrin : Monsieur Dieulafoi, père de Muriel
- Paul Demange : Tabaro, comptable
- Benny Luke : Jacob, valet de chambre
- Maurice Bray : Mercedes
- Jean-Claude Robbe : Francis
- Frédéric Norbert : Salomé
- Yves Llobregat : Zorba
- Pierre Decazes : M. Languedoc, boucher
- Mise en scène de Pierre Mondy
- Décors et costumes d'André Levasseur
Théâtre des Variétés, octobre 1978-février 1980
modifier- Distribution
- Michel Serrault : Albin
- Michel Roux : Georges
- Jean Aubaile : Laurent
- Jacqueline Mille : Simone
- Karen Deville : Muriel
- Marcelle Ranson-Hervé : Madame Dieulafoi
- Marco Perrin : Monsieur Dieulafoi
- Paul Demange : Tabaro
- Robert Étienne : Jacob
- Maurice Bray : Mercedes
- Jean-Claude Robbe : Francis
- Jean-Paul Doux : Salomé
- Jean-Marie Ory : Zorba
- Pierre Decazes : M. Languedoc
- Jean Reno : le flibustier
- Mise en scène de Pierre Mondy
- Décors et costumes d'André Levasseur
Théâtre de la Porte Saint-Martin, 2010
modifier- Distribution
- Didier Bourdon : Albin
- Christian Clavier : Georges
- Thomas Sagols : Laurent
- Manoëlle Gaillard : Simone
- Héléna Grouchka : Muriel
- Marie-Hélène Lentini : Madame Dieulafoi
- Christian Pereira : Monsieur Dieulafoi
- Daniel-Jean Colloredo : Tabaro
- Thierry Laurion : Jacob
- Philippe Beglia : Mercedes
- Philippe Gruz: Francis
- Jean-Marc Coudert : Salomé
- Mise en scène de Didier Caron
- Costumes de Mimi Lempicka
Le texte a été actualisé et intègre des clins d'œil à des personnalités ou des faits contemporains. Durant le spectacle, Christian Clavier fait référence à l'un des personnages qu'il a joué auprès de ses compères du Splendid : Katia le travesti dans Le père Noël est une ordure.
Québec, 2011
modifierPrésentée au théâtre du Vieux-Terrebonne du au , puis au théâtre Capitole du au .
- Distribution
- Benoît Brière : Albin
- Alain Zouvi : Georges
- Frédéric Millaire-Zouvi : Laurent
- Marie-France Lambert : Simone
- Stéphanie M. Germain : Muriel
- Louise Bombardier : Madame Dieulafoi
- Normand D'Amour : Monsieur Dieulafoi
- Marc Legault : Tabaro
- Éric Paulhus : Jacob
- Éric Bernier : Mercedes
- Claude Tremblay : Francis
- Benoît Rioux : Salomé
- Olivier Aubin : Zorba
Cette mise en scène québécoise de Normand Chouinard, assisté de Pascale d'Haese, dépoussière l'œuvre grâce aux deux textes retrouvés, celui de 1972 mais également celui de 1979, qui est le texte tel que Jean Poiret l'avait réécrit après l'avoir joué pendant plusieurs années, avec ses ajouts, ses corrections et ses notes. Il y a été cependant ajouté quelques chansons confiées à Yves Morin et chorégraphiées par Dominique Giraldeau.
Il existe également une version québécoise datant des années 1980 de Réal Giguère, Georges Carrère et Normand Brathwaite.
Adaptations
modifierCinéma
modifierLa pièce est adaptée au cinéma sous le même titre par Édouard Molinaro en 1978. Du fait de la coproduction italo-française, Jean Poiret est remplacé par Ugo Tognazzi qui incarne Renato Baldi, Michel Serrault reprenant le rôle.
Le film connaît deux suites : La Cage aux folles 2 du même réalisateur en 1980, puis La Cage aux folles 3 de Georges Lautner en 1985.
Un remake américain sort en 1996 : Birdcage ou La Cage de ma tante au Québec (The Birdcage) de Mike Nichols, avec Robin Williams et Nathan Lane dans les rôles principaux.
Comédie musicale
modifier- Distribution de la création française
- Patrick Rocca : Albin
- Bernard Alane : Georges
- Arnaud Denissel : Laurent
- Alexandra Gonin : Muriel
- Laure Balon : Madame Dieulafoi
- Livret : Harvey Fierstein d'après la pièce de Jean Poiret
- Musique : Jerry Herman
- Adaptation française et mise en scène Alain Marcel
- Scénographie : André Levasseur
Notes et références
modifierBibliographie
Yanne. Jean. Deux heures moins le quart avant Jésus Christ. Performances de Coluche et Michel Serrault, Pathé films, 1984, film.
Alain Brassart, “La représentation de l’homosexuel(le) dans le cinéma français. Quelques pistes de réflexion”, Double jeu, 5 | 2009, 97-112.
LGBT au cinéma. (2024, août 18). Wikipédia, l'encyclopédie libre. Page consultée le 23:31, août 18, 2024 à partir de http://fr.wiki.x.io/w/index.php?title=LGBT_au_cin%C3%A9ma&oldid=217794286.
Carolyn A. Durham (1982). La cage aux folles 2.Jump Cut
https://www.ejumpcut.org/archive/onlinessays/JC27folder/CageFolles2.html
B.Ruby Rich, “New Queer Cinema”, Sight and Sound, septembre 1992
https://www2.bfi.org.uk/news-opinion/sight-sound-magazine/features/new-queer-cinema-b-ruby rich
Marolleau, Émilie. (2014). Subversion, provocation et expérimentation aux États
Unis d’Amérique : le New Queer Cinema des années 1990 à nos jours. In J.-L. Guerena
(éd.), Sexualités occidentales (1‑). Presses universitaires François-Rabelais. https://doi.org/10.4000/books.pufr.31782
- Jacques Pessis, « L'Œil de l'INA : La Cage aux folles, des images inédites », sur lefigaro.fr,
- Pierrick Geais, « Pourquoi La Cage aux folles fascine-t-elle autant les Américains ? », sur vanityfair.fr, .
- Pierre Mondy, La Cage aux souvenirs, Plon, , p. 175
- Jacques Pessis mentionne quant à lui le 13 février.
- Renaud Machart, « Merci Zaza ! La folle histoire de “La Cage aux folles”, sur Paris Première : le triomphe d’une pièce sulfureuse », sur lemonde.fr, .
- L'Institut national de l'audiovisuel ne possède qu’un enregistrement de 65 minutes.
Voir aussi
modifier- La Cage aux folles, le film