Julie Akofa Akoussah

chanteuse togolaise

Julie Akofa Akoussah, née le à Tsévié et morte le à Bondy[1],[2],[3], est une chanteuse togolaise.Elle consacre sa vie à la musique dès son plus jeune âge. Elle est le reflet de sa consœur Bella Bellow, à qui elle rend hommage dans la gloire de sa carrière.

Julie Akofa Akoussah
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Naissance
Décès
(à 57 ans)
Bondy, France
Nom de naissance
Julie Akofa Akoussah
Autres noms
Julie, Mamy, Akofa
Nationalité
Activité
A influencé
Distinction

Présidente de l’Union Nationale des Artistes Musiciens du Togo (UNAM), 1971 : Prix du Festival de la Chanson Togolaise 1976 : Prix de la Jeune Chanson Française. 2000 : Prix de la Femme de l’Année

2005 : Diplôme d’honneur et Trophée de leader d’opinion mondiale de lutte contre le SIDA
Site web
Œuvres principales
Tu ne m’écris plus, Seigneur rendez-vous, Laguerre au Paradis, Petit poisson rouge

Biographie

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Enfance

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Julie Akofa AKOUSSAH,effectua ses études scolaire dans l'école primaire des soeurs de la providence de Nyékonakpoé de Lomé, le colllège de Notre Dame des Apôtres (NDA) et le lycée de tokoin de la même ville[4].

A huit ans elle fut nommée soliste principale de la chorale st Pierre et Paul de la Paroisse Immaculée Conception de Nyékonakpoé, chorale dans laquelle on l’a intégrer dès ses bas âges [4] Dans le but de maîtriser la scène, étant encore élève, elle passait ses heures libres dans les coulisses des orchestres de la place tels que : Mélo Togo, Rocka Mambo, Rio Romamcero, Ok Fiesta, Eryco Jazz, Afro Cubano, Los Muchacho, Elégance Jazz, Togo Star [4]. Elle chantait au cours de ses études au collège. Toutefois c'est au lycée que la chansson a pris le dessus[4].

Carrière

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À partir de 1963, des sorties sporadiques dans le monde musical, dans la sous-région, au Ghana et au Bénin, étaient déjà observées chez elle [4]

En Janvier 1966, elle est sélectionnée pour partager la scène avec BELLA BELLOW l’une des meilleures voix d’Afrique et d’autres groupes culturels (chorale, ballet, Tisserant etc.…) au 1er Festival des Arts Nègres à Dakar. A son retour de Dakar, elle fut approchée par Ambroise Ouyi chanteur poète le plus apprécié du moment, pour qu’en duo ils sortent  " Tu ne m’écris plus " le tout premier opus de Julie [4].

Parallèlement à la musique elle fut animatrice de programmes à Radio Lomé et speakerine à la Télévision Togolaise. Elle a passé un an à la TVT et huit ans à la Radio. A Radio Lomé, son émission la plus côtée était, » Amicalement vôtre « , une émission de détente qui n’a pas déméritée. Mais elle a dû finalement quittée la production d’émissions pour pouvoir, professionnellement répondre aux nombreuses exigences que lui demandait l’art musical [4] . Comme instrument, elle manipule le piano et la guitare [4] ..

Ses nombreux périples lui ont permis de croiser ou de partager la scène avec des grands noms de la musique tels que Manou Djibango, Reine Pélagie, Abeti Massikini, AÏcha Koné et Myriam Makeba[4].

Distinctions

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Notes et références

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  1. « matchID - Moteur de recherche des décès », sur deces.matchid.io (consulté le )
  2. « Julie Akofa Akoussah est morte à Paris », sur www.republicoftogo.com, (consulté le )
  3. « Julie Akofa Akoussah », sur www.afrisson.com (consulté le )
  4. a b c d e f g h et i « Personnes | Africultures : Akoussah Julie Akofa », sur Africultures (consulté le )
  5. Journal officiel de la République togolaise, (lire en ligne [PDF]), p. 4.

Liens externes

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