Gabrielle Lange
actrice de cinéma muet
Gabrielle Victoire Poing dite Gabrielle Lange, née le dans le 11e arrondissement de Paris[1] et morte le dans le 10e arrondissement[2], est une chanteuse et une actrice française de cinéma de la période du muet.
Gabrielle Lange
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Gabrielle Victoire Poing |
Nationalité | |
Activités |
Distinction |
---|
Biographie
modifierThéâtre
modifier- 1887 : Les P'tits Lapins, opérette en 1 acte de Julien Sermet et Ernest Lévy, musique d'Albert Petit, au Concert de l'Horloge (18 juin)
- 1891 : Le Diner de Madelon, ou le Bourgeois du Marais, comédie-vaudeville en 1 acte de Désaugiers, aux Folies Bergère (avril) : la soubrette
- 1891 : Coco-Bel-Œil, ou les Français à Milan, opérette militaire en 1 acte de Louis Péricaud et Lucien Delormel, musique de Lucien Collin, aux Folies Bergère (2 mai) : Margarita
- 1891 : Monsieur Nounou, comédie-vaudeville en 1 acte de Georges Feydeau et Maurice Desvallières, à l'Eldorado (1er septembre)
- 1892 : Rouen s'amuse, revue locale en 2 actes de Joseph Lenègre et Étienne Rey, aux Folies Bergère de Rouen (janvier-avril)
- 1894 : Paris-Trianon, revue en 2 actes et 3 tableaux d'Adrien Vély et Alévy, au Trianon-Concert (31 juillet)
- 1894 : Retour au pays, pantomime de Jean d'Arc, musique d'Édouard Deransart, au théâtre des Ambassadeurs (22 aout)
- 1894 : Les Hussards bleus, opérette-vaudeville en 2 actes et 3 tableaux d'Ernest Depré, musique de Charles Thony, au Trianon-Concert (7 novembre): la Fatma
- 1894 ; La Petite Gismonda, parodie en 1 acte d'Adrien Vély et Alévy, au Trianon-Concert (décembre) : Bishménéné
- 1894 : La Perruche de ma femme, vaudeville-opérette en 1 acte de Fernand Perrault et Victor Maty, au Trianon-Concert (8 décembre)
- 1895 : Paris-Montmartre, revue en 2 actes et 6 tableaux d'Adrien Vély et Alévy, musique de Charles Thony, au Trianon-Concert (8 juin)
- 1895 : Le Gazier, comédie en 1 acte de Raoul Toché, à la Gaîté-Rochechouart (septembre)
- 1895 : Les Jocrisses du divorce, comédie-vaudeville en 3 actes d'Ambroise Janvier et Marcel Ballot, au théâtre des Menus Plaisirs (31 octobre) : Mme Thibault-Lathuile
- 1897 : Si qu'on irait ?, revue en 2 actes et 6 tableaux de Paul Gavault et Victor de Cottens, musique d'Édouard Deransart, à la Gaîté-Rochechouart (6 janvier)[3]
- 1898 : Les Pensionnaires au Vésuve, opéra-bouffe de Jules Ulrich, musique de Francis Darfons[4], à la Gaîté-Montparnasse (13 mars)
- 1899 : A la Cigale, général ! A la Cigale !, revue en 2 actes et 4 tableaux de P.-L. Flers, musique de Paul Monteux-Brisac, à la Cigale (27 juillet)
- 1900 : La D'moiselle de chez Maxim, folie-parodie en 1 acte et 3 tableaux de Gardel-Hervé d'après la pièce de Georges Feydeau (28 mai)
- 1902 : Claudine en vadrouille, pièce en 4 tableaux de Trébla et Saint-Cyr, musique de Laurent Halet, à Parisiana (mai)
- 1903 : Cabriole, fantaisie-opérette en 2 actes et 6 tableaux de P.-L. Flers et Alévy, musique de Laurent Halet, à Parisiana (14 janvier)
- 1903 : L'Oncle Célestin, opérette-bouffe en 3 actes de Maurice Ordonneau et Henri Kéroul, musique d'Edmond Audran, à Parisiana (21 mai)
- 1907 : Les Colles de la femme, fantaisie-vaudeville en 3 actes et 5 tableaux d'Eugène Joullot, musique de Colo-Bonnet[5], à Parisiana (12 avril) : la cochère
- 1907 : La Plage d'Amour, fantaisie-vaudeville en 2 actes d'Eugène Joullot et Raphaël Adam, musique de Colo-Bonnet, à Parisiana (24 août)
- 1907 : Bidouille, vaudeville militaire en 2 tableaux de Géo Charley et Félix Celval[6], à l'Eldorado (24 septembre)
- 1907 : Y a des Fez, revue en 2 actes et 8 tableaux de Fabrice Lémon et Georges Arnould, à l'Eldorado (décembre)
- 1908 : L'Amour, Mesdames !, fantaisie en 2 tableaux d'Aristide Bruant et Eugène Joullot, à l'Eldorado (29 janvier)
- 1908 : Le petit babouin, pièce en 1 acte d'Antoine Michot, à l'Eldorado (février)
- 1908 : Cinq minutes d'amour, fantaisie-opérette de Charles Esquier, musique d'Henri Christiné, à la Scala (28 février)[7]
- 1908 : V'là du renouveau, revue de printemps de Paul Ardot[8] et Albert Laroche, musique de Raphaël Beretta[9], à la Scala (17 avril) : la conférencière[10]
- 1908 : La Pension Michonnet, opérette à grand spectacle en 2 actes et 4 tableaux de Fernand Beissier, musique de François Perpignan, à l'Eldorado (11 mai)
- 1908 : Le Voyage en Chine, opéra-comique en 3 actes d'Eugène Labiche et Alfred Delacour, musique de François Bazin, au théâtre des Variétés (juillet) : Mme Pompéry
- 1908 : As-tu vu mon nu ?, revue en 3 tableaux de Max Viterbo et Jules Moy, au théâtre des Ambassadeurs (1er août) : la Femme / Madame[11]
- 1908 : Chanteclairette, opérette en 2 actes et 6 tableaux de Jean Roby et Édouard-Paul Lafargue, musique de Willy Redstone[12], à la Scala (9 septembre)[13]
- 1908 : Partie fine, comédie de Maurice de Féraudy, à la Scala (octobre)
- 1908 : Avec un peu d'sauce, revue en 2 actes et 10 tableaux de Fabrice Lémon et Jacques Bousquet, à l'Eldorado (10 novembre)
- 1908 : La Môme Flora, opérette en 2 actes de Maurice Ordonneau et André Pradels, musique de Frédéric Toulmouche, à la Scala (26 décembre)
- 1909 : Javel-les-Eaux, vaudeville-opérette en 1 acte et 2 tableaux d'Alfred Vercourt[14] et Jean Béver[15], musique de Géo Clarett[16], à l'Eldorado (mars) : Mme Daudoit
- 1909 : La Revue de l'Eldo, revue en 10 tableaux de Paul Ardot et Albert Laroche, à l'Eldorado (12 avril)
- 1909 : Qué qu' tu m' lègues ?, revue en 2 actes et 18 tableaux de Fabrice Lémon[17] et G. Barnol, musique de François Jacotot, à l'Eldorado (octobre) : Mme Azeff[18]
- 1909 : Poléon, fantaisie historique en 2 actes et 3 tableaux d'Alfred Vercourt et Jean Béver, musique de Géo Clarett, à l'Eldorado (3 décembre) : la reine d'Espagne
- 1910 : Ohé ! Caroline !, revue en 2 actes et 8 tableaux de Géo Charley et Félix Celval, musique de Jacotot, à l'Eldorado (2 février)
- 1910 : Moumoutte, vaudeville en 2 actes d'Henri Kéroul et Albert Barré, à l'Eldorado (septembre)
- 1910 : R'mettez-nous ça !, revue en 2 actes et 12 tableaux de Léon Abric et Georges Arnould, musique de Léon Dequin[19], à l'Eldorado (novembre) : Marianne / la cheffe d'orchestre des Gardes républicains[20]
- 1911 : Le Mystérieux Jimmy, pièce policière en 3 actes et 4 tableaux d'Yves Mirande et Henri Géroule, adaptation française de la pièce américaine Jimmy Valentine de Paul Armstrong, au théâtre de la Renaissance (27 juin) : la tante
- 1911 : Réformé, pièce militaire en 3 tableaux d'Alfred Vercourt et Jean Béver, à l'Eldorado (octobre) : tante Floche
- 1912 : Mes bottes, vaudeville militaire en 2 actes d'Alfred Vercourt et Jean Béver, à l'Eldorado (14 septembre)
- 1913 : Florimond, sketch en 1 acte de Gus Bofa et André Mycho, à l'Eldorado (22 mars)[21]
Filmographie partielle
modifier- 1908 : Une bonne soupe de Maurice de Féraudy
- 1909 : Le Mannequin de Camille de Morlhon
- 1909 : Aloÿse et le ménestrel de Charles Torquet
- 1909 : Un cambrioleur ingénieux d'un réalisateur non identifié
- 1909 : Une bonne prévoyante d'un réalisateur non identifié
- 1909 : J'épouserai ma cousine d'un réalisateur non identifié
- 1909 : Au premier, à gauche d'Ernest-Maurice Laumann[22],[23]
- 1909 : Le mariage de la cuisinière d'un réalisateur non identifié
- 1909 : Rigadin va dans le grand monde de Georges Monca
- 1910 : Max fait du ski de Lucien Nonguet & Louis J. Gasnier
- 1910 : Max manque un riche mariage de Lucien Nonguet
- 1910 : Rigadin rapin de Georges Monca
- 1910 : Fâcheuse Méprise d'Albert Capellani
- 1910 : La Faute du notaire de Georges Denola
- 1910 : Rigadin n'est pas sage de Georges Monca
- 1910 : Rigadin cherche un engagement (ou L'Engagement de Rigadin) de Georges Monca
- 1910 : Max ne se mariera pas de Lucien Nonguet
- 1910 : Mannequin par amour de Georges Monca : Mme Pingouin[24]
- 1910 : Le Gendre ingénieux d'Henri Desfontaines
- 1910 : La Victime de Sophie (ou Victime de l'amour) d'Albert Capellani
- 1910 : Le Système du docteur Tranchelard de Georges Monca
- 1910 : Athalie d'Albert Capellani
- 1910 : Rigadin est fier d'être témoin (ou Rigadin témoin) de Georges Monca
- 1910 : Max a le feu sacré (ou Le feu sacré) de Lucien Nonguet
- 1910 : Rigadin tzigane de Georges Monca
- 1910 : Le Bon Roi Dagobert de Georges Monca
- 1910 : Le Clown et le Pacha neurasthénique (Le Pacha neurasthénique) de Georges Monca
- 1910 : L'Évadé des Tuileries (ou Une Journée de la Révolution) d'Albert Capellani
- 1910 : Lâché par sa femme (ou Monsieur et Madame boudent ou encore Rigadin lâché par sa femme) de Georges Monca
- 1910 : Le Premier Duel de Rigadin de Georges Monca
- 1910 : Les Timidités de Rigadin de Georges Monca
- 1910 : La Vengeance de la morte (ou Le Portrait) d'Albert Capellani
- 1910 : Max et sa belle-mère de Lucien Nonguet & Max Linder
- 1910 : Votre femme vous trompe (ou Rigadin, votre femme vous trompe) de Georges Monca
- 1911 : Le Roman d’une pauvre fille : la faute de Gérard Bourgeois
- Film en 5 parties
- 1 : Chez les parents de Louise
- 2 : La rencontre de l’ainé
- 3 : À l’atelier
- 4 : L’enlèvement en automobile
- 5 : Lettre d’adieu
- 1911 : Le Roman d’une pauvre fille : l’inconduite de Gérard Bourgeois
- Film en 7 parties
- 1 : La vie dorée
- 2 : Au music-hall
- 3 : Chez Maxim’s
- 4 : Abandonnée
- 5 : La ruine
- 6 : La mort de la mère
- 7 : Chassée !
- 1911 : Le Roman d’une pauvre fille : la déchéance de Gérard Bourgeois
- Film en 8 parties
- 1 : Une mauvaise rencontre
- 2 : Les faux monnayeurs
- 3 : Le flair de Nick Winter
- 4 : L’attaque nocturne
- 5 : L’affaire de la banque Hertzein
- 6 : La nuit sinsitre
- 7 : Dans les égouts
- 8 : La revanche de Nick Winter
- 1911 : Le Roman d’une pauvre fille : rédemption de Gérard Bourgeois
- Film en 10 parties
- 1 : Les Champs-Elysées
- 2 : Lingère
- 3 : La brasserie
- 4 : Bonne d’hôtel
- 5 : Accusée de vol
- 6 : La fuite
- 7 : Tentative de suicide
- 8 : Sauvée
- 9 : Le pardon
- 10 : Le retour au devoir
- 1911 : Victimes de l'alcoolisme (ou Les Victimes de l'alcool) de Gérard Bourgeois
- 1911 : Rigadin se marie de Georges Monca
- 1911 : Cœur de bohémienne de Gérard Bourgeois
- 1911 : Max veut faire du théâtre de René Leprince et Max Linder
- 1911 : Rigadin se trompe de fiancée de Georges Monca
- 1911 : Max victime du quinquina de Max Linder
- 1911 : L'Ombrelle de Georges Monca
- 1911 : Le Prix de vertu d'Albert Capellani
- 1911 : Rigadin ne sortira pas (ou Rigadin ne peut pas sortir) de Georges Monca
- 1911 : Rigadin n'aime pas le vendredi 13 (ou Rigadin n'a pas de chance) de Georges Monca
- 1911 : Rigadin fait de la contrebande de Georges Monca
- 1911 : Un glorieux sauvetage de Georges Monca
- 1911 : Rigadin est un voleur de Georges Monca
- 1911 : Le Mariage aux épingles de Georges Monca
- 1911 : La Suggestion du baiser (ou L'Envie d’embrasser) de Georges Monca
- 1911 : Rigadin est hypnotisé de Georges Monca
- 1911 : La Ruse de Miss Plumcake (ou À qui l’héritière ?) de Georges Denola
- 1911 : Rigadin pharmacien de Georges Monca
- 1911 : Les Terreurs de Rigadin de Georges Monca
- 1911 : Un monsieur qui a un tic d'Albert Capellani
- 1911 : Moderne Galathée de Georges Denola
- 1911 : Little Moritz chasse les grands fauves d'Alfred Machin
- 1911 : La Femme-cochère d'Henri Desfontaines
- 1911 : Max amoureux de la teinturière de Max Linder
- 1912 : Sa majesté Grippemiche de Georges Denola
- 1912 : La Fille des chiffonniers de Georges Monca[25]
- 1912 : À bas les hommes de Maurice Le Forestier
- 1912 : Max peintre par amour (ou Peintre par amour) de Max Linder
- 1912 : Le Succès de la prestidigitation (ou Max escamoteur) de Max Linder
- 1912 : Max cocher de fiacre de Max Linder
- 1912 : Rigadin nègre malgré lui (ou Le Nègre blanc) de Georges Monca
- 1912 : Les Surprises du divorce de Georges Monca : Mme Bonnivard[26]
- 1912 : Rigadin peintre cubiste de Georges Monca
- 1912 : La Garçonnière de Rigadin de Georges Monca
- 1912 : La Petite Fonctionnaire de Georges Denola
- 1912 : Le Contrôleur des wagons-lits de Charles Prince[27]
- 1912 : Rigadin et la Poudre d'amour de Georges Monca
- 1912 : Monsieur le Directeur de Charles Prince
- 1912 : Les Conquêtes de Rigadin de Georges Monca
- 1912 : Rigadin domestique (ou Rigadin fait du chantage) de Georges Monca
- 1912 : Le Cauchemar de Rigadin de Georges Monca
- 1912 : Les Cendres de Rigadin de Georges Monca
- 1912 : Cœur de femme de René Leprince & Ferdinand Zecca
- 1913 : Rigadin trahi par un baiser de Georges Monca
- 1913 : Rigadin cherche une place de Georges Monca
- 1913 : Rigadin marchand de marrons de Georges Monca
- 1913 : Trois femmes pour un mari de Charles Prince
- 1913 : La Natte de Rigadin de Georges Monca
- 1913 : Le Bon Juge de Georges Monca & Charles Prince
- 1913 : Rigadin au téléphone de Georges Monca
- 1913 : Le Roi Koko de Charles Prince
- 1913 : Max virtuose de Max Linder
- 1913 : Le Fils à papa de Charles Prince[28]
- 1913 : Rigadin reçoit deux jeunes mariés de Georges Monca
- 1913 : Le Coup de fouet de Charles Prince
- 1913 : Ferdinand le noceur de Charles Prince
- 1913 : Rigadin, dégustateur en vins de Georges Monca
- 1913 : Rigadin et Falempin de Georges Monca
- 1913 : Rigadin fait un riche mariage de Georges Monca
- 1913 : Rigadin dompte sa belle-mère de Georges Monca
- 1913 : Rigadin est mal conseillé de Georges Monca
- 1913 : Sur le balcon de Rigadin de Georges Monca
- 1913 : Un complot contre Rigadin de Georges Monca
- 1914 : Max au couvent de Max Linder
- 1914 : Bébé de Charles Prince
- 1914 : Max pédicure de Max Linder
- 1914 : Rigadin professeur de danse de Georges Monca
Récompenses et distinctions
modifier- Officier d'Académie (arrêté ministériel du 28 mai 1911)[29].
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- À travers les cafés-concerts : Gabrielle Lange, article paru dans le journal Le Grand illustré du 23 février 1896[30].
- Catalogue des films français de fiction de 1908 à 1918, par Raymond Chirat et Éric Le Roy, éditions de la Cinémathèque française, 1995.
Liens externes
modifier
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Films liés à Gabrielle Lange sur CinéRessources.net
Notes et références
modifier- Acte de naissance à Paris 11e, n° 993, vue 14/31.
- Acte de décès à Paris 10e, n° 1350, vue 1/31.
- Soirée parisienne. Gaîté-Rochechouart. La Petite presse, 7 janvier 1897, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- Pseudonyme du compositeur François Perpignan (1864-1942).
- Antoine Bonnet dit Colo-Bonnet (1864-1940). Officier d'Académie (1910) et officier de l'Instruction publique (1922). Parfois orthographié Collo-Bonnet ou Collot-Bonnet.
- Paul Edme Sébastien Félix Calvel dit Félix Celval (Toucy 1869-Lanzac 1947), journaliste et auteur dramatique.
- A la Scala. Cinq minutes d'amour. Comoedia, 1er mars 1908, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- Paul Samuel Cohen dit Paul Ardot (Paris 1885-Arcachon 1917), acteur et auteur dramatique.
- Raphaël Beretta (Lisieux 1864-Saint-Brice-sous-Forêt 1933), compositeur et chef d'orchestre, a été également administrateur de théâtre.
- A la Scala. V'là du renouveau ! Comoedia, 18 avril 1908, pp. 1-2, à lire en ligne sur Gallica.
- Aux Ambassadeurs. Comoedia, 2 août 1908, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- Willy Rottenstein dit Redstone (Deuil-la-Barre 1883-Sidney 1949), compositeur et chef d'orchestre français naturalisé australien.
- La réouverture de la Scala. Chanteclairette. Comoedia, 10 septembre 1908, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- Alfred Leblan dit Vercourt (Vincennes 1887-Neuilly-sur-Seine 1947), auteur dramatique, parolier, librettiste. Membre de la Société des auteurs dramatiques.
- Jules Jean Dansaert dit Jean Béver (Paris 1885-Saint-Jean-de-Côle 1962), journaliste et auteur dramatique.
- Georgette Renet dite Géo Clarett (Paris 1881-Paris 1941) était l'épouse d'Alfred Vercourt.
- Gabriel Gaston Louis Lemoine dit Fabrice Lémon (1864-1934), auteur dramatique et haut-fonctionnaire au ministère des Colonies. Officier de la Légion d'Honneur.
- Eldorado. "Qué qu' tu m' lègues ?" Comoedia, 21 octobre 1909, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- Léon Dequin (Paris 1875-Paris 1937), compositeur et éditeur de musique.
- A l'Eldorado. R'mettez-nous ça ! Comoedia, 1er décembre 1910, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- A l'Eldorado. "Florimond. Comoedia, 25 mars 1913, p. 4, à lire en ligne sur Gallica.
- Théâtre Omnia. AU PREMIER A GAUCHE, scène comique de M. Laumann. L'Abeille de Fontainebleau, 10 décembre 1909, p. 2, à lire en ligne sur Gallica.
- Charles-Ernest dit Ernest-Maurice Laumann (Paris 1862-Paris 1928), journaliste, romancier, parolier, auteur dramatique, scénariste et réalisateur. Officier de l'Instruction publique (1910).
- Théâtre Omnia. Cinématographe Pathé. Mannequin par amour. La Vie douaisienne, 27 août 1910, p. 6, à lire en ligne sur Gallica.
- Nîmes-Cinéma. Nîmes-Journal, 17 novembre 1912, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- Pathé Frères. Les Surprises du divorce Ciné-Journal, 20 juillet 1912, p. 46, à lire en ligne sur Gallica.
- Communiqués. Fantaisies-Cinéma. Le Cri d'Angers, 9 mars 1913, p. 3, à lire en ligne sur Gallica.
- Pau. Cinéma Palace Pathé. Pau-Gazette, 12 octobre 1913, p. 1, à lire en ligne sur Gallica.
- Ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts. Officiers d'Académie. Journal Officiel, 28 mai 1911, p. 4206, à lire en ligne sur Gallica.
- Échos. A travers les cafés-concerts. Le Grand illustré, 23 février 1896, p. 1, à lire en ligne sur Gallica.