Léopold Flameng
Léopold Flameng, né à Bruxelles le et mort à Courgent le [1], est un graveur, peintre et illustrateur français.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nationalité | |
Activités | |
Enfant | |
Parentèle |
Aglaüs Bouvenne (beau-frère) |
Membre de | |
---|---|
Maître | |
Élève | |
Distinction |
Biographie
modifierNé de parents français, Léopold Flameng est l'élève de Luigi Calamatta et de Jean Gigoux. Son habileté comme buriniste le fait remarquer par Charles Blanc et sa collaboration aux parutions tels que : L'Artiste[1] et la Gazette des beaux-arts qui avec Léon Gaucherel est l'un des premiers graveurs pour cette revue, ce qui va assurer sa réputation. Il lui fournira une centaine de planches.
En , Flameng vient faire le portrait de Charles Meryon à son domicile de la rue des Fossés-Saint-Jacques. Une fois le portrait achevé, Charles Meryon, qui est en pleine période de dépression, demande à le voir et tente de le déchirer, ce qui amène Flameng à s'enfuir avec son dessin[2].
De à la fin de l'année 1860, il anime Paris qui s’en va et Paris qui vient, revue éditée par Alfred Cadart, y publiant une suite de vingt-six eaux-fortes en livraisons mensuelles, accompagnées de textes entre autres signés par Marc Trapadoux[3].
Georges Duplessis, historien de l'art, le cite dans un ouvrage paru en 1869 : « Léopold Flameng s'est élevé à ses heures au rang des maîtres : dans un ordre d'art différent[4]. » Il est médaillé à l'Exposition universelle de 1878.
Connu pour ses eaux-fortes d'après Jan van Eyck, Léonard de Vinci, Rembrandt, Ingres et Eugène Delacroix, il a illustré plusieurs ouvrages sur Paris ainsi que de nombreuses œuvres littéraires, des auteurs classiques et contemporains, parmi lesquels Boccace, Paul Scarron, Victor Hugo et François Coppée.
En 1882, il est cité comme « collectionneur d'élite, sachant choisir les bonnes choses », auprès de la salle des ventes de l'hôtel Drouot par Paul Eudel[5]. Dans une parution de 1884, il est indiqué comme sociétaire du cercle « Le Parnasse-Club »[6] et rejoint par la suite la Société d'aquarellistes français.
Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1898.
Léopold Flameng meurt à Courgent le . Il est d'abord inhumé dans la commune de Courgent en 1911 ; son fils François en deviendra le maire l'année suivante, pour un mandat qui s'achèvera en 1917. Ils sont enterrés, tous les deux dans une même tombe, au cimetière de Septeuil.
Famille
modifierEn 1887, sa sœur Élisabeth Albertine épouse le peintre et aquafortiste Aglaüs Bouvenne.
Décoration
modifierÉlèves
modifierŒuvres
modifierOuvrages illustrés
modifier- Histoire de mon village La Mionette, 2e édition in-12°, demi veau, dos à 5 faux nerfs tête dorée XVI-163pp, frontispice à Edouard Thierry, éd. Alphonse Taride, 1858.
- Paris qui s'en va et Paris, qui vient, texte d'Alfred Delveau, Arsène Houssaye, Théophile Gautier, Eugène Muller, Charles Colligny, in-4 titre frontispice et 26 eaux-fortes interrompu après ce premier volume, Paris, Delattre, 1859.
- X. B. Saintine, Picciola, Paris, J. Hetzel et Cie, coll. « Bibliothèque d'éducation et de récréation », , 40e éd. (1re éd. 1836), 342 p., in-8 (BNF 43690114, lire en ligne)[10].
- Romans enfantins, de Paul Féval, Paris, éd. Eugène Ducrocq, 1862, 324 p.[10]
- L'Exécution de Marino Faliero, gravure d'après Eugène Delacroix, 1863.
- Galerie de Mme Pereire, de W. Buerger, planches gravées par Léopold Flameng, Maxime Lalanne et A. Didier, gravures sur bois par Noël-Eugène Sotain, Hotelin, Horel, Lancelot, L.Chapon et Blanpain, éd. Jos. Th. Thoré, 1864.
- Christophe Colomb et la découverte du nouveau monde, de A. de Belloy, in-4°, 6 eaux-fortes hors texte tiré sur chine et nombreux bois gravés dans le texte, Paris, E. Ducrocq, 1864, 204 p.
- Le Fumier d'Ennius, d'Alfred Delvau, 1 vol, In-18°, une eau-forte de L. Flameng, Paris, Achille Faure, 1865, 315 p.
- Le Reliquaire, poésies de François Coppée, in-12°, éd. A. Lemerre, imp. Jouaust, 1866, 171 p.
- Les Dessous de Paris, vol in-18°, frontispice de L. Flameng, éd. Poulet-Malassis.
- Histoire anecdotique des Cafés et Cabarets de Paris, 1 Vol, in-18°, avec dessins et eaux-fortes de Gustave Courbet, Félicien Rops et Léopold Flameng, éd. E. Dentu.
- Nouvelles Odes funambulesques, de Théodore de Banville, in-12°, 3 gravures et frontispice, éd. Lemerre, 1869.
- Deux pirates au XVIe siècle. Histoire des Barberousse, de Charles Farine, grd in-8°, ix-377 p., un frontispice et nombreuses compositions de L. Flameng, Paris, éd. Paul Ducrocq, 1869.
- 40 Œuvres d'après Rembrandt pour illustrer l'œuvre du Maître, Edt Saskia E.Asser (1853-1858), 1873.
- Collection de M. John W. Wilson, exposée dans la galerie du cercle artistique et littéraire de Bruxelles, gr 4°, Paris, 1873. — La vente de la collection a eu lieu le .
- Paul Gavarni : l'homme et l'œuvre, d'Edmond et Jules de Goncourt, portrait de Gavarni gravé à l'eau-forte d'après un dessin de Gavarni, 1873.
- Works of art in the collections of England, dessins d'Édouard Lièvre et gravures de Bracquemeond, Londres, 1873.
- Me Voilà, illustration pour le poème de Victor Hugo L'Année Terrible, Paris, 1873.
- Les Dix Journées, de Boccace, 10 vol., traduction de Le Maçon, réimprimée par les soins de D. Jouaust, glossaires et notes de Paul Lacroix, 11 eaux-fortes de L. Flameng, Bibliothèque Artistique, 1873.
- Le Décaméron, de Boccace, 3 vol. in-12°, traduction de Le Maçon, 7 eaux-fortes de L. Flameng, éd. D. Jouaust.
- Henri IV, d'Adolphe Mathurin de Lescure, Paris, Ducrocq, 1874.
- Jeanne d'Arc, d'Adolphe Mathurin de Lescure, 12 gravures sur acier, hors texte, Libraire éd. Ducrocq, 1874, 598 p.
- L'Année terrible, de Victor Hugo, Grd in 8, 1 Vol., illustré par L. Flameng, Daniel Vierge et Victor Hugo [dont c'est le premier livre illustré], Michel Lévy frères, 1874.
- Le Château de Falkenstein, éd. Michel Lévy, 1874.
- Catalogue Raisonné des objets d'art et de curiosité, composant la collection de W.G.F. van Romondt d'Utrecht, dressé par Henry Havard, illustrée de gravures à l'eau-forte de L. Flameng et C.L. van Kesteren, La Haye, chez D.A. Thieme, 1875, 170 p.
- Examples of modern etching, de Philip Gilbert Hamerton, 20 planches, Londres, 1875.
- Catalogue chronologique et raisonné des faïences de Delf composant la collection de John F. Loudon, d'Henry Havard, 2 eaux-fortes de L. Flameng et 9 dessins de Goutzwiller, Paris et La Haye, 1877.
- Histoire de la faïence de Delf, d'Henry Havard, 25 Planches hors texte et plus de 400 dessins, fac-simile, chiffres, etc. dans le texte par L. Flameng et Charles Goutzwiller, Paris-Amsterdam, éd. Plon et L. Van Bakkenes, 1878, 391 p.
- 1878 : Monsieur, Madame et Bébé, de Gustave Droz, Grand in-8° de 4ff., illustré par Edmond Morin et orné d'un portrait de l'auteur gravé par L. Flameng, Paris, Havard, 1878, 436 p.
- L'Art et les Artistes hollandais, d'Henry Havard, 4 tomes, 2 Vol., Paris, 1879 à 1881.
- Le Roman comique, de Paul Scarron, 2 t., in-16°, XXXII, préface de Paul Bourget, 4 eaux-fortes de L. Flameng, Paris Librairie des Bibliophiles, 1880, 250 p.
- Margaret reine de Navarre (le Heptameron), 8 gravures de Léopold Flameng, 1881, 384 p.
- Œuvres complètes, de François Coppée, 4 vol. in-8°, orné d'un portrait de l'auteur et gravé par Léopold Flameng et illustré de 10 dessins de François Flameng, fils du précédent et deux dessins de Osvaldo Tofani, gravés au burin par MM. Boisson, Louis Abdon Boutelié, Henri-Joseph Dubouchet et Jules Jacquet, Paris, L. Hébert, 1885.
- Tableaux et dessins de Rembrandt, d'Eugène Dutuit, catalogue historique et descriptif, 25 planches en héliogravure ou eaux-fortes gravées par Flameng Léopold, Waltner, Lalauze, Paris, A. Lévy, 1885, 114 p.
- Les Trophées, de José Maria de Heredia, illustrations originales de Luc-Olivier Merson, gravées à l'eau-forte par Léopold Flameng, 50 compositions en noir dont un frontispice et 16 hors texte, Paris, Imp. pour le compte de René Descamps-Scrive, 1907.
- La Céramique hollandaise : histoire de la faïence de Delft, Haarlem, Rotterdam, Arnhem, Utrecht, etc. et des porcelaines de Weesp, Loosdrecht, Amsterdam et de La Haye, d'Henri Havard, 35 hors texte, plus de 500 dessins, facsimilé, marques, signatures par Léopold Flameng, Henri Toussaint, Auguste Hotin, A. Mangonot et Charles Goutzwiller, Amsterdam, 1909.
- « Lecture pour tous », Revue universelle illustrée, no 1, .
Œuvre gravé
modifier- Portrait de la comtesse d'Agoult, d'après Claire-Christine d'Agoult.
- Portrait de Gracchus Babeuf, d'après Jacques de Sève.
- Portrait de Grégoire-Joseph Chapuis.
- Portrait de Condorcet, d'après Augustin de Saint-Aubin.
- Portrait de Camille Desmoulins, d'après Leps.
- Portrait de Léopold Flameng, d'après François Flameng.
- Portrait de l'abbé Grégoire.
- Portrait de Lazare Hoche, d'après Joseph Boze.
- Autoportrait à vingt-quatre ans, d'après Ingres.
- Portrait de Madame de Lamballe, d'après Georges-François-Marie Gabriel.
- Portrait de Manon Roland, d'après Charles-Étienne Gaucher.
- Portrait de Silvestre de Sacy, d'après Amaury-Duval.
- Van Dyck et son protecteur, le comte de Bristol, d'après Antoine van Dyck.
- Portrait de Pierre Victurnien Vergniaud, d'après François Bonneville.
- La Mort de la Vierge, d'après Martin Schongauer.
- Vue d'un bateleur costumé à l'orientale.
- Vue d'un marché.
- Le Doreur, d'après Rembrandt.
- La Fin de la journée, d'après un tableau de Jules Breton peint en 1865.
- Portrait de Marie Constance Mayer-Lamartinière (1774-1821), d'après Pierre Paul Prud'hon[11].
-
La Source (1882), d'après Ingres.
-
Portrait de Pierre Puvis de Chavannes, d'après Léon Bonnat.
-
Portrait de Charles Asselineau.
-
Couverture du magazine Lecture pour tous (1911).
Dans les collections publiques
modifierÉtats-Unis
modifier- Ann Arbor, université du Michigan : La Source, 1882, gravure d'après Ingres
- Baltimore, musée d'Art de Baltimore : Alexandre Bida, dessin, craie noire accrue avec de la blanche sur fond bleu papier vélin moyen[12]
- Indianapolis, musée d'Art d'Indianapolis : Portrait de femme allemande, gravure[13]
- San Francisco, musée des Beaux-Arts :
- Portrait du graveur Charles Méryon, 1858, héliogravure[14]
- La Rue de la Vieille Lanterne, 1859, eau-forte sur bleu chine collé[15]
- Portrait de Ingres à l'âge de 24 ans, 1869, gravure[16]
- Villon, au Cabaret de la Pomme de Pin, 1870, lithographie[17]
- Fleur d'automne, 1889, gravure
- Le Duc, Les Burgraves d'après le roman de Victor Hugo, gravure[18]
- Hippolyte Flandrin, gravure[19]
- Portrait de Mme …, gravure[20]
- Pierre Puvis de Chavannes gravure[21]
- Portrait de femme, d'après Rubens, gravure[22]
- Acteur dans un parc avec son auditoire, gravure[23]
- La Sortie, une dame avec son lévrier, gravure
- Mme Devaucay, gravure d'après Ingres[24]
- Émile Galichon, 1875, eau-forte[25]
- Maurice Quentin de La Tour, gravure[26]
- Portrait de TP Avery, gravure[27]
- Le Changeur de monnaie, gravure[28]
- Le Porte étendard, gravure[29]
- Les Peintres amateurs, gravure[30]
- Concert en famille, gravure[31]
France
modifier- Compiègne, château de Compiègne :
- Portrait de Mme Armande Dieudé-Defly, estampe[32]
- Portrait de Mme Juliette Adam, eau-forte[33]
- Portrait de M. le comte de Chevigné, eau-forte[34]
- Portrait de Daniel Stern, 1859, pseudonyme de Marie de Flavigny comtesse d'Agoult, eau-forte[35]
- Mme Pasca, eau-forte[36]
- Piogey, eau-forte[37]
- Grenoble, musée de Grenoble : Le Pierrot gravure[38]
- Gray, musée Baron-Martin : Le Réveil ou Le flambeau de Vénus, d'après Prud'hon, gravure sur papier[39]
- Mâcon, musée des Ursulines : Le Chemin de Croix, d'après Pierre Paul Rubens, huile sur toile[40]
- Paris :
- École nationale supérieure des beaux-arts : Les Théâtres du boulevard du Temple à Paris eau-forte[41]
- Bibliothèque nationale de France :
- Le Café Génin rue Vavin, 1858, estampe
- L'Alsace, elle attend, 1872, gravure[42]
- département des arts graphiques du musée du Louvre :
- Portrait du graveur Charles Méryon, (1821-1868), dessin, rehaut blanc, crayon noir, estompe papier[43]
- Portrait de Mme Marie Françoise Constance Mayer-Lamartinière
- Versailles, château de Versailles : Portrait du peintre Jean-Paul Laurens (1838-1921), estampe[44]
Royaume-Uni
modifier- Londres, National Portrait Gallery : Charles Robert Darwin, 1883, d'après John Collier[45]
Expositions
modifier- 1878 : Exposition universelle de Paris, dont il est médaillé.
- 2004 : Mâcon, « Peintures d'histoire. Elles font des histoires »[46]
Notes et références
modifier- Figaro no 248 du 5 septembre 1911, page 3/6, publié sur le site de la BnF (consulté le ).
- « Une semaine en ballon : léger aérostat, ô divine espérance… », sur le site l'œil des chats, publié le (consulté le ).
- Paris qui s’en va et Paris qui vient, sur Gallica.
- Georges Duplessis, Édouard Charton (ill. P. Sellier), Les merveilles de la gravure, Paris, Hachette et Cie, coll. « La Bibliothèque des merveilles » (réimpr. 1877), 3e éd. (1re éd. 1869), ill., 320, in-16 (BNF 33990840, présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 287. édition anglaise : The Wonders of Engraving, New York, C. Scribner & Co, 1871 (consulté le ).
- Paul Eudel (Avec une préface par M. Armand Silvestre), L'Hôtel Drouot : et la curiosité en 1882, Paris, Georges Charpentier, , 590 p., 19 cm (OCLC 29065874, présentation en ligne, lire en ligne [pd]), p. 247 (consulté le ).
- Auguste Lepage, Les dîners artistiques et littéraires de Paris, Paris, Frinzine, Klein et Cie, coll. « Bibliothèque des deux mondes », , XI-360 p., in-16 (BNF 36573853, présentation en ligne, lire en ligne), p. 189 (consulté le ).
- Le .
Voir dossier Léonore : LH/979/45, sur le site du ministère de la Culture (consulté le ). - Béatrice Bouvier, L'édition d'architecture à Paris au XIXe siècle : les maisons Bance et Morel et la presse architecturale, Paris, Librairie Droz, coll. « Histoire et civilisation du livre / VI École pratique des hautes études: Sciences historiques et philologiques » (no 27), , 624 p. (ISBN 9782600008792, lire en ligne), p. 99.
- Élève en 1861, prix de Rome en gravure en 1866.
- Fond d'édition Hetzel : Contrats d'illustration (1861), publié en sur le site imec d'abbaye d'ardenne (consulté le ).
- Un exemplaire est conservé à Paris au département arts graphiques du musée du Louvre.
- 36 × 26 cm, recto : « RC » à la craie, « Bida dessiné d'après nature par son ami Léopold Flameng », achat de 1996, no inv : BMA1996.48.13440.
- no inv : 70.45.15. Don de Victor T. Keene.
- 22,2 × 27,1 cm, acquisition de Craddock et Barnard à Londres.
- 19,9 × 12,6 cm, no inv : 1987.1.100. L'une des 26 planches exécutées pour la suite Paris qui s'en va et Paris qui vient éditée par Alfred Cadart.
- no inv: 1963.30.3103.
- 19,9 × 15,5 cm, no inv : 1992.103.10.
- 32 × 23,4 cm, no inv : 1963.30.3113.
- 27,2 × 17,6 cm.
- 34,6 × 24,5 cm, no inv : 1963.30.3108.
- 36 × 21,5 cm, no inv : 1963.30.3109.
- 35,3 × 25,3 cm, no inv : 1963.30.3112.
- 23,2 × 17,8 cm, no inv : 1963.30.3111.
- 20,7 × 15,9 cm, no inv : 1963.30.3104.
- 19,1 × 13,8 cm, no inv : 1963.30.3105.
- 20,8 × 16,2 cm, no inv : 1963.30.3106.
- 19,8 × 15,7 cm, no inv : 1963.30.3110.
- no inv : 1963.30.28463.
- no inv : 1963.30.27940.
- no inv : 1963.30.27941.
- no inv :1963.30.27939.
- no inv : C.2006.0.205.
- Épreuve avant inscription, 30,8 × 23,4 cm, no inv : C.53.049/2.
- 15,1 × 9,3 cm, no inv : C.53.049/80.
- 18,5 × 12,5 cm, no inv : C.50.021/14, acquis en 1950, ancienne collection Ernest Lefebvre.
- 29,9 × 21,9 cm, no inv : C.53.049/275, provenance Ingrand-Bellet, entrée en 1953, acquis en 1954.
- 31,5 × 23,1 cm, inscription lettre au centre sous le trait carré : « Léop. Flameng » lettre sous le sujet à droite: au crayon « M. Douard Pierre avec les félicitations de son bien dévoué », no inv : C 51.024/23, acquisition de 1951.
- no inv : MG796.
- 14 × 19 cm.
- 80 × 51 cm, no inv : A730 ; BA1 75 H64 (Inv. Magnien), ancienne collection Henry Havard.
- Legs Wasset en 1896.
- Réalisée à la demande de Léon Gambetta d'après le tableau de Jean-Jacques Henner, cette image sera tirée à un grand nombre d'exemplaires pour servir la propagande du pouvoir.
- 27,5 × 35,5 cm, no inv : RF6054, acquis en 1923.
Provenant de la succession de François Flameng, ce portrait fut exécuté au no 81 rue Saint-Jacques au domicile de Méryon, le , la veille de son internement à Charenton. - 24 × 16 cm, no inv : invgravures 7203.
- 59,6 × 44,7 cm, acquis en 1929.
- Du au .
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Alexandre Page (thèse de doctorat soutenue à l'université Clermont-Auvergne sous la direction de Catherine Cardinal), Sculpsit et delineavit : Léopold Flameng (1831-1911) ou le métier de « graveur-illustrateur » dans la seconde moitié du XIXe siècle (lire en ligne).
Liens externes
modifier
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressources relatives à la recherche :
- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- (en) « Léopold Flameng » sur Artcyclopedia.
Ressources iconographiques
modifier- « Léopold Flameng » sur le site de l'agence photographique de la RMN.
- « Léopold Flameng » sur la base Joconde.