Guy Magenta

compositeur

Guy Magenta, nom de plume de Guy Freidline, est un compositeur français né le dans le 10e arrondissement de Paris et décédé le (à 40 ans) à Salbris (Loir-et-Cher)[1].

Guy Magenta
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 40 ans)
SalbrisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Guy FreidlineVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Guy MagentaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Genre artistique

Biographie

modifier

Il commence à écrire des chansons dans sa boutique de photographe à Paris, boulevard de Magenta, dont il fait son nom de plume.

A tout juste 20 ans, à la fin des années 1940, il est déjà chanté par Lucienne Delyle qui interprète Un ange comme ça, paroles de Daniel Hortis (1947).

Doué, prolifique et éclectique, il compose des opérettes, des espagnolades, du rock, des romances et des musiques de films.

Il meurt dans un accident de voiture en 1967 près de Salbris, au volant d'une Jaguar qu'il venait d'acheter.

Chansons

modifier

Les années 1950

modifier

C'est en s'associant avec l'auteur-compositeur Fernand Bonifay qu'il obtient ses premiers succès dans les années 1950, de vraies chansons populaires dont certaines vont s'inscrire dans notre mémoire collective.

  • La Roulotte des gitans (paroles de Fernand Bonifay), par Rina Ketty.
  • Castagnettes et séguedilles (paroles de Fernand Bonifay), par Marie-José.
  • C'est toi que je préfère (paroles de Fernand Bonifay), par Annie Cordy.
  • Georges Guétary (paroles de Fernand Bonifay)
  • Marco Polo.
  • C'est vous, c'est vous.
  • Jeannette Batti (paroles de Fernand Bonifay) :
    • J'ai des envies.
    • Quand on est honnête.
    • Moi, j'ai de la branche.
    • On a toujours un p'tit quelque chose.
  • Dario Moreno : Mon cœur est prisonnier (paroles de Fernand Bonifay), Oh ! Qué mambo (paroles de Fernand Bonifay), Ça suffit comme ça (paroles de Fernand Bonifay), Ne me dis jamais adieu (paroles de Fernand Bonifay), Viens à la Casita (paroles de Géo Koger).
  • Mon cœur bat (paroles de Jacques Larue), par Roberto Clarence.
  • Ne sois pas fâchée (paroles de Jacques Larue), par Gloria Lasso.

Les années 1960

modifier

Durant les années 1960, Guy Magenta travaille avec différents auteurs et se consacre à une nouvelle génération de chanteurs.

  • Sur des paroles d'Eddy Marnay et chantées par Virginia (Virginia Vee)
    • Ils s’aimaient. Version anglaise (par Norman Gimbel, Once, chantée notamment par Peggy Lee.
    • L’amour en bleu.
    • La chaine.
    • Je ne t’oublierai jamais.
  • Ce paysage (paroles de Jean Valtay), par Jean Valtay.
  • Si tu dois partir (paroles d'Eddy Marnay), par Virginia Vee.
  • Jacqueline François :
    • Nossa Samba (Notre Samba), paroles d'Eddy Marnay.
    • Ce paysage, paroles de Jean Valtay.
  • Hugues Aufray :
    • Les Remords et les regrets, paroles d'Hugues Aufray et Vline Buggy.
    • Laisse-moi petite fille, paroles d'Hugues Aufray et Vline Buggy.
    • Les Yeux fermés, paroles d'Hugues Aufray et Pierre Delanoë.
    • Il faut ranger ta poupée, paroles d'Hugues Aufray et Pierre Delanoë.
  • France Gall :
  • Eddy Mitchell, avec des paroles de Ralph Bernet :
  • Soirées de princes, paroles de Pierre Delanoë, par Jean-Claude Pascal.
  • On se quitte, paroles de Ralph Bernet, par Michèle Torr.
  • Encore une mélodie (paroles de Ralph Bernet), par Olivier Despax.
  • Reste comme tu es (paroles de Billy Nencioli), par Frank Alamo.
  • Qu'arrivera-t-il demain ? (paroles de Pierre Delanoé), par Vency.
  • Des roses pour Marjorie (paroles de Ralph Bernet), par Lucky Blondo.
  • Ce train que je prendrai (paroles de Ralph Bernet), par Michel Mallory.
  • Je ne suis pas un saint (paroles de Ralph Bernet et Bernard Kess), par Ralph Bernet.
  • Avec une pierre (paroles de Ralph Bernet et Michèle Vendome), par Ralph Bernet.
  • La maison sans soleil (paroles de Ralph Bernet), par Ralph Bernet.
  • La devise des copains (paroles de Ralph Bernet), par Monty.
  • De trop mentir (paroles de Jacques Mareuil), par Marjorie Noël.
  • Non docteur (paroles de Eddy Marnay), par Marjorie Noël.
  • Quand j'ai fait ce disque (paroles de Ralph Bernet), par Marjolie Noël.
  • Ne sois pas jaloux (paroles de Pierre Delanoé), par Laura Ulmer.
  • Jean-Paul (paroles de Ralph Bernet), par Laura Ulmer.
  • Il a besoin de leçon (paroles de André Salvet), par Laura Ulmer.
  • Depuis je penses à toi (paroles de André Salvet), par Laura Ulmer.
  • As-tu fini de pleurer ? (paroles de Ralph Bernet et Jacques Revaux), par Laura Ulmer.
  • Il revient, mon copain (paroles de Ralph Bernet), par Laura Ulmer.
  • Un garçon dit à une fille (paroles de Ralph Bernet), par Liz Brady.
  • Bonne chance, mon amour (paroles de Vline Buggy), par Mari Trini.
  • C'est pas facile de s'en aller (paroles de Maurice Tézé), par Romuald.
  • Le diable est près de toi (paroles de Ralph Bernet), par Minouche Barelli.
  • J'aime trop la liberté (paroles de Mya Simille), par Minouche Barelli.
  • La route (paroles de Eddy Marnay), par Les Troubadours.
  • Je prie pour toi (paroles de Ralph Bernet), par Aldo Killy.
  • Un matin (paroles de Billy Nencioli), par Aldo Killy et Jean Claudie.
  • J' ai peur du jour (paroles de Ralph Bernet), par Dick Rivers.
  • Las Vegas (paroles de Pierre Delanoë et Pétula Clark), par Petula Clark.
  • La dame en blanc (paroles de Ralph Bernet et Francis Morand), par Olivier Despax.
  • Tu plais aux filles (paroles de Vline Buggy), par Bernadette Grimm.
  • Ton second sourire (paroles de Ralph Bernet et Francis Morand), par Olivier Despax.
  • Regarde-le (paroles de Mya Simille et Olivier Despax), par Olivier Despax.

Musiques de films

modifier

Opérette

modifier

Notes et références

modifier
  1. Journal de l'année, édition 1968, Larousse.
  2. Cette chanson est destinée à Édith Piaf qui, malade, ne l'enregistrera qu'en 1961. La chanson sera d'abord interprétée par Marcel Amont qui en fera un grand succès.

Liens externes

modifier