Jacques Yankel

peintre français

Jacques Yankel, pseudonyme de Jakob Kikoïne, né le à Paris, mort le à Aubenas (Ardèche)[1] est un peintre, sculpteur et lithographe français de la seconde École de Paris.

Jacques Yankel
Aaron, lithographie (1973).
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 99 ans)
AubenasVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Jacob KikoïneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Mouvement
Père

Il est le fils du peintre Michel Kikoine (1892-1968).

Biographie

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La Ruche, passage de Dantzig à Paris

Alors que, cinq ans après sa sœur Claire, il naît à l'hôpital Boucicaut à Paris du mariage de Michel Kikoïne et Rosa Bunimovitz - acceptant mal cette naissance, Kikoïne avait, en compagnie de Chaïm Soutine, fui a Cagnes-sur-Mer peu avant l'accouchement, abandon d'une durée d'un an que Rosa ne lui pardonnera pas malgré le sens paternel très développé qui suivra[2] -, Jacques Yankel passe une jeune enfance précaire dans la cité d'artistes de la Ruche, au 2, passage de Dantzig dans le 15e arrondissement[3], qui est demeuré le lieu d'habitation de la famille Kikoïne de 1912 à 1926[4]. Il y grandit entouré de sa famille et des œuvres d'art jusqu'à son entrée à la maternelle.

En 1926, Michel Kikoïne fait l'acquisition d'une maison à Annay-sur-Serein (par quoi Yankel demeurera lié au département de l'Yonne), puis en 1927 la famille quitte La Ruche pour s'installer à Montrouge (rue de Gentilly) - « mes mauvaises fréquentations rue de Gentilly auraient pu faire de moi un vrai malandrin » évoquera Yankel[2] - avant de revenir - « la misère a provoqué notre départ du bel atelier de la rue de Gentilly » se souviendra-t-il encore[2] - dans le quartier Montparnasse (7, rue Brézin) en 1933[5].

Sa scolarité est déplorable et il sera refusé à l'École des arts appliqués et aux Beaux-Arts de Paris. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il occupe des emplois temporaires en imprimerie et atelier de gravure. En 1941, il emménage à Toulouse, en zone libre, et devient assistant géologue. Il épouse Raymonde Jouve la même année, Michel et Rosa Kikoïne franchissant clandestinement et séparément la ligne de démarcation afin d'être présents[2]. Il poursuit ses études et soutient brillamment un diplôme d'études supérieur en géologie à la faculté des sciences de Toulouse. En 1946, naît sa fille Dinah Kikoïne. Il participe épisodiquement en peintre amateur au groupe du Chariot avec les artistes Jean Hugon, Michel Goedgebuer, Bernard Pagès, Christian Schmidt, André-François Vernette et Jean Teulières.

En 1949, il est engagé par le ministère des Colonies pour la carte géologique de Gao-Tombouctou-Tabankort en Afrique-Occidentale française. De cet épisode, il gardera un goût certain pour l'art africain dont il deviendra un collectionneur. L'année suivante, il rencontre inopinément Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre à Gao. Ce dernier l'encourage à se tourner vers la peinture[6].

En 1952, il retourne habiter à Paris, se réinstallant à La Ruche, et fait ses débuts de peintre à la galerie Lara Vinci, rue de Seine. En 1954, en parallèle de sa soutenance de thèse en géologie à la Sorbonne, il expose ses œuvres à Paris et Mulhouse. En 1955, il connaît ses premiers succès en tant qu'artiste. Il gagne le prix Neumann qu'il partage avec Réginald Pollack, le 1er prix de la Société des amateurs d'art, ainsi que le prix Fénéon, se resituant lui-même ainsi : « à Paris, l'époque est au misérabilisme et je suis misérabiliste comme mes amis d'alors, Orlando Pelayo, Jean Jansem, François Heaulmé... La nouvelle école de la Ruche est constituée de Paul Rebeyrolle, Simone Dat, Michel Thompson, Michel de Gallard, qui pratiquent un réalisme expressionniste influencé par Constant Permeke, Bernard Lorjou et Francis Gruber, et au fond assez voisin de notre travail de l'époque »[7].

De 1957 (année qu'il associe à sa première exposition à la galerie Romanet et à l'influence de Nicolas de Staël sur son œuvre[7]) jusqu'à 1959, il continue d'exposer et voyage au Maghreb, aux Baléares, à Genève et en Israël. En 1960, il se marie avec Jacqueline Daneyrole à Labeaume où il élit domicile[8]. De 1961 à 1965, il expose à Paris, en Israël et à Amsterdam. En 1966, sa mère Rose Kikoïne meurt. En 1967, il part précipitamment en Israël pour la guerre des Six Jours. Il débarque le sixième. Il s'engage volontairement au kibboutz Zikhron Yaakov et Maayan Zvi et y travaille trois mois.

Son père Michel Kikoine meurt en 1968, année où il est engagé comme professeur d'art plastique par des étudiants à l'École des beaux-arts de Paris afin de succéder à Raymond Legueult, démissionnaire. Installé au 3, rue de la Cité-Universitaire, il poursuivra jusqu'en 1985 cet enseignement que l'on associe historiquement à l'émergence du mouvement Vohou-vohou, parti d'une vague d'étudiants de l'Êcole des Beaux-Arts d'Abidjan venus poursuivre leurs études dans son atelier[9],[10],[11], pour être de à le commissaire de l'exposition Arts africains - Sculptures d'hier, peintures d'aujourd'hui organisée à l'initiative de l'A.D.E.I.A.O. au Musée des arts africains et océaniens de Paris[12].

Parallèlement, il continue à exposer durant les années 1970. En 1978, il participe à la réalisation des décors de la pièce Othello de Shakespeare montée par Georges Wilson. Il commence à travailler avec la galerie Yoshii à Tokyo et Paris.

En 1987, il se marie avec Lidia Syroka[13] et expose à Anvers. Il effectue cette année-là la première donation de sa collection d'art naïf au Musée des arts naïfs et populaires de Noyers-sur-Serein[14]. La seconde donation aura lieu en 2018[15].

En 2019, Jean-François Lacour, éditeur de Jacques Yankel, témoigne : « Il va avoir cent ans en , et ce qui est étonnant, c'est sa jeunesse : il peint, il dessine et parle de l'art comme un enfant »[16].

Périodes dans l'œuvre

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Les années 1970

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Après la mort de son père, Jacques Yankel s'appuie sur la littérature dans le but de la transposer. Il s'inspire notamment de la Thora. Il peint aussi des galets incorporés à des dalles de ciment et exécute des projets destinés à l'architecture. De 1975 à 1980, il peaufine la courbe de son graphisme. Il joue des non-couleurs, tandis que sa peinture ne néglige ni la nature morte, ni les intérieurs aux fortes consonances et aux partages régulateurs[Quoi ?].

Les années 1980

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Il affermit dans son atelier ardéchois son goût pour les assemblages d'objet hétéroclites, communs ou non, sur papier ou sur toile. Entre 1985 et 1990, il insiste sur les virtualités du trait et leur étroite complicité avec les masses de couleur incisées de personnages linéaires.

Les années 1990

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Il expérimente sans relâche le champ opératoire qui s'offre à ses sens. Il peint dans l'urgence, à l'huile de préférence. « On vit et on peint sans savoir » énonce-t-il en conclusion de ses confidences dans la monographie de Raymond Laurent[7]. Sa production est faite de reliquaires, d'assemblages et d'ex-voto. Il libère son imagination au travers d'objets prélevés au folklore artisanal, industriel ou urbain.

Expositions

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Expositions personnelles

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  • Jacques Kikoïne - Gouaches, Galerie-librairie Club, Toulouse, 1947.
  • Galerie Colline, Oran, 1953, 1955[17].
  • Galerie Drouant-David, Paris, 1955.
  • Galerie Motte, Genève, 1955.
  • Galerie Seventy five, New York, 1955.
  • Musée Sainte-Croix Poitiers, 1955.
  • Galerie Romanet, Paris, 1957[18], 1958, 1962 (Paysages de Labeaume).
  • Galerie Maurice Œuillet, Toulouse, 1957, 1964.
  • Galerie Gérard Mourgue, Paris, 1957.
  • Galerie Menuisement, Rouen, 1958.
  • Galerie Monique de Groote, Bruxelles, 1958.
  • Galerie Anne de Francony, Nice, 1958.
  • Musée de l'Athénée, Genève, 1959, 1963.
  • Galerie de Paris, Paris, 1960 (Ports de France, gouaches), 1963 (Paris la nuit).
  • Galerie Lhote, Bordeaux (Marines, gouaches), 1961.
  • Galerie Aktuaryus, Strasbourg, 1962.
  • Galerie Droulez, Reims, 1964 (Marines).
  • Galerie Six Sicote, Lille, 1965 (Cinq ans de peinture)
  • The Art Gallery Hadassa "K", Tel Aviv, 1965 (Peintures 1960-1965).
  • Bineth Gallery, Jérusalem, 1965.
  • Galerie Contrastes, Bruxelles, 1966 (Contrastes).
  • Galerie Khepri, Amsterdam, 1966 (Façades).
  • Galerie Félix Vercel, 1967, New York, 1967 (De Paris à Jérusalem), 1968, 1970 (Hommage à mon père), 1971, 1972 (La Bible).
  • Galerie Simone Boudet, Toulouse, 1967 (Carnaval), 1970 (Peintures récentes).
  • Galerie Félix Vercel, Paris, 1969 (Hommage à mon père), 1970 (Variations sur un thème), 1973 (La Thora).
  • Galerie Antanona, Caracas, 1971.
  • Château de Laversine, Saint-Maximin (Oise) 1972, (La Thora).
  • Galerie Yoshii, Paris, février-mars 1977 (Le Monde en noir et blanc), juin-juillet 1983 (Le désespoir du peintre), mai-juin 1986, janvier-février 1988, octobre 1990, novembre-décembre 1991, décembre 2000 - janvier 2001, décembre 2002 - janvier 2003, mars 2004, février-mars 2006, mars-avril 2010[19], mars-avril 2016.
  • Musée Gauguin, Tahiti, 1986.
  • Galerie Yoshii, Tokyo, 1991.
  • Musée des arts naïfs et populaires, Noyers-sur-Serein, octobre-décembre 2003[20].
  • L'atelier de Yankel, exposition temporaire, Musées de Béziers, Espace Riquet, Béziers, mars-mai 2013[21],[22].
  • Yankel, l'Art de sûr-vivre, Laboule, juillet-août 2016[23].
  • Cabinet de curiosités, une saison Yankel, exposition au Musée des Vans, sept.-déc. 2020, juin-déc. 2021.
  • Yankel: incarner le vivant, Galerie Mirabilia, Lagorce, oct.-nov. 2020.

Expositions collectives

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Réception critique

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  • « Yankel aime le timbre des couleurs plus que leurs mélodies. Il en tire des accords qui provoquent de véritables secousses. Comme Igor Stravinsky pratiquant la musique à coups de cymbales, il pratique la peinture à coups de couleurs pures. Tous deux ont la même conception du raffinement. Ils savent que les sens réagiront avec d'autant plus de subtilité dans le grave qu'ils ont été plus éloignés de ce registre par l'aigu. Les larges teintes majeures de Yankél, et d'autres, mineures, plus ténues, accentuent la ressemblance avec une partition musicale. » - Gérard Mourgue[35]
  • « Par son double caractère figuratif et non figuratif, l'œuvre de Yankel témoigne d'une tendance à l'éclectisme comparable à celle qu'au XVIIe siècle représentaient les Carrache. La tendance éclectique d'aujourd'hui, à laquelle participent des peintres plus âgés que Yankel, comme Alexandre Garbell, ou des peintres de son âge comme André Cottavoz, Gustav Bolin et Pierre Lesieur qu'il admire, s'inspire du style figuratif de Pierre Bonnard et Jean Pougny, d'une part, et, d'autre part, du style abstrait, de Roger Bissière notamment... "Il faut être banal" dit Yankel en citant André Gide. C'est pourquoi il préfère un modeste vase de fleurs devant une fenêtre aux objets d'art qui l'inspiraient à ses débuts. Au goût de la simplicité, il ajoute celui de la spontanéité. Grâce à un travail rapide, Yankel pense conserver dans ses toiles, qui réunissent les deux tendances de l'art contemporain, toute la fraîcheur qui caractérise l'esquisse. » - Yvon Taillandier[25]
  • « Le fils de Kikoïne a entendu les conseils paternels : "exprime-toi par tes propres moyens" ; il a passé son adolescence dans l'intimité de Soutine, de Zadkine, des nombreux amis slaves de Kikoïne. Il suggère l'essentiel en quelques touches judicieusement placées : des bleus, des verts, des rouges savamment orchestrés. Pour notre bonheur, Yankel aime se conter  : il a publié un album de souvenirs, de réflexions, d'aventures truculentes, ponctué de nombreux dessins et aquarelles, Le Désespoir du peintre, puis un livre de souvenirs, Pis que peindre, où il manie avec drôlerie et pudeur l'autodérision. » - Gérald Schurr[36]
  • « Dans les années cinquante, son art procède de l'expressionnisme, se référant à Gruber, Lorjou, Buffet, Rebeyrolle, avec de solides qualités de matière. Après 1960, il s'éloigne de l'expressionnisme pour atteindre à une plus grande liberté d'invention plastique, dans une sorte d'expressionnisme abstrait... La meilleure part de son œuvre consiste peut-être en ce qu'il peignait directement avec les doigts, à pleins tubes : "J'en vins à retrouver les rythmes simples et essentiels des grandes coulées de toits du village, les sillons, les rides superbes de la nature", participant alors pleinement de certains de ses sujets, en négligeant l'anecdote pour n'en retenir que les rythmes primordiaux, en accord avec l'universel. » - Jacques Busse[27]

Prix et distinctions

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  • Prix Neumann 1952[25].
  • Prix d'Afrique du Nord, 1953[25].
  • 2e Prix de la Jeune Peinture, 1953[22].
  • Prix Maurice Pierre, 1953.
  • Prix de la Société des amateurs d'art, 1954.

Collections publiques

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Israël

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Élèves

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Notes et références

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  1. Centre France, « Le peintre presque centenaire était très attaché à l’Yonne », sur www.lyonne.fr, (consulté le )
  2. a b c et d Édouard Roditi, « Les peintres russes de Montparnasse » et Jacques Yankel, « Mon père », Kikoïne, L'Édition d'art H. Piazza, 1973.
  3. « La Ruche, racontée par jacques Yankel », résumé d'une interview de l'artiste par Dimitri Vicheney, in Bulletin de la Société d'histoire et d'architecture du 15e arrondissement de Paris, n° 25.
  4. Limore Yagil, « Montparnasse et la Ruche », Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements, Fayard, 2015.
  5. Nieszawer et Princ (sous la direction de Nadine Nieszawer, préface de Jacques Lanzmann), Artistes juifs de l'École de Paris, 1905-1930, Somogy Éditions d'art, 2015 (Michel Kikoïne, pages 174-175)
  6. Yacouba Konaté, « Art and social dynamics in Côte d'Ivoire - The position of Vohou-Vohou », chapitre 19 de l'ouvrage collectif sous la direction de Gilli Salami et Monica Blackmun Visonà, A Companion to modern Africa Art, John Wiley & Sons, 2013
  7. a b et c Raymond Laurent, Yankel, Le Musée de poche, 1974, pages 43, 71 et 75.
  8. « Catalogue Yankel », sur yankel-catalogue.fr (consulté le )
  9. Kone Saydou, « "Esprit Vohou-Vouhou ! Est-tu là?" : l'appel des artistes peintres aux autorités ivoiriennes », L'Intelligent d'Abidjan, 27 janvier 2014
  10. « Découvrez le Vohou-Vohou, un courant artistique ivoirien », Original - Arts et cultures, 25 juillet 2018
  11. Danielle Yesso, « Le Vohou-Vohou ou l'art n'importe quoi », 100% culture.com, 12 septembre 2018
  12. Henri Marchal, Arts africains - Sculptures d'hier, peintures d'aujourd'hui, catalogue d'exposition, Musée des arts africains et océaniens, 1985.
  13. Laurent Danchin dans Brigitte Gilardet, Paroles de commissaires -Histoires. Institutions. Pratiques, les presses du réel, 2020, p.137
  14. Mairie de Noyers-sur-Serein, Donation de la collection d'art naïf de Jacques Yankel au Musée des arts naïfs et populaires, dossier de presse, 2012
  15. « À 98 ans, l'artisan de la renaissance du musée de Noyers lui donne dix tableaux supplémentaires », L'Yonne républicaine, 13 novembre 2018
  16. France-TV Info, Rencontre avec Jacques Yankel, l'autre peintre (presque) centenaire français, 2019
  17. « Le monde tragique de Yankel », L'Écho d'Oran, 25 mars 1955.
  18. « Les peintres dans les galeries contemporaines - Les peintures "glacées" de Yankel », Connaissance des arts, n°69, octobre 1957, p. 115.
  19. Galerie Yoshii, archives
  20. Musée des arts naïfs et populaires de Noyers-sur-Serein, Exposition de Jacques Yankel, 2003
  21. « Béziers - L'atelier de Jacques Yankel à découvrir à l'espace Riquet », Sortir ici et ailleurs, 2013
  22. a et b Association de recherche en art et thérapie, L'atelier de Yankel, 2013
  23. Yankel, L'Art de sûr-vivre brochure de l'exposition, 2016
  24. Le Delarge, Gründ, 2001, page 1349
  25. a b c et d Yvon Taillandier, « Le peintre du mois - Jacques Yankel explore le paysage en géologue », Connaissance des arts, n°79, septembre 1958, pp. 46-49.
  26. Georges Charensol, « Les peintres témoins de leur temps », La Revue des Deux Mondes, 1er avril 1956.
  27. a et b Jacques Busse, « Jacques Yankel », Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, pages 793-794.
  28. Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992, page 314.
  29. Farah Pahlavi, Mehrdad Pahlbod et Édouard Georges Mac-Avoy (préface et avant-propos), Première exposition internationale des arts de Téhéran, catalogue d'exposition, 1974
  30. « Au Musée Bourdelle », L'Amateur d'art, n°750, septembre 1988.
  31. a et b Véronique Chemla, Yankel, peintre et sculpteur, janvier 2012
  32. Nicole Salez, "La Ruche" au palais Lumière (Évian) présentation de l'exposition, 2009
  33. Capitale Galerie, Trente artistes d'Ackerman à Yankel, annonce de l'exposition, 2011
  34. Coralie Machabert, « L'exposition "Un siècle d'art en Haute-Garonne (1880-1980)" au château de Laréole », Les Cahiers de Framespa, n°16, 2014
  35. Gérard Mourgue, La nouvelle École de Paris, Éditions Pierre Cailler, 1956.
  36. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, page 977.
  37. Balazuc, les édifices religieux
  38. Fondation Jeanne-Matossian, Jacques Yankel dans la collection
  39. École nationale supérieure des beaux-arts, Jacques Yankel dans les collections
  40. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Pigalle la nuit" dans les collections
  41. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Saint-Germain-des-Prés" dans les collections
  42. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Port" dans les collections
  43. a b et c Monica Blackmun Visonà, Constructing African art histories for the Lagoons of Côte d'Ivoire, Ashgate Publishing, 2010, page 169.
  44. Centre national des arts plastiques, Thibaut de Reimpré
  45. Espace Rebeyrolle, Ouattara Watts
  46. Brigitte Gilardet, Paroles de commissaires -Histoires. Institutions. Pratiques, les presses du réel, 2020, p.23

Annexes

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Bibliographie

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  • Gérard Mourgue, La nouvelle École de Paris, Éditions Pierre Cailler, 1956.
  • Yvon Taillandier, « Le peintre du mois - Jacques Yankel explore le paysage en géologue », Connaissance des arts, no 79, septembre 1958.
  • Michel Ragon, La peinture actuelle, Librairie Arthème Fayard, 1959.
  • Sous la direction de Bernard Dorival, Peintres contemporains, Mazenod, 1964.
  • Raymond Laurent, Yankel, Éditions Le Musée de Poche, 1973.
  • Édouard Roditi, Mendel Mann et Jacques Yankel, Kikoïne, L'Édition d'art H. Piazza, 1973.
  • Dictionnaire universel de la peinture, Dictionnaires Le Robert, 1975.
  • Jacques Yankel, « Je suis envoûté  par La Fiancée juive de Rembrandt », Arts, n°61, .
  • Jacques Yankel, Le désespoir du peintre, Éditions des Enfants de la balle, 1983.
  • Gérard Xuriguera, Les années 50. Peintures, sculptures, témoignages, Arted, 1984.
  • Jeanine Warnod, Les artistes de Montparnasse - La Ruche, Éditions Mayer - Van Wilder, 1988.
  • Jacques Yankel, Pis que peindre - Chronique artistique, 1981-1990, Éditions Chimères, 1991.
  • « Contes et légendes de Yankel », Passages, n°45, .
  • Patrick-F Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  • Marie-Hélène Balazuc (préface de Michel Vovelle, dessins de Jacques Yankel), Mémoires de soie : Labeaume, un village du Bas-Vivarais, Éditions L'Atelier de l'harmonie, Robiac, 1992.
  • Gérard Xuriguera, Pierre Restany et Jacques Yankel, Yankel, Les Éditions de l'Amateur, 1994.
  • Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999.
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001.
  • Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Ides et calendes, 2010.
  • Monica Blackmun Visonà, Constructing African art histories for the Lagoons of Côte d'Ivoire, Ashgate Publishing, 2010.
  • Yacouba Konaté, « Art and social dynamics in Côte d'Ivoire - The position of Vohou-Vouhou », chapitre 19 de l'ouvrage collectif sous la direction de Gilli Salami et Monica Blackmun Visonà, A Companion to modern African Art, John Wiley & Sons, 2013.

Filmographie

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Liens externes

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