Grevilly

commune française du département de Saône-et-Loire

Grevilly est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Grevilly
Grevilly
L'église Saint-Martin de Grevilly et son cimetière, inscrits au titre des Monuments historiques.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Mâconnais-Tournugeois
Maire
Mandat
Patrice Raguet
2020-2026
Code postal 71700
Code commune 71226
Démographie
Population
municipale
27 hab. (2021 en évolution de −22,86 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 30′ 55″ nord, 4° 49′ 05″ est
Altitude Min. 299 m
Max. 401 m
Superficie 2,65 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tournus
Législatives Première circonscription
Localisation
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Grevilly

Elle appartient au Haut-Mâconnais et fait désormais partie du canton de Tournus, après avoir appartenu au canton de Lugny de 1790 à 2015.

L'une de ses particularités est de figurer parmi les dix communes les moins peuplées de Saône-et-Loire[1]. En effet, trente habitants y étaient recensés au (chiffre officialisé par l'INSEE au 1er janvier 2022), ce qui classe cette commune au 2e rang des communes les moins peuplées de Saône-et-Loire, derrière Chérizet (20 habitants) et devant Montceaux-Ragny (31 habitants).

Géographie

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Grevilly est une commune viticole du Haut-Mâconnais.

Village viticole, Grevilly dispose de vignes dont la vendange est majoritairement vinifiée à la cave coopérative de Lugny. La commune dispose toutefois d'un vigneron indépendant : le Domaine viticole Alexis de Benoist[2].

Communes limitrophes

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  Martailly-lès-Brancion Ozenay  
Cruzille N Chardonnay
O    Grevilly    E
S
Cruzille Lugny

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 957 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Grevilly est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60 %), forêts (21,3 %), prairies (18,5 %), cultures permanentes (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plan local d'urbanisme

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L'urbanisme sur le territoire de Grevilly est régi par un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi), document d’urbanisme dont le territoire d’effet n'est plus la commune mais la communauté de communes, soit vingt-quatre communes membres réparties sur le Haut-Mâconnais et le Tournugeois.

Ce document stratégique traduit les principes d’aménagement du territoire et constitue un outil réglementaire fixant les règles de construction et d’occupation des sols applicables sur le territoire de l'intercommunalité du Mâconnais-Tournugeois, d'où son contenu : un rapport de présentation retraçant le diagnostic du territoire, un projet d’aménagement et de développement durable (PADD) exposant la stratégie intercommunale, des orientations d’aménagement et de programmation (OAP) définissant les conditions d’aménagements de certains quartiers/ilots (cas particuliers), un règlement fixant les règles d’utilisation et de droit des sols ainsi que des annexes (plan de zonage, liste des servitudes, etc.).

Le PLUi du Mâconnais-Tournugeois, fruit d'un processus lancé par la communauté de communes en 2016, a été définitivement adopté par le conseil communautaire le 21 décembre 2023[15]. Il est entré en vigueur le 12 mars 2024.

Toponymie

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Histoire

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Grevilly et les villages du Haut-Mâconnais en 1759, d'après la carte de Cassini.

En 1581, Georges de Beauffremont, seigneur de Cruzille, obtint que cette seigneurie soit érigée en comté, « pour lui et ses hoirs mâles sans être sujet à la reversion au domaine et couronne en cas que ledit sieur de Beauffemont décédera sans enfants mâles ». Le comté comprenait Collonge, Sagy et Ouxy (sur l'actuelle commune de Cruzille) ainsi que Gratay, Cruzille, Grevilly et Ozenay.

1790 : à la création des cantons, la commune de Grevilly est rattachée au canton de Tournus. Quelques années plus tard, tout comme Chardonnay et Montbellet, Grevilly sera rattachée au canton de Lugny.

1972 : création du syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) du canton de Lugny (siège en mairie de Lugny), auquel adhèrent Grevilly et treize autres communes du Haut-Mâconnais, avec pour objet : la couverture des dépenses d'investissement et de fonctionnement du collège de Lugny, la réalisation d'une maison de retraite, la création et le fonctionnement de tous services sociaux (tels que dispensaire, aide à domicile par exemple), la réalisation de travaux d'assainissement, le ramassage d'ordures ménagères et l'entretien de la voirie communale[16].

1993 : fondation de la communauté de communes du Haut-Mâconnais (avec Lugny pour siège), regroupant sept communes : Bissy-la-Mâconnaise, Burgy, Chardonnay, Cruzille, Grevilly, Lugny et Saint-Gengoux-de-Scissé. À cette première communauté de communes a succédé, le 1er janvier 2003, la communauté de communes du Mâconnais - Val de Saône (siège à Lugny), résultant de la fusion de trois intercommunalités (celles du Haut-Mâconnais, de la Haute-Mouge et du Mâconnais-Val de Saône) et totalisant une population de 7 336 habitants.

 : rattachement des communes de Grevilly et de Cruzille, qui disposaient jusque-là d'une compagnie de sapeurs-pompiers, au secteur du centre de secours de Lugny, entraînant la dissolution de la compagnie de Cruzille-Grevilly.

Politique et administration

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Administration municipale

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Mairie.

La commune de Grevilly, dont le conseil municipal est composé de sept membres (maire, adjoints au maire et conseillers municipaux), a, depuis , Patrice Raguet pour maire (élu à l'automne 2020, après la démission en juillet de François Chevalier, qui avait été réélu pour un 3e mandat).

Liste des maires

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Antérieurement, Grevilly a notamment eu pour maires :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1810   Claude Canot    
juin 1818   Jean Mulsey    
1832   Jacques Meunier    
1843   Joachim Gaudet    
août 1848   Philibert Billebot    
1849   Claude Couturier    
1853 1856 Joachim Gaudet    
1856 1860 Joseph Rivet (?)    
1860 1861 Philibert Billebot    
1865 1883 Joseph Rivet    
1884   Ernest de Benoist de Gentissart    
1919   Benoît Ravier    
1939   Jean-Baptiste Couturier    
1944 1957 Etienne Chaffanjon    
    André Billard    
  mars 1989 Mme de Benoist de Gentissart    
mars 1989 juin 1995 Jean Chevalier   Agriculteur, installé à Grevilly en 1952.
Décoré de la médaille d'honneur régionale, départementale et communale (vermeil) à Grevilly en septembre 1995.
Était entré au conseil municipal en 1965, élu adjoint au maire en 1983.
Décédé en décembre 1998.
juin 1995 2002
(démission)
Michèle Desseigne   Réélue en mars 2001.
Démissionne pour raisons de santé, et devient 2e adjoint au maire.
janvier 2003 juillet 2020
(démission)
François Chevalier / Élu maire après avoir été premier adjoint au maire. Réélu en 2008 et 2014 et 2020.
Démissionne en juillet 2020.
octobre 2020 en cours Patrice Raguet / Retraité de la métallurgie.
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité et canton

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Intercommunalité

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Grevilly, après avoir appartenu à la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône (siège à Lugny), relève depuis le 1er janvier 2017 de la communauté de communes du Mâconnais-Tournugeois (siège à Tournus), à la suite de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (cette nouvelle communauté résulte de la fusion de deux communautés de communes : la communauté de communes du Tournugeois qui regroupait douze communes du Tournugeois et la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône qui regroupait douze communes du Haut-Mâconnais).

Cette communauté de communes est gérée par un conseil communautaire composé de quarante et un membres représentant chacune des communes adhérentes (et élus pour une durée de six ans), conseil au sein duquel Grevilly, à l'instar de toutes les autres communes de l'intercommunalité, dispose d'un représentant unique (exception faite de Lugny, Clessé, Viré et Montbellet représentés par deux délégués et de la ville de Tournus qui en totalise treize).

Depuis 2020 (et jusqu'en 2026), le délégué représentant Grevilly au sein de ce conseil communautaire est Patrice Raguet (maire).

Grevilly, commune qui relevait du canton de Lugny depuis 1790, appartient depuis 2015 au canton de Tournus, à la suite du nouveau découpage territorial de Saône-et-Loire entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015 (découpage défini par le décret du 18 février 2014[17], en application des lois du 17 mai 2013).

Sécurité

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L'unité de gendarmerie à laquelle la commune de Grevilly est rattachée est la brigade de Lugny.

Avec Lugny, Saint-Gengoux-de-Scissé, Bissy-la-Mâconnaise, Cruzille et Burgy (ainsi que, depuis juin 2023, une partie des villages de Viré et de Montbellet), la commune de Grevilly relève du secteur d'intervention des sapeurs-pompiers du centre d'incendie et de secours de Lugny.

Enseignement

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Pour l'enseignement secondaire, Grevilly, avec dix-huit autres communes, relève de la carte scolaire du collège « Victor Hugo » de Lugny.

Démographie

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Les habitants de Grevilly s'appellent les Grevillons.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 27 habitants[Note 2], en évolution de −22,86 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
127126141139135164185169174
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
151165185172174174147124115
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
116121118957671707069
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
575453454237363635
2014 2019 2021 - - - - - -
353027------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique
 
Les vignobles du Mâconnais.

Vignoble

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Lieux et monuments

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  • L'église romane Saint-Martin. Datant du premier quart du XIIe siècle, l'édifice est « ancré » dans le flanc de la colline, un peu à l'écart du village. Sa façade est à l'ouest et le chœur est tourné vers l'est. L'église fait partie des cinquante-sept églises du diocèse d'Autun dédiée à saint Martin. Le site (église, cimetière et mur de pierres sèches) a été inscrit au titre des Monuments historiques par arrêté du 24 mars 1942[22]. Au sud a été ajoutée au XIXe une chapelle plafonnée ayant usage de sacristie. L’intérieur de l'église a été restauré en 1978 et l'extérieur en 1994.
  • La croix de pierre dressée dans le cimetière, qui date de 1872 et sur laquelle est gravée l’inscription latine « Requiem aeternam Dona eis Domine » (« Seigneur, accorde-leur le repos éternel »).

Niveau randonnée, Grevilly est traversé par l'un des 17 circuits balisés mis en place en 2022-2023 (sur 58 communes de Saône-et-Loire) par plusieurs intercommunalités au sein du territoire du Massif Sud Bourgogne, intitulé Le Mâconnais panoramique (16,1 kilomètres, 357 mètres de dénivelé, départ rue de l'Abreuvoir à Lugny)[23].

 

Après la Révolution, Grevilly cessa d'être paroisse. En 1795, lors du rétablissement du culte, la commune, à la demande de ses habitants, fut desservie par Pierre Maréchal, curé de Lugny de 1767 à 1803. Elle fut ultérieurement rattachée à Cruzille pour le culte (commune où, désormais, furent célébrés les offices, donnés les sacrements et faites les inhumations des Grevillons).

Grevilly appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Notre-Dame-des-Coteaux en Mâconnais, paroisse qui a son siège à Lugny et qui regroupe la plupart des villages du Haut-Mâconnais.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Gisèle Couturier, « Grevilly au fil du temps... », 1995 (312 pages).
  • « La ronde des « Brigands » en Haut-Mâconnais », Vive 89, 1990. Ouvrage collectif de cent quarante-cinq pages édité par l'association ayant organisé en 1989 dans le canton de Lugny les festivités du bicentenaire de la Révolution française : ouvrage traitant de la révolte des Brigands en Haut-Mâconnais en 1789.
  • Gisèle Couturier, Jean-Paul Geoffroy, Augustin de Benoist, Le chapitre de l'église royale et collégiale de Saint-Philibert de Tournus face aux habitants de Grevilly sous l'Ancien Régime, à la charnière des XVIIe et XVIIIe siècles, bulletin de la Société des amis des arts et des sciences de Tournus, tome CXVIII, Tournus, 2019, pp. 31–56. (ISSN 0153-9353).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Voyage à la découverte de nos communes », article de Fernand Nicolas paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 100 de mars 1995, pages 20 à 27.
  2. https://www.vins-bourgogne.fr/nos-savoir-faire/femmes-et-hommes-passionnes/de-benoist-alexis-artisan-vigneron-grevilly-71700,2397,9211.html?&args=Y29tcF9pZD0xNDA2JmFjdGlvbj12aWV3RmljaGUmaWQ9VklOQk9VMDAwVjUwM05HMyZ8 Les pages consacrées aux producteurs de vin sur le site internet du bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Grevilly et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune de Grevilly ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Après sept ans de travail, le Plan d'urbanisme a été adopté », article signé Florent Muller paru dans Le Journal de Saône-et-Loire daté du 23 décembre 2023.
  16. Par arrêté préfectoral du 19 mai 1972.
  17. Décret no 2014-182 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de Saône-et-Loire.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Site d’intérêt historique et paysager régional situé près du sommet d’un des monts de la chaîne du Mâconnais, d'où on découvre une belle vue sur les vallées alentour et sur le bourg de Brancion. Source : fiche intitulée « Église, cimetière avec ses plantations de sapins et mur de clôture » (https://piece-jointe-carto.developpement-durable.gouv.fr/REG043B/DOCS/SITES/SC_71_031_fiche.pdf).
  23. Projet portant sur environ 750 kilomètres d'itinéraires mené à bien par les communautés de communes « Entre Saône et Grosne » (Sennecey-le-Grand), du Mâconnais-Tournugeois (Tournus) et du Clunisois (Cluny), rejointes par la communauté d'agglomération Mâconnais Beaujolais Agglomération. Source : « La terre de randonnée du Massif Sud Bourgogne prend forme », article de Florent Muller paru dans Le Journal de Saône-et-Loire daté du 24 avril 2022.
  24. Il termina sa carrière d'officier général en tant que directeur du matériel de la 1re région militaire. Il était chevalier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite, titulaire de la croix de guerre 1939-1945, des palmes académiques et du Mérite agricole. Il fut notamment président de la Société des amis des arts et des sciences de Tournus et membre titulaire de l'Académie de Mâcon.