Jardin botanique de l'Arquebuse de Dijon
Le jardin botanique de l'arquebuse de Dijon est un jardin botanique municipal créé en 1833 à Dijon, riche d'environ 3 500 espèces de plantes botaniques de Bourgogne et du monde entier, réparties sur plus de 5 hectares avec jardin public, arboretum, roseraie, muséum d'histoire naturelle et planétarium.
Jardin botanique de l'arquebuse de Dijon | |
Géographie | |
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Pays | France |
Subdivision administrative | Bourgogne-Franche-Comté |
Commune | 1 avenue Albert Ier Dijon |
Superficie | 5 hectares |
Histoire | |
Personnalité(s) | Bénigne Le Gouz de Gerland |
Caractéristiques | |
Type | Jardin botanique |
Localisation | |
Coordonnées | 47° 19′ 15″ nord, 5° 01′ 40″ est |
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Historique
modifierEn 1543, la « compagnie des arquebusiers du roi de Dijon » s'installe dans les bâtiments, parc et jardin de ce domaine, derrière l'actuelle gare de Dijon-Ville, aux portes du centre ville. Au XVIIIe siècle, le dernier capitaine de la compagnie, Marc-Antoine Chartraire de Montigny (1703-1749)[1], fait restaurer et embellir jardins et bâtiments à ses frais.
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Bâtiment des arquebusiers
En 1771, Bénigne Le Gouz de Gerland fonde le premier jardin botanique de Dijon sur l'actuel boulevard Voltaire. Le jardin est transféré en 1833 au domaine de la compagnie des arquebusiers, cédé à la ville en 1808.
Description
modifierLe parc et jardin botanique de Dijon, orné de statues, d'un temple de l'Amour, et traversé par le Raines, petit ruisseau sur lequel vivent des cygnes et des canards, est constitué :
- du « Muséum d'histoire naturelle de Dijon » inauguré en 1836 dans les anciens bâtiments de la compagnie des arquebusiers. Il présente des expositions permanentes (Pavillon de l'Arquebuse) et temporaires (Pavillon du Raines) en zoologie, géologie, paléontologie, ethnographie et minéralogie.
- du « planétarium Hubert Curien » (éminent physicien, « père » de la fusée Ariane et ancien ministre de la Recherche et de l'Espace de 1988 à 1993) avec une coupole de 10 m de diamètre.
- d'un arboretum de près de 600 feuillus et 100 variétés de conifères.
- d'une roseraie de 280 m² de plus de 230 espèces de roses / rosiers.
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Entrée du muséum d'histoire naturelle et d'ethnologie
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Vestige d'un portail donnant sur le muséum d'histoire naturelle et d'ethnologie
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La petite Orangerie construite en 1833
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La grande Orangerie dédiée aux expositions
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logettes, vestiges du cloître de la Chartreuse de Champmol
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Petit pont
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les jardins et son petit bassin
Références
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