Juziers

commune française du département des Yvelines

Juziers est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, située à 10 km environ à l'est de Mantes-la-Jolie.

Juziers
Juziers
La mairie.
Blason de Juziers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Ketty Varin
2020-2026
Code postal 78820
Code commune 78327
Démographie
Gentilé Juziérois
Population
municipale
3 976 hab. (2021 en évolution de +4,94 % par rapport à 2015)
Densité 402 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 36″ nord, 1° 50′ 47″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 185 m
Superficie 9,88 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limay
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Juziers
Liens
Site web juziers.fr

Juziers est une « ville porte » du parc naturel régional du Vexin français et est candidate pour intégrer le parc en 2005.

Ses habitants sont appelés les Juziérois[1].

Géographie

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Située sur la rive nord de la Seine, Juziers est une commune résidentielle et rurale, dont la partie nord vallonnée et boisée est à la limite du Vexin français.

Elle est limitrophe de Gargenville à l'ouest, de Brueil-en-Vexin et Oinville-sur-Montcient au nord, de Mézy-sur-Seine à l'est. Au sud, la Seine la sépare de la commune d'Aubergenville. Elle englobe une partie de l'île de Mézy.

La commune est desservie par la RD 190 qui relie Limay à Poissy par la rive nord de la Seine, et par une gare de la ligne ferroviaire Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie via Conflans-Sainte-Honorine.


En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Juziers est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Gisei en 978[13]; Gisiaco en 986; Gesiaco[13] ou Geziacum en 1180; Gysecum en 1210[14]; Gisiers et Jusiers en 1289[15].

Il s'agit d'une variante Gisiacum[13] du type toponymique gaulois (celtique) Gisacum bien attesté dans le département contigu de l'Eure[16] (*Gisacon < *Gisāko-) que l'on retrouve dans Gisay-la-Coudre et Gisacum, ancien nom du Vieil-Evreux. Cette formation toponymique est basé sur le suffixe -(i)acum[13], d'origine gauloise et marquant le lieu ou la propriété.

Le premier élément Giso- représente un élément gaulois bien attesté qui s'explique, soit par le nom de personne gaulois Gisos, soit par le terme gēso (de gaiso) qui signifie « javelot, pointe, cap, éminence »[16], (terme passé en latin sous la forme gaesum), à supposer une évolution secondaire gēso > gīso fréquente en gaulois cf. Alesia / Alisia.

Ernest Nègre a vu dans l'élément Jus- de Jusiers le nom de personne germanique Giso[13], alors qu’il considère paradoxalement Gisacum comme le nom d'un dieu gaulois (Gisacos) et qu’il croit le reconnaître dans Gisy-les-Nobles (Yonne, Gisei IXe siècle, Gisiacum 1142) et Gisay (Vienne, Gisiaco 1097 - 1100)[17], dont les formes anciennes sont identiques à celles de Jusiers.

L'évolution de Gisei en Jusiers est aberrante, car il devrait avoir abouti à *Gisy / *Gizy (comme Gisy et Gizy). L'altération de Gi- en Ju- est peut-être liée à l'attraction des mots français en Ju-. Quant à la substitution de la finale -iers à -y, elle est due à l'attraction des noms de lieux en -ier[13](s), telle qu'on la constate dans Aizier (Eure, Aysiacus 1025, Aisy jusqu'au XVe siècle).

Histoire

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 3 976 habitants[Note 4], en évolution de +4,94 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0881 1199841 0111 0291 0301 000958884
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
809805838800800708695723720
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7067767658971 0521 1161 0841 0731 159
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 5571 8952 3482 5583 1643 3703 6523 7813 758
2021 - - - - - - - -
3 976--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 921 hommes pour 1 952 femmes, soit un taux de 50,40 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,5 
6,2 
75-89 ans
8,5 
15,4 
60-74 ans
15,0 
22,5 
45-59 ans
24,1 
19,2 
30-44 ans
19,7 
17,4 
15-29 ans
14,9 
19,2 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1788 1789 Valentin Lebœuf   Syndic
1790 1790 Jacques Ozanne    
1790 1791 Jean Ledoux    
1791 1792 Louis Charpentier    
1792 1795 François Levieil    
1795 1800 quatre agents municipaux    
1800 1806 Jacques Leclerc    
1806 1810 Nicolas Chappée    
1810 1815 H. Carie Saint-Clément    
1815 1816 Jean-Pierre Levieil    
1816 1821 H. Carie Saint-Clément    
1821 1822 Jean-Nicolas Langot    
1822 1828 Nicolas Duvivier    
1828 1848 Joseph Audin    
1848 1861 François Auger    
1861 1870 Jules Émile Delapalme   Notaire
1870 1871 Barthélémy Chappée    
1871 1881 Jean-Louis Langot    
1881 1888 Vincent Racine    
1888 1893 Eugène Levieil    
1893 1896 Joseph Charpentier    
1896 1911 Émile Gilbert    
1911 1923 Julien Busson-Billault   Avocat
1923 1925 Joseph Jérôme    
1925 1930 Jules Dennery    
1930 1944 Georges Ozanne    
1944 1947 Ch.Leguillette    
1947 1971 Paul Doucet    
mars 1971 juin 1995 Michel Ozanne   Enseignant
juin 1995 mars 2008 Michel Rémiot[24] SE-DVD[25] Retraité de Renault
mars 2008 mai 2020 Philippe Ferrand[1] SE Cadre
mai 2020 En cours Ketty Varin SE Cadre de la fonction publique

Instances administratives et judiciaires

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La commune de Juziers appartient au canton de Limay et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle est aussi incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[26].

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la huitième circonscription des Yvelines, circonscription mi-rurale, mi-urbaine du nord-ouest des Yvelines centrée autour de la ville de Mantes-la-Jolie.

Sur le plan judiciaire, Juziers fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[27],[28].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monuments historiques

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L'église Saint-Michel.

Juziers compte deux monuments historiques sur son territoire.

Ses origines remontent au Xe siècle. Elle était placée sous le patronage de l'abbaye Saint-Père-en-Vallée de Chartres sous l'Ancien Régime, qui entretenait un prieuré au nord de l'église à partir du XIe et jusqu'à la fin du XVIIe siècle.
Dans sa forme actuelle, l'église se compose d'une nef basilicale très austère du milieu du XIe siècle, d'un transept contemporain, et d'un chœur du troisième quart du XIIe siècle. Les parties les plus anciennes sont d'une grande valeur archéologique, car très peu d'édifices de cette ampleur de cette époque subsistent en Île-de-France. Leur intérêt est toutefois diminué par la reconstruction de la façade occidentale, le voûtement d'ogives et la réduction de l'arcade vers le croisillon sud au cours des années 1850, et l'effondrement du clocher central en 1753, entraînant de gros dégâts dans le transept. Le chœur est tout aussi précieux pour son architecture originale, non dépourvue d'élégance, et en tant que témoin des commencements de l'architecture gothique. Il n'a subi aucun remaniement depuis sa construction[30].
  • Maison du XVIIIe siècle dite Le Mesnil-Saint-Laurent (inscrite monument historique par arrêté du [31])

Autres éléments du patrimoine

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
De gueules à deux clefs passées en sautoir d'argent et à l'épée brochant en pal du même, à l'écusson d'azur semé de fleurs de lys d'or brochant en abîme sur le tout.
Détails
Ce blason reprend les armes de l'abbaye Saint-Père-en-Vallée, l'écusson central figurant le blason de l'Île-de-France[33].

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Ghislaine Denisot, Jean Leblond et Maurice Morin, Juziers dans l'histoire, Juziers, éditions JDH, , 240 p. (ISBN 978-2-9532427-0-6)
  • Michel Ozanne, Juziers pendant la Révolution : 1789-1795, M. Ozanne, , 125 p.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b « Juziers », Union des maires des Yvelines (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Juziers et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Juziers ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a b c d e et f Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, librairie Droz, Genève, 1990, p. 765, no 12988 [1]
  14. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  15. Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, vol. 1 à 2, Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, , p. 26.
  16. a et b François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 116 - 117
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, librairie Droz, Genève, 1990, p. 161, no 2568 (lire en ligne) [2]
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Juziers (78327) », (consulté le ).
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  24. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  25. [3]
  26. « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Epamsa (consulté le ).
  27. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  28. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  29. « Église Saint-Michel », notice no PA00087465, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Juziers, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 196-198.
  31. « Maison du XVIIIe siècle », notice no PA00087466, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. a et b Denisot, Leblond et Morin 2008, p. 213-216.
  33. Le Patrimoine des communes des Yvelines, Paris, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), p. 378.