Hitomi Kobayashi (小林ひとみ, Kobayashi Hitomi est une des plus importantes et plus anciennes idoles de la vidéo pour adultes. Elle est une figure emblématique de la vidéo réservée aux adultes[5]. Le Mainichi Shimbun l'a baptisée « une des icônes de l'histoire du film pour adultes au Japon »[4]. Sa popularité sans précédent vers le milieu des années 1990, premiers temps de la vidéo pour adultes au Japon, lui a conféré le titre de "reine de la VA"[6],[7],[8],[9].

Hitomi Kobayashi[1],[2].
Description de cette image, également commentée ci-après
Hitomi Kobayashi (1963-)
Alias
Kaori Matsumoto[3].
Naissance (61 ans)
Tokyo, Japon
Nationalité Drapeau du Japon Japonaise
Profession
Conjoint
Toshifumi Yuzawa
Caractéristiques physiques
Taille 1,51
Yeux Marron
Cheveux Bruns
Carrière
Années d’activité 1986-2003
Films notables
70 films environ[4]

Un journaliste du Shukan Shincho écrit à son sujet : « She laid the foundations for the golden age of adult video »[10],[11]

Après avoir fait ses débuts dans des albums photos et les « vidéo-images » non pornographiques, Kobayashi commence à tourner des films pornographiques en 1986[4]. En raison de sa popularité rapidement grandissante, la firme Nikkatsu[12], alors le principal acteur de la pornographie "rose" (comparativement au "hard"), l'embauche dès 1987[9].

Après son mariage, elle s'éloigne de l'industrie pornographique au début de l'année 1989 puis y revient à plein temps en 1998. Elle fait ses adieux définitifs à ses spectateurs (en 2003) par la publication d'un volume double de DVD d'ailleurs très controversé[13]

Biographie

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D'après son site officiel, elle serait née le à Tokyo, Japon sous le patronyme de Yukari Ishii (石井ゆかり, Ishii Yukari)[14]. Cependant, lors de l'interview qu'elle a donnée au Weekly Post (週刊ポスト) peu avant son retrait de la scène en 2003, elle serait née en 1963[15].

Son ambition depuis l'enfance, est d'être actrice. Elle suit des cours d'art dramatique et s'inscrit dans une agence de recrutement[4].

Kobayashi n'est pas particulièrement précoce sur le plan sexuel. À ses débuts, elle affirme : « I lost my virginity at 18, which is probably a bit late, and I wasn't very experienced with men »[16],[4]. Ce relatif manque d'expérience est visible dans quasiment toutes ses scènes de sexe qui sont simulées sauf dans son avant-dernière vidéo[17]. Même en fin de carrière, l'attitude de Kobayashi vis-à-vis du sexe reste pudique. Interviewée sur le sujet à l'époque de ses adieux, elle répond : « I love sex. But, just because I'm an AV actress, it doesn't mean I'm brim-filled with experience. I've done orgy movies, and lesbian scenes and loads of abnormal stuff, but the world of videos isn't a real world. My normal life is really plain. I couldn't imagine having sex anywhere other than in bed and taking part in an orgy would be unthinkable. I'm happy enough with just the missionary position. »[18],[4].

Carrière

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Kobayashi débute sous le pseudonyme de Kaori Matsumoto (松本かおり, Matsumoto Kaori) au mois de avec un album photos et une vidéo-image (DVD formé par l'enchainement de multiples images fixes) non pornographiques, tous deux intitulés Pounding: 19-year-old Kaori (ときめき・かおり19歳, Tokimeki: Kaori Jukyusai)[3]. Quoi qu'il en soit, malgré ces deux publications, elle pense que sa carrière n'aboutira à rien[4].

La débutante

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Peu de temps après ses débuts non pornographies, une occasion se présente à elle. Elle dit : « I got this offer to do a movie called Kinjirareta Kankei (Forbidden Relationship). I was told there were nude and love scenes, but nothing steamier than any ordinary movie »[19],[4]. Profondément choquée lorsqu'elle découvre qu'il s'agit d'un film pornographique, elle est tout d'abord réticente. Après avoir longuement discuté avec son agent elle accepte finalement de tourner à la seule condition que les scènes de sexe soient simulées. Elle prend le nom de Hitomi Kobayashi. La vidéo connaît un succès surprenant. Cinquante mille copies sont vendues en quelques mois[4]. Son étonnante popularité la propulse en tête des actrices les plus connues de ce milieu des années 1990 et, peu de temps après ses débuts, elle est désignée comme « la Reine de la Vidéo pour Adultes »[6].

La censure japonaise, interdisant de montrer les organes sexuels[20], permet à Kobayashi de maintenir son exigence à tourner uniquement des scènes de sexe simulées pendant toute sa carrière. Elle considère que ses films sont une autre façon de jouer la comédie et invente différentes techniques donnant l'impression de scène de sexe bien réelles. Elle dit par exemple: « I used to get the directors to tickle my feet and then tried not to laugh so it looked as though I was climaxing. »[21],[4]. Sa carrière est en danger lorsqu'une vidéo pirate non censurée s'est mise à circuler révélant parfaitement que « la Reine de la vidéo pornographique » ne pratiquait pas réellement. Kobayashi a peur que ses admirateurs ne l'abandonnent. Ces craintes ne sont cependant pas fondées et sa popularité reste malgré tout intacte.

L'actrice confirmée

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En 1987, la popularité de Kobayashi lui a déjà conféré le titre de « Reine de la Vidéo pour Adultes »[9].

Nikkatsu, en tête des publications pornographique "roses" depuis le début de ses séries Roman Porno en 1971, perd rapidement de l'audience. Bien que ses studios aient publiquement condamné les vidéos pornographiques "dures" depuis des années et dans l'espoir de récupérer des admirateurs de Kobayashi, Nikkatsu embauche la Reine de la Vidéo réservée aux Adultes pour paraître dans ses propres productions.

La première, Hitomi Kobayashi's Secret Pleasure (小林ひとみ 奥戯快感 艶, Kobayashi Hitomi ougi kaikan: tsuya) paraît en Janvier 1987. Thomas and Yuko Mihara Weisser, dans leur Japanese Cinema Encyclopedia: The Sex Films (Encyclopédie du cinéma japonais: les films pornographiques), jugent le film comme étant à peine plus pornographique qu'un le Spécial Lingerie de Playboy ou de Penthouse.

La seconde vidéo, Hitomi Kobayashi's Heavy Petting (ハード・ペッティング, Hard Petting), publiée au mois de mars 1987, fait partie de la nouvelle série Roman X de Nikkatsu. Elle est supposée être plus "hard" que la précédente série Roman Porno. En fait, la prohibition des orgenes génitaux à l'écran, rend cette vidéo, censée être "hard", plutôt futile, jusqu'à ce que Donald Richie[22], l'insère dans son essai d'avant-garde et le classe en tant que "film rose" car "aucune des parties [génitales] en action ne sont montrées"[23].

Les deux vidéos n'ont été appréciées ni par les admirateurs de l'artiste ni par les critiques qui leur ont préféré les anciens Roman Porno de Nikkatsu.

La troisième vidéo de cette série, Hitomi Kobayashi's Young Girl Story (小林ひとみの令嬢物語, Kobayashi Hitomi no reijo monogatari), mise sur le marché le , est plus proche de l'ancien style de Nikkatsu. Mais elle arrive trop tard pour les studios qui ont arrêté la production des Roman Porno en 1988 et se déclarent en faillite en 1993[24].

En 1987, au sommet de sa carrière, Kobayashi épouse Toshifumi Yuzawa qui deviendra ultérieurement le Président directeur de l'agence qui recrute pour le compte de l'actrice[13]. Dès 1989, la comédienne cesse alors de se produire pendant quelques années pour se consacrer à sa famille. Tout au long de ces années, elle ne s'est jamais officiellement retirée de l'industrie pornographique, n'a jamais totalement arrêté de se produire dans les vidéos pour adultes, et a même travaillé occasionnellement comme stripteaseuse[15]. En 1988, elle tient le rôle principal de Evil Dead Trap (死霊の罠, Shiryo no wana). Pour All Movie Guide[25], le film "est malsain mais captivant"[26]. Le critique et auteur Patrick Galloway juge le film « ...nothing short of a multicultural terror tour de force, featuring gruesome, brilliantly rendered sound and imagery that will stay with you to your last dying gasp. »[27],[28]. Écrit par Takashi Ishii et réalisé par Toshiharu Ikeda, le film a inspiré deux suites[26]. Home Video qui a commandité le film souhaite mettre en avant Kobayashi - leur étoile de la vidéo pour adultes à cette époque- dans le rôle principal. Le réalisateur Ikeda, doutant des talents de comédienne de Kobayashi, installe Miyuki Ono dans le rôle principal de Nami et donne le second rôle de Rei à Kobayashi. Les scènes de sexe interprétées par Kobayashi sont, pour les puristes des films d'épouvante, un élément qui empêche le film d'accéder aux normes du genre. Cependant, Galloway, estime pour sa part, que Evil Dead Trap n'est pas un film d'épouvante mais un film transcendantal. Galloway, commente les scènes de sexe dans ces termes : « Ikeda handles the steamy segments like a pro, coming as he did from Nikkatsu, where he honed his craft making the studio's signature roman porno (romantic pornography). »[29],[30].

Kobayashi interprète, pour la toute première fois, deux "films roses" en 1996 et 1997 sous la direction de Satoru Kobayashi, réalisateur de Flesh Market (1992), le premier de tous les « films roses »[31]. En 1997 elle incarne une actrice fictive du cinéma pornographique, Mizuki Mahoro. Il s'agit d'une histoire plus ou moins autobiographique parue dans le V-cinema sous le titre Destroying Mosaic (モザイク崩し)[32].

Kobayashi revient au cinéma pornographique en avec la vidéo Love Bond encore connue sous le titre de Immoral Bonds[33].

La femme mûre[34]

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Dix ans après ses débuts, Kobayashi est maintenant une « femme arrivée à maturité ». Ses vidéos tournées dans le milieu des années 1990 reflètent ce nouveau statut[35].

L'actrice tient le rôle d'une femme qui s'adonne à l'inceste avec ses trois beaux-fils dans la vidéo Madame Throat parue en [36].

Sa première vidéo tournée sur un mode documentaire (alors à la mode dans les films pornographiques)[37],[38],[39],[40],[41] est intitulée Extreme Privacy ()[42].

Au mois de décembre, paraît Nasty Female Teacher, une autre vidéo de pure fiction filmée par un réalisateur utilisant le pseudonyme de Hattori Hanzo. Kobayashi y paraît sous les traits d'une enseignante dans une école de garçons[43].

Kobayashi travaille toujours au début du nouveau millénaire pour satisfaire « une nouvelle génération de 'mecs' avec une vidéo faite d'une suite de contes variés » KUKI DVD Buyer Boy 01[44].

Dans la première des trois vidéos composant la série Stimulant, Stimulant: Doctor Hitomi Kobayashi, elle tient le rôle d'un psychiatre qui administre "des traitements drastiques à des patients impuissants"[45].

Dans une autre vidéo tournée après son retour à la scène, elle est successivement une espionne[46], un ange[47], une enseignante séductrice[48] et enfin, une maîtresse de maison au passé, soigneusement caché, de lesbienne[49].

Kobayashi fait équipe avec Kyōko Aizome, une autre actrice importante du film pornographique[50], dans Kyôko Aizome vs. Hitomi Kobayashi: Sexual Excitement Competition (愛染恭子VS小林ひとみ 発情くらべ)[32] paru en Février 2001 sous le label Excess Filmsdes studios Nikkatsu devenus distributeurs de pornographie après leur série Roman Porno[51],[52].

Les deux actrices de légende tournent encore ensemble Lesbian Wives au mois de mars 2001 et à nouveau sous la direction d'Aizome. Kobayashi et Aizome interprètent le rôle de deux femmes de yakuzas qui s'adonnent à des relations lesbiennes[53].

Cette même année, Kobayashi et son mari ouvrent une boîte de nuit dans le quartier de Roppongi[4].

Le point final

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Dans une industrie au sein de laquelle la durée moyenne d'une carrière est de un an avec une production de cinq à dix vidéos[54], en 2003, Kobayashi a travaillé dans le domaine du film pornographique pendant dix ans et demie et a tourné environ 70 films[4]. Les 39 vidéos dans lesquelles elle est la vedette se sont vendues à plus de 600 000 copies. Elle a gagné environ 6 milliards de yens[11].

Au sujet de sa carrière dans le film pornographique, Kobayashi affirme : « I'm delighted to have led a career where I would be elevated to being called 'AV Queen,' as well as to have lasted in the business until I turned 40. »[55],[4]

Souhaitant se retirer de la scène avec brio, Kobayashi et son mari/impresario contactent des commanditaires en vue d'une dernière vidéo comprenant deux volumes pour une durée totale de deux heures et demie. Kobayashi cherche 35 investisseurs qui contribueraient à hauteur de 500 000 yens chacun pour avoir le privilège d'un dîner avec elle, de voir leur nom apparaître dans le générique et d'assister à une projection privée de la vidéo[11]. Celle-ci paraît sous le titre Hitomi Kobayashi FINAL - Disc1 () et Disc2 ()[14]. La première moitié de l'œuvre s'intitule Nostalgic. Elle contient des extraits de vidéos tournées dans le tout début de sa carrière[56]. Le second volume, intitulé Love, est lancé en disant qu'il contient le premier et dernier rapport non simulé de l'actrice à l'écran[57].

Une controverse a suivi la parution de la vidéo lorsque certains investisseurs ont déclaré qu'on leur avait promis des dividendes alors qu'il n'en ont touché aucun. Il a été dit que si Kobayashi a bien trouvé 50 investisseurs pour son projet, son mari aurait utilisé l'argent pour rembourser des créances personnelles ainsi que pour des loisirs sans rapport avec le film. Une communication insuffisante avec les investisseurs, la fermeture du site web concernant le film, le changement répété du nom du producteur et la permanente modification des comptes permettant de savoir si le film a fait des profits ou pas, ont poussé les investisseurs à déposer une plainte[13].

En 2004, Kobayashi travaille toujours comme hôtesse dans sa boîte de nuit à Roppongi[13].

Filmographie

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Vidéos

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Titre du film[58]. Producteur Réalisateur Parution
Pounding: 19-year-old Kaori
ときめき・かおり19歳
Tokimeki: Kaori Jukyusai
debut (non-pornographique)[3]
Docks
ダックス
Prohibited Relations
禁じられた関係
Kinjirareta Kankei
debut (non pornographique)
VIP
色情 VIP
瓶詰め地獄 Nikkatsu
お口に誘って Shintōhō
溺愛 BLIDED LOVE VIP
見られたいの 現映社
天使の唇 Shintōhō
ミルキーデビル邪夢猫 Alice Japan
燃えつきるまで VIP
夢で逢えたらアイドルクイーン SHOWA
ミステリークイーン恋の異星人 シャリオ
さよならの前に ホップ
ひとみ先生のクライマックスは御一緒に Shintōhō
本番深くうめて Five Star
本番深くうめて 2 Five Star 1987
みだらな瞳 Phoenix
性獣トライアングル~暴かれたハネムーン~ Alice Japan
夢犯恋人 JVD
悪女 Shintōhō
下半身の女 スリーパーツ
Sexy Violence
セクシーバイオレンス
Alice Japan
ロックビートは危険な囁き SHOWA 1987
奥戯快感 艶 Nikkatsu
魔性 Shintōhō
Midnight Call
に乱れて
Nikkatsu
桃色情交 スリーパーツ
挑発/深くうめて3 Five Star
挑発/深くうめて3 Five Star
Zoom Up Special
ズームアップ・スペシャル
Alice Japan Kazuhito Kuramoto
The Bible
ザ・バイブル
Alice Japan Kazuhito Kuramoto
Sex Triangle vol.2
性獣トライアングル2
Alice Japan Sho Sasaki
Zoom Up All Stars
ZOOM UPオールスターズ
Alice Japan Kazuhito Kuramoto
La Valse
ラ・ヴァルス
La valuse: watashi bokosaremashita
KUKI
Sucking Lady
もろなめ夫人
Alice Japan Yuhojin
Cock Sucking Lady
いもしゃぶり夫人
Alice Japan Yuhojin
Alice Memories Vol. 1
アリスメモリーズ Vol.1
Alice Japan
Immoral Bonds
背徳の絆
KUKI
Topaz
トパーズ
KUKI
Video CD Special Vol 15
ビデオCDスペシャル15
KUKI
Immoral Baptism
背徳の洗礼
KUKI Shusaku Mizutani
Immoral Bonds
背徳の絆
KUKI Shusaku Mizutani
Madame Throat Deep Spot
マダムスロート奥の淫
KUKI Gasbel
Neo Video CD Special Vol.1
NEOビデオCDスペシャル01
KUKI
Big Tits Tank Angels 6
乳TANKの天使たち6
KUKI Gregoru Shimizu
Madame Throat
マダムスロート
KUKI
Molesting Sexy Teachers
女教師痴漢調教
KUKI Makoto Taiga
Extreme Privacy
極私性
KUKI Gasbel VHS:
VCD:
Neo Video CD Special Vol.5
NEOビデオCDスペシャル05
KUKI
KUKI Best Actresses Vol. 11
KUKI人気女優BEST VOL.11
KUKI Toru Daikanyama
Nasty Female Teacher
女教師姦粘膜
KUKI Hanzo Hatori
Big Tits Tank Angels 7
乳TANKの天使たち7
KUKI JANGO
KUKI DVD Buyer Boy 01
KUKI DVD買うボーイ 01
KUKI
Stimulant: Doctor Hitomi Kobayashi
刺激療法
KUKI Gasbel
KUKI Best Collection Vol.4 KUKI
KUKI DVD Buyer Boy 03
KUKI DVD買うボーイ03
KUKI
Stimulant: Doctor Hitomi Kobayashi(3)
刺激療法女医
KUKI
Perfect Sniper
パーフェクト・スナイパー
KUKI Gasbel VHS:
DVD:
CRUSH KUKI Gasbel VHS:29 septembre, 2000
DVD:29 septembre, 2000
ATLAS MEGA-MIX vol.#2
アトラスMEGA-MIX II
Atlas21
Immoral Bonds
背徳の絆
KUKI
Hitomi Kobayashi Special: '98-'00 Complete Work
小林ひとみスペシャル
KUKI JANGO VHS:
Big Tits Tank Angels 8
乳TANKの天使たち 8
KUKI JANGO
Costume Play Royale
コスプレ ロワイヤル
KUKI JANGO
KUKI Best Collection VOL.4
KUKI Best COLLECTIONS VOL.4
KUKI JANGO
Lesbian Wives
極妻レズ
Alice Japan Kyoko Aizome VHS:
DVD:
Lesbian Love Juice
レズビアン 女汁
Alice Japan Eitaro Haga VHS:
DVD:
School Teacher
女教師歔く
MAX-A Eitaro Haga
BEST 4 Hours - Hitomi Kobayashi
BEST 4時間 小林ひとみ
Atlas21
Alice Japan 2002
アリスJAPAN2002
Alice Japan
Abnormal Privacy - Slave Secretary 37 Collect
Alice Japan 2002
アリスJAPAN2002
Alice Japan
Mother In-Law Soft On Demand (SOD)
Hitomi Kobayashi - BOX
小林ひとみ BOX
FINAL disc 1&2 & Picture Booklet
VIP Eitaro Haga
Hitomi Kobayashi FINAL - Disc1: Nostalgic
小林ひとみFINAL 上巻
VIP Eitaro Haga
Hitomi Kobayashi FINAL - Disc2: Love
小林ひとみFINAL 下巻
VIP Eitaro Haga
Best of the AV QUEEN
ベスト・オブ・ザ・AVクィーン
Atlas21
Uncut 4 Hours / Hitomi Kobayashi
ノーカット4時間!!小林ひとみ
Alice Japan
The 80's Greatest Idols TMA
Slave Secretary EX 3
奴隷秘書EX3
CineMagic Hirofumi Miyazaki
Tatsuo Hibino

Parutions théâtrales (partielles)

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  • The Petting (ザ・ペッティング, Za Pettingu) ().
  • Hitomi Kobayashi's Secret Pleasure (小林ひとみ 奥戯快感 艶, Kobayashi Hitomi ougi kaikan: tsuya ().
  • Hitomi Kobayashi's Heavy Petting (ハード・ペッティング, Hard Petting ().
  • Hitomi Kobayashi vs. (高杉レイ, Double Petting) (小林ひとみVS高杉レイ ダブルペッティング) ().
  • Hitomi Kobayashi's Young Girl Story (小林ひとみの令嬢物語, Kobayashi Hitomi no reijo monogatari ()
  • Sure-Fire Death 4: We Will Avenge You (Hissatsu 4: Urami harashimasu) (1987)
  • Evil Dead Trap (死霊の罠, Shiryo no wana ()
  • Guys Who Never Learn II (1988)
  • Kyoko Aizome vs. Hitomi Kobayashi: Sexual Excitement Competition, (愛染恭子VS小林ひとみ 発情くらべ) ()[59].

Magazines et albums photos (partiels)

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Liste des magazines dans lesquels pose Kobayashi[60]:


Heibon Punch (平凡パンチ)

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  • (as Kaori Matsumoto)
  • (4 pages)
  • (2 pages)
  • (4 pages)
  • (5 pages)
  • (5 pages)
  • (4 pages)
  • (6 pages)
  • (6 pages)
  • (5 pages)
  • (4 pages)


  • (5 pages)

Sukora (スコラ)

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  • (5 pages)
  • (6 pages)
  • (7 pages)
  • (2 pages)
  • (6 pages)
  • (5 pages)
  • (7 pages)
  • (5 pages)


Weekly Playboy (週刊プレイボーイ)

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  • (1 page)
  • (5 pages)
  • (Pinup)
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  • (Pinup)
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  • (3 pages)



  1. Données de l'Infobox tirées de: (en) « Hitomi (Hitomi Kobayashi) », AV Idol Directory (consulté le ).
  2. (ja) AV チャンネル 小林ひとみ 詳細情報
  3. a b et c (en) « 1986 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), AV 研究所 (AV Research Laboratory) (consulté le ).
  4. a b c d e f g h i j k l et m « Legs open way to 6 billion yen career », Mainichi Shimbun,, (consulté le )
  5. (en) « Topaz », AV Idol Directory (consulté le ) : « « We cannot talk about AV without her. She is a legend of AV. She is like a founder of the AV world »
    « Il est impossible de parler de la vidéo pour adultes sans elle. C'est une légende de la vidéo réservée aux adultes [(VA)]. Elle est la fondatrice de la VA. »
     »
    .
  6. a et b (en) « Legs open way to 6 billion yen career », Mainichi Shimbun, (consulté le )|extrait= « Astounding sales of her works in the formative years of the VHS era made her the ruler of the adult video world and led to her being dubbed as the 'AV Queen'. »
    « Les ventes étonnantes de ses films au début de la VA, à l'époque de la VHS, lui a permis d'imposer les règles qui encadrent le monde de la vidéo pour adultes et ont amené à la surnommer "la reine de la VA". »| Archivé le 07-01-2006.
  7. (en) « Hitomi Kobayashi FINAL Disc1: Nostalgic », AV Idol Directory (consulté le ) : « « Here comes the final works of AV Queen Hitomi Kobayashi. »
    « Voici l'œuvre finale de la reine Hitomi Kobayashi »
     »
    .
  8. (en) « Hitomi Kobayashi BOX », AV Idol Directory (consulté le ) : « « ...package DVD of the queen of Adult Video Hitomi Kobayashi... »
    « ...un ensemble de DVD de la Reine de la vidéo pour adultes Hitomi Kobayashi... »
     »
  9. a b et c Weisser, Thomas & Yuko Mihara, Japanese Cinema Encyclopedia : The Sex Films, Vital Books : Asian Cult Cinema Publications, 1998, Miami, p.222, , 637 p. (ISBN 978-1-889288-52-9 et 1-889288-52-7)|extrait= « ...the AV Queen Hitomi Kobayashi... ».
  10. « Elle a posé les bases pour l'âge d'or de la vidéo réservée aux adultes »
  11. a b et c (en) « Porno queen seeks investors plug as she goes out with a bang », Mainichi Shimbun, (consulté le ), Archivé le 07-01-2006
  12. Voir Chronologie de la vidéo réservée aux adultes au Japon
  13. a b c et d (en) « Porn star blows wads pumping out final flop », Mainichi Shimbun, (consulté le ), Archivé le 07-01-2006.
  14. a et b (en) « Hitomi (Hitomi Kobayashi) », AV Idol Directory (consulté le ).
  15. a et b (ja) 小林ひとみ (Kobayashi Hitomi).
  16. « J'ai perdu ma virginité à l'âge de 18 ans, ce qui est probablement un peu tard et je n'ai pas connu beaucoup d'aventures avec des hommes »
  17. (en) « Legs open way to 6 billion yen career », Mainichi Shimbun, (consulté le ) : « « I finally agreed to appear, but as long as the sex was only simulated. That's how my stance on never going all the way on film started. »
    « J'ai finalement accepté de tourner mais exclusivement tant que les scènes de sexe seraient simulées. C'est la raison pour laquelle mes positions ne durent jamais. »
     »
    .
  18. « J'aime le sexe. Mais, bien que je sois une actrice du film pornographique, cela ne veut pas dire que je déborde d'expérience. J'ai tourné des scènes d'orgie, des scènes lesbiennes, et des tas de trucs anormaux mais le monde de la vidéo est un monde à part. Ma vie est véritablement simple. Je n'aurais pas pu imaginer avoir des rapports sexuels ailleurs que dans un lit et prendre part à une orgie n'est même pas pensable. La position du missionnaire me suffit amplement. »
  19. « Jai saisi l'occasion de tourner un film intitulé Kinjirareta Kankei (Relations prohibées). On m'a bien dit qu'il y aurait des scènes de nudisme et d'amour, mais rien de plus chaud qu'un film ordinaire »
  20. (en) Schönherr, Johannes « Japanese AV - A Short Introduction », Midnight Eye, (consulté le ) |extrait=« ...Japanese porn has the problem that no genitals can be seen in the videos. They are all hidden behind pixels... »
    « ...La pornographie japonaise supporte le handicap que les organes génitaux ne peuvent pas être dévoilés dans les vidéos. Il faut qu'ils soient masqués par une pixellisation... ».
  21. « J'avais pour habitude de demander au réalisateur de chatouiller mes pieds et je m'empêchais de rire si bien que cela donnait l'impression que je jouissait. »
  22. Donald Richie (né en 1924) est l'auteur américain de plusieurs livres traitant des japonais et du cinéma japonais
  23. (en) Richie, Donald: A Lateral View: Essays on Culture and Style in Contemporary Japan, 1972 réédité en 1992, éditeur Stone Bridge Press, Berkeley, Californie, chapitre "The Japanese Eroduction", pages=156-169.
  24. (en) Macias, Patrick: TokyoScope: The Japanese Cult Film Companion, Cadence Books, San Francisco, 2001, Chapitre: Nikkatsu's Roman Porno, pages=187-188, (ISBN 1-56931-681-3)
  25. All Movie est une base de données cinématographiques concernant les acteurs et les films pour le cinéma et la télévision
  26. a et b (en) Firsching, Robert« Evil Dead Trap », [All Movie Guide] (consulté le ).
  27. « ...rien de moins qu'un tour de force de terreur multiculturelle, ayant pour caractéristique son côté macabre, mais avec un son et une image si brillants qu'ils vous poursuivront jusqu'à votre dernier souffle. »
  28. (en) Galloway, Patrick: Asia Shock: Horror and Dark Cinema from Japan, Korea, Hong Kong, and Thailand, Stone Bridge Press, Berkeley, Californie, 2006, Chapitre Evil Dead Trap: Shiryo no wana, pages=p.165, (ISBN 1-933330-12-0).
  29. « Ikeda manie les scènes brûlantes comme un pro. Il fait du Roman Porno (pornographie romantique) la signature des studios Nikkatsu. »
  30. Galloway, p.168.
  31. (ja) « 小林悟 (Kobayashi Satoru) » (consulté le ).
  32. a et b (ja) « 小林ひとみ (Kobayashi Hitomi) », Japanese Movie Database (consulté le ).
  33. (en) « Immoral Baptism », AV Idol Directory (consulté le ) : « « She made a come back in November with Love Bond... » NDT: « Elle revient en Novembre avec [la vidéo] Love Bond » ».
  34. http://www.milf-shake.net
  35. « Satomi Shinozaki biography », Shin-Toho History (consulté le ) : « « ...since the middle of '90s when mature women started getting popular in porn movies. »
    « ...depuis le milieu des années 90 lorsque la femme à maturité devient populaire dans les films pornographiques. » »
  36. (en) « Madame Throat », AV Idol Directory (consulté le ).
  37. Les films pornographiques dits documentaires sont, entre autres choses, distribués par les parents à leur fille lorsqu'elle se marie, précisément à titre documentaire
  38. (en) Schönherr, Johannes « Japanese AV - A Short Introduction », Midnight Eye, (consulté le ) : « « The majority of Japanese AVs employ elements of documentary filmmaking to some degree. »
    « La majorité de films japonais réservés aux adultes utilisent des éléments tournés sur le mode documentaires à différents degrés. » »
    .
  39. Sharp, Jasper « Every Japanese Woman Makes Her Own Curry », Midnight Eye, (consulté le ) : « « The similarities between the two genres [documentary and hardcore Adult Video] - the recording of real, non-simulated action with the rawness of the production a testament to its vérité nature - have been picked up on by critics numerous times before. One further documentary-inspired peculiarity of Japanese AV films is the lengthy interviews that usually precede the sex sequences... »
    « Les similitudes entre les deux genres [documentaire et "hard"] - l'enregistrement d'actions réelles, non simulées associées à la crudité de la production sont un gage de sa vérité nature - ont été relevées par les critiques de nombreuses fois auparavant. En outre, une des particularités des films pornographiques japonais tournés sur un mode documentaire est le long entretien (avec l'actrice) qui précède habituellement les scènes de sexe... » »
    .
  40. (en) Fornander Kjell « A Star is Porn », Tokyo Journal, (consulté le ) : « « ... any plot is shattered when a member of the team suddenly passes in front of the camera, or when the director yells at the actress during shooting for faking an orgasm. Often the viewer witnesses the whole creative process, right up to when the makeup woman cleans up the exhausted actress and she walks into her dressing room for a shower. In other words, the documentary illusion is the story. »
    « ...aucune action n'est supprimée lorsqu'un membre de l'équipe passe devant la caméra ou lorsque le réalisateur réprimande l'actrice pendant l'acte sexuel en raison d'un orgasme simulé. Souvent, le spectateur est le témoin de la totalité du processus créatif, remontant jusqu'au moment où la maquilleuse nettoie l'actrice exténuée et que cette dernière se dirige vers sa loge pour prendre une douche. En d'autres termes, la fiction du documentaire est, en fait, l'histoire [du film]. » »
    . Archivé le=16-05-2006.
  41. (en) Nicholas Bornoff, Pink Samurai: An Erotic Exploration of Japanese Society; The Pursuit and Politics of Sex in Japan, Londres, Livre de Poche (1994), HarperCollins, (ISBN 0-586-20576-4), « 18 (Naked Dissent) », p. 607|extrait= « ...many [videos] exploit their very limitations with a conscious effort at documentary realism: the cinema-vérité of pornography. »
    « Beaucoup [de vidéos] exploitent leur réelle limitation par un effort consciencieux de réalisme documentaire: le cinéma-vérité de la pornographie. »
  42. (en) « Extreme Privacy », AV Idol Directory (consulté le ).
  43. (en) « Nasty Female Teacher », AV Idol Directory (consulté le ).
  44. (en) « KUKI DVD Buyer Boy 01 », AV Idol Directory (consulté le ).
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  46. (en) « Perfect Sniper », AV Idol Directory (consulté le ).
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  48. (en) « School Teacher », AV Idol Directory (consulté le ).
  49. (en) « Hitomi Kobayashi vs Hitomi Shimizu », AV Idol Directory (consulté le ).
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    « Kyoko Aizome est considérée comme la première actrice de porno "hard" au Japon. ». », (consulté le )
    .
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  52. (en) « Bed Partner 1988 (review) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), The New York Times. Citation : « ...the legendary studio proper [Nikkatsu] (its stepchild, Excess Films, limped along for years thereafter... »
    « ...les légendaires studios Nikkatsu (son beau-frère, Excess Fims, a avancé tant bien que mal pendant quelques années après cela... » (consulté le )
  53. (en) « Lesbian Wives », AV Idol Directory (consulté le ).
  54. (en) Fornander, Kjell « A Star is Porn », Tokyo Journal. Citation : « If she's only out for money, she will studiously avoid publicity and quit inside a year-the average life-span of an AV girl-with five or ten videos to her credit... »
    « Si elle est seulement motivée par l'argent, elle évitera soigneusement toute publicité et quittera [son travail] dans l'année - durée moyenne pour une actrice du film réservé aux adultes - avec cinq ou dix vidéos à son actif... », (consulté le )
    . Archivé le=20-03-2007
  55. « Je suis enchantée d'avoir eu une carrière dans laquelle j'ai été élevée au rang de Reine de la vidéo pour adultes ainsi que d'avoir duré dans cette activité pendant 40 ans passés. »
  56. (en) « Hitomi Kobayashi FINAL Disc1: Nostalgic », AV Idol Directory (consulté le ).
  57. (en) « Hitomi Kobayashi FINAL Disc2: LOVE », AV Idol Directory (consulté le ).
  58. Filmographie extraite de: (en) « Hitomi (Hitomi Kobayashi) », AV Idol Directory (consulté le ), (ja) « Discography (Hitomi Kobayashi) », AV Classics On Demand (consulté le ) et de (en) « Hitomi Kobayashi (Filmography) », Urabon Navigator 1997-2006 (consulté le ).
  59. Sources pour les parutions théâtrales: « Hitomi Kobayashi » (présentation), sur l'Internet Movie Database et « 小林ひとみ (Kobayashi Hitomi) », Japanese Movie Database (consulté le ) (en japonais).
  60. Liste extraite de:

Crédits

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(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Hitomi Kobayashi » (voir la liste des auteurs).

Liens externes

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