Gare de Kichompré

gare française

La gare de Kichompré était une gare ferroviaire française de la ligne de Laveline-devant-Bruyères à Gérardmer, située à Kichompré sur le territoire de la commune de Gérardmer dans le département des Vosges en Lorraine.

Kichompré
Image illustrative de l’article Gare de Kichompré
Vue générale de la gare, vers 1900.
Localisation
Pays France
Commune Gérardmer
Village Kichompré
Adresse Chemin des Feutres
88401 Gérardmer
Coordonnées géographiques 48° 05′ 29″ nord, 6° 53′ 07″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Services fermée
Caractéristiques
Ligne(s) Laveline-devant-Bruyères à Gérardmer
Altitude 626 m
Historique
Mise en service 29 juin 1878
Fermeture entre 1945 et 1988
Géolocalisation sur la carte : Vosges
(Voir situation sur carte : Vosges)
Kichompré
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
(Voir situation sur carte : Grand Est)
Kichompré
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Kichompré

Elle est mise en service en 1878 par la compagnie des chemins de fer des Vosges, avant de devenir une gare de la Compagnie des chemins de fer de l'Est en 1883. Elle est fermée entre 1945 et 1988 par la Société nationale des chemins de fer français (SNCF).

Situation ferroviaire

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Établie à 626 mètres d'altitude, la gare de Kichompré est située au point kilométrique (PK) 14,9 de la ligne de Laveline-devant-Bruyères à Gérardmer (non exploitée), entre les gares voyageurs fermées de Granges et de Gérardmer.

Avant sa fermeture elle était devenue une simple halte de pleine voie[1].

 
Panorama du village vers 1900, la gare est sur la droite avant l'église.

Histoire

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La « gare de Kichompré » est mise en service le [2] par la compagnie des chemins de fer des Vosges lorsqu'elle ouvre à l'exploitation la section de Granges à Gérardmer. Elle dessert un village qui compte quelques usines, dans l'une on produit de la « toile des vosges »[3], et un hôtel est à côté des installations ferroviaire[4].

Au début des années 1900, la gare possède un bâtiment voyageurs avec un étage, une halle à marchandises et une voie de débord (voir photo dans l'infobox).

En 1961 elle est devenue une simple halte[1], elle est fermée après 1945 et avant 1988[5].

Service des voyageurs

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La gare est fermée depuis 1988. La gare ouverte la plus proche où circule encore des trains entre Saint-Dié et Arches est désormais celle de Bruyères située à 19 km.

Notes et références

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  1. a et b Carnet de profils SNCF région EST, fasc. 1.18, 1961
  2. André Schontz, Arsène Felten, Marcel Gourlot, Le chemin de fer en Lorraine, éditions Serpenoise, 1999, pp. 81-82
  3. Jean-Marc Dupuy, Gares et Tortillards de Lorraine, éditions Cheminements, 2009 (ISBN 9782360370016), p. 193 extrait (consulté le 3 août 2012).
  4. Karl Baedeker, Le Nord de la France jusqu'à la Loire excepté Paris: manuel du voyageur, K. Baedeker, 1887, p. 285 extrait (consulté le 3 août 2012).
  5. Association TGV2V, « Rappel sur notre ligne », dans lettre d'information, n°6, p. 4 lire (consulté le 3 août 2012).

Voir aussi

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Articles connexes

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Lien externe

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