Kerfourn

commune française du département du Morbihan

Kerfourn ([kɛʁfuʁn][Note 1]) est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne, en Argoat.

Kerfourn
Kerfourn
L'église Saint-Eloi-et-Saint-Vincent-Ferrier.
Blason de Kerfourn
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Pontivy Communauté
Maire
Mandat
Joël Marivain
2020-2026
Code postal 56920
Code commune 56092
Démographie
Gentilé Kerfournois, Kerfournoise
Population
municipale
831 hab. (2021 en évolution de −3,26 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Population
agglomération
42 209 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 38″ nord, 2° 49′ 56″ ouest
Altitude 130 m
Min. 92 m
Max. 138 m
Superficie 19,46 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pontivy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pontivy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Kerfourn
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Kerfourn
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Kerfourn
Liens
Site web Site Officiel de la commune de Kerfourn

Géographie

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Localisation

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La commune se trouve à 13 km à l'est de Pontivy, à 26 km à l'ouest de Josselin, à 45 km au nord-ouest de Vannes, à 60 km au nord-est de Lorient et à 100 km à l'est de Rennes.

Communes limitrophes de Kerfourn
Gueltas
Noyal-Pontivy   Crédin
Naizin

Transports

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La commune est traversée par la D 764, la D 319 et la D 2.

Hydrographie

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Du nord-ouest au sud-ouest, la commune est traversée par le Runio, qui prend sa source dans la forêt de Branguily.

Paysage et Relief

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La commune de Kerfourn est situé sur le plateau de Pontivy au relief relativement plat ou faiblement ondulé. Son altitude varie entre 92 m et 138 m. Le paysage y est monotone et rappelle la Beauce. Les talus et les haies d'arbres typiques du bocage de l'ouest de la France ont presque entièrement disparu pour laisser place à de grandes parcelles de terre consacrées à la culture des céréales et du maïs. Cependant l'habitat, fait de nombreux petits hameaux, y est plus dispersé qu'en Beauce. La superficie de la commune est de 19,46 km2.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Finistère nord  » et « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée »[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 869 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Moréac à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 043,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Kerfourn est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). Kerfourn appartient au bassin agricole de Pontivy, parfois surnommé la « Petite Beauce », un territoire s'étendant au nord, à l'est et au sud de cette ville voué à l'agriculture intensive et caractérisé par la présence de grandes parcelles de céréales et la rareté des haies d'arbres et des espaces boisés[12].

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 3,5 % 69
Terres arables hors périmètres d'irrigation 79,4 % 1545
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 6,2 % 121
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 9,0 % 175
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels important 1,8 % 35
Source : Corine Land Cover[13]

Toponymie

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Le nom breton de la commune est Kerforn.

Attesté sous sa forme bretonne Kerforn en 1461[14].

Kerforn signale simplement l'existence d'un village ayant un four suffisamment caractéristique pour désigner ce lieu sans erreur possible.

Histoire

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Moyen-Âge

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Au XIe siècle, les Templiers et les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sont accueillis en Bretagne et, selon la liste de leurs biens, ils installeraient même un hôpital à Kerfourn.

Selon un aveu de 1471, Kerfourn était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[15].

Kerfourn (Kerforn) est cité dès 1461.

Temps modernes

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Carte de Cassini de la trève de Kerfourn (1789).

En 1677, Kerfourn est mentionné comme trève de Noyal-Pontivy.

Le XIXe siècle

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Kerfourn est érigé en paroisse en 1802. La commune de Kerfourn a été créée en 1839 (en même temps que celles de Gueltas, Saint-Gérand et Saint-Thuriau) à partir d'un territoire de la commune de Noyal-Pontivy par un arrêté de Louis-Philippe Ier.

L'ancien bourg était situé 500 m plus au sud. Il est petit à petit reconstruit plus haut autour d'une petite église paroissiale. La nouvelle église est construite en 1899 à l'emplacement de l'ancienne.

 
La limite entre les langues bretonne et gallèse (carte de 1886).

La région est traditionnellement à la limite entre les langues française (pays gallo) et bretonne, qui est ainsi décrite en 1886 : Croixanvec est une commune bretonnante et Saint-Gonnery, sauf une petite pointe à l'ouest, est de langue française ; la limite entre les deux langues laisse ensuite en pays français la commune de Gueltas, passe par Kerjean, commune de Noyal-Pontivy, qui parle breton, sauf deux villages à l'est de cette limite. Laissant le bourg de Kerfourn en pays bretonnant, elle passe par Gahvern et Lesoanic, hameaux de cette commune[16]. L'ancienne limite entre le breton et le gallo était située au début du XXe siècle à l'est du territoire, entre Kerfourn et Crédin.

Le le conseil municipal de Kerfourn, revenant sur un vote antérieur, refuse le projet de construction d'une école de garçons (la commune ne disposait que d'une école mixte) en raison des charges financières que cela entraînerait pour la commune[17]. En 1894 la commune de Kerfourn demande au Conseil général du Morbihan une demande de secours pour la reconstruction partielle de l'église paroissiale[18].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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Le plusieurs maires de la région, dont Lécuyer, maire de Kerfourn, réunis à Pontivy, signent un texte dans lequel ils refusent de surveiller si les prêtres de leur paroisse utilisent la langue française, et non la langue bretonne, lors des leçons de catéchisme et des instructions religieuses[19].

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Kerfourn porte les noms de 65 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[20].

L'Entre-deux-guerres

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En novembre 1928 le maire de Kerfourn, François Chapel, se marie en même temps que son frère ; près de 900 invités assistent à ce double mariage : l'hebdomadaire Le Nouvelliste du Morbihan publie un reportage illustré de quatre photographies de cet événement[21].

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Kerfourn porte les noms de 6 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[20].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Le cimetière est déplacé en 1950 sur la route de Crédin.

Théodore Jégat est mort pour la France le pendant la Guerre d'Algérie[20].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1841 juin 1871 Mathurin Le Guernic   Premier Maire de Kerfourn
juin 1871 13 novembre 1872 Pierre Joseph Louis Marie Lécuyer    
novembre 1872 1873 Yves Le Moullac   Adjoint faisant fonction de Maire
1873 1880 Louis Ropert    
mars 1880   Joseph Lécuyer (père)    
  1917 Joseph Lécuyer (fils)[22]    
1917 vers 1924 Mathurin Le Lannic(1)[23] Radical Conseiller d'Arrondissement
1925 1929 François Chapel    
vers 1929 1929 Louis Ropert    
1929 1945 Mathurin Le Lannic (2)[23] Radical Conseiller d'Arrondissement
1945 mars 1959 François Jéhanno    
mars 1959 août 1959 Joachim Lécuyer    
août 1959 mars 1977 Noyale Lécuyer    
mars 1977 mars 1983 Joseph Lécuyer    
mars 1983 mars 2008 Henri Blanchard    
mars 2008
Réélu en 2014 et 2020[24]
en cours Joël Marivain Sans étiquette  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 831 habitants[Note 3], en évolution de −3,26 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881
965973960976920967955910900
1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
9409421 0291 0049901 000930912875
1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
857864813769765713731773724
2006 2008 2013 2018 2021 - - - -
793813861827831----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Kerfourn est, après l'ensemble communal Plougonver et La Chapelle-Neuve (qui formaient une commune unique en 1851) la commune qui a perdu en valeur absolue le plus d'habitants entre 1851 et 1999 (- 2 781 parmi toutes les communes de Bretagne[29].

Enseignement

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La commune possède une école privée (école Notre-Dame) et une école publique (école Jean-de-la-Fontaine).

Commerces

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Dans le bourg, on peut trouver un café et une boulangerie.

Économie

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La commune se trouve près du principal axe routier nord-sud de la Bretagne, reliant les zones côtières du Morbihan à celles des Côtes-d'Armor.

Une importante industrie agro-alimentaire s'est développée autour des villes de Pontivy et Loudéac.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Eloi-et-Saint-Vincent-Ferrier (1899)
  • Fontaine Saint-Vincent (XVIIe siècle)
  • Fontaine Saint-Eloi (XVIIe siècle)
  • Calvaire de Guerdaner (XVIIe siècle)
  • Oratoire de Notre-Dame-de-Lourdes (XXe siècle)
  • Manoir de Guerniquello
  • Manoir du Lindreux
  • Four à pain du Rohic
  • Café Chez Marie Jo

Héraldique

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  Blason
Parti: au 1er de sinople au four d'argent maçonné et ouvert de sable, au 2e de gueules au fer à cheval renversé d'or; le tout sommé d'un chef d'argent chargé de trois mouchetures d'hermine de sable.
Détails
Création Mme Kergen et MM Binon et Jehanno. Adopté le 8 novembre 2012.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Kerfourn et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Kerfourn ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontivy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Le pays de Pontivy est constitué de 4 unités paysagères »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. dans les archives du Duché de Rohan-Chabot
  15. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  16. Paul Sébillot, « La langue bretonne : limites et statistique », Revue d'ethnographie,‎ , p. 13 (lire en ligne, consulté le ).
  17. Morbihan. Conseil général, « Commune de Kerfourn. Construction d'une école de garçons. Refus du conseil municipal », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , pages 57 à 62 (lire en ligne, consulté le ).
  18. Morbihan. Conseil général., « Commune de Kerfourn. Reconstruction partielle d el'église paroissiale. Demande de secours », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , page 16 (lire en ligne, consulté le ).
  19. « La langue bretonne dans le Morbihan », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest,‎ , page 2 (lire en ligne, consulté le ).
  20. a b et c « Kerfourn. Monument aux Morts (Relevé n° 34477) », sur memorialgenweb.org, (consulté le ).
  21. « Un beau et double mariage à Kerfourn », Le Nouvelliste du Morbihan. Supplément hebdomadaire illustré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Mort pour la France à Lyon, cf.https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4936401/f3.item.r=%22maire%20de%20kerfourn%22
  23. a et b Ancien combattant, président de la section locale de l'UNC, cité à l'Ordre du régiment n° 467 du 28 novembre 1918 : " au front depuis le début de la campagne, a assuré le ravitaillement de la compagnie dans des circonstances que le bombardement ennemi et les difficultés du terrain rendaient fort pénibles ". Croix de Guerre. Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 29 février 1919.
  24. « Municipales 2020 : à Kerfourn, un troisième mandat de maire pour Joël Marivain », sur Actu.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Jean Ollivo, "Bretagne. 150 ans d'évolution démographique", Presses Universitaires de France, 2005, (ISBN 2-7535-0086-X).
  30. « Collecteurs de chants populaires français », sur musicius.com (consulté le ).
  31. « Chants et airs traditionnels en pays vannetais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur morbihan.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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