Hitomi Kobayashi
Hitomi Kobayashi (小林ひとみ, Kobayashi Hitomi est une des plus importantes et plus anciennes idoles de la vidéo pour adultes. Elle est une figure emblématique de la vidéo réservée aux adultes[5]. Le Mainichi Shimbun l'a baptisée « une des icônes de l'histoire du film pour adultes au Japon »[4]. Sa popularité sans précédent vers le milieu des années 1990, premiers temps de la vidéo pour adultes au Japon, lui a conféré le titre de "reine de la VA"[6],[7],[8],[9].
Alias |
Kaori Matsumoto[3]. |
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Naissance |
Tokyo, Japon |
Nationalité | Japonaise |
Profession |
|
Conjoint |
Toshifumi Yuzawa |
Taille | 1,51 |
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Yeux | Marron |
Cheveux | Bruns |
Années d’activité | 1986-2003 |
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Films notables |
70 films environ[4] |
Un journaliste du Shukan Shincho écrit à son sujet : « She laid the foundations for the golden age of adult video »[10],[11]
Après avoir fait ses débuts dans des albums photos et les « vidéo-images » non pornographiques, Kobayashi commence à tourner des films pornographiques en 1986[4]. En raison de sa popularité rapidement grandissante, la firme Nikkatsu[12], alors le principal acteur de la pornographie "rose" (comparativement au "hard"), l'embauche dès 1987[9].
Après son mariage, elle s'éloigne de l'industrie pornographique au début de l'année 1989 puis y revient à plein temps en 1998. Elle fait ses adieux définitifs à ses spectateurs (en 2003) par la publication d'un volume double de DVD d'ailleurs très controversé[13]
Biographie
modifierD'après son site officiel, elle serait née le à Tokyo, Japon sous le patronyme de Yukari Ishii (石井ゆかり, Ishii Yukari)[14]. Cependant, lors de l'interview qu'elle a donnée au Weekly Post (週刊ポスト) peu avant son retrait de la scène en 2003, elle serait née en 1963[15].
Son ambition depuis l'enfance, est d'être actrice. Elle suit des cours d'art dramatique et s'inscrit dans une agence de recrutement[4].
Kobayashi n'est pas particulièrement précoce sur le plan sexuel. À ses débuts, elle affirme : « I lost my virginity at 18, which is probably a bit late, and I wasn't very experienced with men »[16],[4]. Ce relatif manque d'expérience est visible dans quasiment toutes ses scènes de sexe qui sont simulées sauf dans son avant-dernière vidéo[17]. Même en fin de carrière, l'attitude de Kobayashi vis-à-vis du sexe reste pudique. Interviewée sur le sujet à l'époque de ses adieux, elle répond : « I love sex. But, just because I'm an AV actress, it doesn't mean I'm brim-filled with experience. I've done orgy movies, and lesbian scenes and loads of abnormal stuff, but the world of videos isn't a real world. My normal life is really plain. I couldn't imagine having sex anywhere other than in bed and taking part in an orgy would be unthinkable. I'm happy enough with just the missionary position. »[18],[4].
Carrière
modifierKobayashi débute sous le pseudonyme de Kaori Matsumoto (松本かおり, Matsumoto Kaori) au mois de avec un album photos et une vidéo-image (DVD formé par l'enchainement de multiples images fixes) non pornographiques, tous deux intitulés Pounding: 19-year-old Kaori (ときめき・かおり19歳, Tokimeki: Kaori Jukyusai)[3]. Quoi qu'il en soit, malgré ces deux publications, elle pense que sa carrière n'aboutira à rien[4].
La débutante
modifierPeu de temps après ses débuts non pornographies, une occasion se présente à elle. Elle dit : « I got this offer to do a movie called Kinjirareta Kankei (Forbidden Relationship). I was told there were nude and love scenes, but nothing steamier than any ordinary movie »[19],[4]. Profondément choquée lorsqu'elle découvre qu'il s'agit d'un film pornographique, elle est tout d'abord réticente. Après avoir longuement discuté avec son agent elle accepte finalement de tourner à la seule condition que les scènes de sexe soient simulées. Elle prend le nom de Hitomi Kobayashi. La vidéo connaît un succès surprenant. Cinquante mille copies sont vendues en quelques mois[4]. Son étonnante popularité la propulse en tête des actrices les plus connues de ce milieu des années 1990 et, peu de temps après ses débuts, elle est désignée comme « la Reine de la Vidéo pour Adultes »[6].
La censure japonaise, interdisant de montrer les organes sexuels[20], permet à Kobayashi de maintenir son exigence à tourner uniquement des scènes de sexe simulées pendant toute sa carrière. Elle considère que ses films sont une autre façon de jouer la comédie et invente différentes techniques donnant l'impression de scène de sexe bien réelles. Elle dit par exemple: « I used to get the directors to tickle my feet and then tried not to laugh so it looked as though I was climaxing. »[21],[4]. Sa carrière est en danger lorsqu'une vidéo pirate non censurée s'est mise à circuler révélant parfaitement que « la Reine de la vidéo pornographique » ne pratiquait pas réellement. Kobayashi a peur que ses admirateurs ne l'abandonnent. Ces craintes ne sont cependant pas fondées et sa popularité reste malgré tout intacte.
L'actrice confirmée
modifierEn 1987, la popularité de Kobayashi lui a déjà conféré le titre de « Reine de la Vidéo pour Adultes »[9].
Nikkatsu, en tête des publications pornographique "roses" depuis le début de ses séries Roman Porno en 1971, perd rapidement de l'audience. Bien que ses studios aient publiquement condamné les vidéos pornographiques "dures" depuis des années et dans l'espoir de récupérer des admirateurs de Kobayashi, Nikkatsu embauche la Reine de la Vidéo réservée aux Adultes pour paraître dans ses propres productions.
La première, Hitomi Kobayashi's Secret Pleasure (小林ひとみ 奥戯快感 艶, Kobayashi Hitomi ougi kaikan: tsuya) paraît en Janvier 1987. Thomas and Yuko Mihara Weisser, dans leur Japanese Cinema Encyclopedia: The Sex Films (Encyclopédie du cinéma japonais: les films pornographiques), jugent le film comme étant à peine plus pornographique qu'un le Spécial Lingerie de Playboy ou de Penthouse.
La seconde vidéo, Hitomi Kobayashi's Heavy Petting (ハード・ペッティング, Hard Petting), publiée au mois de mars 1987, fait partie de la nouvelle série Roman X de Nikkatsu. Elle est supposée être plus "hard" que la précédente série Roman Porno. En fait, la prohibition des orgenes génitaux à l'écran, rend cette vidéo, censée être "hard", plutôt futile, jusqu'à ce que Donald Richie[22], l'insère dans son essai d'avant-garde et le classe en tant que "film rose" car "aucune des parties [génitales] en action ne sont montrées"[23].
Les deux vidéos n'ont été appréciées ni par les admirateurs de l'artiste ni par les critiques qui leur ont préféré les anciens Roman Porno de Nikkatsu.
La troisième vidéo de cette série, Hitomi Kobayashi's Young Girl Story (小林ひとみの令嬢物語, Kobayashi Hitomi no reijo monogatari), mise sur le marché le , est plus proche de l'ancien style de Nikkatsu. Mais elle arrive trop tard pour les studios qui ont arrêté la production des Roman Porno en 1988 et se déclarent en faillite en 1993[24].
En 1987, au sommet de sa carrière, Kobayashi épouse Toshifumi Yuzawa qui deviendra ultérieurement le Président directeur de l'agence qui recrute pour le compte de l'actrice[13]. Dès 1989, la comédienne cesse alors de se produire pendant quelques années pour se consacrer à sa famille. Tout au long de ces années, elle ne s'est jamais officiellement retirée de l'industrie pornographique, n'a jamais totalement arrêté de se produire dans les vidéos pour adultes, et a même travaillé occasionnellement comme stripteaseuse[15]. En 1988, elle tient le rôle principal de Evil Dead Trap (死霊の罠, Shiryo no wana). Pour All Movie Guide[25], le film "est malsain mais captivant"[26]. Le critique et auteur Patrick Galloway juge le film « ...nothing short of a multicultural terror tour de force, featuring gruesome, brilliantly rendered sound and imagery that will stay with you to your last dying gasp. »[27],[28]. Écrit par Takashi Ishii et réalisé par Toshiharu Ikeda, le film a inspiré deux suites[26]. Home Video qui a commandité le film souhaite mettre en avant Kobayashi - leur étoile de la vidéo pour adultes à cette époque- dans le rôle principal. Le réalisateur Ikeda, doutant des talents de comédienne de Kobayashi, installe Miyuki Ono dans le rôle principal de Nami et donne le second rôle de Rei à Kobayashi. Les scènes de sexe interprétées par Kobayashi sont, pour les puristes des films d'épouvante, un élément qui empêche le film d'accéder aux normes du genre. Cependant, Galloway, estime pour sa part, que Evil Dead Trap n'est pas un film d'épouvante mais un film transcendantal. Galloway, commente les scènes de sexe dans ces termes : « Ikeda handles the steamy segments like a pro, coming as he did from Nikkatsu, where he honed his craft making the studio's signature roman porno (romantic pornography). »[29],[30].
Kobayashi interprète, pour la toute première fois, deux "films roses" en 1996 et 1997 sous la direction de Satoru Kobayashi, réalisateur de Flesh Market (1992), le premier de tous les « films roses »[31]. En 1997 elle incarne une actrice fictive du cinéma pornographique, Mizuki Mahoro. Il s'agit d'une histoire plus ou moins autobiographique parue dans le V-cinema sous le titre Destroying Mosaic (モザイク崩し)[32].
Kobayashi revient au cinéma pornographique en avec la vidéo Love Bond encore connue sous le titre de Immoral Bonds[33].
Dix ans après ses débuts, Kobayashi est maintenant une « femme arrivée à maturité ». Ses vidéos tournées dans le milieu des années 1990 reflètent ce nouveau statut[35].
L'actrice tient le rôle d'une femme qui s'adonne à l'inceste avec ses trois beaux-fils dans la vidéo Madame Throat parue en [36].
Sa première vidéo tournée sur un mode documentaire (alors à la mode dans les films pornographiques)[37],[38],[39],[40],[41] est intitulée Extreme Privacy ()[42].
Au mois de décembre, paraît Nasty Female Teacher, une autre vidéo de pure fiction filmée par un réalisateur utilisant le pseudonyme de Hattori Hanzo. Kobayashi y paraît sous les traits d'une enseignante dans une école de garçons[43].
Kobayashi travaille toujours au début du nouveau millénaire pour satisfaire « une nouvelle génération de 'mecs' avec une vidéo faite d'une suite de contes variés » KUKI DVD Buyer Boy 01[44].
Dans la première des trois vidéos composant la série Stimulant, Stimulant: Doctor Hitomi Kobayashi, elle tient le rôle d'un psychiatre qui administre "des traitements drastiques à des patients impuissants"[45].
Dans une autre vidéo tournée après son retour à la scène, elle est successivement une espionne[46], un ange[47], une enseignante séductrice[48] et enfin, une maîtresse de maison au passé, soigneusement caché, de lesbienne[49].
Kobayashi fait équipe avec Kyōko Aizome, une autre actrice importante du film pornographique[50], dans Kyôko Aizome vs. Hitomi Kobayashi: Sexual Excitement Competition (愛染恭子VS小林ひとみ 発情くらべ)[32] paru en Février 2001 sous le label Excess Filmsdes studios Nikkatsu devenus distributeurs de pornographie après leur série Roman Porno[51],[52].
Les deux actrices de légende tournent encore ensemble Lesbian Wives au mois de mars 2001 et à nouveau sous la direction d'Aizome. Kobayashi et Aizome interprètent le rôle de deux femmes de yakuzas qui s'adonnent à des relations lesbiennes[53].
Cette même année, Kobayashi et son mari ouvrent une boîte de nuit dans le quartier de Roppongi[4].
Le point final
modifierDans une industrie au sein de laquelle la durée moyenne d'une carrière est de un an avec une production de cinq à dix vidéos[54], en 2003, Kobayashi a travaillé dans le domaine du film pornographique pendant dix ans et demie et a tourné environ 70 films[4]. Les 39 vidéos dans lesquelles elle est la vedette se sont vendues à plus de 600 000 copies. Elle a gagné environ 6 milliards de yens[11].
Au sujet de sa carrière dans le film pornographique, Kobayashi affirme : « I'm delighted to have led a career where I would be elevated to being called 'AV Queen,' as well as to have lasted in the business until I turned 40. »[55],[4]
Souhaitant se retirer de la scène avec brio, Kobayashi et son mari/impresario contactent des commanditaires en vue d'une dernière vidéo comprenant deux volumes pour une durée totale de deux heures et demie. Kobayashi cherche 35 investisseurs qui contribueraient à hauteur de 500 000 yens chacun pour avoir le privilège d'un dîner avec elle, de voir leur nom apparaître dans le générique et d'assister à une projection privée de la vidéo[11]. Celle-ci paraît sous le titre Hitomi Kobayashi FINAL - Disc1 () et Disc2 ()[14]. La première moitié de l'œuvre s'intitule Nostalgic. Elle contient des extraits de vidéos tournées dans le tout début de sa carrière[56]. Le second volume, intitulé Love, est lancé en disant qu'il contient le premier et dernier rapport non simulé de l'actrice à l'écran[57].
Une controverse a suivi la parution de la vidéo lorsque certains investisseurs ont déclaré qu'on leur avait promis des dividendes alors qu'il n'en ont touché aucun. Il a été dit que si Kobayashi a bien trouvé 50 investisseurs pour son projet, son mari aurait utilisé l'argent pour rembourser des créances personnelles ainsi que pour des loisirs sans rapport avec le film. Une communication insuffisante avec les investisseurs, la fermeture du site web concernant le film, le changement répété du nom du producteur et la permanente modification des comptes permettant de savoir si le film a fait des profits ou pas, ont poussé les investisseurs à déposer une plainte[13].
En 2004, Kobayashi travaille toujours comme hôtesse dans sa boîte de nuit à Roppongi[13].
Filmographie
modifierVidéos
modifierTitre du film[58]. | Producteur | Réalisateur | Parution |
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Pounding: 19-year-old Kaori ときめき・かおり19歳 Tokimeki: Kaori Jukyusai debut (non-pornographique)[3] |
Docks ダックス |
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Prohibited Relations 禁じられた関係 Kinjirareta Kankei debut (non pornographique) |
VIP | ||
色情 | VIP | ||
瓶詰め地獄 | Nikkatsu | ||
お口に誘って | Shintōhō | ||
溺愛 BLIDED LOVE | VIP | ||
見られたいの | 現映社 | ||
天使の唇 | Shintōhō | ||
ミルキーデビル邪夢猫 | Alice Japan | ||
燃えつきるまで | VIP | ||
夢で逢えたらアイドルクイーン | SHOWA | ||
ミステリークイーン恋の異星人 | シャリオ | ||
さよならの前に | ホップ | ||
ひとみ先生のクライマックスは御一緒に | Shintōhō | ||
本番深くうめて | Five Star | ||
本番深くうめて 2 | Five Star | 1987 | |
みだらな瞳 | Phoenix | ||
性獣トライアングル~暴かれたハネムーン~ | Alice Japan | ||
夢犯恋人 | JVD | ||
悪女 | Shintōhō | ||
下半身の女 | スリーパーツ | ||
Sexy Violence セクシーバイオレンス |
Alice Japan | ||
ロックビートは危険な囁き | SHOWA | 1987 | |
奥戯快感 艶 | Nikkatsu | ||
魔性 | Shintōhō | ||
Midnight Call に乱れて |
Nikkatsu | ||
桃色情交 | スリーパーツ | ||
挑発/深くうめて3 | Five Star | ||
挑発/深くうめて3 | Five Star | ||
Zoom Up Special ズームアップ・スペシャル |
Alice Japan | Kazuhito Kuramoto | |
The Bible ザ・バイブル |
Alice Japan | Kazuhito Kuramoto | |
Sex Triangle vol.2 性獣トライアングル2 |
Alice Japan | Sho Sasaki | |
Zoom Up All Stars ZOOM UPオールスターズ |
Alice Japan | Kazuhito Kuramoto | |
La Valse ラ・ヴァルス La valuse: watashi bokosaremashita |
KUKI | ||
Sucking Lady もろなめ夫人 |
Alice Japan | Yuhojin | |
Cock Sucking Lady いもしゃぶり夫人 |
Alice Japan | Yuhojin | |
Alice Memories Vol. 1 アリスメモリーズ Vol.1 |
Alice Japan | ||
Immoral Bonds 背徳の絆 |
KUKI | ||
Topaz トパーズ |
KUKI | ||
Video CD Special Vol 15 ビデオCDスペシャル15 |
KUKI | ||
Immoral Baptism 背徳の洗礼 |
KUKI | Shusaku Mizutani | |
Immoral Bonds 背徳の絆 |
KUKI | Shusaku Mizutani | |
Madame Throat Deep Spot マダムスロート奥の淫 |
KUKI | Gasbel | |
Neo Video CD Special Vol.1 NEOビデオCDスペシャル01 |
KUKI | ||
Big Tits Tank Angels 6 乳TANKの天使たち6 |
KUKI | Gregoru Shimizu | |
Madame Throat マダムスロート |
KUKI | ||
Molesting Sexy Teachers 女教師痴漢調教 |
KUKI | Makoto Taiga | |
Extreme Privacy 極私性 |
KUKI | Gasbel | VHS: VCD: |
Neo Video CD Special Vol.5 NEOビデオCDスペシャル05 |
KUKI | ||
KUKI Best Actresses Vol. 11 KUKI人気女優BEST VOL.11 |
KUKI | Toru Daikanyama | |
Nasty Female Teacher 女教師姦粘膜 |
KUKI | Hanzo Hatori | |
Big Tits Tank Angels 7 乳TANKの天使たち7 |
KUKI | JANGO | |
KUKI DVD Buyer Boy 01 KUKI DVD買うボーイ 01 |
KUKI | ||
Stimulant: Doctor Hitomi Kobayashi 刺激療法 |
KUKI | Gasbel | |
KUKI Best Collection Vol.4 | KUKI | ||
KUKI DVD Buyer Boy 03 KUKI DVD買うボーイ03 |
KUKI | ||
Stimulant: Doctor Hitomi Kobayashi(3) 刺激療法女医 |
KUKI | ||
Perfect Sniper パーフェクト・スナイパー |
KUKI | Gasbel | VHS: DVD: |
CRUSH | KUKI | Gasbel | VHS:29 septembre, 2000 DVD:29 septembre, 2000 |
ATLAS MEGA-MIX vol.#2 アトラスMEGA-MIX II |
Atlas21 | ||
Immoral Bonds 背徳の絆 |
KUKI | ||
Hitomi Kobayashi Special: '98-'00 Complete Work 小林ひとみスペシャル |
KUKI | JANGO | VHS: |
Big Tits Tank Angels 8 乳TANKの天使たち 8 |
KUKI | JANGO | |
Costume Play Royale コスプレ ロワイヤル |
KUKI | JANGO | |
KUKI Best Collection VOL.4 KUKI Best COLLECTIONS VOL.4 |
KUKI | JANGO | |
Lesbian Wives 極妻レズ |
Alice Japan | Kyoko Aizome | VHS: DVD: |
Lesbian Love Juice レズビアン 女汁 |
Alice Japan | Eitaro Haga | VHS: DVD: |
School Teacher 女教師歔く |
MAX-A | Eitaro Haga | |
BEST 4 Hours - Hitomi Kobayashi BEST 4時間 小林ひとみ |
Atlas21 | ||
Alice Japan 2002 アリスJAPAN2002 |
Alice Japan | ||
Abnormal Privacy - Slave Secretary 37 | Collect | ||
Alice Japan 2002 アリスJAPAN2002 |
Alice Japan | ||
Mother In-Law | Soft On Demand (SOD) | ||
Hitomi Kobayashi - BOX 小林ひとみ BOX FINAL disc 1&2 & Picture Booklet |
VIP | Eitaro Haga | |
Hitomi Kobayashi FINAL - Disc1: Nostalgic 小林ひとみFINAL 上巻 |
VIP | Eitaro Haga | |
Hitomi Kobayashi FINAL - Disc2: Love 小林ひとみFINAL 下巻 |
VIP | Eitaro Haga | |
Best of the AV QUEEN ベスト・オブ・ザ・AVクィーン |
Atlas21 | ||
Uncut 4 Hours / Hitomi Kobayashi ノーカット4時間!!小林ひとみ |
Alice Japan | ||
The 80's Greatest Idols | TMA | ||
Slave Secretary EX 3 奴隷秘書EX3 |
CineMagic | Hirofumi Miyazaki Tatsuo Hibino |
Parutions théâtrales (partielles)
modifier- The Petting (ザ・ペッティング, Za Pettingu) ().
- Hitomi Kobayashi's Secret Pleasure (小林ひとみ 奥戯快感 艶, Kobayashi Hitomi ougi kaikan: tsuya ().
- Hitomi Kobayashi's Heavy Petting (ハード・ペッティング, Hard Petting ().
- Hitomi Kobayashi vs. (高杉レイ, Double Petting) (小林ひとみVS高杉レイ ダブルペッティング) ().
- Hitomi Kobayashi's Young Girl Story (小林ひとみの令嬢物語, Kobayashi Hitomi no reijo monogatari ()
- Sure-Fire Death 4: We Will Avenge You (Hissatsu 4: Urami harashimasu) (1987)
- Evil Dead Trap (死霊の罠, Shiryo no wana ()
- Guys Who Never Learn II (1988)
- Kyoko Aizome vs. Hitomi Kobayashi: Sexual Excitement Competition, (愛染恭子VS小林ひとみ 発情くらべ) ()[59].
Magazines et albums photos (partiels)
modifierListe des magazines dans lesquels pose Kobayashi[60]:
Goro
modifier
|
Heibon Punch (平凡パンチ)
modifier
|
|
Momoco
modifier- (5 pages)
Sukora (スコラ)
modifier
|
|
Weekly Playboy (週刊プレイボーイ)
modifier
|
|
Notes
modifier- Données de l'Infobox tirées de: (en) « Hitomi (Hitomi Kobayashi) », AV Idol Directory (consulté le ).
- (ja) AV チャンネル 小林ひとみ 詳細情報
- (en) « 1986 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), AV 研究所 (AV Research Laboratory) (consulté le ).
- « Legs open way to 6 billion yen career », Mainichi Shimbun,, (consulté le )
- (en) « Topaz », AV Idol Directory (consulté le ) : « « We cannot talk about AV without her. She is a legend of AV. She is like a founder of the AV world »
« Il est impossible de parler de la vidéo pour adultes sans elle. C'est une légende de la vidéo réservée aux adultes [(VA)]. Elle est la fondatrice de la VA. » ». - (en) « Legs open way to 6 billion yen career », Mainichi Shimbun, (consulté le )|extrait= « Astounding sales of her works in the formative years of the VHS era made her the ruler of the adult video world and led to her being dubbed as the 'AV Queen'. »
« Les ventes étonnantes de ses films au début de la VA, à l'époque de la VHS, lui a permis d'imposer les règles qui encadrent le monde de la vidéo pour adultes et ont amené à la surnommer "la reine de la VA". »| Archivé le 07-01-2006. - (en) « Hitomi Kobayashi FINAL Disc1: Nostalgic », AV Idol Directory (consulté le ) : « « Here comes the final works of AV Queen Hitomi Kobayashi. »
« Voici l'œuvre finale de la reine Hitomi Kobayashi » ». - (en) « Hitomi Kobayashi BOX », AV Idol Directory (consulté le ) : « « ...package DVD of the queen of Adult Video Hitomi Kobayashi... »
« ...un ensemble de DVD de la Reine de la vidéo pour adultes Hitomi Kobayashi... » » - Weisser, Thomas & Yuko Mihara, Japanese Cinema Encyclopedia : The Sex Films, Vital Books : Asian Cult Cinema Publications, 1998, Miami, p.222, , 637 p. (ISBN 978-1-889288-52-9 et 1-889288-52-7)|extrait= « ...the AV Queen Hitomi Kobayashi... ».
- « Elle a posé les bases pour l'âge d'or de la vidéo réservée aux adultes »
- (en) « Porno queen seeks investors plug as she goes out with a bang », Mainichi Shimbun, (consulté le ), Archivé le 07-01-2006
- Voir Chronologie de la vidéo réservée aux adultes au Japon
- (en) « Porn star blows wads pumping out final flop », Mainichi Shimbun, (consulté le ), Archivé le 07-01-2006.
- (en) « Hitomi (Hitomi Kobayashi) », AV Idol Directory (consulté le ).
- (ja) 小林ひとみ (Kobayashi Hitomi).
- « J'ai perdu ma virginité à l'âge de 18 ans, ce qui est probablement un peu tard et je n'ai pas connu beaucoup d'aventures avec des hommes »
- (en) « Legs open way to 6 billion yen career », Mainichi Shimbun, (consulté le ) : « « I finally agreed to appear, but as long as the sex was only simulated. That's how my stance on never going all the way on film started. »
« J'ai finalement accepté de tourner mais exclusivement tant que les scènes de sexe seraient simulées. C'est la raison pour laquelle mes positions ne durent jamais. » ». - « J'aime le sexe. Mais, bien que je sois une actrice du film pornographique, cela ne veut pas dire que je déborde d'expérience. J'ai tourné des scènes d'orgie, des scènes lesbiennes, et des tas de trucs anormaux mais le monde de la vidéo est un monde à part. Ma vie est véritablement simple. Je n'aurais pas pu imaginer avoir des rapports sexuels ailleurs que dans un lit et prendre part à une orgie n'est même pas pensable. La position du missionnaire me suffit amplement. »
- « Jai saisi l'occasion de tourner un film intitulé Kinjirareta Kankei (Relations prohibées). On m'a bien dit qu'il y aurait des scènes de nudisme et d'amour, mais rien de plus chaud qu'un film ordinaire »
- (en) Schönherr, Johannes « Japanese AV - A Short Introduction », Midnight Eye, (consulté le ) |extrait=« ...Japanese porn has the problem that no genitals can be seen in the videos. They are all hidden behind pixels... »
« ...La pornographie japonaise supporte le handicap que les organes génitaux ne peuvent pas être dévoilés dans les vidéos. Il faut qu'ils soient masqués par une pixellisation... ». - « J'avais pour habitude de demander au réalisateur de chatouiller mes pieds et je m'empêchais de rire si bien que cela donnait l'impression que je jouissait. »
- Donald Richie (né en 1924) est l'auteur américain de plusieurs livres traitant des japonais et du cinéma japonais
- (en) Richie, Donald: A Lateral View: Essays on Culture and Style in Contemporary Japan, 1972 réédité en 1992, éditeur Stone Bridge Press, Berkeley, Californie, chapitre "The Japanese Eroduction", pages=156-169.
- (en) Macias, Patrick: TokyoScope: The Japanese Cult Film Companion, Cadence Books, San Francisco, 2001, Chapitre: Nikkatsu's Roman Porno, pages=187-188, (ISBN 1-56931-681-3)
- All Movie est une base de données cinématographiques concernant les acteurs et les films pour le cinéma et la télévision
- (en) Firsching, Robert« Evil Dead Trap », [All Movie Guide] (consulté le ).
- « ...rien de moins qu'un tour de force de terreur multiculturelle, ayant pour caractéristique son côté macabre, mais avec un son et une image si brillants qu'ils vous poursuivront jusqu'à votre dernier souffle. »
- (en) Galloway, Patrick: Asia Shock: Horror and Dark Cinema from Japan, Korea, Hong Kong, and Thailand, Stone Bridge Press, Berkeley, Californie, 2006, Chapitre Evil Dead Trap: Shiryo no wana, pages=p.165, (ISBN 1-933330-12-0).
- « Ikeda manie les scènes brûlantes comme un pro. Il fait du Roman Porno (pornographie romantique) la signature des studios Nikkatsu. »
- Galloway, p.168.
- (ja) « 小林悟 (Kobayashi Satoru) » (consulté le ).
- (ja) « 小林ひとみ (Kobayashi Hitomi) », Japanese Movie Database (consulté le ).
- (en) « Immoral Baptism », AV Idol Directory (consulté le ) : « « She made a come back in November with Love Bond... » NDT: « Elle revient en Novembre avec [la vidéo] Love Bond » ».
- http://www.milf-shake.net
- « Satomi Shinozaki biography », Shin-Toho History (consulté le ) : « « ...since the middle of '90s when mature women started getting popular in porn movies. »
« ...depuis le milieu des années 90 lorsque la femme à maturité devient populaire dans les films pornographiques. » » - (en) « Madame Throat », AV Idol Directory (consulté le ).
- Les films pornographiques dits documentaires sont, entre autres choses, distribués par les parents à leur fille lorsqu'elle se marie, précisément à titre documentaire
- (en) Schönherr, Johannes « Japanese AV - A Short Introduction », Midnight Eye, (consulté le ) : « « The majority of Japanese AVs employ elements of documentary filmmaking to some degree. »
« La majorité de films japonais réservés aux adultes utilisent des éléments tournés sur le mode documentaires à différents degrés. » ». - Sharp, Jasper « Every Japanese Woman Makes Her Own Curry », Midnight Eye, (consulté le ) : « « The similarities between the two genres [documentary and hardcore Adult Video] - the recording of real, non-simulated action with the rawness of the production a testament to its vérité nature - have been picked up on by critics numerous times before. One further documentary-inspired peculiarity of Japanese AV films is the lengthy interviews that usually precede the sex sequences... »
« Les similitudes entre les deux genres [documentaire et "hard"] - l'enregistrement d'actions réelles, non simulées associées à la crudité de la production sont un gage de sa vérité nature - ont été relevées par les critiques de nombreuses fois auparavant. En outre, une des particularités des films pornographiques japonais tournés sur un mode documentaire est le long entretien (avec l'actrice) qui précède habituellement les scènes de sexe... » ». - (en) Fornander Kjell « A Star is Porn », Tokyo Journal, (consulté le ) : « « ... any plot is shattered when a member of the team suddenly passes in front of the camera, or when the director yells at the actress during shooting for faking an orgasm. Often the viewer witnesses the whole creative process, right up to when the makeup woman cleans up the exhausted actress and she walks into her dressing room for a shower. In other words, the documentary illusion is the story. »
« ...aucune action n'est supprimée lorsqu'un membre de l'équipe passe devant la caméra ou lorsque le réalisateur réprimande l'actrice pendant l'acte sexuel en raison d'un orgasme simulé. Souvent, le spectateur est le témoin de la totalité du processus créatif, remontant jusqu'au moment où la maquilleuse nettoie l'actrice exténuée et que cette dernière se dirige vers sa loge pour prendre une douche. En d'autres termes, la fiction du documentaire est, en fait, l'histoire [du film]. » ». Archivé le=16-05-2006. - (en) Nicholas Bornoff, Pink Samurai: An Erotic Exploration of Japanese Society; The Pursuit and Politics of Sex in Japan, Londres, Livre de Poche (1994), HarperCollins, (ISBN 0-586-20576-4), « 18 (Naked Dissent) », p. 607|extrait= « ...many [videos] exploit their very limitations with a conscious effort at documentary realism: the cinema-vérité of pornography. »
« Beaucoup [de vidéos] exploitent leur réelle limitation par un effort consciencieux de réalisme documentaire: le cinéma-vérité de la pornographie. » - (en) « Extreme Privacy », AV Idol Directory (consulté le ).
- (en) « Nasty Female Teacher », AV Idol Directory (consulté le ).
- (en) « KUKI DVD Buyer Boy 01 », AV Idol Directory (consulté le ).
- (en) « Stimulant Doctor Hitomi Kobayashi », AV Idol Directory (consulté le ).
- (en) « Perfect Sniper », AV Idol Directory (consulté le ).
- (en) « CRUSH », AV Idol Directory (consulté le ).
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Crédits
modifierLiens externes
modifier- Ressource relative à l'audiovisuel :
- (en) « HITOMI KOBAYASHI », The Complete Index to World Film (consulté le );
- (ja) « 小林ひとみ (Kobayashi Hitomi) », Filmographie chez Japanese Movie Database (consulté le );