L'Échelle-Saint-Aurin

commune française du département de la Somme
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L'Échelle-Saint-Aurin est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

L'Échelle-Saint-Aurin
L'Échelle-Saint-Aurin
L'église Saint-Pierre.
Blason de L'Échelle-Saint-Aurin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC du Grand Roye
Maire
Mandat
Jean-Marie Carré
2020-2026
Code postal 80700
Code commune 80263
Démographie
Population
municipale
47 hab. (2021 en évolution de −11,32 % par rapport à 2015)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 44″ nord, 2° 42′ 43″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 97 m
Superficie 5,1 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Roye
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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L'Échelle-Saint-Aurin
Liens
Site web https://lechelle-saint-aurin.fr/

Géographie

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Située à quelques kilomètres au sud-ouest de Roye, L'Échelle-Saint-Aurin est dépendante de l'agriculture. La rivière l'Avre limite le territoire communal au nord.

Localisation

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  Andechy Villers-lès-Roye  
Marquivillers N Saint-Mard
O    L'Échelle-Saint-Aurin    E
S
Armancourt Dancourt-Popincourt

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Avre et l'Échelle-Saint-Aurin[1],[Carte 1].

L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune de Amy, à 81 m d'altitude, et se jette dans la Somme à Longueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé 31 communes[2]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Avre sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 0,45 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 3,11 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 3,16 m3/s, atteint le même jour[3].

 
Réseau hydrographique de l'Échelle-Saint-Aurin[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , L'Échelle-Saint-Aurin est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,7 %), forêts (16,2 %), zones agricoles hétérogènes (9 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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L'Échelle est attesté sous les formes Escheliæ en 1196 ; Léchele en 1301 ; Le Chel en 1567 ; Schelle en 1626 ; L'Echelle en 1626 ; Lachelle en 1648 ; Le Chele en 1733 ; Léchelle en 1753 ; La Chelée en 1765 ; L'Echelle St-Aurin en 1836 ; Eschelle[16].
Peut-être du saxon scale « habitation temporaire »[17].

Saint-Aurin, Saint-Taurin, est attesté sous les formes Sanctus-Taurinus en 1164 ; S. Orin en 1602 ; S. Aurin en 1567 ; S. Taurin en 1648 ; S. Teurin en 1657 ; S. Tourin en 1626 ; S. Thaurin en 1730 ; S. Aurain en 1602[18].
Le nom du lieu viendrait d'un oratoire (ou d'une cellule) dédié à saint Aurin[19].

Histoire

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Antiquité

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Aux lieux-dits le Blamond ou le Petit Guerbigny, on a découvert les restes d'un cimetière gallo-romain[19].

Moyen Âge

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Un prieuré de l'ordre de Cluny fut fondé au XIIe siècle, il dépendait du prieuré de Lihons-en-Santerre. Le bréviaire de Saint-Taurin est un livre liturgique clunisien à l'usage de l'Échelle-Saint-Aurin, il est conservé à la Bibliothèque nationale de France (Paris B.N. lat.12601)[20].

Dès le XIIe siècle, le village a des seigneurs de son nom[19].

Époque moderne

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Époque contemporaine

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L'Échelle possédait un château qui a été détruit durant la Première Guerre mondiale (il servait de dépôt de munitions). Une légende dit que la duchesse propriétaire du château y aurait caché un trésor.

« Le jour arrive, c'est le 7 octobre, la compagnie occupe un château qui se trouve entre le pays et le calvaire. Il est magnifique, il y a des bâtiments, remises, basses-cours, etc. À environ 50 m à droite un parc superbe, des grands arbres, pelouses, une petite rivière passe dans le bas de la grande pelouse » extrait du livre de Vincent Spriet tiré du « journal de guerre 14-18 » de son ancêtre.

La commune de l'Echelle Saint-Aurin est décorée de la Croix de guerre 1914-1918[21].

Politique et administration

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Tendances et résultats politiques

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Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Liste des maires

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1843 mars 1870 Léon de Blavette   Propriétaire ; ingénieur
mai 1871 octobre 1876 Irénée Gadiffert   Propriétaire
octobre 1876 janvier 1878 Eugène Broyard   Tisseur
janvier 1878 avril 1884 Irénée Gadiffert   Propriétaire
mai 1884 janvier 1900 Désiré Cagnard   Cultivateur
janvier 1900 avril 1940 Sainte-Marie Carpentier   Cultivateur
janvier 1941   Léon Bonelle   Cultivateur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2002 Jean-Marie Bonelle    
2002 En cours
(au 24 mai 2020)
Jean-Marie Carré   Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26],[27]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 47 habitants[Note 4], en évolution de −11,32 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
96104123123220225241245250
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
240222247214207214213213213
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1932191781449611811612587
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
877172746250535454
2015 2020 2021 - - - - - -
534847------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
De sinople à la cotice ondée d'azur, bordée d'argent accompagnée en pointe d'un pont isolé d'or, maçonné de sable et brochant sur ladite cotice, à senestre en chef d'une cloche et à dextre en pointe d'un coq, les deux d'or ; au franc-quartier de gueules à la tour d'argent maçonnée de sable[32].
Détails
L'utilisation d'une cotice d'azur bien que bordée d'argent reste fautive (azur sur sinople).

Une "cloche" sans accompagné est, dans le cas d'une cotice, inutile de préciser à senestre quand on est en chef, le meuble accompagnant est naturellement mis dans la zone la plus grande disponible, donc le canton senestre du chef. Il en est de même pour le "coq" : inutile de préciser à senestre lorsque le meuble est en dextre.

Un blasonnement correct pourrait être : De sinople à la cotice d'argent ondé chargée d'une cotice ondée d'azur, accompagnée en chef d'une cloche et en pointe d'un coq, le tout d'or, au pont isolé du même et maçonné de sable brochant sur la cotice en pointe, au franc-quartier de gueules à la tour du second émail maçonnée aussi de sable.

Création de Jean-François Binon.
Adopté en janvier 2024.

Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 11/03/2024 à 03:18 TU à partir des 270 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/07/1978 au 01/08/2001.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de l'Échelle-Saint-Aurin » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « l'Échelle-Saint-Aurin »
  2. Sandre, « l'Avre »
  3. « Station hydrométrique L'Avre à l'Échelle-Saint-Aurin », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  4. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre L'Échelle-Saint-Aurin et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de L'Échelle-Saint-Aurin ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roye », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 317 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1009.
  18. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 291 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  19. a b et c Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Iavelet, 1899. Lire la notice sur le site des archives départementales de la Somme.
  20. Hourlier, Études grégoriennes, 3, 1959 : p. 163-173.
  21. Décret du 30 octobre 1920 publié au Journal officiel du 6 novembre 1920 (page 17584)
  22. Résultats de l'élection présidentielle de 2002 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  23. Résultats de l'élection présidentielle de 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
  24. Pour les éléments de la période 1857-1944, Archives départementales de la Somme, dossier 3 M 1153.
  25. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. « Jean-Marie Carré reste aux manettes à L'Échelle-Saint-Aurin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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