Jambville

commune française du département des Yvelines

Jambville est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Jambville
Jambville
Vue depuis le parc du château.
Blason de Jambville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Jean-Marie Ripart
2020-2026
Code postal 78440
Code commune 78317
Démographie
Population
municipale
777 hab. (2021 en évolution de −7,94 % par rapport à 2015)
Densité 162 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 49″ nord, 1° 51′ 14″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 188 m
Superficie 4,81 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limay
Législatives 8e circonscription des Yvelines
Localisation
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Jambville
Liens
Site web https://mairie-jambville.fr/

Ses habitants sont appelés les Jambvillois[1].

Géographie

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Jambville, à l'extrême nord des Yvelines.

Description

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Jambville est une petite commune rurale située dans le nord du département des Yvelines et dans le sud du Vexin français, à la limite du Val-d'Oise, à 5 km environ au nord-est de Mantes-la-Jolie, à 8 km au nord-ouest de Meulan-en-Yvelines et à 40 km environ au nord-ouest de Versailles, .

Jambville se trouve dans le périmètre du Parc naturel régional du Vexin français.

À l'écart des grands axes, la commune est reliée par des routes départementales aux communes voisines.


Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Frémainville au nord et Seraincourt à l'est (toutes deux communes du Val-d'Oise), Oinville-sur-Montcient au sud, Montalet-le-Bois et Lainville-en-Vexin à l'ouest.

Hydrographie

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Jambville appartient au bassin versant de la Seine. Le territoire communal est drainé par deux ruisseaux. La Bernon, longue de sept kilomètres environ, affluent de la Montcient, petite rivière qui se jette dans la Seine à Meulan, traverse la partie sud de la commune d'ouest en est[2]. Le ru de l'Eau Brillante, long de cinq kilomètres environ, affluent de la Bernon qu'il rejoint à Seraincourt, suit la limite intercommunale avec Frémainville, dans la partie nord de la commune[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Jambville est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 84,46 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 6,41 % d'espaces ouverts artificialisés et 9,12  % d'espaces construits artificialisés[13].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Outre le bourg principal implanté sur une hauteur, la commune comprend plusieurs hameaux écartés : le Bout Guyoull, le Bout d'en Haut, les Noquets et Damply.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 331, alors qu'il était de 312 en 2013 et de 298 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 88,4 % étaient des résidences principales, 4,5 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Jambville en 2018 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,5 %) supérieure à celle du département (2,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,1 % en 2013), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Jambville en 2018.
Typologie Jambville[I 2] Yvelines[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 88,4 91,1 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,5 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 7,1 6,3 8,2

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Iambevilla en , Jambleville en [14].

« Jambville » appelée dans les chartes du moyen âge Jambeville et Jameville, signifie peut être la « Villa de James » (Jacobi Villa)[15]. « Villa de Jacques ou Jacob », forme anglicisée en James, dans le courant de la mode, au XVIIIe siècle[16]. « Jambville » est formé sur le nom de personne Jean, ou similaire à l'appellatif des communes de (Calvados, Oise, Eure-et-Loir) ou moins probablement sur d'un nom de personne d'origine germanique Gammo et sur l'appellatif villa[17].

Le château étant propriété des Scouts et Guides de France depuis , il serait tentant, mais sans fondement, de rapprocher ce toponyme du mot Jamboree, terme forgé par le fondateur du scoutisme Robert Baden-Powell à partir du mot swahili « Jambo », « Salut » et désignant un rassemblement de scouts.

Histoire

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Le fief de Jambville dépendait sous l'ancien régime de la seigneurie de Mézy-sur-Seine.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelinest à son arrondissement de Mantes-la-Jolie après un transfert administratif effectif au .

Elle est incluse dans le territoire de l'Opération d'intérêt national Seine-Aval[19]

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Limay de Seine-et-Oise puis des Yvelines[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Sur le plan judiciaire, Jambville fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[21],[22].

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Limay

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité

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Jambville était membre de la communauté d'agglomération Seine et Vexin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM), qui créait la Métropole du Grand Paris et organisait la structuration d'intercommunalités de taille importante en seconde couronne parisienne, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1800 Nicolas Jean    
1800 1811 Jean François Thomas   Maire provisoire
1811 1835 Adolphe Antoine Thomas   Baron de Maussion
1835 1839 Joseph Marie Bourienne    
1839 1846 Philippe Marie Valentin Auger    
1846 1850 François Thomas Vaudran    
1850 1865 François Bouillette    
1866 1869 Eugène Isidore Letourneur    
1871 1874 Charles François Thomas    
1874 1877 Jacques Augustin Dubois    
1877 1888 François Thomas Vaudran    
1889 1892 Adolphe Arsène Bertrand    
1893 1925 Charles Xavier Joye    
1925 1929 Eugène François Alexandre Joye    
1929 1940 André Manassé    
1940 1947 Léon Royer    
1947 1971 Albert Sauret    
1971 1983 Marcel Cordonnier    
1983 1995 Lucien Galandrin    
1995 2001 Anny Multon    
2001[23] septembre 2014[24] Bruno Marchay[1] SE Démissionnaire
septembre 2014[25] En cours
(au 2 décembre 2021)
Jean-Marie Ripart   Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 777 habitants[Note 2], en évolution de −7,94 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
432397412389374357348308323
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
292282268244244234256276280
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
292232234203212252314282281
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
284295406438586623721754800
2014 2019 2021 - - - - - -
843796777------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 412 hommes pour 403 femmes, soit un taux de 50,55 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,3 
6,5 
75-89 ans
6,3 
13,9 
60-74 ans
13,7 
25,8 
45-59 ans
23,6 
13,4 
30-44 ans
16,8 
17,4 
15-29 ans
15,1 
22,7 
0-14 ans
24,3 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Manifestations culturelles et festivités

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Le château de Jambville, propriété de l’association des Scouts et Guides de France, accueille son centre national de formation, et certaines de ses initiatives, comme les 10 000 jeunes du Frat, ou les jamborees des Scouts et Guides de France[32].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Le château de Jambville en 2014.
 
Vestige du temple dans le parc du château de Jambville.

Lieux et monuments

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Jambville compte plusieurs monuments historiques sur son territoire :

C'est un petit édifice de plan rectangulaire, qui compte seulement dix travées, et remonte en partie au XIIe siècle. Remaniée à maintes reprises, elle est assez emblématique des petites églises rurales de la région, dont les différentes parties adoptent l'architecture recherchée des grands édifices contemporains, mais ne sont pas bâties avec la même rigueur, et présentent de nombreuses irrégularités. À part ceci, l'église Notre-Dame a subi des dégradations irréparables dans le passé. Tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, la plupart des chapiteaux ont ainsi perdu leur sculpture, aucune fenêtre ne subsiste plus d'origine, et les élévations extérieures ont été si radicalement restaurées qu'elle ne conservent plus que de rares éléments authentiques. L'on peut notamment signaler un tympan roman quadrillé au nord de la nef. Sinon, le clocher octogonal roman et sa flèche de pierre gothique sont aujourd'hui les seuls éléments dignes d'intérêt à l'extérieur. À l'intérieur, la nef et son collatéral voûté à la même hauteur forment un ensemble presque homogène de style gothique flamboyant. La base du clocher du milieu du XIIe siècle et son croisillon sud des années 1220 / 1230 sont d'un bel effet grâce à une habile restauration, qui gomme la mutilation des chapiteaux et les irrégularités grâce à la reconstitution de la polychromie architecturale dans le goût du Moyen Âge. La chapelle de la Vierge Marie, dans l'axe du croisillon, a été bâti en même temps que lui, et est assez bien préservé, tandis que le sanctuaire, dans l'axe de la base du clocher, n'a pas encore été restauré, et ne paraît pas à la hauteur de sa vocation[34],[35].
  • Le château de Jambville, rue des Tilleuls (château et parc inscrits aux monuments historiques par arrêté du , orangerie et communs inscrits par arrêté du [36]).
Construit aux XVIIe et XVIIIe siècles sur les bases d'un château médiéval, il héberge depuis 1952 le centre national de formation des Scouts et Guides de France. Une allée bordée de 172 tilleuls du XIXe siècle conduit au château, entouré d'un parc de 52 hectares[37].
  • Le Temple grec en ruines, au parc du château (inscrit aux monuments historiques par arrêté du [36]) : construit vers 1775 par Étienne-Thomas de Maussion, propriétaire des lieux. Il s'agit d'une fabrique de jardin qui ornait le parc aménagé dans un style anglais. Il fut restauré dans les années 1970. Le fronton est orné d'un authentique couvercle de tombeau gaulois.

Héraldique

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  Blason
De gueules au sautoir d'or cantonné de quatre coquilles du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Jambville », p. 376–377
  • Robert P. Jolibois, Jambville, village du Vexin, Mabilat, , 62 p.
  • Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français – ouvrage posthume – deuxième série : Jambville, Gisors, Imprimerie Benard-Bardel et fils, , 170 p., p. 104-112

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Jambville ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Jambville » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Jambville - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Jambville - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Yvelines » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Jambville », Union des maires des Yvelines (consulté le ).
  2. « Fiche cours d'eau - La Bernon (H3018600) », Sandre (consulté le ).
  3. « Fiche cours d'eau - Ru de l'Eau Brillante (H3018680) », Sandre (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Jambville et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  15. Armand CASSAN, Statistique de l'arrondissement de Mantes, Seine-et-Oise, page 536.
  16. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 20.
  17. Toponymie générale de la France étymologie de 35 000 noms de lieux, Ernest Nègre, publié par Librairie Droz, 1998, (ISBN 978-2-600-00133-5).
  18. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  19. « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  22. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  23. « Jambville : Bruno Marchay, le nouveau maire », Le Courrier de Mantes,‎ , p. 23.
  24. « Le maire démissionne », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu en avril dernier, Bruno Marchay, le maire (SE) de Jambville, vient de quitter ses fonctions. (...) . L'édile, qui entamait son troisième mandat à la tête de cette commune rurale de 900 habitants proche de Meulan, a envoyé un courrier à ses habitants pour les prévenir de sa démission ».
  25. Le Parisien, « Jean-Marie Ripart élu maire », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Jambville (78317) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  32. Virginie Wéber, « Au château de Jambville, les scouts de retour par milliers : Après deux ans d’accalmie en raison du Covid, le petit village de 900 âmes accueille à nouveau près de 4 500 scouts en ce week-end de Pâques », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Église Notre-Dame », notice no PA00087460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Jambville, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 187-188.
  35. Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français – ouvrage posthume – deuxième série : Jambville, Gisors, Imprimerie Benard-Bardel et fils, , 170 p., p. 104-110.
  36. a et b « Château de Jambville », notice no PA00132997, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Centre national de formation des Scouts et Guides de France.