Gennes (Maine-et-Loire)

ancienne commune française du département de Maine-et-Loire

Gennes est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Gennes-Val de Loire[1], puis, le , de Gennes-Val-de-Loire[2].

Gennes
Gennes (Maine-et-Loire)
Blason de Gennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Commune Gennes-Val-de-Loire
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Mathieu Cithiraivadivel
2021-2026
Code postal 49350
Code commune 49149
Démographie
Gentilé Gennois
Population 2 254 hab. (2013)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 20′ 30″ nord, 0° 13′ 54″ ouest
Altitude 29 m
Min. 22 m
Max. 98 m
Superficie 32,52 km2
Élections
Départementales Doué-la-Fontaine
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Gennes-Val-de-Loire
Localisation
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Gennes

Géographie

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Localisation

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Commune du nord Saumurois, Gennes est un village d’Anjou situé sur la rive gauche de la Loire, qui se trouve en face des Rosiers-sur-Loire, sur la route D 751, Saint-Georges-des-Sept-Voies - Chênehutte-Trèves-Cunault[3], au cœur du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine.

 
Pont des Rosiers-sur-Loire, reliant Gennes à la commune des Rosiers-sur-Loire.

Aux alentours

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Les communes les plus proches sont Les Rosiers-sur-Loire (1 km), Saint-Clément-des-Levées (4 km), Le Thoureil (4 km), Saint-Georges-des-Sept-Voies (4 km), Saint-Martin-de-la-Place (7 km), Chênehutte-Trèves-Cunault (7 km), La Ménitré (7 km), Louerre (9 km), Saint-Rémy-la-Varenne (9 km) et Grézillé (9 km)[4].

Géologie et relief

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Son territoire se situe sur les unités paysagères du Val d'Anjou et du Plateau du Saumurois[5].

Toponymie et héraldique

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Toponymie

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Héraldique

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  Blason
De sable, à la salamandre d'or dans sa patience de gueules. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur sable).
Détails
.
.

Histoire

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Histoire antique

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Carrefour de deux voies romaines, Gennes comporte d'importantes ruines gallo-romaines, un amphithéâtre et un nymphée.

À l'époque féodale, la seigneurie relevait en bonne part des sires de Trèves, selon Célestin Port[6].

Histoire contemporaine

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Gennes a été le théâtre de combats acharnés les 18, 19 et entre les troupes allemandes et les élèves officiers de l'école de cavalerie de Saumur, appuyés par des tirailleurs algériens. Des marques de combats sont encore visibles sur les murs de tuffe des bâtiments les plus exposés de la ville, d'autant plus que certains d'entre eux servirent de retranchement aux troupes françaises.

La défense du pont étant sans espoir, décision fut prise de le faire sauter dès l'apparition des premières troupes allemandes aux Rosiers-sur-Loire, ce qui isola sur une île une partie des défenseurs. Le pont, qui ne fut reconstruit que plusieurs années après la fin du conflit, fut provisoirement remplacé par quelques bateaux. Un projet de téléphérique n'aboutit pas faute de moyens puis de temps.

Le clocher de l'église, sérieusement endommagé par les tirs de l'artillerie allemande basée sur la rive droite de la Loire, dut être reconstruit, semble-t-il de travers, après la bataille. La controverse perdit de son importance lors de la Libération puisque le clocher fut endommagé plus gravement encore en 1944 et à nouveau restauré.

Parmi les pertes à déplorer lors de ce conflit se trouvent trois civils gennois d'une même famille, déportés et tous tués après que l'un des leurs ait participé à un réseau de passeurs clandestins.

En , Gennes intègre la commune nouvelle de Gennes-Val de Loire, regroupant cinq des dix communes membres de la communauté de communes du Gennois, dont la création est officialisée par arrêté préfectoral du [1], puis celle de Gennes-Val-de-Loire en 2018[2].

Politique et administration

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Administration municipale

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Administration actuelle

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Depuis le Gennes constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Gennes-Val-de-Loire et dispose d'un maire délégué[2].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 mai 2020 Jean-Yves Fulneau[7]    
mai 2020 septembre 2021 Teddy Lochard[8]    
septembre 2021   Mathieu Cithiraivadivel[9],[10]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1919 1927
(décès)
René Charrier Rad. Conseiller général de Gennes (1925 → 1927)
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1953 Joseph Cocard
(1909-1995)
DVD Notaire, directeur de l'ESSCA
Conseiller général de Gennes (1945 → 1973)
1965 1995 André Courtiaud DVD Pharmacien
Conseiller général de Gennes (1973 → 1992)
1995 mars 2001 Jacques Bossoutrot DVD Chef d'entreprise
Conseiller général de Gennes (1992 → 1998)
mars 2001 décembre 2015 Jean-Yves Fulneau[11] DVD Retraité

Tendances politiques et résultats

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Ancienne situation administrative

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Intercommunalité

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La commune était membre de la communauté de communes du Gennois[12], elle-même membre du syndicat mixte Pays de Loire en Layon.

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, Gennes est chef-lieu du canton de Gennes, et fait partie de l'arrondissement de Saumur[13]. Ce canton compte alors dix communes. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Doué-la-Fontaine, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[14].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 2 254 habitants, en évolution de +15 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8001 4551 5241 5811 6191 7271 6881 6221 564
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7771 7131 7581 6881 7051 6131 6521 6941 566
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5161 4861 4351 3121 2351 3621 2851 4321 476
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2013
1 4571 4471 5921 7341 8671 9461 9522 1482 254
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 47,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,1 %, 15 à 29 ans = 15 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 21,9 %, plus de 60 ans = 26,3 %) ;
  • 52,2 % de femmes (0 à 14 ans = 18,9 %, 15 à 29 ans = 11,5 %, 30 à 44 ans = 17,1 %, 45 à 59 ans = 21 %, plus de 60 ans = 31,6 %).
Pyramide des âges à Gennes en 2008 en pourcentage[19]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90  ans ou +
3,1 
10,8 
75 à 89 ans
13,9 
14,2 
60 à 74 ans
14,6 
21,9 
45 à 59 ans
21,0 
18,6 
30 à 44 ans
17,1 
15,0 
15 à 29 ans
11,5 
18,1 
0 à 14 ans
18,9 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[20].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Enseignement

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La ville de Gennes compte un collège. Remis à neuf et rouvert en 2006, le collège Paul-Éluard est le premier collège environnemental de Maine-et-Loire.[réf. nécessaire]

Gennes possède également deux écoles qui font: maternelle et élémentaire. Une privée située près de l'église Saint Véterin. L'autre,l'école Jules Verne, qui est publique, près du Cimetière municipal de Gennes.

Économie

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Sur 181 établissements présents sur la commune à fin 2010, 14 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 11 % du secteur de la construction, 51 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[21].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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De nombreux dolmens et autres mégalithes sont présents dans la commune. On note de plus un amphithéâtre gallo-romain du Ier siècle et un Nymphée gallo-romain, temple des déesses aquatiques, Gennes étant situé sur un des points de franchissement de la Loire, à la jonction de plusieurs voies romaines.

Sur les hauteurs de la ville, au pied de l'église Saint-Eusèbe, se trouve le mémorial et les tombes des cadets de Saumur et de leurs camarades tirailleurs algériens, tués lors des combats de juin 1940.

Monuments historiques :

Autres monuments :

  • Manoir de Grissay ; du XIIIe siècle, remanié au XVe siècle. Grande salle complétée par une petite aile annexe et d'une grande tour d'escalier en vis avec chambre haute[22] ;
  • Manoir de la Harielle ;
  • Manoir de Mardron.

Milly-le-Meugon

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Milly-le-Meugon, petit village rattaché administrativement à la commune de Gennes, appartint autrefois à la famille de Maillé-Brézé, alliée au Grand Condé (par sa femme Claire-Clémence) et au cardinal de Richelieu.

Le château de Milly (XIXe siècle surtout - ISMH) tire son origine d'une tour de guet médiévale (XVe siècle), dont les ruines sont encore visibles. Certains communs, notamment les écuries, ainsi qu'une porte d'honneur remontent au XVIe siècle.

Lors de l'invasion allemande de 1940, l'église de Milly fut un bref moment le point de rassemblement des défenseurs de Gennes et de ses ponts.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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  • Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 34649310, lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. a et b « Arrêté no DRCL-NCL-2015-62 en date du 5 octobre 2015 », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 74,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. a b et c « Arrêté no DRCL-BI-2017-33 », sur Préfecture de Maine-et-Loire, (consulté le ).
  3. IGN et BRGM, Géoportail Gennes (49), consulté le 4 septembre 2012.
  4. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Gennes (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 4 septembre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  5. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 57 — Données consultables sur WikiAnjou.
  6. Dictionnaire de Maine-et-Loire, t. II, 1876, p. 245-249.
  7. « Mairie déléguée de Gennes », sur Mairie de Gennes-Val-de-Loire (consulté le ).
  8. « L'équipe municipale », sur Mairie de Gennes-Val-de-Loire, (consulté le ).
  9. « Gennes-Val-de-Loire. Le nouveau conseil municipal élit Nicole Moisy maire », sur Le Courrier de l'Ouest, .
  10. « L’équipe municipale », sur Mairie de Gennes-Val-de-Loire, (consulté le ).
  11. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
  12. Insee, Composition de l'EPCI du Gennois (244900767), consulté le 7 septembre 2013.
  13. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Gennes (49), consultée le 7 mars 2015.
  14. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  15. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  19. « Évolution et structure de la population à Gennes en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Insee, Statistiques locales du territoire de Gennes (49), consultées le 7 avril 2013.
  22. Emmanuel Litoux, « Les résidences seigneuriales angevines à la lumière de l'archéologie du bâti », Dossiers d'archéologie, no 404,‎ , p. 50 à 55 (ISSN 1141-7137).
  23. Julian Barnes, Something to Declare, Alfred A. Knopf, 2002, p. 251