Jalel Ben Brik Zoghlami
Jalel Ben Brik Zoghlami est un homme politique tunisien, frère du journaliste et écrivain Taoufik Ben Brik.
Nationalité | |
---|---|
Activité | |
Fratrie | |
Conjoint |
Avocat de profession[1], il est emprisonné en pour avoir soutenu son frère, en grève de la faim pour protester contre les violations des libertés[2].
Le , il fonde le journal Kaws el Karama (L'Arc de la dignité)[2], dont il est rédacteur en chef[1]. Après son lancement, il entame une grève de la faim pour revendiquer sans succès son autorisation[2]. Le , il est poursuivi en justice pour avoir endommagé une voiture de police, mais obtient finalement un non lieu[2].
Leader de l'Organisation communiste révolutionnaire (section tunisienne de la Quatrième Internationale), il devient porte-parole de la Ligue de la gauche ouvrière, membre du Front populaire, après la révolution de 2011.
Il est marié en 1993 à Ahlem Belhadj, psychiatre et présidente de l'Association tunisienne des femmes démocrates, et père de deux enfants[3].
Références
modifier- « Jalal Zoghlami : « Ce peuple est désormais debout » », L'Humanité, (ISSN 0242-6870, lire en ligne, consulté le ).
- « Situation des droits humains en Tunisie (2005) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cetim.ch, .
- Frida Dahmani, « Ahlem Belhaj, au nom de toutes les miennes », Jeune Afrique, (ISSN 1950-1285, lire en ligne, consulté le ).