Kōjirō Serizawa

écrivain et romancier japonais

Kōjirō Serizawa (japonais 芹沢 光治良; à Ganyūdō, Yanagihara, district de Suntō (aujourd'hui Ganyūdō, Numazu), préfecture de Shizuoka - à Numazu)[1] est un écrivain et romancier japonais.

Kōjirō Serizawa
Kōjirō Serizawa
Biographie
Naissance
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Yanagihara (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Nom dans la langue maternelle
芹沢 光治良Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domiciles
Formation
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Autres informations
A travaillé pour
Distinctions

Biographie

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Serizawa est le fils d'un homme d'affaires de la pêche. Il étudie l'économie à l'université de Tokyo de 1918 à 1922 et travaille ensuite pour le Nōshōmu-shō (Ministère du commerce et de l'agriculture) (actuel Ministère de l'Agriculture, des Forêts et de la Pêche)[2]. De 1925 à 1929, il étudie de nouveau l'économie et la sociologie à Paris[3]

Serizawa fait ses débuts en 1930 avec le récit intitulé Burujoa (« Bourgeois » ), qui montre des caractéristiques humanistes de la gauche libérale. Ses expériences à Paris pendant sa période d'étude se retrouvent dans les deux romans Pari ni shisu (1943, « Mort à Paris ») et Pari fujin (1955, « La Dame de Paris »)[2]. Serizawa atteint son apogée littéraire avec son roman autobiographique en 14 volumes Ningen no unmei (1962-68, « Le Destin des gens »).

En 1970, Serizawa est membre de l'Académie japonaise des arts. De 1965 à 1974, il succède à Yasunari Kawabata comme directeur du centre japonais du P.E.N (de).

Œuvres (sélection)

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  • 1930 Burujoa (ブルジョア)
  • 1943 Pari ni shisu (巴里に死す)
  • 1955 Pari fujin (巴里夫人)
  • 1962-68 Ningen no unmei (人間の運命)

Liens externes

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Notes et références

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  1. (ja) « 芹沢光治良について », Numazu (consulté le )
  2. a et b Jürgen Berndt, Gerhard Steiner, Herbert Greiner-Mai et Wolfgang Lehmann, Serizawa Kōjirō, vol. 3, Leipzig, Bibliographisches Institut, coll. « Lexikon fremdsprachiger Schriftsteller », , 267 p.
  3. (en) « Serizawa Kojiro », sur The Japan P.E.N.Club, (consulté le )

Source de la traduction

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