Jacques Ouellet (poète)

poète et écrivain québécois
(Redirigé depuis Jacques Ouellet)

Jacques Ouellet, né le à Québec, est un poète québécois[1].

Jacques Ouellet
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (77 ans)
QuébecVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités

Biographie

modifier

Jacques Ouellet est un poète québécois[2].

Il publie sept recueils : Qui ose regarder (Éditions Leméac, 1987), Où serons-nous dans une heure (Éditions du Noroît, 1990), L'enfant du voyage (Éditions du Noroît, 1994), Ce que nous tenons à distance (Éditions du Noroît, 1999), N'y allez pas (Éditions du Noroît, 2004), On ne laisse rien (Éditions du Noroît, 2014) ainsi que Apparaître disparaître : on ne s'échappe pas si facilement (Les Croque mots, 2019)[3],[4],[5],[6]. Jacques Ouellet est récipiendaire du Prix Octave Crémazie (1987)[1],[4].

Il signe des textes dans plusieurs revues littéraires au Québec, en France ainsi qu'en en Belgique. En 1998, le centre d'études poétiques du Cégep de Ste-Foy organise une soirée hommage à son œuvre[1].

À l'occasion du 20e anniversaire de la Charte de la langue française (1997), île du réservoir de Caniapiscau est baptisé Le chuchotis des rives, un extrait de son recueil L'enfant du voyage[1].

Jacques Ouellet est membre de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois[1].

Œuvres

modifier

Poésie

modifier

Prix et distinctions

modifier

Notes et références

modifier
  1. a b c d et e « Recherche - L'Île », sur www.litterature.org (consulté le )
  2. « Poésie - Écrire à voix basse », sur Le Devoir (consulté le )
  3. Hugues Corriveau, « Entre talent et bêtise / Jacques Ouellet, Où serons-nous dans une heure? (avec trois eaux-fortes de Nicole G.-Ouellet), Saint-Lambert, Éditions du Noroît, collection « L’Instant d’après », no 35, 1990, 74 p. / Guy Marchamps, Blues en je mineur (avec six dessins d’Yves Cadorette), Saint-Lambert, Éditions du Noroît, 1990, 77 p. / Réjean Plamondon, Écritude (avec cinq émaux d’André Le May), Saint-Lambert, Éditions du Noroît, collection « L’Instant d’après », no 34, 1990, 80 p. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 60,‎ , p. 37–38 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  4. a et b Monique Deland, « Des seules choses qui importent / Jacques Ouellet, On ne laisse rien, poésie, Éditions du Noroît, 2014, 110 p. », Moebius : écritures / littérature, no 144,‎ , p. 139–146 (ISSN 0225-1582 et 1920-9363, lire en ligne, consulté le )
  5. André Marquis, « La métamorphose du quotidien / Qu’en Carapaces de mes propres ailes de Raymond Martin. Montréal. Triptyque, 1987, 70 p., 7$. / Pris de Présence de Pierre Laberge, Montréal, Éditions du Noroît, 1987, 89 p., (coll. «L'instant d'après», n° 25), 5$ / Soleil et ripaille de Paul Savoie, Montréal, Éditions du Noroît, 1987, 86 p., (coll. « L’instant d’après », n° 26), 5$. / Qui ose regarder de Jacques Ouellet, Montréal, Leméac, 1987, 58 p., 9,95$. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 47,‎ , p. 41–43 (ISSN 0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
  6. David Cantin, « Au passage d'une autre saison : Six voix à égales parts étrangères et québécoises », Le Devoir •,‎ , p. D2 •
  7. Roland Paillé, « Bâti sur la créativité », Le Nouvelliste (Trois-Rivières) •,‎ , p. 3.