Homblières

commune française du département de l'Aisne

Homblières est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Homblières
Homblières
La mairie.
Blason de Homblières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Francine Gomel
2020-2026
Code postal 02720
Code commune 02383
Démographie
Population
municipale
1 433 hab. (2021 en évolution de −3,24 % par rapport à 2015)
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 02″ nord, 3° 21′ 55″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 135 m
Superficie 14,29 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Quentin-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Homblières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Homblières
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Homblières
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Homblières

Géographie

modifier

Situation

modifier
Représentations cartographiques de la commune
 
  Mairie
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique.

Communes limitrophes

modifier

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par Muid Proyard[Carte 1].

 
Réseau hydrographique d'Homblières[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[1].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Homblières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), zones urbanisées (7,8 %), forêts (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %)[12].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Altare Sancti-Stephani que est in villa Humolarias (947) ; Humolariæ (948) ; Cella Humolariensis (959) ; Villa Sancte-Marie Humolaris (XIe siècle) ; Humblerie (1135) ; Umbleres (1160) ; Homblarie (1188) ; Hombelieres (1233) ; Honblières (1234) ; Humblires (1257) ; Humbleries (XIIIe siècle) ; Homblires (1339)[13].

De l'oïl *omble et du suffixe -ière au pluriel : « houblonnières »[14], une « plantation de houblon »[15].

Histoire

modifier

C'est au presbytère d'Homblières que fut reçue le la délégation allemande venue pour négocier l'armistice par des officiers français[16] et être entrée au contact des lignes françaises à La Capelle. Ce point de passage avait été communiqué aux autorités allemandes après leur demande d'ouvrir des négociations.

La délégation sera ensuite convoyée à Tergnier en voiture où les attendait un train spécial qui les amena jusqu'au lieu connu maintenant sous le nom de clairière de Rethondes dans la forêt de Compiègne où se déroula la négociation et la signature de l'armistice le .

Politique et administration

modifier
 
La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Simon avant d'être transférée en 1923 dans le canton de Saint-Quentin. Celui-ci a été scindé par décret du et la commune rattachée au canton de Saint-Quentin-Sud[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Saint-Quentin-3.

Intercommunalité

modifier

La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le , rassemblant à l'origine 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[18].

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du [19] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[20].

Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[21].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Fernand Odant[22] socialiste Brodeur et apiculteur[23]
1901   Eugène Lobry   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Philippe Brasset UDF Agriculteur
mars 2008 avril 2014 Bernadette Bleuse[24]    
avril 2014[25],[26] mzi 2020 Hughes Van Maele DVD Agriculteur
mai 2020[27] En cours
(au 28 mai 2020)
Francine Gomel    

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 1 433 habitants[Note 3], en évolution de −3,24 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8138158398849281 0661 1151 2401 244
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2761 3081 2621 1581 2691 1921 1161 2171 209
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1511 1151 066726742759712679750
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8208919151 2231 4951 4621 4391 4991 470
2021 - - - - - - - -
1 433--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • Église Saint-Étienne.
  • Monument aux morts commémorant la guerre de 1870 et monument commémorant les guerres du XXe siècle.
  • Presbytère (lieu où dînèrent les plénipotentiaires allemands le ).
  • Parc de l'abbaye Sainte-Hunegonde.
  • Porche de l'abbaye (seul vestige de l'édifice).
  • Statue de sainte Hunegonde.
  • Croix de 1898.

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Pia Colombo (1934-1986), chanteuse et comédienne, épouse du chanteur Maurice Fanon, est née et décédée à Homblières ;
  • Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil (1674-1754), abbé d'Homblières ;
  • Jean-Louis Bruneaux, industriel ardennais, né le 30 brumaire an IV () à Homblières, fils de l'instituteur, il n'a pas vingt ans lorsqu'il devient « ...contremaître de la fabrique en coton de monsieur Abraham Dumez maire de cette commune... » quelques années plus tard il part faire fortune à Rethel (Ardennes)... En attendant une biographie, suivre le lien Vassy-sous-Pisy (Yonne) ;
  • Jules Eugène Rondeaux (1871-1935), directeur d'école à Homblières et secrétaire de la mairie. L'école primaire de la commune porte son nom depuis 2016[31].

Héraldique

modifier
  Blason
Échiqueté d'or et d'azur ; au chef d'azur chargé de cinq fleurs de lis d'or[32].
Détails
Les armes adoptées par la commune d'Homblières reprennent celles de l'abbaye[33]
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Homblières » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Homblières et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 141.
  14. Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1319.
  15. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, , p. 225.
  16. Informations présentées au Mémorial de l'Armistice, sur le site de la clairière de l'Armistice à Compiègne.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
  19. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
  20. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
  21. Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
  22. Maire pendant presque 40 ans. Démis de ses fonctions par l'État Français, il se réfugie dans le Cantal et redevient maire uniquement après la libération.
  23. Décoré du mérite agricole du fait de ses participations à des congrès et surtout des expositions en France et à l'étranger.
  24. « Bernadette Bleuse, ancienne maire d'Homblières, n'est plus : Première magistrate de la commune de 2008 à 2014, elle est décédée mercredi 17 novembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle a été élue pendant trois mandants successifs : première adjointe de 1995 à 2008 aux côtés du maire Philippe Brasset et maire de 2008 à 2014 ».
  25. « Homblières : Hugues Van Maële veut succéder à Bernadette Bleuse : Élu au conseil municipal en 1995, adjoint au maire depuis 2003, Hugues Van Maële est à la tête de la liste « Ensemble pour Homblières » puisque Bernadette Bleuse, maire, ne brigue pas un nouveau mandat », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
  26. « Homblières : Hugues Van Maële a ceint son écharpe tricolore : Après avoir effectué un mandat de maire, Bernadette Bleuse ne s'est pas représentée aux suffrages des électeurs », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
  27. « Francine Gomel reçoit l'écharpe de maire à Homblières », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Francine Gomel, enfant du village, a été élue maire de la commune d'Homblières ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Homblières : hommage à Jules Eugène Rondeaux », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne) « Directeur d'école né à Parfondru en 1871 et nommé instituteur à Homblières en 1913, où il a aussi assuré les fonctions de secrétaire de mairie. Jules Eugène Rondeaux a assisté à l'arrivée des Allemands et a secondé au mieux le maire, Augustin Evrard, durant cette période difficile. (...) Sur décision des autorités allemandes, il a été obligé de quitter Homblières en avril 1917. Il n'y est revenu que le 1er septembre 1919. Jules Eugène Rondeaux décède à Homblières le 16 janvier 1935 à 64 ans ».
  32. « 02383 Homblières (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  33. Armorial de l'Église de France de Jacques Meurgey page 19