Jean-Paul Sinibaldi
peintre français
Jean Paul Raphaël Sinibaldi, né le à Paris[1] et mort le à Bourg-en-Bresse[2], est un peintre français.
Jean-Paul Sinibaldi
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(à 51 ans) Bourg-en-Bresse |
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Biographie
modifierSinibaldi entre à l'école des Beaux-Arts où il est l'élève d'Alexandre Cabanel et d'Alfred Stevens[3].
Il commence à exposer au salon de 1881. En 1886, il obtient le second prix de Rome[3]. Il reçoit les insignes de chevalier de la Légion d'honneur en 1900[4].
Vers 1902, il peint le décor de la salle des mariages de l'hôtel de ville de Lille (détruite en 1916)[5] puis s'attèle à la décoration de l'Hôtel de ville de Paris.
Distinctions
modifier- Chevalier de la Légion d'honneur (décret du ). Il est fait chevalier par le sénateur Étienne Goujon le .
Œuvres principales
modifier- Le Défilé, d'après F. Coppée (salon de 1881)[6]
- Fille des Rajahs (1888)
- Claude nommé Empereur (1890), musée Paul Valéry à Sète
- Portrait de Sarah Bernhardt (vers 1895), huile sur toile (Hardy Alan) 35,5 x 27,5 Collection privée
- Le défilé, huile sur toile, 253 x 177 cm, Gray (Haute-Saône), musée Baron-Martin
Notes et références
modifier- Au no 6 rue des Poitevins.
- Chronique des arts et de la curiosité(p. 40)
- Nos peintres et sculpteurs, graveurs, dessinateurs : portraits et biographies suivis d'une notice sur les Salons français depuis 1673, les Sociétés de Beaux-Arts, la Propriété artistique, etc. par Jules Martin (1897), (p. 344)
- Base Léonore notice L2527012.
- « La peinture religieuse monumentale, une expression artistique emblématique du nord de la France au XIXe siècle ? » In Situ, revue des patrimoines
- Notice no ARCG0482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Archim, ministère français de la Culture
Annexes
modifierBibliographie
modifier- (de) Thieme-Becker, vol. 31, p. 92
- Busse 1977 , p. 1162
- Witt Checklist 1978 , p. 287
- Bénézit, vol. 12, , p. 846 (sous le nom de Sinibaldi, Jean Paul ou Paolo)
- Saur 1999-2000 , vol. 9, p. 254 (sous le nom de Sinibaldi, Jean Paul (Sinibaldi, Paul))
- (en) « Jean-Paul Sinibaldi », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit , sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787)
- Anna Zsófia Kovács, « Aurore de Paul Sinibaldi : allégorie insondable ou métaphore politique ? », Bulletin du musée hongrois des Beaux-Arts, n° 124 (2019), p. 119-135. Disponible sur Academia.edu
Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative à la vie publique :