Institut d'études politiques de Rennes

établissement français public d'enseignement supérieur
(Redirigé depuis IEP de Rennes)

L'Institut d’études politiques de Rennes, plus connu sous la dénomination « Sciences Po Rennes », est un établissement français public d'enseignement supérieur créé en 1991 et un établissement-composante de l'université de Rennes depuis le [1],[2], situé à Rennes et à Caen. C'est l'un des quatre plus récents des onze instituts d'études politiques de France, et il fait partie des grandes écoles.

Institut d’études politiques de Rennes
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Autre établissement public national d'enseignement (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur
Président
Yann Lejolivet
Directeur
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
1100
Effectif
280Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants
35+130 extérieurs
Chercheurs
43+29 (CRAPE+CRESS-Lessor)
Localisation
Pays
Ville
Rennes, 104, boulevard de la Duchesse Anne
Caen, 21 place de la République
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte de Bretagne
voir sur la carte de Bretagne
Localisation sur la carte de Rennes
voir sur la carte de Rennes

Histoire

modifier

Création

modifier

L'établissement est créé par décret le [3], en même temps que l'Institut d'études politiques de Lille. René Rémond et Alain Lancelot se montrent très favorables au deux projets et la Fondation nationale des sciences politiques les appuient[4]. L'établissement s'installe alors au no 104 du boulevard de la Duchesse Anne, dans les bâtiments de l'ancienne école normale d'institutrices construite en 1882 par l'architecte départemental Jean-Marie Laloy[5].

C'est un établissement public à caractère administratif rattaché par décret à l'Université de Rennes. Son statut est fixé par le décret du [6].

Expansion

modifier

En raison d'un manque de place dans ses locaux rennais, l'IEP entame un processus de développement dans d'autres villes du Grand Ouest à partir du début des années 2010[7]. Le but est d'augmenter son nombre d'étudiants et d'atteindre des effectifs comparables à ceux des autres instituts d'études politiques ; celui de Rennes compte alors 1 100 étudiants alors que ceux de Lille et de Bordeaux en comptent 1 700, et celui de Grenoble 1 300[8]. Un nouveau bâtiment a été mis en service en janvier 2018.

L'établissement annonce en décembre 2010 vouloir ouvrir des formations dans d'autres villes du Grand Ouest, à Nantes à partir de la rentrée 2011, et à Caen à compter de la rentrée 2012[9]. Le projet nantais est finalement abandonné début 2011. Selon le directeur de l'IEP Patrick Le Floch, cette décision fait suite à des pressions de la région Pays de la Loire sur l'Université de Nantes[7]. Cette version est contredite par les acteurs nantais qui affirment que le projet rennais s'est peu à peu restreint avant d'avoir été abandonné[8]. Le projet caennais est lui soutenu par les collectivités locales[7].

À la rentrée 2012, soutenu par des entreprises comme GDF Suez, EDF ou DCNS[10], l'établissement a ainsi ouvert à Caen une antenne au no 21 de la place de la République, avant un déménagement dans les anciens locaux de l'École supérieure d'arts et médias de Caen, no 10 de la rue Pasteur, à la rentrée 2014[11]. Le campus de Caen propose des enseignements sur le développement durable, le dialogue territorial et les transitions sous un angle pluridisciplinaire (sciences politiques, droit, géographie, histoire). Il dispose également d'une spécialisation géographique avec un parcours ouvert sur l'Europe du Nord (pays nordiques et baltiques). La bibliothèque universitaire du Campus de Caen dispose du fonds de littérature lettone le plus important de France[réf. nécessaire], notamment grâce à un don de l'ambassade de Lettonie en France.

Directeurs

modifier

Directeurs des études

modifier

Admission

modifier

En et en , le concours d'entrée a été commun avec l'Institut d'études politiques de Toulouse. Le taux de réussite était alors de 8 %. En 2008, un nombre total de 1 100 places, réparties entre les six IEP, était proposé aux 11 600 candidats (taux de sélection de 9,5 %)[21], les lauréats étant admis en fonction de leurs choix préférentiels et de leur rang de classement. En 2022, Sciences Po Rennes est le septième Sciences Po le plus sélectif de France, avec un taux d'admission de 16 %[22].

À partir de 2008, les six instituts d'études politiques d'Aix-en-Provence, Lyon, Lille, Rennes, Strasbourg et Toulouse organisent un concours d'entrée commun d'accès en première année ouvert aux terminales et aux bacheliers de l'année précédente[23]. Outre la note du baccalauréat, le concours se compose de trois épreuves : une dissertation portant sur une question contemporaine, une épreuve d'histoire et une épreuve de langue vivante.

À la rentrée 2014, 72,5 % des admis avaient obtenu une mention très bien à leur baccalauréat. À la rentrée 2014, les étudiants de première année étaient issus à 65 % d'un baccalauréat économique et social, à 23 % d'un baccalauréat scientifique et à 12 % d'un baccalauréat littéraire.

37 % de ces étudiants étaient boursiers[24]. L'IEP de Rennes s'est, depuis plus de dix ans, préoccupé de démocratiser son recrutement. Ce fut d'abord par des partenariats avec des lycées bretons, entre autres le lycée Jean Guéhenno de Fougères qui créa une "mini-prépa" pour préparer le concours d'entrée à l'IEP de Rennes.

Avec la création du concours commun des six IEP en 2008, les politiques de démocratisation et égalité des chances propre à chacun des IEP partenaires ont perduré mais un programme commun de préparation au concours des six IEP, à destination des élèves aux revenus modestes ne permettant pas l'inscription à une prépa privée, a vu le jour : l'IEPI (programme d'études intégrées). L'IEPI propose à des étudiants boursiers une préparation gratuite au concours commun[25].

Chaque année, environ la moitié des étudiants admis en première année ont passé une année en classe préparatoire aux grandes écoles.

En 2014, les IEP du concours commun ont ouvert quatre centres de concours à l'international, à Casablanca, à Bangkok, à Bogota, et à Shanghaï, l'ouverture de ces centres offrant aux candidats étrangers l'accès à un concours d'entrée local, évitant les contraintes d'un déplacement en France métropolitaine[26].

Scolarité

modifier
 
Façade de l'Institut d’études politiques de Rennes.

Depuis l'application du processus de Bologne (réforme LMD) en 2005, le cursus Sciences Po Rennes se déroule en cinq ans. L'apprentissage d'au moins deux langues vivantes est obligatoire pour tous les élèves.

Premier cycle : acquisition des fondamentaux

modifier

La première année du cursus permet aux élèves de maîtriser un socle commun de connaissances pluridisciplinaires. Les cours se répartissent comme suit :

  • Premier semestre : histoire du droit constitutionnel, histoire politique de la France, introduction au droit aux institutions, histoire des idées politiques, relations internationales, science politique et économie.
  • Second semestre : droit constitutionnel, histoire politique de la France, gestion, grands enjeux, économie.

La deuxième année du cursus se traduit par un approfondissement du tronc commun « Sciences Po » (60 % des enseignements) et par une première spécialisation (40 % des enseignements). Une partie des étudiants effectue la deuxième année du cursus au campus de Caen.

Sur les deux campus, le tronc commun demeure interdisciplinaire. Les choix des étudiants les amènent à approfondir des facettes du cursus et de nombreuses options facultatives sont accessibles.

Le tronc commun de deuxième année est composé comme suit :

  • Premier semestre : droit privé, analyse macroéconomique, histoire de l'empire ottoman, institutions de l'Union Européenne et sociologie des territoires, anglais et langue vivante obligatoire
  • Second semestre : histoire des relations européennes, politiques économiques, sociologie de l'action publique, anglais et langue vivante obligatoire.

La troisième année est obligatoirement internationale :

La troisième année se conclut par un stage obligatoire d'une durée minimale de six semaines.

Second cycle : professionnalisation

modifier

La quatrième année (M1) est axée autour d'un tronc commun en économie, histoire, science politique et droit. La majorité des enseignements sont constitués par la vingtaine de cours électifs. L'objectif est de permettre aux élèves de se constituer des champs de compétence spécifiques. Des séminaires et cours de section sont enfin l'occasion d'approfondir plus en détail une thématique et donnent lieu à la rédaction d'un mémoire.

La cinquième et dernière année est celle du master. À la rentrée 2021, l'Institut d'études politiques de Rennes propose seize masters[29] et sept parcours en partenariat:

  • École des politiques publiques - master politiques publiques (en partenariat avec l'ENS Rennes)
    • Administrations publiques
    • Analyse des problèmes publics
    • Sécurité, défense et intelligence stratégique (SE-DEFIS)
    • Gouverner les mutations territoriales
    • Concertation et territoires en transition (Campus de Caen)
    • Services urbains en réseaux : ville en devenir
    • Jugements et autorité publique
    • Enseignement, droit, économie, management
  • École du management des organisations (en alternance)
    • Management des organisations et des projets
    • Management des risques et de la qualité
    • Management de projets en énergies renouvelables (anciennement Terre et Mer)
  • École de journalisme
    • Journalisme : reportage et enquête
    • Développement du journalisme en innovation numérique - Hack médias
  • École des affaires internationales
    • Multilevel government and international relations (MUGIR) en double-diplôme avec l'Université d'Aston de Birmingham
    • Europe et affaires mondiales (EAM) en double-diplôme avec l'université de Rennes 1
    • Parcours nordique : Stratégies innovantes des territoires urbains : anticiper les transitions (campus de Caen)
  • Parcours en partenariat (double-diplôme)
    • Relations internationales, mondialisations et interculturalités (université de Rennes 2)
    • Maîtrise d'ouvrage urbaine et immobilière (université de Rennes 2)
    • Pilotage des politiques et actions de santé publique (EHESP)
    • Économie appliquée : agriculture, mer, environnement (Agrocampus)
    • Agrosciences, environnement, territoires, paysages (Agrocampus)
    • Institut de préparation à l'administration générale (IPAG)
    • Audencia (Grande école de commerce de Nantes)

Le centre de préparation à l'ÉNA prépare aux concours externe et interne d'entrée à l'École nationale d'administration[30]. Entre trois et huit étudiants sont admis chaque année, soit un taux de réussite compris entre 15 % et 20 %. Ce centre de préparation permet également d'intégrer l’Institut national des études territoriales (INET) de Strasbourg, l’École des hautes études en santé publique (EHESP) de Rennes, ou encore l'École nationale de la magistrature (ENM) de Bordeaux[31].

Par ailleurs, les sept instituts d'études politiques du concours commun mutualisent[32] leur offre de masters en cinquième année, soit un panel d'une centaine de formations.

Cursus franco-allemand

modifier

L'IEP de Rennes et l'Université catholique d'Eichstätt-Ingolstadt proposent depuis l'année 2003[33] un double cursus franco-allemand, sous l'égide de l'Université franco-allemande[34], permettant de délivrer un double diplôme : « Sciences Po Rennes & Master de science politique de l'Université catholique d'Eichstätt-Ingolstadt »[35]. La première promotion d'étudiants du double cursus Eichstätt-Rennes est sortie en 2007.

Filière ingénieur INSA Sciences Po

modifier

Depuis l'année scolaire 2018/2019, l'Institut d'Études Politiques de Rennes propose un double-diplôme en 6 ans avec une école d'ingénieur, l'INSA Rennes. Les étudiants de cette filière pluridisciplinaire suivent ainsi des cours dans les deux établissements, via un parcours aménagé.

Doctorants

modifier

Le Centre de recherches sur l'action politique en Europe (CRAPE), laboratoire pluridisciplinaire (sciences politiques, sociologie, sciences de l'information et de la communication, histoire contemporaine) de Sciences Po Rennes, accueille une quarantaine de doctorants chaque année[36]. Il fait partie du groupement d'intérêt scientifique Marsouin.

Le CRESS-Lessor, laboratoire d'économie, droit et gestion, en accueille pour sa part une dizaine chaque année.

Bibliothèque

modifier

L'IEP de Rennes comporte dans ses locaux une bibliothèque créée en 1991 et qui porte le nom de Jacques Fauvet, ancien directeur du journal Le Monde qui a fait don au centre de documentation d'une grande partie de ses fonds personnels. Le centre Jacques Fauvet est abonné à près de 350 revues et abrite plus de 60 000 ouvrages. Il est par ailleurs membre du service commun de documentation rennais.

Au cœur de la bibliothèque trône encore un chêne planté par les élèves de l'École normale en 1889 pour célébrer le premier centenaire de la Révolution française.

Recherche

modifier

Sciences Po Rennes possède un centre de recherche associé au CNRS : le laboratoire Arènes - UMR CNRS 6051 (ancien Centre de recherches sur l'action politique en Europe), dirigé par Sylvie Ollitrault[37].

L'IEP est par ailleurs associé au laboratoire d'économie et de science sociale de Rennes (CRESS-Lessor), rattaché à l'Université de Rennes 2 et associé à l'université de Rennes 1.

Personnalités liées à Sciences Po Rennes

modifier

Enseignants

modifier

Élèves

modifier

Sciences Po Rennes compte notamment parmi ses anciens élèves Nathalie Appéré[38], maire de Rennes, la député Laurence Gayte, le politologue breton Romain Pasquier, l’analyste politique français Jérôme Fourquet, prix du livre politique 2019 ou encore le journaliste Yaël Goosz.

Vie associative

modifier

Une vingtaine d'associations animent la vie de l'Institut. Elles permettent aux étudiants de prendre part à des simulations de négociations internationales (BATNA), d'avoir des pratiques artistiques (Bureau des Arts) ou sportives (Bureau des Sports),d'aider à l'intégration des étudiants étrangers (Zéphyr), d'assister à des joutes oratoires (Le Chapitre) ou à des simulations parlementaires (Parlement des Etudiants)[39].

Identité visuelle

modifier

L'IEP s'est doté d'un logo à sa création en se basant sur l'architecture de son bâtiment. La porte principale de l'ancienne école normale sert jusqu'en 2010 de base aux différentes déclinaisons de son logo.[réf. souhaitée]

Notes et références

modifier
  1. Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche, « Décret n° 2022-1474 du 24 novembre 2022 portant création de l'Université de Rennes et approbation de ses statuts »  , sur www.legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  2. Olivier Berrezai, « Nouvelle université de Rennes : « un passeport vers l’international » », sur ouest-france.fr,
  3. Décret n° 91-562 du 13 juin 1991 portant création des instituts d'études politiques de Lille et de Rennes et complétant le décret n° 89-901 du 18 décembre 1989 relatif aux instituts d'études politiques, publié au Journal officiel de la République française du 19 juin 1991, p. 7936
  4. Richard Descoings, Sciences Po: de la Courneuve à Shanghai, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, (ISBN 978-2-7246-0990-5, OCLC ocm86113501, lire en ligne)
  5. (fr) Isabelle Barbedor, « Ancienne école normale d'institutrices, actuellement Institut d'études politiques », sur patrimoine.region-bretagne.fr,
  6. Décret n°89-901 du 18 décembre 1989 relatif aux instituts d'études politiques sur www.legifrance.gouv.fr et Décret n°89-902 du relatif aux instituts d'études politiques dotés d'un statut d'établissement public administratif rattachés à une université sur www.legifrance.gouv.fr
  7. a b et c Camille Stromboni, « Patrick Le Floch (directeur de Sciences po Rennes) : "Il y a une recomposition de l’enseignement supérieur, et nous devons être offensif" », sur Educpro,
  8. a et b Joël Bigorgne, « Sciences Po : polémique entre Rennes et Nantes », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  9. (fr) « Sciences Po Rennes s’installerait à Caen en 2012 », sur ouest-france.fr,
  10. « L'antenne de Caen », sur sciencespo-rennes.fr via Wikiwix (consulté le ).
  11. « Caen-la-Mer : que vont devenir les anciens locaux ? », Ouest-France, édition de Caen, 30 janvier 2014
  12. (fr) « Fiche personnalité : Tanneguy Larzul », sur educpros.fr (consulté le )
  13. (fr) « Fiche personnalité : Erik Neveu », sur www.crape.univ-rennes1.fr (consulté le )
  14. (fr) [http:/www.sciencespo-rennes.fr/accueil//tout%20le%20sitedecouverte-de-l-institut/le-mot-du-directeur/une-nouvelle-direction-pour-l-iep-de-rennes/var/lang/FR/rub/6759/cat/6882/view/afficher_article_complet/textes/8168.html « Une nouvelle direction pour l'IEP de Rennes »] sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 17 juin 2009
  15. « Pablo Diaz élu à la direction de Sciences Po Rennes », Ouest France,
  16. Christian Bougeard, « In memoriam Michel Denis (1931-2007) », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest. Anjou. Maine. Poitou-Charente. Touraine, nos 114-4,‎ , p. 7–9 (ISSN 0399-0826, DOI 10.4000/abpo.451, lire en ligne, consulté le )
  17. (fr) « Patrick Le Floch élu directeur de l’IEP de Rennes », sur educpros.fr, (consulté le )
  18. « Gilles Richard : Les droites françaises, pluralité et actualité - Sciences Po Rennes », sur www.sciencespo-rennes.fr (consulté le )
  19. « Rencontre avec Pablo Diaz, directeur de Sciences Po Rennes », sur Planete Grandes Ecoles, (consulté le )
  20. « Organigramme - Sciences Po Rennes », sur www.sciencespo-rennes.fr (consulté le )
  21. (fr) « Hexa succès... » (mot du Directeur) sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes,
  22. Paul-Henri Wallet, « Sciences Po: quels sont les IEP les plus sélectifs? », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  23. (fr) [PDF] « Communiqué de presse : un seul concours pour six instituts »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur le site internet de l'Institut d'études politiques de Toulouse,
  24. « Banc d’essai des IEP : pourquoi choisir Sciences po Rennes », sur Letudiant.fr (consulté le ).
  25. « Démocratisation de l'accès aux grandes écoles », sur sciencespo-rennes.fr via Wikiwix (consulté le ).
  26. http://www.sciencespo-concourscommuns.fr/les-iep-des-concours-communs-62
  27. (fr) « Un institut aux couleurs internationales » sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 8 mars 2009
  28. (fr) [image] « Partenariats internationaux » sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 8 mars 2009
  29. « Masters de Rennes - Sciences Po Rennes », sur www.sciencespo-rennes.fr (consulté le )
  30. (fr) « Le Centre de Préparation à l'ENA » sur le site d'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 5 mai 2009
  31. (fr) [PDF] « Centre de Préparation à l’ENA de Rennes : Réussite aux concours de 2000 à 2008 » sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 8 mars 2009
  32. (fr) [PDF] « Offre Master et 5e année » sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 8 mars 2009
  33. (fr) « Guide d'études - Double cursus intégré franco-allemand en sciences politiques de l'Université catholique d'Eichstätt-Ingolstadt et de l'Institut d'études politiques de Rennes » sur le site officiel du double cursus, avril 2008, p. 3, consulté le 22 février 2010
  34. (de) « Delegation aus Rennes zu Gast », Eichstätter Kurier,‎ (lire en ligne)
  35. (fr) « Double cursus franco-allemand » sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 26 avril 2009
  36. (fr) « Centre de Recherche sur l'Action Politique en Europe » sur le site officiel de l'Institut d'études politiques de Rennes, consulté le 8 mars 2009
  37. « Organisation de l'unité », sur Arènes - UMR CNRS 6051 | Université Rennes 1 - CNRS - EHESP - IEP Rennes | (consulté le )
  38. « Nathalie Appéré, maire de Rennes, brillante ancienne élève de Sciences Po Rennes », sur Ouest-France, Ouest-France, (consulté le )
  39. « Les associations - Sciences Po Rennes », sur www.sciencespo-rennes.fr (consulté le )

Annexes

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier